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Société - Page 363

  • Médias allemands

    Médias allemands

    Version originale

    Hessen: Ein hochrangiger Polizeibeamter aus Frankfurt/M. erklärt BILD: „Bei Straftaten von Tatverdächtigen, die eine ausländische Nationalität haben und in einer Erstaufnahmeeinrichtung gemeldet sind, legen wir den Fall auf dem Schreibtisch sofort zur Seite.“

    Der Beamte weiter: „Es gibt die strikte Anweisung der Behördenleitung, über Vergehen, die von Flüchtlingen begangen werden, nicht zu berichten. Nur direkte Anfragen von Medienvertretern zu solche Taten sollen beantwortet werden.“

    Traduction (à peu près):

    Région du Hesse : Un policier haut gradé de Francfort explique au BILD : « Pour les délits commis par des criminels possédant une nationalité étrangère et qui sont enregistrés dans un centré de réfugiés, nous classons immédiatement le dossier sans suite ».

    Le policier continue : « Il y a de strictes instructions venant de la hiérarchie pour ne pas reporter les crimes et délits perpétrés par les migrants. Seules des requêtes directes émises par des journalistes ou des médias sur de tels actes peuvent être suivies d’effet ».

    BILD

    trad rapide (on appelle cela un MOB sexuel agressif)

    ►on en parle maintenant : A Bielefeld à la veille du Nouvel An un MOB sexuel agressif au lieu. Selon «Westfalen Blatt-" 500 hommes ont fait irruption dans une boîte de nuit, ont attaqué plusieurs femmes. La police a confirmé par la recherche les agressions sexuelles .

    ► Bade-Wurtemberg: Quatre réfugiés (14-21) de Syrie ont violé au nouvel an deux filles (14-15) à Weil am Rhein. D'abord publié le 7 Janvier.... la police a confirmé ensuite

    ► NRW: des instructions similaires ont été selon des informations de Bild in NRW:les incidents dans et autour des abris de réfugiés ne doivent pas être déclarés - à moins qu'ils soient attaqués par des néo-nazi

    ► Sachsen - il y avait en 2015, selon le ministre de l'Intérieur Markus Ulbig-Saxe (51, CDU) "1006 brutalité et crimes contre la liberté personnelle" dans les centres d'asile, y compris onze cas de tentative d'homicide ou assassinat

    Seulement trois d'entre eux ont été publiés. Huit cas d'abus sexuels et viol, en partie sur des enfants, sont restés sous le boisseau.

    Un porte-parole du ministère de l'Intérieur de Saxe dit à l'enquêteur de BILD: "Dans les infractions sexuelles, les intérêts privés des victimes doivent être protégés."

    vu ailleurs, un "videur d'un hôtel huppé de Cologne", situé sur la place, était choqué.... (sportif, karatéka, fait ce job pour le nouvel an): des femmes en pleurs venaient se réfugier dans l'hôtel et tapaient à la porte etc.... certaines ont été trainées par terre, tentatives pour les déshabiller, une gamine a le nez cassé et le visage en sang...

    Ce n'étaient pas que du " papouillage"

     

  • Le feront-ils?

    Angela Merkel pour l'expulsion des réfugiés condamnés

    Suite aux agressions sexuelles commises à Cologne le soir de la Saint-Sylvestre, Angela Merkel s'est prononcée ce samedi en faveur d'un durcissement des règles d'expulsion de demandeurs d'asile condamnés par la justice allemande.

    La chancelière allemande Angela Merkel s'est prononcée samedi en faveur d'un très net durcissement des règles d'expulsion de demandeurs d'asile condamnés par la justice en Allemagne, en l'autorisant même pour ceux condamnés à une peine avec sursis.

    "Si les réfugiés ont commis un délit", cela doit "avoir des conséquences, (...) cela veut dire que le droit (de séjour) doit s'arrêter s'il y a une peine de réclusion ou même avec sursis", a déclaré Mme Merkel, tirant les leçons des agressions sexuelles intervenues le soir de la Saint-Sylvestre à Cologne (ouest), qui impliqueraient des demandeurs d'asile.

    Lors d'une réunion à Mayence (sud-ouest), la direction du parti conservateur de la chancelière CDU s'est mise d'accord pour demander que la perte du droit d'asile en Allemagne soit plus systématique en cas de délit. Cette position doit désormais être discutée avec l'autre grand parti présent dans la coalition gouvernementale à Berlin, les sociaux-démocrates du SPD.

    "Il est important que là où la loi n'est pas suffisante, elle soit modifiée", a affirmé, lors d'une conférence de presse, Angela Merkel, y voyant là aussi "l'intérêt de la grande majorité des réfugiés".

    1,1 million de demandeurs d'asile sont arrivés en 2015

    Pour l'heure, selon la loi allemande, l'expulsion d'un demandeur d'asile n'a lieu qu'après une condamnation à au moins trois ans de prison, mais à la condition que sa vie ou sa santé ne soient pas menacées dans son pays d'origine.

    L'Allemagne a vu affluer en 2015 1,1 million de demandeurs d'asile et les violences du Nouvel An à Cologne ont créé un choc dans le pays, faisant croître les critiques à l'égard de la politique d'ouverture aux demandeurs d'asile suivie depuis septembre par Mme Merkel.

    Oui, le feront-ils?

    Et en France..... parce que il y a eu des viols dans les centres..... et on vous la caché!

    Bon d'accord, j'ai perdu l'info exacte et la référence.... j'avais lu qu'ils avaient eu la grosse conn. de mélanger une famille de réfugiés chrétiens avec des réfugiés musulmans... et, devinez ce qui arriva?

    C'est pour cela que j'ai décidé de changer la destination du blog pour vous répercuter tous les articles que je lis quotidiennement et qui prouvent la manipulations des journalistes qui sont à plus de 85% en France.

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  • Les allemands copient la médiacratie française....

    "Je veux baiser". "Je veux t'embrasser". "Je vais te tuer". Ces mots glaçants apparaissent dans les rapports rédigés par la police allemande, après les violences perpétrées durant la nuit de la Saint-Sylvestre dans le centre de Cologne. Un millier d'hommes auraient pris part, de près ou de loin, à des agressions subies par des dizaines de femmes, dans cette ville de l'ouest de l'Allemagne.

     Une semaine après les faits, vendredi 8 janvier, 121 plaintes ont été déposées pour des vols, des agressions physiques et, pour les trois quarts d'entre elles, pour des violences sexuelles. Face à l'ampleur des faits, une cellule d'enquête spéciale, baptisée "Nouvel An", a été créée, forte de 80 policiers.

    La présence de migrants parmi les auteurs de ces violences fait scandale outre-Rhin, où 1,1 million de demandeurs d'asile ont été accueillis en 2015 –un nombre record. La polémique enfle d'autant plus que cette présence massive sur le sol allemand suscite l'inquiétude grandissante de l'opinion publique.

     

    Voici trois éléments troublants qui alimentent la controverse, au-delà même des frontières allemandes.

    Des réfugiés ont-ils violé des femmes?

    Deux rapports des polices locale et fédérale, rédigés les 2 et 4 janvier, ont été révélés vendredi par la WDR, le Zeit, le Spiegel et Bild (articles en allemand). Ils indiquent que les policiers déployés dans le centre de Cologne, aux abords de la cathédrale et de la gare centrale, durant la nuit du Nouvel An ont procédé à 70 contrôles d'identité en raison de violences. Et la majorité des personnes qu'ils ont contrôlées avaient des documents attestant de leur enregistrement comme demandeurs d'asile auprès de l'Office fédéral pour immigration et réfugiés (BAMF). Ces personnes n'ont en revanche pas présenté de pièces d'identité, rapporte l'Express.

     

    Les policiers disent aussi avoir vu, dans la foule participant aux violences, des personnes dont l'apparence indique qu'elles viennent d'Afrique du Nord et de pays arabes, notamment la Syrie. "Je suis syrien, vous devez me traiter avec gentillesse ! Madame Merkel m'a invité", aurait même lancé un homme à un policier, selon le rapport cité par Bild et le Spiegel.

    Un porte-parole du ministère de l'Intérieur a annoncé, vendredi, que la police fédérale est parvenue à identifier "31 suspects", dont "18 ont le statut de demandeur d'asile" : neuf Algériens, huit Marocains, quatre Syriens, cinq Iraniens, un Irakien et un Serbe. Deux Allemands, un Irakien, un Serbe et un Américain sont également soupçonnés.

    Mais il s'agit là de la liste des personnes suspectées d'avoir pris part aux vols et aux violences physiques. Les autorités fédérales n'ont pas évoqué de suspects concernant les agressions sexuelles, ni mentionné d'interpellations.

    De son côté, la police locale a indiqué, vendredi, que deux voleurs à la tire, présents le soir des incidents, ont été arrêtés. Ils ont 16 et 23 ans et sont originaires de Tunisie et du Maroc. La chaîne publique de la région de Cologne, WDR, révèle que les policiers ont découvert, sur les téléphones portables de ces deux hommes, des images vidéo du soir du réveillon montrant des agressions de femmes, ainsi qu'une feuille de papier –un document révélé par Bild– sur laquelle sont notées des traductions de termes sexuels de l'arabe à l'allemand.

     Le gouvernement allemand affirme que les suspects identifiés à ce jour sont en majorité des réfugiés. Mais il n'est toutefois pas prouvé que les agressions sexuelles sont le fait de migrants fraîchement arrivés en Allemagne.

    La police allemande a-t-elle minimisé les faits?

    Le 1er janvier, la police de Cologne publie un communiqué rassurant. Elle affirme que les festivités du Nouvel An se sont déroulées sans incidents. Quatre jours plus tard, le scandale éclate avec l'accumulation des dépôts de plaintes.

    La police reconnaît alors avoir fait évacuer la place où se sont déroulées les agressions, à cause de tirs dangereux de feux d'artifice. Mais elle explique que les agressions ont débuté plus tard, sans qu'elle en prenne la mesure.

    Une semaine après les faits, les rapports de police dévoilés par la presse allemande vendredi, viennent contredire cette version officielle. Dans le procès-verbal, rédigé le 4 janvier et révélé par le Spiegel et Bild vendredi, un cadre de la police décrit des scènes de "chaos". "Des femmes en pleurs ont rapporté les agressions sexuelles", "des femmes, accompagnées ou pas, ont essuyé un harcèlement nourri indescriptible", "des victimes et des témoins ont été menacés", "des policiers et des passants ont pu empêcher que des viols" ne soient commis.

    L'officier y fait même un aveu de faiblesse : la police "n'a pas pu maîtriser l'ensemble des événements, des agressions, des délits... parce qu'il y en a eu trop en même temps".

    Sous le feu des critiques, le chef de la police de Cologne a été suspendu de ses fonctions. Il lui est reproché à la fois l'inaction de ses services le soir des faits et le manque d'informations délivrées ensuite sur l'ampleur des violences, puis le profil des suspects. Ces manquements ont en effet alimenté la confusion entre les enquêtes de la police locale et fédérale.

    Cologne est-il un cas isolé?

    Durant la nuit de la Saint-Sylvestre, des violences similaires ont eu lieu dans une douzaine d'autres villes d'Allemagne, liste Focus. A Hambourg, 50 plaintes ont été déposées dont 38 pour des agressions sexuelles. A Düsseldorf, 40 femmes se disent également victimes. Le scénario est souvent le même : des groupes d'hommes apparemment arabes ou nord-africains les encerclent, parfois à 20 ou 30. Munich, Stuttgart, Berlin, Nuremberg et Francfort ne sont pas épargnées. Et l'Allemagne n'est pas le seul pays touché.

     A Helsinki, la capitale finlandaise, des patrouilles de police ont constaté de "nombreux faits de harcèlement sexuel" sur une place centrale de la métropole, où 20 000 fêtards étaient réunis. Et trois agressions sexuelles ont été signalées dans la plus grande gare de la ville, où 1 000 demandeurs d'asile, pour la plupart irakiens, étaient rassemblés. Seules deux plaintes ont cependant été déposées. Trois demandeurs d'asile suspects ont été placés en détention.

    "Il n'y a pas eu de tels cas de harcèlement lors de la nuit du Nouvel An de l'an dernier, ni en d'autres occasions... C'est un phénomène totalement nouveau à Helsinki", assure le chef adjoint de la police de la ville à l'AFP.

     Les mêmes scènes de violence se sont déroulées à Zurich, en Suisse, alors que 120 000 personnes se pressaient autour du lac pour les célébrations du Nouvel An, selon le communiqué de la police locale diffusé jeudi.

     La police zurichoise a d'abord enregistré 24 plaintes pour des vols. Au cours de l'enquête, plusieurs victimes ont alors confié aux policiers avoir également été encerclées et soumises à des attouchements, comme à Cologne. Une demi-douzaine d'entre elles parlent d'agressions sexuelles, perpétrées par "des groupes d'hommes à la peau foncée".

    Le porte-parole de la police zurichoise souligne que le nombre des victimes est inhabituel pour la Suisse. La police a ouvert une enquête. Elle a lancé un appel à témoins et a demandé à d'éventuelles autres victimes de venir porter plainte.

    http://www.francetvinfo.fr/monde/europe/migrants/allemagne-trois-zones-d-ombre-sur-les-agressions-sexuelles-du-nouvel-an-a-cologne_1259037.html

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    http://www.contrepoints.org/2015/09/16/221958-qui-gere-le-bitcoin

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  • Français, Françaises: ne vous laissez pas manipuler...

    L’ÉDITO D’YVES DE KERDREL - Valeurs Actuelles

    Le choc d’une photo. L’Europe n’en finit pas de pleurer devant le corps sans vie du petit Aylan retrouvé sur une plage turque. L’émotion soulevée par cette photo semble empêcher tous les dirigeants européens de réfléchir et de raisonner.

    Qu’en sera-t-il lorsqu’ils liront les informations dévoilées cette après-midi par le Wall Street Journal selon lesquelles la famille de cet enfant ne fuyait pas la Syrie, mais vivait depuis trois ans en Turquie? Qu’en sera-t-il lorsqu’ils apprendront que la tante d’Aylan, vivant au Canada, avait financé ce voyage en Europe pour que son frère se fasse refaire les dents?

    Et c’est uniquement pour cela qu’Aylan est mort, lors d’une traversée entre Bodrum et Kos. Cela ne diminue pas l’ampleur de ce drame.

    Mais cela devrait nous amener à réfléchir sur les vrais migrants qui fuient la guerre et ceux qui viennent pour des raisons beaucoup moins avouables.