Ok

En poursuivant votre navigation sur ce site, vous acceptez l'utilisation de cookies. Ces derniers assurent le bon fonctionnement de nos services. En savoir plus.

femme - Page 27

  • L’antifascisme, le vrai.

    […]

    Histoire de remettre les idées en place, le 18 juin, j’ai relu cette page des Mémoire de guerre ou de Gaulle décrit son arrivée à Londres: "je m’apparaissais à moi-même, seul et démuni de tout, comme un homme au bord d’un océan qu’il prétendrait franchir à la nage“.

    Pour faire bonne mesure, je me suis repassé plusieurs documentaires, surtout ceux d’Antoine Casubolo intitulés "les derniers compagnons". Ensemble de témoignages de ces Français libres distingués par le titre de "Compagnons de la Libération" qui leur fut décerné par de Gaulle. Au-delà de l’émotion et de l’admiration que l’on éprouve à entendre tous ces héros s’expliquer avec tant de simplicité, on ne peut s’empêcher de se poser, lancinante, la question: comment quelques garçons de 20 ans, de toutes origines sociales, géographiques et politiques, ont pu faire le choix, alors que tout était perdu, la nation effondrée, les élites légitimes appelant à la soumission, de partir sans armes, sans bagages, sans même savoir où aller, simplement pour continuer le combat? Je dis quelques, car ils furent peu nombreux. Comme l’a dit Elizabeth de Miribel qui fut la secrétaire de Charles de Gaulle, Londres n’était pas une ville où on arrivait, c’était une ville dont on partait… André Maurois, Raymond Aron, Jean Monnet, Alexis Léger, tous les notables fuyaient pour le confort et la sécurité des États-Unis. Alors, chacun de ceux qui étaient à l’époque, de très jeunes hommes donne son explication. Tous, quelle que soit leur origine ou leur parcours, parlent à leur façon, de la France, du caractère inacceptable de la défaite. Et de la nature de l’ennemi. Et ils racontent le combat, la victoire, le difficile retour à la vie civile.

    Maurice Halna du Fretay a été tué aux commandes de son avion lors du raid canadien sur Dieppe en août 42. Il avait rejoint l’Angleterre en novembre 40 après avoir, remonté pièce à pièce un vieil avion qu’il avait réussi à faire à atterrir en terre anglaise. Interrogé, après cet exploit, sur ses motivations il avait répondu simplement: " Je suis pauvre comme Job, je suis libre comme l’air. Je ne suis plus vaincu".Dans la sociologie particulière de ce groupe étrange, les aristocrates étaient les plus nombreux. En général les cadets de famille. Ils eurent le taux de pertes le plus élevé. Normal.

    Il y avait, beaucoup de bretons, de ces marins têtus qui payèrent un si lourd tribut à la bataille de l’Atlantique. Des intellectuels, des enseignants, des étudiants. Peu de paysans et d’ouvriers, catégories assommées par la défaite et la destruction du Parti Communiste. Ils se rattraperont.

    Il y avait des juifs, aussi comme André Zirnheld jeune professeur de philosophie alsacien, premier officier parachutiste français tué à l’ennemi en juillet 1942 et auteur de la fameuse prière du para. Lazare Pytkowicz, "Petit Louis" qui commença la résistance en novembre 40 à l’âge de 12 ans! Il s’enfuit du Vel’ d’Hiv’ en juillet 42. Devint agent de liaison. Arrêté trois fois par la Gestapo. Évadé trois fois. Il aura affaire à Klaus Barbie. Torturé, on lui demande s’il aurait parlé. Il répond non en souriant, jamais! Puis se reprend et dit, confondant de modestie: "Mais, attention, je n’ai pas subi le supplice de la baignoire. Seulement les coups". Il attendra en vain au Lutétia, ses parents et ses sœurs restés à l’intérieur du Vél d’Hiv. Sa Croix de la Libération lui sera remise dans le bureau du proviseur où il a été convoqué pendant la classe qu’il a reprise à la Libération.… Il a 16 ans.

    Le communiste Jean Devé chef de district à la gare de Villedieu les Poêles rejoint Londres en juin 40. Il organise la sortie de Bir Hakeim en juin 42, s’élance  le premier sur son Bren Carriers, pour ouvrir la voie aux ambulances chargées des blessés transportables, "hurlant à la bataille", arrêté par un obus antichar en pleine poitrine.

    "Une mère, ça ne doute de rien". Madame Moore habite à Louvigné-du-Désert, à quelques kilomètres de Villedieu les Poêles. Ses deux fils, Fred et Gaston, sont partis en Angleterre, en bateau à voile le 19 juin 1940. Depuis, aucune nouvelle. Au soir du 3 août 1944, la grand-rue de Louvigné résonne du passage incessant des troupes alliées qui viennent de s’engouffrer dans le sillage de la percée de Patton." Mme Moore, Mme Moore, il y a des français, c’est l’armée Leclerc! " C’est pourtant vrai! Madame Moore avise un gaillard dans son half track:

    "-Dites moi, vous n’auriez pas connu les frères Moore?

    -Fred et Gaston? Ils sont justes derrière. Mon lieutenant, on vous demande! "

    "Ce furent les retrouvailles" nous dit sobrement Fred d’une voix qu’il essaie d’affermir.

    Des ecclésiastiques aussi, comme le truculent abbé de Naurois, antinazi farouche, Compagnon de la Libération et Juste parmi les nations, qui débarqua le 6 juin 1944 avec le commando Kieffer armé de son seul missel. Daniel Cordier, bien sûr, personnage extraordinaire. Dont la voix se brise lorsqu’il raconte son arrivée à l’Olympia Hall, lieu de rassemblement de la poignée de français " qui ne s’étaient pas couchés devant l’ennemi " au début du mois de juillet 1940. Arrivée de nuit, toutes les fenêtres éteintes. Qui s’allument les unes après les autres et des voix qui se répondent parlant du pays d’où elles viennent: Brest! Concarneau! Bayonne! Rouen! Paris! Et la marseillaise qui éclate. "La plus belle que j’ai jamais entendue". On veut bien vous croire, Monsieur.

    Des militaires, finalement pas mal. Égaux à eux-mêmes. Leclerc, Koenig,  Amilakvari, le prince géorgien, tant d’autres. J’ai une prédilection particulière pour Edgar de Larminat. Que de gaulle gratifiait d’une amitié " circonspecte".  Dont je recommande la lecture des " chroniques irrévérencieuses " particulièrement savoureuses. Sa définition de Leclerc en 1943: "“ c’est le gaillard qui vient vous regarder sous le nez d’un air méchant, vous écrase le pied en vous bousculant et vous chipe votre mouchoir. Au moment où vous allez-vous rebiffer, vous vous apercevez qu’avec ce mouchoir il a fait un service de table complet alors vous ne dites rien et donnez votre chemise“. “

    Tous antifascistes. Tous. Mention particulière pour ce juif tunisien qui n’avait jamais mis les pieds en France et a débarqué, un des 177 du commando Kieffer le 6 juin 44. Qui décrit cette journée, avec son accent pied-noir à couper au couteau et une mine rigolarde. Les Anglais qui s’effacent quand la barge, touche le sable,  en leur disant: " Messieurs les Français rentrez chez vous les premiers". La prise du Casino d’Ouistreham. Les camarades tombés.  Sa voix qui change et se brise dans un sanglot  lorsqu’il raconte l’honneur retrouvé. Comment, au soir du combat, le colonel anglais,  commandant le régiment, blessé à la tête, se redresse pour les saluer et les pointant du doigt, leur dit: " vous, les Français, vous avez fait du bon travail. "

    On terminera avec ceux pour qui le "no pasaran" veut vraiment dire quelque chose. Ces Espagnols de la retirada qui ont rejoint la France libre et formé une compagnie célèbre: "la Nueve " celle qui rentrera la première dans Paris en août 44 commandé par le capitaine Dronne à qui Leclerc avait dit:" Je vous donne le commandement des Espagnols. Ils font peur à tout le monde. Ils ne sont pas vraiment faciles. Vous devriez vous en sortir…. " Antifascistes ceux là aussi, des vrais, des rudes. Qui à leur grand désespoir, après neuf ans de combat, ne pourront pas rentrer dans leur patrie.

    Ce vieil homme retiré dans sa maison de retraite en Bretagne, qui a combattu au Tchad, en Libye, libéré Paris avec la Nueve, qui n’a jamais voulu retourner en Espagne et reçoit dans sa chambre aux murs de laquelle est accroché le drapeau de la République espagnole au côté  de la photo de son chef, Philippe Leclerc de Hautecloque,  est-il le Miralles, dont parle Javier Cercas dans son magnifique roman, "Les soldats de Salamine"?

    "Il pense à un homme fini qui eu du courage et l’instinct de la vertu et pour cela ne se trompa jamais ou ne s’est pas trompé au moment où il fut vraiment important de ne pas se tromper….à un soldat seul dans un interminable désert ardent, brandissant le drapeau d’un pays qui n’est pas le sien, d’un pays qui est tous les pays à la fois et qui n’existe que parce que ce soldat brandit son drapeau renié". Antifascisme…

    Il y a probablement plusieurs façons d’être antifasciste. Mais c’est une chose sérieuse. Ceux que l’on vient de saluer l’ont été dans des circonstances particulières, celles où l’on payait le prix dans sa chair. C’est la raison pour laquelle il faut traiter tout cela avec précaution et ne pas galvauder. Le ventre serait encore fécond…?  Certainement, certainement, mais il ne faut pas manier les symboles et la mémoire n’importe comment. Et puis écouter, et réfléchir à ce que nous disent ces gens-là.

    Que pour être antifasciste il faut d’abord être patriote.

    Source: Vu du droit, Régis de Castelnau, 09-07-2013

    http://www.les-crises.fr/2013-lantifascisme-le-vrai-par-regis-de-castelnau

     

     

  • Macron: celui qui lèche le cul des musulmans radicaux! Ne votez pas Macron, par pitié!

    Les liaisons dangereuses de Macron avec l’islamisme

    Vendredi 21 avril à l’antenne de RTL, Emmanuel Macron a répondu "je ne vais pas inventer un programme de lutte contre le terrorisme dans la nuit" à Elisabeth Martichoux qui lui faisait remarquer qu’elle n’avait rien vu dans son programme sur les fichiers S et plus généralement sur la lutte contre le terrorisme islamique.

    En matière de "foutage de gueule" Macron bat tous les records. Ce serait risible si ça n’était pas à pleurer si il n’avait pas été et à l’Elysée et Ministre pendant la mise en place de l’Etat d’urgence.

    Le problème de Macron en matière d’islamisme et donc de terrorisme est lié directement à sa campagne.

    1ère séquence: La colonisation crime contre l’humanité

    Les déclarations d’Emmanuel Macron sur la colonisation "crime contre l’humanité" et la Manif pour tous " humiliée " avaient été qualifiées de premiers faux pas par la presse. Il ne s’agissait pas de faux pas mais bel et bien de gages aux musulmans les plus radicaux.

    2ème séquence: Sur Beur FM il justifie le radicalisme de Mohammed Saou

    “Il a fait un ou deux trucs un peu plus radicaux, c’est ça qui est compliqué. Mais à côté de ça, c’est un type qui est très bien Mohamed en plus”. Alors que Mohamed Saou se refuse à condamner l’attentat contre Charlie Hebdo mais affiche publiquement son soutien à l’imam Tarik Chadlioui (Ibn Ali), qui a radicalisé un kamikaze du Bataclan. Et ça c’est la partie immergé de l’iceberg.

    3ème séquence: La présence de barbus et de femmes ostensiblement voilés faisant campagne pour Macron

    Depuis déjà 4 mois, la présence de femmes ostensiblement voilés et de barbus (qui ne sont pas des hipsters à fixies) qui distribuent des tracts et font campagne pour Macron (Pour ne prendre que quelques exemples avérés à Montrouge (92), Malakoff (92), Villeurbanne (69), Firminy (42), Mulhouse (68), Marseille (13), Valence (26), Nice (06) etc...). Des militants d’En Marche s’en sont ouverts auprès des instance de la campagne d’Emmanuel Macron et se sont vus dans le meilleurs des cas se faire traiter de mythomanes, dans le pire menacés. Nombres d’entre eux, écœurés, ont purement et simplement quittés la campagne.

    4ème séquence: Pas de politique de lutte contre le terrorisme et les fichiers S

    Dixit Macron lui-même "je ne vais pas inventer un programme de lutte contre le terrorisme dans la nuit". Mais déjà le 23 novembre 2015, le Ministre Macron déclarait "que la société française porte " une part de responsabilité " dans la radicalisation des terroristes à l’origine des massacres du 13 novembre". "Je ne crois pas pour ma part qu’il faille inventer de nouveaux textes, de nouvelles lois, de nouvelles normes, pour aller chasser le voile à l’université, pour aller traquer ceux qui lors des sorties scolaires peuvent avoir des signes religieux" déclarait-il encore.

    5ème séquence: A fond dans la discrimination positive ; Plus loin que le droit de vote: la nationalité française au rabais

    Mardi 7 mars 2017, dans un entretien à l’AFP, Emmanuel Macron enfonce le clou en voulant systématiser une politique de discrimination positive. Politique qui a largement fait la preuve au mieux de son inefficacité, au pire de son danger puisque tous les pays en pointe sur le sujet en sont revenus.

    Toujours au cours de ce même entretien à l’AFP, Emmanuel Macron, l’air de rien, va plus loin que l’obtention du droit de vote aux étrangers, puisqu’il propose une massification de l’octroi de la nationalité française plutôt que le droit de vote. Autrement dit, il propose ni plus ni moins qu’une dilution programmée de la France.

    On pourrait enchaîner les séquences sur les liaison dangereuses et coupables de Macron avec l’islamisme. On retrouve bien là #EmmanuelHollande qui à chaque nouvel attentat fait mine de découvrir le problème en prenant bien soin de ménager l’islam dans sa version la plus radicale

    En savoir plus sur http://www.lagauchemorale.com/actualites/article/les-liaisons-dangereuses-de-macron-avec-l-islamisme#60ErrqOMDlo4oOSe.99

     

    pitié, ne votez pas Macron!

     

     

  • Le fils est plus vieux que le mari de sa mère? qui???? Macron, bien sûr!

    Chez nous, on appelle cela: La Famille Tuyau de Poêle!
     
    Allez une petite dernière pour la route... Vous voulez ? 

    Si je vous dis Sébastien Auzière... ça vous parle ? Non, c'est normal.
     
    C'est juste le fils aîné de Brigitte Trogneux devenue Macron. A 42 ans, soit 3 ans de plus que l'actuel mari de sa maman, il est devenu Senior Vice Président de la société Kantar... Kantar Health à capitaux en partie qataris ... qui a acheté il y a quelques années l'institut de sondages Sofres devenu depuis Kantar-TNS-Sofres, filiale de WPP, leader mondial des études d'opinions (basé depuis 2009 à Jersey).
     
    De là à sous-entendre que certains instituts de sondages rouleraient plus spécialement pour Macron, il n'y a qu'un pas que naturellement je ne franchirai pas.
     

  • Macron la girouette!

    Dans ce message manuscrit, publié sur le site du Figaro et probablement écrit en févier 2016, l'ex-ministre de l'Economie assure être contre le vote de la réforme proposée par François Hollande et destinée à inscrire la déchéance de la nationalité dans la Constitution. Il propose à François Fillon, alors député Les Républicains de Paris lui aussi opposé au projet, de le rencontrer.

    Alors que François Fillon lui aurait écrit: "une nouvelle fois vous venez sur mes positions. Jusqu'où irez-vous?", Emmanuel Macron lui avait répondu: "En fait, j'y suis déjà sans doute. Je poursuivrai sur ce chemin car c'est le seul que je connais. Voyons-nous. Bien à vous".

    Fillon voulait dénoncer les "volte-face" de Macron

    Dimanche, peu avant son meeting de la Porte de Versailles, François Fillon, depuis son QG, a évoqué ce message, présenté comme un SMS. Une démarche qui visait pour lui à démontrer la convergence de positions d'Emmanuel Macron et des siennes, et donc à dénoncer les volte-face de l'ancien ministre de l'Economie.

     

  • Le drapeau tricolore et l’hymne national interdits par le CSA dans les clips de campagne

    Le Conseil supérieur de l’audiovisuel (CSA) a interdit cette année l’utilisation des drapeaux, français et étrangers, dans les spots officiels des candidats à l’Elysée ainsi que l’hymne national par crainte de "nationalisme délirant".

    A compter du lundi 10 avril, la présidentielle entrera dans la période dite de " campagne officielle " où un certain nombre de règles et traditions entrent en vigueur. Egalité stricte des temps de parole, affichage des panneaux électoraux, envoi des professions de foi et diffusion sur les antennes du service public des clips de campagne des candidats. Un exercice particulièrement surveillé par les autorités de régulation. […]

    Règlement pointilleux. Sauf qu’avec le début de la campagne officielle, la liberté de création va drastiquement se réduire. Le CSA a en effet donné aux différentes parties un document de onze pages fixant le cadre de production, programmation et diffusion de ces clips de campagne. Au total, 49 articles expliquent par le menu le bon fonctionnement de la période à venir. Le gendarme de l’audiovisuel s’y montre particulièrement pointilleux, au point même de réglementer le nombre de personnes pouvant accompagner le candidat en studio d’enregistrement ou en salle de montage.

    Mais ce qui a surpris l’ensemble des équipes de campagne se situe dans l’article 9 : interdiction de " faire apparaître tout emblème national ou européen". Pas de drapeau donc dans ces vidéos. Ni français, ni étranger et pas plus d’hymne national. Une disposition jugée "incroyable " par Gautier Guignard, qui s’occupe des vidéos de François Fillon, obligé de "jeter un certain nombre d’images que nous avions sélectionnées".

    Si la consigne existait en fait lors des scrutins précédents, le régulateur avait choisi de jouer la carte de la mansuétude. Une période visiblement révolue. La cause de ce changement de pied est la crainte que certaines campagnes ne "misent sur un nationalisme délirant"  confie un bon connaisseur du dossier.

    En proscrivant l’utilisation de tous les drapeaux, le CSA veut également se prémunir de la possibilité que certains puissent être "maltraités ou utilisés de manière négative".

    A ceux que cela défrisent, en voici un petit coup de MON DRAPEAU FRANÇAIS!

    adrapeau.jpg

     

     

     

     

    BANDE DE PORCS!

    cochon_010.gif

     

     

     

     

     

    CSA QUI BOUFFE A TOUS LES RÂTELIERS DE LA GAUCHIASSE