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femme - Page 24

  • Une si grande dame.....

    Simone Veil, le VIDAL et l’industrie pharmaceutique

    Simone Veil a joué un rôle majeur et peu connu en matière d’information sur le médicament. Elle a notamment soutenu sans faiblir un de ses conseillers qui a repris en main l’information pharmacologique destinée aux professionnels de santé.

    L’histoire que je vais vous raconter n’est pas publique, je la tiens de la bouche d’un ancien conseiller de Simone Veil, qui me l’a racontée il y a une dizaine d’années. Je m’étais promis de la publier un jour et le décès de Simone Veil m’en donne l’occasion.

    Tout le monde ou presque connaît le dictionnaire VIDAL, ce gros livre rouge qui trône sur le bureau de tous les médecins. Il regroupe des notices d’information professionnelles sur les médicaments. Ces notices (appelées monographies) sont strictement conformes aux documents officiels de référence élaborés par les agences du médicament française et européenne et ne comportent donc aucun contenu publicitaire.

    Il n’en a pas toujours été ainsi. Depuis la naissance du VIDAL en 1914 jusqu’à la fin des années 70, ces monographies étaient élaborées en toute liberté par les laboratoires, qui pouvaient y vanter leurs produits sans aucune retenue. Voici par exemple que que l’on pouvait lire dans l’édition 1973:

    En 1976, Simone Veil est Ministre de Santé depuis 2 ans, le tumulte autour de sa loi sur l’avortement est à peine retombé. Un de ses conseillers, Jean-Pierre Bader, est professeur de gastro-entérologie et pharmacologue. Il participe à des commissions internationales sur le médicament. C’est lui qui va être à l’origine de la naissance du "nouveau VIDAL". Je retranscris ci-dessous l’histoire telle qu’il me l’a racontée:

    Alors que je participe à un dîner regroupant des pharmacologues, je suis assis à côté d’un collègue américain qui représente la Food and Drug Administration (FDA) et qui parle français. Quand il apprend que je représente la France, il s’exclame:

    "Waouh, vous, les français, vous avez un truc extraordinaire! c’est le dictionnaire VIDAL! À la FDA, quand une réunion se prolonge et que nous sommes tous un peu fatigués, je sors un VIDAL et je traduis une page ou deux à mes collaborateurs. On rigole un bon coup, ça nous détend, et on peut recommencer le travail. Vraiment, merci, votre dictionnaire des médicaments est trop marrant!".

    Je ris jaune. Dès le lendemain, je parcours la dernière édition du VIDAL (1976). Il avait malheureusement raison: le contenu du dictionnaire des médicaments utilisé par tous les médecins et pharmaciens français était absolument pathétique.

    Je m’en ouvre à Simone Veil et lui propose de monter une commission pour contrôler et réécrire l’information contenue dans le dictionnaire VIDAL. Elle me donne carte blanche.

    Je recrute un jeune pharmacologue, Jean-Michel Alexandre, qui crée avec quelques collègues une commission chargée de reprendre une à une toutes les monographies des médicaments, et d’imposer à l’industriel et à l’éditeur du VIDAL un texte enfin conforme aux données de la science [1] et purgé de ses allégations publicitaires.

    C’est un casus belli pour l’industrie pharmaceutique qui tente à plusieurs reprises de nous faire renoncer à notre projet, mais nous résistons et la Commission Alexandre avance à grands pas. Jacques Servier se déplace en personne au Ministère avec sa garde rapprochée pour m’expliquer que je signe la mort de l’industrie pharmaceutique française! Me sentant soutenu par la Ministre, je tiens bon. C’est alors que son chef de cabinet me convoque et me tient ce discours:

    “Monsieur Bader, une des missions fondamentales d’un chef de cabinet est de protéger sa Ministre. Il se trouve que votre histoire avec le VIDAL provoque des remous dans les plus hautes sphères de l’État. Vous êtes en train de mettre en danger Mme Veil, et je ne peux pas l’accepter. Il faut que vous arrêtiez.”

    Je lui réponds que je comprends très bien la situation, au vu des pressions que j’avais moi-même subies, mais que je n’arrêterais que si Mme Veil me le demande elle-même.

    Une réunion est organisée au Ministère. Nous sommes quatre: Simone Veil, son chef de cabinet, Jean-Michel Alexandre, et moi-même.

    Le chef de cabinet explique à la Ministre à quel point la situation est tendue, du fait des pressions de l’industrie du médicament sur l’appareil politique. Je prends ensuite la parole pour lui expliquer l’importance de notre rénovation du VIDAL pour la santé publique française. Je termine en déclarant que je me conformerai à ses directives.

    Suivent quelques secondes de silence qui me paraissent interminables. Elle lève les yeux pour réfléchir, puis me fixe du regard, et me dit d’une voix ferme "Monsieur Bader, vous continuez". Fin de la réunion!

    J’adore cette histoire, qui honore la mémoire de Simone Veil. Elle illustre une capacité peu répandue chez les hommes (ou femmes) politiques: celle de se mettre en difficulté pour faire avancer une cause juste. L’œuvre de Simone Veil dépasse largement celle de la dépénalisation de l’IVG et touche parfois des domaines peu connus.

    Quelques années plus tard, Jean-Pierre Bader soutiendra le financement d’un projet de revue pharmacologique indépendante: c’est grâce à une subvention ministérielle que la Revue Prescrire pourra se lancer à la même époque, avant de devenir autonome financièrement une dizaine d’années plus tard.

    Jean-Michel Alexandre sera président de la commission d’AMM, avant de devenir consultant pour l’industrie et d’être mis en examen dans l’affaire du médicament MEDIATOR pour ses liens financiers étroits avec les Laboratoires SERVIER.

    Les propriétaires du VIDAL, persuadé que cette "rénovation" ferait fuir les industriels (qui contribuent à la diffusion gratuite du VIDAL auprès des prescripteurs), le vendront à un entrepreneur visionnaire (Vincent Hollard) qui avait compris que bien au contraire, cette nouvelle crédibilité assurerait l’avenir de cette référence pharmaceutique. La société VIDAL appartient actuellement à la société japonaise M3.

    Liens d’intérêt

    Je suis consultant pour les éditions du VIDAL depuis 1992, date à laquelle j’ai été embauché pour rédiger la version grand public du dictionnaire des médicaments, avant d’évoluer vers un rôle d’expert web. Je n’ai pas soumis ce texte à la société VIDAL et j’en assume donc, seul l’entière responsabilité.

    Notes

     [1] Ces monographies révisées se distingueront pendant une dizaine d’années par la présence d’une étoile à côté du titre

    En savoir plus sur http://www.atoute.org/n/article357.html#v8ylUSZ31kxUMTiB.99

  • Au-delà de la polémique, l’enjeu démographique africain

    Ha la gauchiasse ne perd jamais une seconde pour dire n'importe quoi!

    La polémique stérile est devenue une figure imposée de la vie politico-médiatique française. Un mot, une phrase, ressentis comme sortant des sentiers battus de la pensée correcte, et la crise d’hystérie se déclenche. Le psychodrame de la semaine est venu du chef de l’Etat en personne. "Des pays ont encore sept à huit enfants par femme. Vous pouvez décider d’y dépenser des milliards d’euros, vous ne stabiliserez rien". Cette déclaration a provoqué un tollé dans une partie de la presse et des médias. Le mot de "racisme" a même été lâché. Ces paroles méritent-elles une pareille accusation? Le sujet de la démographie africaine doit-il relever du tabou absolu?

    En vérité, d’après la division des populations de l’ONU, le taux de fécondité moyen de l’Afrique subsaharienne est de 5,4 enfants par femme, contre 1,5 en Europe. Toutefois, il est de 7,6 enfants au Niger, 7,1 en Somalie, 6,8 au Mali et au Tchad. A cet égard, M. Macron n’a fait qu’énoncer une réalité.

    D’après les estimations de l’ONU, le nombre d’habitants du continent africain, de 808 millions en 2000 atteint aujourd’hui 1,2 milliard et sera de 4,2 milliards en 2100, soit un tiers de la population mondiale. L’Afrique sera alors 9 fois plus peuplée que l’Europe (500 millions d’habitants). Or, la démographie relève de tendances lourdes, difficiles à infléchir sur une ou deux générations: 41% des Africains ont aujourd’hui moins de 15 ans et rien ne laisse prévoir pour l’instant une baisse de la natalité future.

    La croissance économique permettra-t-elle à l’Afrique subsaharienne de nourrir cette population et de vivre dignement? Telle est la vraie question… Or, la course de vitesse entre les courbes de la croissance démographique et de la croissance économique est loin d’être gagnée. Depuis deux ans, la première, de 2,7% par an, excède même la seconde (1,5% en 2016 et 2,5% en 2017 selon la Banque mondiale) même si quelques pays réalisent plus de 7% de croissance économique (Ethiopie, Rwanda, Tanzanie). La pauvreté est globalement en recul en Afrique, mais les inégalités internationales se creusent. Ainsi, selon la banque mondiale, le revenu annuel moyen en France est de $42 250 et celui du Niger de $410: une différence de plus de 1 à 100! 250 millions d’Africains sont sous-alimentés (PNUD). Un tiers des enfants n’est pas scolarisé.

    Toute l’histoire de l’humanité démontre que le développement économique et l’accès à la prospérité s’accompagnent d’une transition démographique et d’une chute de la fécondité. Pourquoi l’Afrique subsaharienne ferait-elle exception à ce constat? Il n’est pas illégitime de souligner, comme l’a fait M. Macron, le lien entre démographie et développement.

    L’enjeu est colossal pour l’avenir de la planète. Si l’Afrique ne s’engage pas à la fois dans un processus de stabilisation de sa démographie et de progrès économiques, politiques et sociaux de grande ampleur dans les décennies à venir, ce continent risque de devenir une poudrière. L’émergence de gigantesques métropoles livrées à la misère se traduira alors par une explosion de conflits ethniques et religieux, une montée des fanatismes, de la violence et du terrorisme. L’émigration fournira sans doute une solution à une partie de la population mais elle se heurtera inévitablement aux limites des capacités d’accueil et aux enjeux de cohésion sociale des pays de destination. Si l’Afrique devait sombrer dans le chaos, à l’horizon du siècle à venir, l’Europe y plongerait avec elle. L’avenir de l’Europe et celui de l’Afrique sont indissociables.

    Il est entendu que le futur de l’Afrique dépend des Africains eux-mêmes. Cependant, dans un monde global, certaines questions fondamentales relatives à l’Afrique s’imposent aussi à l’échelle planétaire: le volume et la réforme de l’aide au développement ; les règles du commerce international; l’action internationale pour faciliter la modernisation économique, politique et sociale, la stabilisation et la transition démographique du continent africain. L’émancipation de la femme par l’instruction et le contrôle des naissances, notamment, est un sujet de caractère universel qui devrait transcender toute forme de tradition.

    L’avenir du continent africain représente sans doute l’un des grands enjeux planétaires du siècle. Le destin de l’Afrique au cœur de l’avenir de l’humanité, mérite mieux qu’un procès en inquisition et une misérable polémique franco-française.

    Maxime TANDONNET

    https://maximetandonnet.wordpress.com/

  • L'intégration des uns passe par la désintégration des autres.

    Bac : une correctrice dénonce la médiocrité des copies et l’obligation d’augmenter les notes

    Dans un post publié sur Facebook, une correctrice du bac de français se désole du niveau des copies et de l’obligation qui lui est faite d’augmenter les notes. Son message a été partagé des milliers de fois.

    Un post, intitulé "Désolation d’une correctrice du bac en détresse..", a été largement partagé sur Facebook. L’auteur s’appelle Audrey, elle est professeur de français. Dans ce texte, l’enseignante, qui a 55 copies du bac 2017 à corriger, se désole du niveau des copies et surtout que les notes soient augmentées de manière artificielle. Elle décide alors de refuser de "cautionner" les consignes qui lui ont été données d’atteindre la moyenne sur l’ensemble des copies qu’elle corrige. "Vous distribuerez vous-mêmes, en haut lieu, les notes qui arrangent votre politique" écrit l’enseignante. Découvrez l’intégralité de son message.

     "Je corrige des copies de l’écrit du bac de français pour des séries technologiques. C’est affligeant de médiocrité. Dans 90 % des cas les méthodes ne sont pas appliquées, les réponses ne sont pas trouvées, les textes ne sont pas compris, les outils d’analyse ne sont pas connus, pas utilisés, l’expression est déplorable avec beaucoup de phrases sans verbe, l’orthographe est un lointain souvenir d’une autre époque, les majuscules… un soldat inconnu.

    Sincèrement je jette les points, histoire d’en mettre. Parce qu’il faut le savoir, la commission d’entente EXIGE que mon paquet de 55 copies dont certaines font 15 lignes ait 10 de moyenne.

    Si je n’atteins pas ce quota, mes notes seront augmentées. Alors à quoi bon? À quoi bon passer plus de temps sur une copie que l’élève lui-même ? À quoi bon toute l’année transmettre conseils, leçons, connaissances? À quoi bon exiger rigueur et culture ? Et surtout comment faire comprendre que ce lynchage du niveau du bac affaiblit nos jeunes pour l’avenir? Pour les exigences de concours et de métiers où, oui, c’est dingue non, il faut savoir écrire, raisonner et analyser. Pauvre France… Pauvre éducation… " […]

    etudiant.lefigaro

    COMMENTAIRE D'UN PROF

    Je me souviens d'une réunion d'harmonisation BTS qui a eu lieu en 2015. Les moyennes de nos douze commissions évoluaient autour de 8/20. Il nous a été demandé de remonter ces moyennes jusqu'à un seuil minimal de 12/20. Bronca. Pressions. Intimidations. Menaces. Certaines commissions ont rajouté 4 points à tout le monde. D'autres ont transformé des 12/20 en 20/20 pour ne pas avoir à remonter les notes les plus faibles. Ceux qui ont refusé n'ont pas été autorisés à quitter la salle et ont du justifier individuellement chacune de leurs notes devant leur Inspecteur. Trois jurys ont maintenu leurs notes : ils ont tous fait l'objet d'une inspection-sanction dans l'année qui a suivi. L'un d'entre eux a perdu son service en BTS. Depuis cette année, la commission d'entente a donné la consigne d'éviter de délivrer les notes de 7/20, 8/20 et 9/20. Les candidats qui méritent ces notes devront être sanctionné par un 6/20 ...ou bien recevoir automatiquement un 10/20.

    Une mère

    Ca fait vingt ans que c'est comme ça.

    Il y a ce qui s'appelle pudiquement des "commissions d'harmonisation" où les correcteurs regroupent leurs copies et, recoupant la moyenne de leurs corrections, tirent les notes vers le haut de la moyenne du correcteur la plus haute. Ca, c'est le principe en vigueur depuis un bail. Maintenant il y a d'autres pratiques: la consultation du dossier de l'élève. Je connais le cas vécu d'un gars qui s'est planté le jour du bac et n'a pas fait un exercice noté sur six. Sa note maximale ne pouvait donc pas en toute logique dépasser 14. Or il a eu 16. "On" m'a explique que cela était possible: la commission regarde les dossiers des élèves et "sur-note" en fonction de la moyenne de l'élève pendant l'année. Dans notre cas le gars avait 17 de moyenne sur l'année et ils lui ont mis 16.

    Une autre maman

    Ce qui m'inquiète le plus ce n'est pas le français ou les maths. Non, je pense que j'arriverai à combler le retard. C'est plutôt l'Histoire Géographie qui me préoccupe. Car j'ai pu voir que c'est à travers cette matière que se distille toute la perfidie du système éducatif. Toute cette année (et l'année dernière) j'ai lutté contre la propagande de l'éducation nationale.

    Quelques exemples: les "Celtes étaient des migrants" comme ceux d'aujourd'hui, dans la période des guerres de religion les catholiques étaient forcément les méchants et ils ont tué les "centaines de milliers" de gentils protestants, les Rois de France étaient tous des "criminels", la Révolution Française s'est faite en douceur et le plus naturellement du monde, rien sur Louis XVII, Napoléon est quasi inexistant, Napoléon III est inconnu, Pétain n'est pas cité en tant qu'acteur de la 1ere guerre mondiale et la France (à l'issue de la 2nde guerre mondiale) fut libérée le jour du débarquement en Normandie... C'est donc bien en histoire géo que je rame le plus.

    Par contre les chansons de John Lennon et Bob Dylan ils les connaissent par cœur!

    ET POUR FINIR ET AFIN D'ENFONCER LE CLOU

    mais, c'est effrayant!!!!!

     

     

  • Vaccins: voici la vérité (remplacez Italie par France)

    Demain, onze vaccins obligatoires: Agnès Buzyn aura-t-elle le courage de sa collègue italienne?

    Beatrice Lorenzin, 45 ans est la ministre italienne de la Santé depuis avril 2013. Elle est actuellement confrontée à des difficultés vaccinales qui ne sont pas sans rappeler celles abordées par Agnès Buzyn, nouvelle ministre française de la Santé, dans l’étrange entretien-coup de sonde qu’elle vient d’accorder au Parisien 1. Pour sa part Mme Lorenzin a le courage de parler sans fard, commente ses décisions et s’en  explique au Quotidien du Médecin (Ariel F. Dumont). Extraits :

    "En Italie, certaines pathologies qui avaient quasiment disparu comme la rubéole, la coqueluche, la poliomyélite sévissent à nouveau. Nous avons en face de nous, une société diverse d’un point de vue social avec des familles jouissant d’un bon statut social qui refusent de faire vacciner leurs enfants. C’est inacceptable, un adulte ne peut pas mettre en danger la vie de ses propres enfants et celles des autres au nom de croyances dénuées de fondements scientifiques. Les vaccins permettent de sauver de nombreuses vies et on ne peut pas accepter que la couverture vaccinale au niveau national chute en dessous du seuil de protection. Ce qui malheureusement est le cas et pas seulement en Italie.

    " Il y a comme une sorte de sous-culture en Italie qui pousse une partie de la population à refuser la vaccination pour des raisons absurdes. Je pense aux personnes qui dénient les affirmations et les résultats scientifiques et déclarent que tel ou tel vaccin provoque l’autisme par exemple. Mais je pense aussi aux enfants atteints d’un déficit immunitaire qui ne peuvent pas être vaccinés et qui sont condamnés à une sorte d’isolement social. Je pense aussi aux hommes devenus stériles à cause des oreillons, aux femmes enceintes qui attrapent la rubéole et perdent leur bébé. Ce sont des situations inacceptables aujourd’hui. Les oreillons par exemple avaient disparu en Italie depuis trente ans. Cette maladie est de retour à cause de la chute de la couverture vaccinale. Il faut agir et vite, combattre la désinformation, sévir contre les détracteurs des vaccins. "

    LES ÉGOÏSTES SONT PARTOUT!!!!

    Faux certificats médicaux

    Ce ne sont pas là que des mots. Nous rapportions il y a peu que le gouvernement italien avait adopté vendredi 19 mai un décret-loi rendant obligatoires douze vaccinations. Ces immunisations seront dorénavant nécessaires pour l’inscription des enfants en crèches ou à l’école maternelle. A partir de 6 ans, âge de la scolarisation obligatoire, les parents des enfants non vaccinés devront payer de fortes amendes (entre 500 et 7 500 euros). Les parents réfractaires seront également signalés au tribunal des mineurs et pourront être temporairement déchus de leur autorité parentale

    "Ce décret rend obligatoires certains vaccins qui étaient jusqu’à présent seulement conseillés [comme ceux contre la rougeole ou la méningite] " a déclaré le chef du gouvernement, Paolo Gentiloni, à l’issue du conseil des ministres.  Cette décision politique a été prise après l’émergence d’une vague rougeoleuse dans le pays.

    "C’est un message très fort à la population " s’était alors réjoui Beatrice Lorenzin, qui faisait pression depuis des semaines pour cette mesure. Celle-ci était contestée (en partie) par sa collègue de l’Education et (avec vigueur) par le " Mouvement 5 étoiles " qui estime que cela constitue " un cadeau à l’industrie pharmaceutique".

    Pour débusquer les parents qui feraient de la " voltige anti-vaccins " et les médecins complaisants (salopards et escrocs en plus!!!) prêts à signer de faux certificats, le ministère de Mme Lorenzin annonce des contrôles perlés et ponctuels dans les établissements italiens. La ministre française de la Santé sera-t-elle sur la même ligne, aura-t-elle la même courageuse détermination que sa collègue italienne ?

    1 " Rendre obligatoire onze vaccins ? Le piège s’est déjà refermé sur la ministre Agnès Buzyn " Journalisme et santé publique du 16 juin

    https://jeanyvesnau.com

  • Saviez-vous?

    Drapeau européen et Vierge Marie

    Quand, en 1950, le Conseil de l'Europe se met en tête d'avoir un symbole pour le représenter, il met la barre haute : il faudra traduire "les valeurs spirituelles et morales qui sont le patrimoine commun des peuples qui le composent". Après avoir refusé plusieurs projets, la commission chargée de cette mission retient celui d'un fonctionnaire du Conseil, discret et artiste.

    Arsène Heitz conçoit un drapeau bleu sur lequel se détachent douze étoiles, pointes hautes, formant un cercle. Les membres du Conseil de l'Europe apprécient ce ciel sans nuage et se reconnaissent dans la symbolique des douze étoiles, rappelant la perfection, la plénitude et l'unité.

    “Un signe grandiose est apparu dans le ciel, une femme revêtue du soleil, la lune sous ses pieds, et sur la tête une couronne de douze étoiles“.

    Ce qu'Arsène Heitz ne précise que bien plus tard, en 1989, c'est que la petite médaille miraculeuse qui orne son cou est sa première source d'inspiration.

    L'objet – bien connu des fidèles de la chapelle Notre-Dame de la Médaille miraculeuse, lieu d'apparitions mariales situé rue du bac, à Paris – montre la Sainte Vierge couronnée d'un cercle d'étoiles qu'évoque l'Apocalypse de saint Jean. Arsène Heitz a aussi déclaré avoir été touché par un texte de la liturgie de la solennité de l'Assomption, célébrée le 15 août: "Un signe grandiose est apparu dans le ciel, une femme revêtue du soleil, la lune sous ses pieds, et sur la tête une couronne de douze étoiles“.

    Quant au Conseil de l'Europe, il signe le texte portant adoption du drapeau le… 8 décembre 1955, jour de la fête de l'Immaculée Conception.

     

    Hé, hé...

     

  • VIVE TOULOUSE!!!!! Je viens de recevoir ce mail; quel plaisir de vous le transmettre!!!

    GRANDE PREMIERE EN FRANCE SI C’EST BIEN VRAI

    ON Y ARRIVE....


    Enfin une bonne nouvelle qui ne peut donner cours à aucune polémique.

    Mais ça n'a pas fait les gros titres.

    ENFIN une bonne nouvelle.

    Finalement, de temps en temps, il y a quand même de bonnes nouvelles, non ?

    Rappelez-vous cette magnifique oeuvre littéraire, cet ouvrage qui s'intitulait "Nique la France" !

    Et dont l'auteure était cette admirable Houria BOUTELDJA,


    Eh bien cette poétesse de caniveau vient d'être mise en examen...

    Si, si... c'est une "Première"; pour "racisme anti-français" !!!




    Le juge d'instruction de Toulouse a fait signifier sa mise en examen à Madame Bouteldja par son collègue compétent territorialement, c'est-à-dire celui de son lieu de domicile.

    Elle sera très probablement jugée par le tribunal correctionnel de Toulouse.

    Par ailleurs, la procédure contre le livre «Nique la France»

    édité par l'association de Madame Bouteldja dans la même veine de haine anti française est en cours.




    Source : AFP

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    C'est la première fois à notre connaissance qu'une plainte pour racisme anti français est portée devant la Justice et déclarée recevable
    par un magistrat, dont nous saluons ici la décision, car elle a valeur de message.

    Soyons attentifs aux jugements et arrêts qui seront prononcés par les tribunaux dans cette affaire : ils feront jurisprudence.




    Les responsables de l'Institut du Monde Arabe, à Paris, qui emploient Houria Bouteldja,
    apprécieront sans doute médiocrement ce procès impliquant l'une de leurs employées,
    qui les place dans une situation assez inconfortable.