Ok

En poursuivant votre navigation sur ce site, vous acceptez l'utilisation de cookies. Ces derniers assurent le bon fonctionnement de nos services. En savoir plus.

actualité - Page 5

  • Tour de France : il est interdit d’embrasser sa femme

    L’histoire prêterait à sourire et même rire. Mais voilà, l’absurde a déjà de loin dépassé toute logique et, accompagné de la démagogie la plus folle, poursuit ses ravages dans notre société.

    La dernière expression en date de la déliquescence insensée de notre civilisation à laquelle de mauvais génies nous contraignent résume à elle seule l’idiotie permanente qui nous entoure.

    Pour bon nombre de nos compatriotes et moi-même, heureux et fiers franchouillards que nous sommes, piaffant d’impatience à l’approche de cette compétition plus que centenaire incarnée au sens premier du terme, véritable morceau de bravoure virile, anthologie de la souffrance physique, la Grande Boucle, puisque tel est son nom, renvoie à une certaine histoire de la France.

    Je me souviens de mon grand-père installé devant son poste de télévision, journal du jour sur la table, ouvert à la page sport cycliste, stylo à la main et notant les classements d’étape, général, etc. Pour rien au monde, cet homme n’aurait manqué une étape du Tour de France, seule distraction qu’il s’accordait pendant trois semaines d’une année remplie à travailler dans les champs puis plus tard à faire son jardin jusqu’au soir de sa vie.

    À l’heure où les technologies nous apportent de façon instantanée culture, divertissement, voyage, il est difficile d’imaginer l’importance de cette épreuve dépassant largement le cadre sportif en invitant quotidiennement au voyage dans toute la France ceux qui ne pouvaient pas se déplacer, ceux pour qui les vacances restaient une utopie. Les paysages de notre beau pays se succédaient, la montagne et ses cols impossibles, les bords de mer bretons, aquitains, méditerranéens, les bocages vendéens, normands et puis Paris, sa Tour Eiffel, ses Champs-Élysées consacrant tous ces champions, ces forçats de la route, dixit Albert Londres.

    Le Tour, c’est aussi une ambiance. Folle. Il n’est qu’à voir et prendre peur pour ces damnés du bitume, dans les cols, se frayant péniblement un chemin, cernés par la masse joyeuse, criarde, rougie par le soleil et le pinard saucisson, encourageant ces héros… ses héros.

    En famille… Eh oui, toute la famille est conviée au spectacle éphémère de ces quelques instants de coups de pédale, de cet effort suintant la sueur et le courage. Enfants et grands, frères, sœurs, épouses et maris se retrouvent en communion pour accueillir cette caravane du Tour distribuant petits cadeaux et préparant l’arrivée d’un peloton multicolore sur des machines rutilantes aux guidons à cornes et autres cintres route. Une ambiance quoi…

    Alors comment ne pas exprimer notre tristesse la plus profonde en apprenant par quelle imbécillité crasse des organisateurs peu soucieux de cette histoire, de cet héritage laissé par des anciens, ont cru indispensable de sanctionner un coureur, Julien Bernard, qui, croyant certainement encore à cette petite magie, celle qui fait briller les yeux des enfants, a cru bon de s’arrêter pour embrasser sa femme et son enfant, de se laisser aller à cette communion entre un public et ses acteurs authentiques.

    Nous y voyons un amour, celui pour sa famille, celui pour son public. Ils y voient un comportement déplacé. La démagogie destructrice LGBT a encore frappé.

    Dans l’indifférence générale.

    Patrice MAGNERON - Président IDNF

    VIVE  LA  FRANCE!

  • Les Insoumis jusqu'à la lie

    Par Édouard Roux – Valeurs Actuelles

    Jeudi 19 juillet. Dans l’après-midi, les députés ont dû élire le président du perchoir (le patron de l’Assemblée nationale). Or, lors des votes, quelques scènes ont fait grand bruit. Le benjamin de l’Assemblée, Flavien Termet (député RN), se poste à côté de l’urne, comme le veut la tradition: un à un, les élus déposent religieusement leur vote et doivent serrer la main du gamin.

    Or, comme deux ans auparavant, les Insoumis (hormis les pestiférées Autain et Simonnet; l’ont-elles fait deux ans auparavant? Je ne voudrais surtout pas être mauvaise langue), ont, fièrement, refusé la main tendue. Le Marseillais, Sébastien Delogu - 1m90 de bêtise -, a, lui, fait un quasi tête contre tête avec le jeune Ardennais.

    Alors que le benjamin de l’Assemblée, Flavien Termet (RN), lui tend la main, Delogu la refuse, se colle à lui en bombant le torse, tout en le toisant de haut en bas et lui lance : " t’es fada ou quoi? T’es un fou toi".  Un geste d’intimidation qui n’est pas sans rappeler le comportement des racailles.

    Un courage incroyable de la part de l’ex-voiturier de Mélenchon, reconverti en essuie-glaces du Hamas; un geste de résistance incroyable, une virilité folle. Ses compères soumis ont tous justifié leurs actions en traitant le jeune Termet de “facho”, et hurlant à l’extrême-droite.

    Ces séquences ridicules, gênantes, ce bizutage ringard, pathétique a, une nouvelle fois prouvé une chose : les Insoumis sont des ennemis de la démocratie. Une belle brochette avariée. La bêtise crasse

    Et aussi, même hebdo

    L’élection à la présidence de l’Assemblée nous a encore donné à voir, c’était couru, l’indigne irrespect de la France Insoumise pour l’institution, ses membres et ses électeurs. "J'assume de préférer le chifoumi à porter des casquettes nazies" s’est crânement justifié François Piquemal, qui avait par ce geste esquivé la main innocente du benjamin de l’Assemblée Nationale, au moment de glisser son bulletin dans l’urne.

    "Je viens d’une ville qui s’appelle Toulouse et qui a l’antifascisme chevillé au corps", a indiqué l’insoumis,

    menteur, JE SUIS DE TOULOUSE, rien à foutre de ces gen-foutres!

    osant comparer son acte puéril à "la résistance au régime de Vichy".

    Moins rigolarde fut l’attitude de Sébastien Delogu, qui toisait, avec son verbe de racaille, son jeune collègue Flavien Termet. La période pousse au cynisme, il est vrai. Souhaitons donc, comme pour l’état de finances publiques, que le pire de ce dont est capable ce parti se revendiquant du meilleur, s’expose pleinement aux yeux des Français, et vite. Ils n’en seront que plus rapidement vaccinés.

  • La république des coquins

    Il est insupportable de recevoir des leçons de morale du parti présidentiel. J’avais envisagé de vous donner le "top 10" des affidés et des larbins de Macron mis en examen ou condamnés. En fait c’est impossible tant ils sont nombreux. Souvenez-vous, il y a sept ans, l’avorton, candidat à la magistrature suprême, nous promettait de "gouverner autrement". Il disait vouloir introduire de la "moralisation" dans la vie publique; il nous annonçait même une "République  exemplaire". Vaste foutaise! Escroquerie intellectuelle et morale!

    Arnaque et mensonge éhontés!

    Depuis sept ans, la Macronie va de scandale en scandale. Rappelons-en quelques-uns:

    Au tout début du premier mandat de Macron, en 2017, trois membres du "MoDem", le parti (de traîtres) du crétin des Pyrénées, sont nommés à des postes importants: Bayrou à la Justice, Cruella de Sarnez aux Affaires européennes et la grosse mère Goulard aux Armées. En juillet 2017, le parquet de Paris ouvre une information judiciaire pour "abus de confiance, recel d’abus de confiance et escroqueries" pour des soupçons d’emplois fictifs d’assistants au Parlement européen. Les trois démissionnent dès le mois de juin. Sylvie Goulard a été mise en examen le 29 novembre 2019. Le 4 décembre 2019, Sarnez est mise en examen pour "détournement de fonds publics".

    Le 6 décembre 2019, c’est le tour de Bayrou. "Une douzaine de responsables du MoDem ont été mis en examen dans cette affaire", peut-on lire dans "Les Échos". Le 5 février 2024, "François Bayrou est relaxé" au bénéfice du doute ". Mais huit autres prévenus, dont cinq ex-eurodéputés, sont condamnés à des peines de dix à dix-huit mois de prison avec sursis, des amendes de 10 000 à 50 000 euros et à deux ans d’inéligibilité avec sursis.

    Le MoDem est condamné à 350 000 € d’amende, dont 300 000 € ferme" lit-on dans "Le Monde".

    En résumé, le MoDem a profité illégalement de fonds européens pour rémunérer des permanents. Les eurodéputés et les trésoriers du parti étaient au courant de la combine… mais pas forcément Bayrou; mon œil! On nous prend pour des billes.

    Le crétin des Pyrénées est pourtant un champion de la moraline à deux balles!

    – À l’été 2020, la plantureuse Lætitia Avia, députée, vice-présidente et porte-parole de LREM était visée par une enquête pour "harcèlement moral". Cinq de ses anciens assistants l’accusaient d’humiliations, de harcèlements et d’abus de pouvoir. Le 5 juillet 2023, elle a été condamnée à six mois de prison avec sursis et deux ans d’inéligibilité (pour "harcèlement moral");

    – En mai 2023, Anne-Christine Lang, ex-députée du parti présidentiel, a été condamnée à trois ans d’inéligibilité et 60 000 € d’amende pour "détournement de fonds publics". Elle a reconnu avoir utilisé une partie de son indemnité représentative de frais de mandat (IRFM) à des fins personnelles. Des "dépenses à hauteur de 44 650 €, sans lien avec son mandat de député";

    – L’ancien maire de Sarcelles et député MoDem, François Pupponi, a été condamné à 5 000 € d’amende et 29 000 € de dommages et intérêts, en janvier 2022, pour " abus de biens sociaux et faux et usage de faux". L’élu a fait appel de cette décision.

    – Ministre délégué, Alain Griset a été condamné, fin 2021 "six mois de prison avec sursis et trois ans d’inéligibilité avec sursis pour déclaration incomplète de son patrimoine". Un "oubli" de 171 000 €. En appel, il a été condamné à quatre mois de prison avec sursis;

    – "Harcèlement moral, non-paiement d’heures supplémentaires, manquement à l’obligation de sécurité" ont été reprochés à Sira Sylla, députée LREM de 2017 à 2022. Le 6 septembre 2022, elle était reconnue coupable par le Conseil des prud’hommes de Rouen. Elle a été condamnée à verser "près de 80 000 € à la victime dont 20 000 € d’heures supplémentaires impayées, 20 000 € pour les faits de harcèlement moral et près de 21 000 € de dommages et intérêts pour le licenciement";

     

    – Jacques Krabal, député de 2012 à 2022 – sous l’étiquette du PRG puis de LREM – a été condamné en novembre 2021 à la suite d’une plainte pour "travail dissimulé et harcèlement moral" de son ancien directeur de cabinet.

    En septembre 2021, Pierre Cabaré, député LREM est condamné pour "licenciement sans cause réelle et sérieuse" d’un collaborateur. Fin 2019, il a fait l’objet d’une enquête préliminaire de la PJ de Toulouse pour harcèlement sexuel et moral. Sa suppléante (et assistante parlementaire), a porté plainte pour agression sexuelle;

    – En février 2021, la députée LREM Sandrine Josso a été condamnée à un an d’inéligibilité pour n’avoir pas présenté ses comptes de campagne. D’après "Mediapart": "En 2018, Sandrine Josso a demandé à son assistante de lui prêter 10 000 € en contractant un crédit à la consommation. Elle ne l’a pas remboursée. La justice a ouvert une enquête pour "abus de confiance";

    – Le député Benoît Simian, élu LREM, a fait l’objet d’une enquête "pour harcèlement moral par conjoint… dans le cadre d’une "séparation houleuse" assortie de "plaintes croisées" pour violences", d’après "Sud Ouest". En juin 2022, Benoît Simian a été condamné à huit mois de prison avec sursis. Il doit également verser 5 000 € à son ex-compagne et a interdiction de s’approcher d’elle pendant un an. Toutefois, il échappe à une peine d’inéligibilité… Il fait aussi l’objet d’une enquête judiciaire pour harcèlement à l’encontre d’une collaboratrice;

    – Le 31 août 2017, M’Jid El Guerrab, alors député LREM, frappe violemment à coups de casque Boris Faure, du PS. Deux coups qui causeront un traumatisme crânien au socialiste. Pour sa défense, il accuse Faure d’"insultes racistes". Exclu du groupe LREM, il a été mis en examen pour violences volontaires avec arme. En mai 2022, il était condamné à trois ans de prison dont deux avec sursis et deux ans d’inéligibilité. Peine confirmée en appel en octobre 2023;

    – Jean-Paul Delevoye, celui que Macron avait nommé Haut-Commissaire aux retraites (et qui a mis deux ou trois ans pour accoucher d’une souris), a écopé de quatre mois de prison avec sursis et 15 000 € d’amende pour ne pas avoir déclaré plusieurs mandats – il en avait… treize – à la Haute autorité pour la transparence de la vie publique;

    La liste est longue (et non exhaustive) donc je vais essayer d’abréger:

    – Stéphanie Kerbarh: condamnée pour "licenciement sans cause" d’un collaborateur;

    – Alexandre Benalla: "Six ans après le scandale… la décision de la plus haute juridiction judiciaire confirme la condamnation en appel d’Alexandre Benalla à trois ans de prison dont un an ferme, prononcée le 29 septembre 2023 par la cour d’appel de Paris" nous dit "Le Monde";

    – Jérôme Peyrat, condamné pour violences envers son ex-compagne à 3000 € d’amende avec sursis. Fidèle à l’idée macronienne de faire des violences faites aux femmes la "grande cause du quinquenna ", il est nommé conseiller politique auprès de Stanislas Guérini, le patron du parti…

    – Stéphane Trompille, condamné pour "harcèlement sexuel" " envers une ex-collaboratrice;

    – Mustapha Laabid, condamné à six mois de prison avec sursis, trois ans d’inéligibilité et 10 000 € d’amende pour "abus de confiance". Il a utilisé l’argent d’une association à des fins personnelles. Le montant du préjudice est de 21 930,54 €.

    N’oublions pas ceux qui sont (ou ont été) simplement mis en examen:

    – Damien Abad, ex-ministre (éphémère!). Il a été mis en examen pour tentative de viol sur trois femmes, en mai 2024;

    – Amélie Oudéa-Castera: "La ministre a été mise en examen en décembre dans l’enquête de la Cour de justice de la République après la plainte en diffamation de l’ex-patron de la Fédération française de football Noël Le Graët…  nous apprend "Libération";

    – Rachida Dati, mise en examen pour  corruption passive, trafic d’influence passif et recel d’abus de pouvoir" dans l’affaire des découvertes sur la gestion du patron de Renault-Nissan.

    Macron, quand il jouait les chevaliers blancs, nous assurait qu’un ministre mis en examen se devait de démissionner. Mais sa "moralisation" de la vie politique a consisté à nommer, en janvier 2024, une ministre de la Culture déjà mise en examen. Chapeau l’artiste!

    – Muriel Pénicaud: Une information judiciaire a été ouverte à son sujet pour des soupçons de favoritisme en juillet 2017. En octobre 2023, l’ex-ministre a été mise en examen pour "complicité de favoritisme", selon les informations du journal "Le Monde";

    – Alexis Kohler: Outre son rôle dans l’affaire Benalla, ce proche de Macron est embourbé dans une affaire de conflit d’intérêts. Il a été directeur financier (d’août 2016 à mai 2017) de l’armateur MSC, fondé par des membres de sa propre famille. Or, depuis 2010, il a aussi représenté l’Agence des participations de l’État auprès des Chantiers de l’Atlantique/STX France, dont MSC est client. Il siégeait également au conseil de surveillance du Grand Port maritime du Havre. Avec cette double (triple!) casquette, Alexis Kohler a ainsi pu conclure en 2011 des contrats entre MSC et le port du Havre. En clair, il aura eu le beurre, l’argent du beurre et la fille de la crémière;

    – Thierry Solère, un traître rallié à la Macronie. Début février 2019, le tribunal de Nanterre a ouvert une information judiciaire contre lui pour des soupçons de "fraude fiscale, manquements aux obligations déclaratives à la Haute Autorité pour la transparence de la vie publique, détournement de fonds publics par dépositaire de l’autorité publique et recel, recel de violation du secret professionnel, trafic d’influence et recel… abus de biens sociaux et recel, abus de confiance et recel, financement illicite de dépenses électorales, détournement de la finalité de fichiers nominatifs, portant sur une période comprise entre 2005 et 2017". Fermez le ban!

    Non, pas tout à fait! En février 2022, il est mis en examen pour cinq nouvelles infractions. Il est notamment soupçonné d’avoir utilisé à des fins personnelles une partie de ses frais de mandat entre 2012 et 2019;

    – Richard Ferrand: encore un ministre éphémère. En juin 2017, le parquet de Brest ouvrait une enquête préliminaire sur son passé à la tête des "Mutuelles de Bretagne" de 1998 à 2012. Il aurait favorisé la société immobilière de sa compagne pour l’obtention d’un marché lors de la location d’un local commercial par les "Mutuelles de Bretagne".

    Il y a aussi, dans cette "République exemplaire" quelques affaires en cours sur lesquelles on ne peut pas s’attarder. Elles visent entre autres, Édouard Philippe pour "prise illégale d’intérêts, détournement de fonds publics, favoritisme et harcèlement morale" à la Mairie du Havre;

    Bruno Le Maire pour "faux en écriture publique";

    Agnès Firmin Le Bodo, sur les cadeaux de la multinationale "Urgo". Elle est soupçonnée d’avoir reçu "bouteilles de champagne, montres de luxe, etc. ".Des cadeaux qu’elle aurait omis de déclarer…;

    Marlène Schiappa pour "détournement de fonds publics par négligence, abus de confiance et prise illégale d’intérêts" dans l’affaire du "fonds Marianne". Ce fonds de 2,5 millions d’euros, créé en 2021 suite à l’assassinat de Samuel Paty, était destiné à des associations visant à "promouvoir les valeurs de la République et de lutter contre le séparatisme". Or, il semblerait que l’argent alloué ait surtout profité à des proches de la secrétaire d’État, à des fins de propagandes politiques.

    – Passons, très vite, sur Chrysoula Zacharopoulou qui fait l’objet de deux plaintes pour… viols;

    – Nathalie Elimas visée par une enquête sur des accusations de "harcèlement et de maltraitance au sein de son cabinet… Une demi-douzaine de personnes en seraient victimes";

    Laura Flessel qui a eu quelques démêlés avec le fisc; Roxana Maracineanu, épinglée dans la presse parce que, depuis 2012, elle occupait un logement social; Françoise Nyssen qui a fait réaliser des travaux "sans autorisation, ni déclaration au fisc" dans un immeuble classé, selon "le Canard Enchaîné"; etc.

    J’arrêterai là cet inventaire à la Prévert car moi – citoyen lambda – je fais la différence entre une "République exemplaire" et une association de malfaiteurs. Je n’ai pas beaucoup de sympathie pour la "Ripoux-blique" mais je la respecte quand elle est respectable.

    Ce n’est plus le cas et il serait temps de chasser l’avorton du pouvoir, à condition de ne pas le remplacer par pire que lui. Je ne souhaite à mon pays, ni Macron, ni le "Fronte Crapular".

    Cédric de Valfrancisque

  • EURO 2024 DE FOOTBALL

    L’Allemagne accueillera l’Euro 2024 de football du 14 juin au 14 juillet. Les matches se dérouleront sur dix sites à travers l'Allemagne (Berlin, Cologne, Dortmund, Düsseldorf, Francfort, Gelsenkirchen, Hambourg, Leipzig, Munich et Stuttgart. Vingt-quatre équipes seront en action et les détails des rencontres peuvent être trouvés sur le calendrier des matches.

    ANTICIPER L’EVENEMENT

    L’UEFA EURO 2024 commence à Munich le vendredi 14 juin et se termine à Berlin, le dimanche 14 juillet.

    Le calendrier des matches et les informations sur les stades où ils se dérouleront sont disponibles sur le site officiel de l’UEFA EURO 2024.

    Veillez à anticiper votre séjour et votre participation à l’évènement le plus tôt possible, afin d’éviter des difficultés pour vous loger ou pour circuler. Les soirs de matchs sont notamment susceptibles d’entraîner des perturbations de circulation.

     

    MISE EN GARDE D’USAGE

    En cas d’incident ou de danger lors des rassemblements, restez attentif aux consignes transmises par les autorités locales et par l’ambassade de France en Allemagne (site internet, X (ex-Twitter) et Facebook).

    ALCOOL ET STUPÉFIANTS

    La consommation d’alcool est strictement réglementée pendant les matches et à l’intérieur des stades. Il convient d’adopter une attitude respectueuse en toute situation. En cas de consommation excessive, l'entrée des stades peut être refusée.

    L’Allemagne a, le 1er avril 2024, légalisé sous conditions la détention de cannabis à usage récréatif. Il est néanmoins rappelé aux ressortissants français qui séjourneraient ou résideraient en Allemagne, ainsi qu’aux voyageurs à destination de la France, que le cannabis reste, en France, une drogue classée parmi les stupéfiants.

    Il est à noter que toute personne de passage, ne résidant pas en Allemagne, n’a aucun moyen légal de se procurer du cannabis.

    SANTÉ

        Frais d’hospitalisation et dépenses de santé

    La carte européenne d’assurance maladie (CEAM) facilite la prise en charge de soins médicaux en Europe. Elle atteste des droits de son titulaire à l’assurance maladie française. Lors de vacances ou d’un court séjour en Allemagne, il est conseillé de se la procurer.

            Pour plus d’informations, consulter service-public.fr, ameli.fr, le site du CLEISS et le site allemand de la Deutsche Verbindungsstelle Krankenversicherung - Ausland (DVKA) (fiche en français portant sur les prestations de l’assurance maladie pour les vacanciers).

        En cas de maladie chronique (diabète, hypertension ...), il est souhaitable de disposer de la totalité de son traitement pour le séjour, voire plus dans l'éventualité d'un retard ou d'une perte.

        Concernant les infections sexuellement transmissibles, il est recommandé de prendre toutes les précautions d’usage en la matière et d’éviter les comportements à risque. Emportez vos propres préservatifs. Si vous pensez avoir été exposé à une infection sexuellement transmissible (IST), consultez un médecin et faites-vous dépister dès que possible.

        Il peut faire chaud, alors n'oubliez pas de boire beaucoup de liquides non alcoolisés et de vous protéger du soleil avec des vêtements, des lunettes de soleil et un écran solaire à fort indice de protection.

        Si vous prévoyez de vous rendre dans des zones où les tiques peuvent être présentes, y compris les parcs urbains et les zones boisées, respectez les recommandations visant à réduire le risque de maladie transmise par les tiques.

    CONTACTS D’URGENCE

    En cas d’urgence consulaire, vous pouvez joindre l’ambassade de France en Allemagne :

        par courriel: consulat.berlin-amba@diplomatie.gouv.fr ;

        par téléphone: 0049 30 590 03 9000.

    Il est recommandé avant de partir de s’inscrire sur le Fil d’Ariane. Ce service permet, lors de voyages personnels, touristiques ou professionnels, de se signaler gratuitement et facilement auprès du ministère de l’Europe et des Affaires étrangères et, le cas échéant, de recevoir des consignes de sécurité.

    LIENS UTILES

    Des informations complémentaires sont disponibles sur les sites suivants :

        Le site officiel de l’UEFA EURO 2024 (en français)

        Le guide officiel de l’événement pour chaque ville (disponible en anglais et en allemand)

        FAQ (en français)

        Les sites officiels des villes de Berlin (en français), Cologne (en anglais et en allemand), Dortmund (en allemand), Düsseldorf (en anglais et en allemand), Francfort (en français), Gelsenkirchen (en allemand), Hambourg (en anglais et en allemand), Leipzig (en français), Munich (en anglais et en allemand) et Stuttgart (en allemand).

    Source : Source : France Diplomatie, Ministère de l'Europe et des affaires étrangères.

  • Pas damalgam

    "Pas de récupération politique! ", martèle-t-on en réponse à chaque crime sanglant qui implique, presque par hasard, une personne issue de l’immigration. L’omerta est de mise dans la sphère médiatico-politique. La consigne viendrait même du cabinet du ministère de l’Intérieur, selon le magazine Causeur. Les éléments de langage sont préparés depuis Beauvau avant d'être redistribués aux élus locaux,

    Les Français sont condamnés aux marches blanches, en guise de manifestation contre l'ensauvagement. A Châteauroux comme à Romans-sur-Isère, ils sont des milliers à accompagner les parents endeuillés, pour exprimer leur colère et réclamer qu’enfin, les gouvernants se penchent sur la question des agressions et de la répartition des migrants dans toute la France. Certains ont fait plusieurs dizaines de kilomètres, sans connaître la victime, avec finalement un seul but: manifester dignement leur colère.