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actualité - Page 208

  • La langue française vaut bien un combat judiciaire

    VIDEZ LA GAUCHIASSE DE NOS FACULTÉS!

    Par Bernard SERGENT, historien et archéologue français

    Après avoir par trois fois débouté les associations qui réclamaient que la langue de Molière soit respectée par les établissements publics, des juges ont condamné une fédération d’universités qui entendait se rebaptiser "Research University". Retour sur les faits.

    Le 7 septembre, la 1re chambre de la 5e section du tribunal administratif de Paris a rendu un jugement dont on ose espérer qu’il fasse désormais jurisprudence.

    A la suite de la plainte d’une association, Francophonie Avenir, la chambre avait à émettre un arrêt sur la question suivante : l’université Paris-Sciences-et-Lettres (PSL), fédération de neuf universités parisiennes, était-elle autorisée à s’appeler désormais "Research University" ? Car ce que faisant, elle violait directement la loi, à savoir celle du 4 août 1994, couramment appelée la "loi Toubon". Cette dernière dispose en effet, en son article 14, que "l’emploi d’une marque de fabrique, de commerce ou de service constituée d’une expression ou d’un terme étrangers est interdit aux personnes morales de droit public dès lors qu’il existe une expression ou un terme français de même sens". Les juges du tribunal administratif ont considéré que tel était le cas, l’université PSL étant un établissement public, et les termes litigieux ayant assurément des équivalents français.

    Ce jugement peut-il exprimer un changement de paradigme ? On peut le souhaiter, car, dans les derniers temps, les plaintes déposées par diverses associations ont toutes été déboutées, bien que toujours appuyées sur les outils légaux existant (loi constitutionnelle de 1992, "loi Toubon", disposition constitutionnelle sur la francophonie communauté, et dispositions de la loi Fioraso sur l’université), et lors même que les cas soulevés étaient de nature analogue à celui de PSL. La subtilité qu’il a fallu déployer pour débouter les plaignants malgré l’évidence de la loi se révèle dans les trois cas suivants.

    1) L’aéroport de Lorraine décide un jour de prendre la dénomination de "Lorraine Airport". Une plainte est déposée devant le tribunal administratif de Metz, par Francophonie Avenir. Le cas est semblable au précédent : l’aéroport est un établissement public, et il y a bien des mots français susceptibles de remplacer les mots anglais. On s’attendait à ce que le tribunal juge comme vient de le faire celui de Paris. Il n’en a rien été. Au contraire, le tribunal de Metz a décidé que l’association "ne pouvait ester en justice" (qui, alors ?). Et il a condamné cette dernière à verser 1 500 euros à l’aéroport lorrain (ladite association a un budget annuel de 2 000 euros). En somme, le tribunal condamnait l’association de citoyens à la non-existence juridique et à l’épuisement financier. Comme s’il fallait la punir de défendre la langue française !

    2) Devant la floraison d’anglicismes dans des noms d’associations touristiques savoyardes, du type de Lake Annecy Ski Resorts, La Clusaz Radikal Mountain et autres Radikal Mountain Junior, l’Association de défense de la langue française en pays de Savoie, ne pouvant les attaquer parce qu’elles sont de statut semi-privé, demande aux juges administratifs d’annuler les subventions que le département de Haute-Savoie a prévu de leur accorder ; l’association demande aussi, le site internet du même département étant rédigé en français et en anglais, que le texte, conformément à la loi du 4 août 1994, fasse l’objet d’une traduction en une seconde langue. Sur le premier point, elle est déboutée : selon le tribunal, les organismes incriminés, même sous tutelle du département, ne le représentent pas, et ne sont donc pas visés par la loi, les subventions peuvent être accordées. Sur le second point, elle est également déboutée. Citons le point 9 du jugement du tribunal administratif de Grenoble du 5 octobre 2017: "Considérant que l’emploi obligatoire de la langue française et l’obligation corrélative de double traduction pesant spécifiquement sur les personnes publiques et les personnes privées chargées d’une mission de service public ne concernent pas les sites internet qui ne peuvent être regardés comme formant un lieu physiquement localisé sur le territoire au sens de l’article 3","l’association requérante ne peut utilement se prévaloir des obligations prévues aux articles 3 et 4 de la loi du 4 août 1994 pour demander que le site internet du département de la Haute-Savoie soit traduit en au moins deux langues étrangères". Redoutable dialectique! Car il s’ensuit que toute faute, voire tout délit, commis par le moyen d’un ordinateur échappe à la loi française, parce qu’on ne sait pas où est physiquement le texte qui apparaît sur l’écran!

    3) L’Ecole normale supérieure (ENS) et ses alliés de Polytechnique, de la faculté d’Orsay ont décidé d’offrir une formation diplômante exclusivement en anglais pour les étudiants du niveau le plus avancé. Nulle présence d’étudiants étrangers n’est explicitement évoquée, comme l’aurait permis la loi Fioraso sur l’université. Une plainte est alors déposée par Avenir de la langue française et treize autres associations. Elles s’attendent, légitimement, à être suivies par les juges du tribunal administratif. Mais la défense des trois grandes écoles consiste à invoquer un dispositif du code de l’Education, de 2016, postérieur donc à la loi Fioraso, et qui stipule que peuvent bénéficier de dérogations à l’obligation de faire cours en français "les établissements dispensant un enseignement à caractère international". Le tribunal a admis cette défense, et les plaignants furent déboutés. Idem devant la cour administrative d’appel de Paris. Avenir de la langue française fut finalement condamnée à payer à l’ENS 1 500 euros de frais de justice !

    Il y a pourtant un jeu sur les mots. Que ces écoles aient une renommée internationale est une chose, qu’elles aient un caractère international dans leur recrutement en est une autre. Surtout, ces établissements seraient-ils réellement internationaux, pourquoi devraient-ils établir des cours en anglais ? Le français est la seconde langue de communication internationale et la seconde langue apprise. "Anglais" n’est pas le synonyme obligatoire d’"international", "français" l’est également. Si une université est internationale, alors raison de plus pour y parler, partout, français.

    La Cour constitutionnelle italienne a condamné les formations uniquement en anglais offertes par l’Istituto politecnico de Turin. Un jugement qui peut faire jurisprudence. On regrette de ne pas avoir l’équivalent en France. Mais un changement de paradigme est possible et, bientôt, il se peut que les tribunaux défendent le français conformément aux textes en vigueur et en accord avec leur esprit, plutôt que de se perdre en arguties destinées à protéger les diverses espèces de contrevenants.

     

     

    ET AUSSI:

    https://youtu.be/nDdejkSKb2E

     

    ET ENCORE:

     

    ALORS, VOUS AVEZ COMPRIS??????

     

     

  • Alors Macrouille, qu'est-ce....... bis répétita

    Depuis près d'un mois, les militants de l'UNI ne ménagent pas leur peine pour tenter de contrer l'offensive de l'extrême-gauche sur nos campus. Plusieurs universités sont en train d'être transformées en véritables "ZAD universitaires"» avec leurs lots de violences et de dégradations.

    Nos militants, pour défendre la liberté d'étudier et d'enseigner, ont multiplié les actions : déblocage non-violent à Strasbourg, présence dans les « AG » pour voter la reprise des cours, campagne de mobilisation, lancements de pétitions, mais aussi plusieurs recours juridiques, comme à Paris - Tolbiac ou à Toulouse, pour exiger l'évacuation de ces sites universitaires.

    Pour la première fois, une majorité de Présidents d'université ont finalement entendu nos revendications et ils ont demandé aux forces de l'ordre de faire « débloquer » leur campus.

    Malheureusement, c'est désormais l'Etat qui refuse de rétablir l'ordre. Le ministère de l'intérieur temporise et prend ainsi le risque de voir ces violences s'accentuer et se propager.

    Désormais, les examens sont directement menacés, les diplômes universitaires vont une nouvelle fois être dévalorisés.

    Aidez-nous à faire pression sur le gouvernement. Nous avons besoin de moyens pour imprimer de nouvelles campagnes et continuer à financer nos recours juridiques.

    Merci, je sais pouvoir compter sur votre aide.

    Olivier Vial

    Président de l'UNI - www.uni.asso.fr

     

    Quand je pense qu'on m'a envoyée à l'usine, en 1964 à 14 ans, pour ramener une paye alors que j'aurais voulu faire des études... puisque j'en avais largement la capacité....

    et voir tous ces ultragauchiasse foutre la merde par plaisir lubrique, sadique et débile afin d'empêcher les étudiants intelligents et "propres" dans leur tête, de passer leur examen, ça donne envie de prendre une matraque et de taper dans le tas... sur la tête pour la faire éclater puisqu'il n'y a rien, RIEN à l'intérieur!

     Ce ramassis de merde finira (p)fonctionnaires pour continuer pendant 40 ans à foutre la merde sans perdre leur travail ou finira journaliste à la Pléniel pour devenir islamo-collabos!

     

     

  • Alors, Macrouille, qu'est-ce que tu attends?

    NDDL: Le ras-le-bol de gendarmes engagés dans la ZAD

    Alors qu’une guerre d’usure est engagée dans la ZAD de Notre-Dame-des-Landes, l’Association professionnelle nationale militaire tire la sonnette d’alarme.

    Sur sa page Facebook, l’Association professionnelle nationale militaire s’alarme de la situation d’enlisement qui caractérise l’opération menée depuis le 9 avril, dans la ZAD de Notre-Dame-des-Landes. "Ce que l’on redoutait depuis l’annonce de l’abandon du projet de NDDL est en train de se produire: un enlisement désastreux, en terme d’image, de l’expulsion et de la destruction des abris de fortune des occupants illégaux d’un territoire abandonné par les gouvernements successifs depuis de nombreuses années", écrit-elle notamment.

    " (…) Les forces de gendarmerie ont été calibrées pour répondre à la demande expresse du politique pour enfin exécuter les décisions de justice et détruire les constructions illégales qui avaient été érigées anarchiquement par des "amoureux de la nature".(…) C’était sans compter sur l’extrême détermination des marginaux de Notre-Dame-des-Landes à ne pas quitter un lieu qu’ils avaient unilatéralement décidé de s’approprier."

    " Maintenir l’ordre ou le rétablir, lorsque les objectifs sont clairs, la gendarmerie sait faire. C’est plus compliqué quand les consignes sont manifestement de réaliser de telles opérations sans entrer en contact avec ceux qui n’ont aucun respect pour l’État de droit ".[…]

    Macrouille s'en tape des Français et de leurs problèmes: ce qu'il veut c'est que le monde entier se prosterne à ses genoux... c'est un arrogant avec une si grosse tête qu'il ne peut pas porter des chapeaux... de toutes façons, c'est trop vieux monde!!!

    Vous verrez: un jour, comme le Flamby, il militera pour être nommé Président du Parlement Européen: je vous fiche mon billet!

     

  • SUPER ESCROC

    pas de chez nous, bien sûr… et vous croyez qu'il va rembourser?

    Le fils d’une assurée a perçu indûment la pension de sa mère décédée. Il a été condamné à un an de prison ferme avec mandat d’arrêt et doit rembourser 217 487 € à la CPAM. Un ressortissant algérien de 75 ans, reparti dans son pays après avoir travaillé en France, a été poursuivi devant le tribunal correctionnel de Sarreguemines pour "escroquerie" au préjudice de la Caisse primaire d’assurance maladie de la Moselle.

    Depuis 1948, suite au décès de son mari lors d’un accident du travail, la mère du prévenu, vivant en Algérie, touchait une rente. Cette pension était versée sur un compte ouvert à son nom dans une banque messine. Chaque année, l’organisme envoie au titulaire de la rente, un document appelé " certificat de vie " afin de vérifier qu’il est vivant.

    En 2014, le certificat de vie renvoyé à la CPAM éveille des soupçons de fraude. Le document est signé par le fils et porte la mention " non décédée. " La CPAM fait des démarches auprès du service de l’état civil algérien et apprend que la maman est décédée… en 1989. Une plainte contre X est donc déposée et une instruction ouverte.

    Morte depuis 1989

    À aucun moment, le prévenu, Slimane Ghatout ne répond à une convocation des enquêteurs et du magistrat instructeur.

    Le 21 septembre 2016, un mandat d’arrêt est délivré. L’examen du compte de la mère fait apparaître que la rente est versée sur le compte algérien du fils. Ce dernier affiche plus de 100 000 € au moment de l’instruction.

    Pour la représentante du ministère public, l’infraction d’escroquerie est constituée puisque le prévenu a produit et fait usage d’un faux document. La magistrate requiert une peine de six mois de prison ferme avec confirmation du mandat d’arrêt.

     L’avocat du prévenu affirme que la mère serait décédée en 2014 et que l’on ne peut pas se fier à l’authenticité des documents d’état civil algérien. Non mais, il nous prends pour des billes, le baveux?

    " Le juge d’instruction aurait dû demander un acte de décès ", déclare le conseil.

    Il plaide la relaxe au bénéfice du doute.

    Le tribunal prononce une peine d’un an de prison ferme à l’encontre de Slimane Ghatout, renouvelle le mandat d’arrêt et alloue 217 487 € à la CPAM de la Moselle.

     

     

     

  • Dehors à coup de pied au cu… et vite!

    On s'en tape de ses émotions de chochotte et fiotte de ce conna….

    qu'il aille chanter son Alllallla dans son bled et qu'il débarrasse le plancher!

    Karim Benzema s’en prend à l’hymne national: "La Marseillaise appelle à la guerre et je n’aime pas ça "

    Karim Benzema relance la machine des polémiques. En pleine crise de confiance au Real Madrid, où même Zidane commence à avoir du mal à le protéger en raison de ses récentes prestations décevantes, l’attaquant français a donné une interview à Vanity Fair​, où il revient entre autres sur l’affaire Valbuena et la Marseillaise.

    Sur la Marseillaise : " Si on l’écoute bien, la Marseillaise appelle à faire la guerre, je n’aime pas ça ", a expliqué l’international français, qui avait pour habitude de ne pas chanter l’hymne avant les matchs de l’équipe de France".

    20minutes

    Pas content? tourne le cul au vent!

  • Ignoble de tout temps…

    ignoble jusqu'à la mort!... vu son âge, déjà un pied dans la tombe!

    Avant l'interview de Macron, Valls trouve qu'"on passe beaucoup de choses à Monsieur Plenel

    L'ex-premier ministre dénonce les anciens écrits du journaliste de Mediapart a propos de l'attentat des JO de Munich.

    Par Alexandre Boudet

    Il ne voulait pas dire de mal. "Je ne peux pas commenter les choix du Président de la République ou des médias. Mediapart est un site dont chacun connaît la qualité et l'engagement", a d'abord affirmé Manuel Valls. Mais l'ancien premier ministre n'a pas pu s'empêcher de tacler Edwy Plenel quelques heures avant l'interview d'Emmanuel Macron que le fondateur de Mediapart va faire avec Jean-Jacques Bourdin.

    L'ancien premier ministre qui s'oppose au journaliste notamment sur sa vision de la laïcité a repris à son compte un argument largement répandu ces derniers jours dans les rangs de la droite et de l'extrême droite. Au cours du Grand Rendez-vous Europe 1, CNews, Les Echos, le député de l'Essonne est revenu sur les propos écrits dans les années 70 par Edwy Plenel.

    "Si un journaliste classé à l'époque à l'extrême droite et qui aurait évolué depuis -parce qu'on fait tous des erreurs de jeunesse, parait-il- avait écrit en 1973 qu'il se réjouissait de l'attentat aux Jeux olympiques de Munich contre les athlètes israéliens, je suis convaincu qu'il ne pourrait pas interviewer le président de la République", affirme Manuel Valls.

    Et l'ancien socialiste d'estimer plus largement qu'on "passe beaucoup à Monsieur Plenel et à ses engagements du passé qu'on retrouve d'ailleurs dans la forme de violence qui est la sienne".

    Le Pen scandalisée, Plenel s'explique

    Il y a quelques jours, Marine Le Pen s'était dite "scandalisée" par le fait que l'interview du président de la République soit menée par Edwy Plenel.

    "C'est un homme qui a justifié et défendu un acte terroriste ignoble", dénonçait la présidente du FN. Ces critiques étaient arrivées jusque dans l'hémicycle de l'Assemblée nationale, le député Les Républicains Jean-Charles Taugourdeau critiquant le choix d'Emmanuel Macron.

    Pour rappel, voici ce qu'écrivait Edwy Plenel, sous le pseudonyme de Joseph Krasny, pour justifier et célébrer l'attentat de 1972 ! Et c'est à ce genre de personnage que le Président de la République accorde un entretien fleuve ! MLP pic.twitter.com/wbOMEFBeal

        — Marine Le Pen (@MLP_officiel) 10 avril 2018

    Le cofondateur et patron de Mediapart avait confirmé à Libération le 2 avril avoir soutenu le groupe palestinien auteur de l'attentat de 1972.

    "Ce texte, écrit il y a plus de 45 ans, dans un contexte tout autre et alors que j'avais 20 ans, exprime une position que je récuse fermement aujourd'hui. Elle n'avait rien d'exceptionnel dans l'extrême gauche de l'époque, comme en témoigne un article de Jean-Paul Sartre, le fondateur de Libération, sur Munich dans La Cause du peuple–J'accuse du 15 octobre 1972", répondait Edwy Plenel.

    "J'ai toujours dénoncé et combattu l'antisémitisme d'où qu'il vienne et sans hésitation. Mais je refuse l'intimidation qui consiste à taxer d'antisémite toute critique de la politique de l'Etat d'Israël", précisait-il aussi.

    https://www.huffingtonpost.fr