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Science/Tech - Page 12

  • Nouvelle vague

    La Chine ne signale aucun nouveau cas national de COVID-19, mais les experts craignent une deuxième vague

    La Commission nationale de la santé en Chine a signalé qu’aucun nouveau cas de SARS-CoV-2 transmis au sein du pays n’était survenu depuis le mercredi 18 mars, soit deux jours. Il s’agit de la toute première fois que ce chiffre est nul en Chine depuis le début de l’épidémie, en décembre 2019.

    Cependant, la menace d’infection n’est peut-être pas terminée pour le pays, car 39 nouveaux cas parmi des personnes récemment rentrées en Chine ont été confirmés comme infectés. Les experts mettent donc en garde contre une possible deuxième vague.

    En dehors de Wuhan, l’épicentre de la pandémie, dans la province chinoise du Hubei, aucun nouveau cas indigène confirmé n’a été signalé pendant 13 jours consécutifs. Le nombre de nouveaux cas dans la ville de Wuhan était très bas la semaine dernière, pour finalement tomber à zéro mercredi. Cela signifie donc que, depuis le 18 mars, dans tout le continent chinois, l’augmentation des transmissions nationales avait été réduite à zéro.

    Ces chiffres contrastent fortement avec ceux observés il y a un mois, où plusieurs milliers de nouveaux cas étaient confirmés chaque jour. À présent, la principale inquiétude des autorités du pays est d’éviter que des personnes contaminées venues de l’étranger créent une deuxième vague épidémique.

    À Huanggang, une ville voisine de Wuhan, qui à un moment donné montrait le deuxième plus grand nombre de cas confirmés, aurait à présent libéré ses deux derniers patients guéris de COVID-19.

     

    Depuis le début de l’épidémie, à la fin du mois de décembre 2019, la Commission nationale de la santé en Chine a déclaré avoir reçu 80’928 rapports de cas confirmés, dont 3245 décès et 70’420 patients guéris et sortis de l’hôpital.

    Depuis le 23 janvier 2020, plusieurs villes de Chine qui ont été mises en quarantaine et la nouvelle de la réduction des cas de transmission au cœur du pays ont entraîné une levée partielle de la quarantaine de masse, permettant aux résidents des zones à faible risque de quitter la province du Hubei pour aller travailler.

    Les risques d’une deuxième vague

    Tandis que les mesures se lèvent, les experts avertissent que la maladie pourrait bien provoquer une deuxième vague. En effet, ayant infecté moins de 1% de la population lors de sa première vague, la plupart des Chinois n’ont pas contracté la maladie et pourraient toujours le faire.

    Et l’une des menaces les plus immédiates concernant une deuxième vague en Chine vient des " cas importés ". En effet, bien que le nombre de nouveaux cas au sein du pays fût de 0 mercredi dernier, la Chine a tout de même confirmé 39 nouveaux cas importés le même jour, pour un total de 228 cas confirmés qui ont été importés de l’étranger.

    "Ça va continuer à brûler. Le virus est toujours présent", a déclaré Michael Osterholm, directeur du Center for Infectious Disease Research and Policy à l’Université du Minnesota, aux États-Unis. " Nous nous attendons à ce qu’il s’infiltre à nouveau en Chine de par le reste du monde ", a-t-il ajouté.

    Basculement de l’épicentre de l’Asie à l’Europe

    À l’heure actuelle, le total des décès en Italie (soit 4000) a dépassé hier, jeudi 19 mars 2020, celui enregistré en Chine, qui s’établit désormais à 3248 morts.

    En Chine, les autorités sanitaires restent donc à l’affût. Le risque de voir une nouvelle vague de contaminations venues cette fois d’Europe, du Moyen-Orient ou d’Amérique, est important. " Dans de nombreux pays, la quantité de cas confirmés peut être considérée comme explosive. Si nous n’adoptons pas de mesures strictes (…), je crains que tous les efforts de précaution déployés au cours des deux derniers mois soient vains ", a averti mardi 17 mars la cheffe de l’exécutif hongkongais, Carrie Lam.

    Source : Commission nationale de la santé en Chine

     

  • Dans les quartiers "émotifs"

    Lutte contre la contamination: la police reçoit l’ordre d’éviter certains "quartiers sensibles"

    La lutte contre le covid-19 est une épreuve pour les forces de l’ordre. En Seine-Saint-Denis (93), les verbalisations s’accumulent, mais la police a, selon nos sources, l’ordre d’éviter certains quartiers sensibles dans le département voisin des Hauts-de-Seine (92). Au risque d’y voir la contamination progresser?

    La hiérarchie policière peine-t-elle à définir une stratégie d’application pour contrer les contaminations dans les quartiers sensibles? Si les policiers ont reçu pour instruction de durcir le ton en Seine-Saint-Denis (93) et d’emmener en garde à vue les resquilleurs à la troisième verbalisation pour irrespect du confinement, les patrouilles ont, dans d’autres départements, explicitement reçu l’ordre d’éviter certaines zones.

    Des sources au sein de la police en région parisienne ont communiqué à Sputnik des instructions relatives au maintien de l’ordre dans les Hauts-de-Seine (92). Selon le document auquel nous avons eu accès, les policiers "éviteront les quartiers sensibles comme Pablo Picasso, Petit Nanterre, Zilina ou Vieux Pont". Ils ne devraient donc voir aucun contrôle policier… au risque d’y voir la contamination progresser.

     

    fr.sputniknews.com

     

     

     

  • Les foireux

    17% des Parisiens ont quitté la capitale selon l’AP-HP

    17% des Parisiens auraient quitté Paris avant la mise en place du confinement selon l’Assistance publique – Hôpitaux de Paris qui se base sur la baisse des consommations d’électricité mesurées dans les 48h qui ont suivi les annonces des mesures de confinement.

     

    bfmtv

  • Comment désinfecter un masque chirurgical?

    C'est moi qui ai eu l'idée de ce système, donc, si vous faites passer, n'hésitez pas à donner l'URL de ce blog, merci d'avance!

    Par les temps qui courent, c'est un bien extrêmement précieux. Après utilisation,

    NE LE JETEZ PAS

    il peut être désinfecté pour autre utilisation mais pas plus de trois fois (en attendant de pouvoir en acquérir d'autres)

    Il vous faut: une boite rectangulaire avec couvercle, 1 par masque

    il vaut mieux éviter une boîte en plastique; en effet, l'huile essentielle est toujours corrosive (quelle quel soit).

    500 g de gros sel de mer, 10 Ml d'huile essentielle de citron

    Dans un petit pot en verre, genre pot de confiture à couvercle, mettre environ 100 g du gros sel et verser l'huile essentielle de citron

    Secouez le pot très fortement pour bien mélanger.

    Versez ce sel au citron dans la boîte; rajouter le restant du gros sel restant; fermer le couvercle et secouez le tout pour que l'ensemble du gros sel soit citronné.

    Partagez ce gros sel citronné en deux; faites un lit avec une moitié de sel au citron;

    Posez le masque avec beaucoup de précautions c'est-à-dire en portant des gants, sans l'agiter afin de ne pas disperser les microbes et rajoutez par-dessus, en le recouvrant bien, le restant du sel citronné.

    Fermez le couvercle de la boîte et laissez au minimum 72 heures avant de pouvoir récupérer un masque qui sera suffisamment désinfecté pour une autre utilisation de maximum deux heures sur le visage.

    Ne pas mettre au micro-ondes, c'est insuffisant pour la désinfection;

    Ne pas repasser avec un fer très chaud; c'est insuffisant pour la désinfection;

    Rechargez votre sel citronné en jetant une bonne moitié à la poubelle -après 1 première utilisation- et rajoutez 250 g de nouveau sel propre et autant d'huile essentielle qu'à la première utilisation. N'oubliez pas de brosser le gros sel y adhérant avec une brosse fine, très propre avant utilisation.

    Bien sûr, il faut procéder cette désinfection les mains très propres!

  • Mon prochain nouveau blog va vous intéresser...

    ATTENTION

    Bientôt un nouveau blog (fait pas moi, bien sûr)!

    Sujet: tous ceux qui on des démêles avec "l'opérateur historique"!

    Je vais appeler ce blog: "saga-mandarine"

    Afin d'éviter que ces gens ne me mettent au tribunal...

    Et oui, "celui qui dit la vérité, il doit être exécuté!"....

  • Le mâle blanc engage la partie!!!

    L‘Europe, le berceau de l’humanité : et si l’homme n’était pas né en Afrique mais en Europe? (documentaire)

    Les premiers êtres humains sont-ils nés en Afrique? De récentes découvertes effectuées en Grèce ou en Allemagne viennent ébranler cette hypothèse. Retour sur l’épopée de notre humanité.

    Depuis longtemps, l’Afrique est considérée comme le berceau de l’humanité. Mais depuis l’exhumation, en 1949, d’une mandibule trouvée à Athènes, cette conception est remise en cause par plusieurs découvertes. Si cet indice du commencement de notre histoire évolutive a disparu, une molaire découverte en 2009 en Bulgarie permet de dater l’espèce concernée à 7 millions d’années avant notre ère et, plus précisément, à l’époque où la lignée des chimpanzés et celle de l’homme ont divergé. Le berceau de l’humanité serait-il donc européen?

    Sur les traces des bipèdes

    En Crète, un paléontologue a mis au jour en 2002 des empreintes de pas fossilisées caractéristiques d’une marche bipède, datant d’il y a environ six millions d’années, soit trois millions d’années de plus que tous les fossiles africains exhumés à ce jour… En 2011, Madelaine Böhme et son équipe ont nourri cette hypothèse, avec la découverte de fossiles d’animaux, provenant du sud de l’Allemagne, qui ont permis d’identifier une nouvelle espèce de grands singes, les Danuvius guggenmosi. Hybrides, ils annoncent la bipédie de l’homme, tout en se rattachant au mode de vie des grands singes quadrupèdes qui vivaient dans les arbres : le fameux chaînon manquant?

    Autant d’éléments qui mettent à mal le scénario présumé de nos origines… Étayé par les recherches les plus récentes, ce documentaire retrace l’épopée aux multiples rebondissements de l’humanité, laquelle n’a pas fini de révéler ses secrets.

    en replay ici