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femme - Page 6

  • Combattre Zemmour, c’est se battre POUR la censure

    Mon vieux père, avant de disparaître, m’avait dit un jour que les Français finiraient par se déchirer à cause de l’immigration.

    Nous y sommes. Ce n’est pas encore la guerre civile annoncée par l’ex-premier flic de France, Gérard Collomb, mais la curée lancée contre Éric Zemmour est annonciatrice de lendemains tragiques. Ce qui se passe en France est gravissime.

    Nous assistons à une hystérie collective ahurissante, où les chiens de garde enragés de la pensée unique, qui chassent en meute l’écume aux lèvres, veulent la peau d’un des rares journalistes pour qui les mots "déontologie" et "éthique" ont encore un sens.

    Le "devoir d’informer", pour le journaliste et le "droit de savoir", pour le public, sont systématiquement bafoués, dès qu’il s’agit d’aborder l’immigration et l’islam. Vérité, rigueur, exactitude, intégrité, sont régulièrement passés à la trappe au nom du sacro-saint "vivre-ensemble", imposé par le pouvoir contre l’avis du peuple.

    Car rappelons que dans notre démocratie exemplaire, 66% des Français ne veulent plus d’immigration et jugent que l’islam est un obstacle à l’intégration.

    La furie anti-Zemmour est telle qu’on assiste à une incroyable lutte fratricide au sein de cette corporation, puisque les journalistes du Figaro en sont venus à réclamer la tête de leur illustre confrère! Hallucinant!

    C’est dire l’état de délabrement moral du pays et de cette presse totalement soumise à la pensée unique, qui part en croisade contre sa propre déontologie!

     

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    Combattre Zemmour, c’est combattre la vérité et la démocratie! C’est soutenir la dictature du politiquement correct, où la liberté d’expression n’a plus droit de cité. Combattre Zemmour, c’est se battre POUR  la censure!

    Quant aux juges qui s’arrogent le droit de décider de ce qu’on peut dire et ne pas dire, ils mettent en place une justice à deux vitesses, laxiste avec les minorités qui peuvent tout se permettre, mais intraitable avec les identitaires qui clament des vérités qui dérangent.

    C’est ainsi qu’on peut clamer "Pendez les Blancs" sans grand risque. Mais critiquer l’islam peut mener en correctionnelle, puisque cette religion devient de plus en plus protégée par un retour du délit de blasphème qui ne dit pas son nom.

    Par conséquent, dès lors que le parquet ouvre une enquête contre Éric Zemmour pour "injures publiques et provocation à la discrimination", il est clair que c’est à la fois la démocratie et la liberté d’expression qui sont menacées.

    C’est un délit d’opinion qu’on reproche à Zemmour, ce qui est un comble au pays qui se prétend encore le sanctuaire des droits de l’homme et des libertés !

    En diabolisant Zemmour, le pouvoir, la presse aux ordres et la justice, mènent un combat contre la "Vérité“ et donc contre le peuple.

    Ceux qui rêvent d’embastiller Zemmour ne comprennent pas qu’ils seront un jour à sa place, pour avoir simplement exprimé leur opinion.

    Mais quels sont donc ces propos intolérables qui ont ulcéré nos apôtres de la bien-pensance? Des insultes? Non. Des propos diffamatoires? Pas du tout.

    Mais le terrorisme intellectuel est devenu tel que la simple vérité, pour peu qu’elle dérange et conteste les bienfaits du "vivre-ensemble", doit être clouée au pilori par les gardes-chiourme de la pensée unique.

    "En France, comme dans toute l’Europe, tous nos problèmes sont aggravés – je ne dis pas "créés" mais"aggravés" – par l’immigration: école, logement, chômage, déficits sociaux, dette publique, ordre public, prisons, qualifications professionnelles, urgences aux hôpitaux, drogues; et tous nos problèmes aggravés par l’immigration sont aggravés par l’islam. C’est la double peine", a dit Zemmour.

    Où est la haine? Où est le racisme? Zemmour ne dit que des vérités.

    L’école? Faut-il rappeler le rapport Obin de 2004 sur la dramatique islamisation de l’école républicaine? Rapport aussitôt enterré par François Fillon?

    Faut-il rappeler ce cri de vérité de Luc Ferry: "Sans les 15% de quartiers pourris qu’il y a en France, nous serions classés numéro 1 au classement PISA"?

    Le logement? Faut-il rappeler que 2 millions de Français sont en attente d’un logement social alors que 15% du parc sont attribués à des étrangers ?

    Le chômage? Faut-il rappeler que le taux de chômage des immigrés extra-européens est de 19,3%  contre 8,5% au niveau national? Faut-il rappeler que ces mêmes immigrés sont deux fois moins diplômés que les Français? (Insee)

    Les déficits sociaux? Faut-il rappeler que la part de social dans les revenus d’un natif est de 4%, alors qu’elle est de 20% pour un Maghrébin et de 24% pour un Africain ? (Insee)

    Dette publique? Oui, l’immigration nous a ruinés. Elle est la cause essentielle de nos 2 400 milliards de dettes. Faut-il rappeler que plusieurs études, jamais démenties par le gouvernement, ont chiffré le coût de l’immigration au sens large à plus de 100 milliards par an? Faut-il rappeler que la contribution au PIB d’un immigré qui travaille est en moyenne deux fois moindre que celle d’un natif?

    Ordre public? Faut-il rappeler que la délinquance a été multipliée par 5 en 50 ans? Faut-il rappeler que les 2/3 des Français ne se sentent plus en sécurité nulle part avec plus de 1000 agressions gratuites par jour et plus de 100 000 viols par an?

    Prison? Faut-il rappeler les paroles de Jack Lang qui annonçait que les 2/3 des détenus étaient musulmans? Faut-il rappeler que  80% des délinquants sont d’origine immigrée selon les statistiques de la police? (DCPJ et DCSP)

    Qualifications professionnelles? Faut-il rappeler que 43% de nos immigrés ont un faible niveau d’éducation contre 24% chez les natifs? (source OCDE)

    Urgences? Faut-il rappeler la crise des urgences, saturées par les minorités?

    http://blog.lefigaro.fr/rioufol/2019/02/dans-le-grand-debat-national.html

    Drogues? Faut-il rappeler que la Seine-Saint-Denis est la plaque tournante de la drogue avec Marseille?

    Oui, Zemmour a raison, l’immigration a tout aggravé.

    Mais venons-en au Grand Remplacement qui fait tant grincer des dents.

    Ce n’est peut-être pas un complot mais c’est bien une réalité incontestable.

    Avec une population de souche qui diminue compte tenu de son vieillissement et de son faible taux de fécondité, alors que la population immigrée augmente fortement, compte tenu de son fort taux de fécondité et des flux migratoires massifs, il y a bien un changement de population qui s’opère.

    Avec un taux de fécondité de 1,7 enfant par femme, la population de souche diminue de 15% par génération. Avec un taux de 3,4%, celle des immigrés augmente de 85%. Chiffres auxquels il faut ajouter l’immigration de masse annuelle.

    Nier le Grand Remplacement n’a pas de sens. On peut nier le complot, mais certainement pas la réalité des chiffres!

    Quant à l’islam, qui peut contester que nos banlieues sont soumises à la loi des caïds et des barbus? "La Kalach et la djellaba".

    Qui peut contester que 50% de nos jeunes musulmans, parfaitement manipulés par les islamistes, aspirent à la charia en rejetant la loi républicaine?

    Un commissaire de police rappelait récemment que le nombre de mini-califats explose dans les banlieues, échappant totalement à l’ordre républicain.

    Doit-on fermer les yeux quand un ex-ministre de l’Intérieur, l’homme le mieux renseigné de France sur la face cachée des cités, déclare: "Aujourd’hui on vit côte à côte… Je crains que demain on vive face à face"?

    Doit-on fermer les yeux sur la menace existentielle qui pèse sur la France, quand un président de la République avoue publiquement qu’on se dirige tout droit vers une partition du pays?

    Doit-on fermer les yeux sur les innombrables provocations, prières de rue, sur les abattages rituels qui ont gagné la moitié de nos abattoirs, sur le voile et le burkini  qui envahissent la sphère publique, sur les piscines prises d’assaut par des femmes voilées?

     

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    Doit-on nier les violences que subissent nos policiers, nos pompiers, nos enseignants, nos personnels soignants, de la part de minorités qui se comportent en terrain conquis parce que l’État a démissionné et donne systématiquement tort aux représentants de l’ordre et à ceux n’acceptent plus cette soumission permanente?

    Imagine-t-on des policiers américains se laisser griller dans leur voiture, sans oser se dégager avec leurs armes par peur de l’IGPN? C’est pourtant ce qu’on a vu en France, tant les politiques  et la justice se sont acharnés à priver les forces de l’ordre de toute autorité. L’ordre de laisser faire vient d’en haut.

    Ceux qui veulent la tête de Zemmour ont-ils oublié que l’islam a fait plus de 250 morts et plus de 1000 blessés depuis 2015?

    Tous ces Robespierre ne réalisent pas qu’ils sèment les germes de la guerre civile et de la destruction de la nation, en défendant l’indéfendable.

    Totalement anesthésiés, ils ne comprennent pas qu’ils détruisent l’avenir de leurs propres enfants, qui vont vivre l’enfer dans une France libanisée toujours plus violente.

    Mais quand donc vont-ils se réveiller? Combien de Zemmour faudra-t-il pour que ces illuminés du mondialisme et du multiculturalisme comprennent que l’immigration de masse va tout emporter?

    Oui, il y a bien une majorité de musulmans qui aspirent à vivre tranquillement, mais qu’attendent-ils pour combattre l’islam politique qui ne cesse de s’étendre sur le pays et de provoquer la République? On n’entend que les islamistes qui aspirent au jihad, attendant le jour où ils se sentiront suffisamment forts pour prendre le pouvoir.

    Pour ces derniers, les musulmans d’Europe n’ont pas vocation à s’intégrer. Et ils l’ont toujours dit.

    Rappelons une fois de plus les propos de Youssef al-Qaradawi, le maître à penser des Frères musulmans :

    "L’islam va retourner en Europe, comme un conquérant et un vainqueur, après en avoir été expulsé à deux reprises. Cette fois-ci, la conquête ne se fera pas par l’épée, mais par le prosélytisme et l’idéologie…"

    "Avec vos lois démocratiques, nous vous coloniserons ; avec nos lois coraniques, nous vous dominerons".

    Et que dire des propos tenus par l’ex-président du CCIF, Marwan Muhammad:

    "Qui a le droit de dire que la France, dans trente ou quarante ans ne sera pas un pays musulman? Qui a le droit? Personne dans ce pays n’a le droit de nous enlever ça. Personne n’a le droit de nous nier cet espoir-là. De nous nier le droit d’espérer dans une société globale fidèle à l’islam. Personne n’a le droit dans ce pays de définir pour nous ce qu’est l’identité française. "

    Voilà ce que nos bobos appellent une intégration réussie! Les intégristes nous contestent notre propre identité, mais tout va bien!

    Il est clair que pour bon nombre de musulmans qui n’ont jamais eu l’intention de s’intégrer et se foutent royalement d’un islam de France, le jihad a déjà commencé.

    D’abord silencieux, et ensuite, par la force. Le côte-à-côte avant le face-à-face. Tel est l’objectif de l’islam politique que Macron et nos élites refusent de regarder en face.

    La conclusion de tout cela est que ceux qui font aujourd’hui  le procès de Zemmour, trahissent nos ancêtres, bradent notre héritage culturel et se comportent en dictateurs ignorant la volonté du peuple.

    Jamais de Gaulle n’aurait accepté une telle capitulation de nos élites.

    "Quoi qu’il arrive, la flamme de la résistance française ne doit pas s’éteindre et ne s’éteindra pas. "Jamais le peuple français n’acceptera de disparaître pour le bon vouloir de ses élites.

    Jacques Guillemain

    Ex-officier de l’armée de l’air. Pilote de ligne retraité.

    https://ripostelaique.com/combattre-zemmour-cest-se-battre-pour-la-censure.html

     

  • La propagande

    On sait, en effet, que la propagande totalitaire n’a pas besoin de convaincre pour réussir et même que ce n’est pas là son but. Le but de la propagande est de produire le découragement des esprits, de persuader chacun de son impuissance à rétablir la vérité autour de soi et de l’inutilité de toute tentative de s’opposer à la diffusion du mensonge.

    Le but de la propagande est d’obtenir des individus qu’ils renoncent à la contredire, qu’ils n’y songent même plus. Cet intéressant résultat, l’abasourdissement médiatique l’obtient très naturellement par le moyen de ses mensonges incohérents, péremptoires et changeants, de ses révélations fracassantes et sans suite, de sa confusion bruyante de tous les instants.

    Cependant, si chacun, là où il se trouve, avec ses moyens et en temps utile, s’appliquait à faire valoir les droits de la vérité en dénonçant ce qu’il sait être une falsification, sans doute l’air du temps serait-il un peu plus respirable.”

    [Encyclopédie des Nuisances, George Orwell devant ses calomniateurs, Quelques observations.]

  • La beauté est au fond d'icelle

    Enseignement: Brigitte reprend du service!

    Comme chacun sait (on nous en gave depuis des mois), la première dame a fait de folles dépenses, mais n’est point trop fière. Elle veut rembourser intégralement la nouvelle vaisselle et reprend du service.

    Quand elle est tombée sur la petite annonce de la ville de Clichy-sous-Bois, Brigitte a eu l’impression de revenir trente ans en arrière. Elle a su tout de suite que le job était fait pour elle. A 66 ans, la retraitée n’attendait que ça: retourner à l’école, retrouver ses passions d’antan, ses contacts intensifs avec les ados, les entretiens privés dépassant les heures de cours, sans jamais compter.

    Certains prétendaient qu’elle était prête à vendre ses cheveux, qui sont abondants et sublimes, d’autres qu’elle servirait de mannequin pour une marque de bas-résille, mais les fabricants n’ont pas trouvé de tailles appropriées, et la caser au rayon enfants était humiliant. Les plus méchants voulaient engager la dame du président pour jouer la belle-mère dans une nouvelle série télé "Blanche-neige et les 7 boules de cristal", mais elle a refusé. Les milieux médicaux lui avaient soumis une proposition de clichés pour lancer une action contre l’anorexie, elle qui aime tant les ados (surtout les garçons) et a tenté, toute sa vie durant, de leur montrer le droit chemin.

    La rémunération ne lui convenait pas. Une autre initiative a également échoué: l’Elysée avait lancé une boutique souvenir remplie de goodies. Parmi les produits, des préservatifs dont l’emballage était siglé à l’image de la première dame. On se demande pourquoi, mais: “L’Elysée n’a pas souhaité reconduire le contrat de préservatifs personnalisés pour l’instant. Nous n’en connaissons malheureusement nullement la raison”, a confié le directeur de la société fournisseur officiel des préservatifs personnalisés. (NDLR: la clause de confidentialité signée par ce fournisseur avec l’Elysée nous interdit de dévoiler son nom). Encore une tentative loupée!

    C’est donc en lisière du bois de Bondy, dans un bâtiment rénové des Ateliers Médicis, que l’enseignante peu banale a fait sa rentrée ce matin par la grande porte (qui devra être assez large pour laisser passer ses 5 gardes du corps) ce matin à Clichy-sous-Bois (Seine-Saint-Denis). Brigitte Macron accueillera les 50 élèves de l’Institut des vocations pour l’emploi (Live), le projet qu’elle porte depuis plusieurs mois avec LVMH. Précisons que la première dame est ex-enseignante des lycées jésuites La Providence à Amiens – où le couple a fait connaissance dans des circonstances originales que je n’évoquerai pas ici, les journaux en ayant été inondés pendant des mois.

    "On s’adresse aux invisibles. Il est important de leur tendre la main" a déclaré l’épouse du président! Affolée, l’école a donc décidé de la laisser enseigner des 25-30 ans, au grand soulagement des parents.

    Pour LVMH, il faut "vaincre des barrières". De quelles barrières s’agit-il? Je n’ai pas trouvé de réponse. En relation avec le célèbre nom, je n’ai trouvé que les barrières "renversées" par des vauriens vêtus de jaune, et non "vaincues".

    Les hyper-décrocheurs seront rémunérés à hauteur d’environ 1000 euros par mois. (Mais il ne restera presque rien, à peine de quoi rembourser les sous-tasses?). Ces cours sont financés par le groupe de luxe LVMH qui lui prête également des vêtements (vous voyez qu’elle serre les cordons de la bourse!). Pour la rentrée, ce seront des tenues discrètes, des teintes décentes, des jupes moins courtes, quant aux talons, ils ne devront pas dépasser 4 cm. On parle d’un tablier de couleur bleu marine estampillé LV.

    Brigitte Macron leur fera alors classe "un cours toutes les deux semaines ou un cours mensuel", précise la presse, évoquant un "rythme non encore défini". Ce rythme sera bien entendu adapté à l’âge respectable de la nouvelle enseignante. Et lui permettra de prévoir encore quelques "escapades" dans la neige avec son fils (Mon dieu, cela m’a échappé: son mari!).

    Les étudiants se pressent au cours munis de leurs carnets. Mâme Macron-Trogneux a promis de corriger et de signer elle-même les copies de son Mont-Blanc (Collection Héritage 4 couleurs). On raconterait qu’une copie corrigée serait déjà proposée aux enchères pour plus de 1.500 € (le prix d’un coquetier).

    Brigitte Macron souhaite faire "découvrir la littérature classique et le patrimoine culturel" à ses futurs élèves qui eux, j’en suis persuadée, sont plus gourmands de chimie et de bricolage. (Besoin d’une explication? Je suis certaine que vous vous en passerez).

    Une initiative également destiné à réchauffer les relations entre Brigitte Macron et les conseillers du président, "avec qui ça n’a jamais été une love story", affirme un proche maitrisant parfaitement l’anglais. Une manière, aussi, d’affirmer sa place au côté de son juvénile époux après le tumulte de ces derniers mois et de renouer avec les Français.

    En février dernier, la première dame du président (qui lui n’est pas son premier mari. Je vous explique?) avait déjà fait part de son envie de se "réconcilier" avec les Gilets jaunes. A ce jour, je ne sais toujours pas si elle y est arrivée.

    Mardi 16 avril, le président de la Fédération française du Bâtiment avait annoncé qu’un restaurateur avait "retrouvé dans les décombres le coq du haut de la flèche de Notre-Dame", après l’incendie. La mariée de Monsieur Macron avait alors déclaré: “C’est un message qu’elle nous envoie. Je le sais”. Elle sait tellement de choses, ses ex-absents des cours en profiteront.

    Elle rayonne: "Ce ne seront pas du tout des cours comme j’ai pu en donner à mes élèves (OUF!) mais davantage à l’anglo-saxonne, interactifs (Pas assez interactifs à Amiens?). Pas Grand I, petit a. Ça je sais faire", a-t-elle souri.

    Le Journal du Dimanche a ensuite révélé que la first lady n’enseignera que ponctuellement la littérature classique, et non le théâtre. Explication: en raison de son âge, la nouvelle enseignante s’oblige à une petite sieste et n’est donc pas à même de donner cours plus de quatre heures consécutives. Elle espère que son Institut des vocations "fera des petits", une attention qu’appréciera certainement son jeune époux, empêché de lui en faire lui-même.

    Anne Schubert

    https://ripostelaique.com/enseignement-brigitte-reprend-du-service.html

     

    Bah! à 69 ans, je suis moins ridée qu'elle... et sans toutes ses interventions chirurgicales diverses pour cette avariée!

    www.moins2rides.com

     

  • A Toulouse, prison de luxe

    Toulouse: le cambrioleur se laisse coffrer pour pouvoir… regarder Canal+ en prison

    Cracher au sol pour y laisser son ADN, une idée bizarre pour un cambrioleur. Sauf s’il s’agit de se faire volontairement attraper. Récit d’une histoire de dingue, à Toulouse.

     […]

    Il veut voir les programmes pour adultes

    Cambrioleur à ses heures, ce jeune homme de 25 ans a multiplié les vols dans des résidences de Colomiers cet été. Mais, détail extravagant, il a craché partout par terre pour bien laisser son ADN. Son idée ? Se faire attraper, à terme, par les enquêteurs. Et à la barre, il le clame haut et fort : il veut retourner en prison pour… profiter de Canal+.

     […]

    Canal à tarif préférentiel

    Renseignement pris par Actu Toulouse auprès d’un agent pénitentiaire qui préfère conserver l’anonymat, il est effectivement possible de regarder la chaîne cryptée en détention… sans verser un centime. Et ce, alors que le tarif est déjà bien inférieur au prix grand public et avoisine les 10€ mensuels :

    Canal+ est distribué en prison depuis de nombreuses années. Avec la surpopulation actuelle à Seysses ou Muret, les détenus peuvent être à deux ou trois par cellule. Si l’un paie, les autres en profitent. L’administration peut également prendre en charge l’abonnement des indigents contre quelques travaux dans la prison, comme le nettoyage des parties communes, par exemple. Et puis, dans les établissements gérés par le ministère de la Justice, il y a un tel manque de personnel que, parfois, les détenus ne paient rien pendant des mois… parce qu’on ne leur demande rien !

    […]

    Actu Toulouse via actu.fr

  • La violence en Occitanie

    Hérault. Le nombre de victimes de violences a augmenté de 357 % en 20 ans dans le département

    Jordi Vives

    Montpellier (Lengadoc Info) – La ville de Montpellier connaît depuis quelques mois une spectaculaire recrudescence de la violence. Une situation particulièrement alarmante alors que certains chiffres sur la délinquance dans le département de l’Hérault ne cessent de grimper.

    Montpellier sombre dans la violence

    Un client grièvement poignardé cette nuit au Rockstore, un piéton blessé par balle lundi au Millénaire, la veille un homme a été abattu au fusil de chasse dans la cité Paul Valéry, des tirs de kalachnikov dans le quartier Croix-d’Argent le même jour… la période estivale a été très chaude à Montpellier cette année !

    Entre ce déchaînement de violence et la nouvelle délinquance de certains groupes de jeunes clandestins qui vivent grâce au vol à l’arrachée dans le secteur du centre-ville, Montpellier commence à avoir un véritable problème de sécurité. Un problème qui, certes, n’est pas nouveau mais qui prend une telle ampleur qu’il devient urgent d’intervenir.

    D’ailleurs, les Montpellierains en sont bien conscients. Dans le sondage IFOP du mois de juillet sur l’état de satisfaction des habitants de la ville à propos de l’action de Philippe Saurel, la question de la sécurité est l’un des sujets où les Montpellierains sont le moins satisfaits (avec la propreté).

    Premier politique à réagir sur la question, le candidat des Républicains pour les prochaines municipales, Alex Larue, a réclamé " la tolérance zéro " après avoir constaté que " l’été qui s’achève restera marqué par une vague de violence d’une intensité inédite dans l’histoire récente de la ville ".

    Une situation qui ne date pas d’hier

    L’explosion de la violence aujourd’hui à Montpellier n’est pas vraiment une nouveauté mais s’inscrit dans un processus long dans le département. En vérité, depuis 1998, le nombre de victimes de coups et blessures a connu une augmentation de 357 % selon les chiffres de l’Observatoire National de la Délinquance et des Réponses Pénales rapporté par le site " ville-data ".

    En effet, on comptait 1 082 victimes de coups et blessures en 1998 contre 4 949 victimes en 2018 dans le département de l’Hérault.

    Lengadoc-info.com, 2019, dépêches libres de copie et diffusion sous réserve de mention de la source d’origine.

     

  • Au secours!

    journée aux urgences de Poissy: vive la diversité!

    Avant d’entamer ma bafouille autour de certaines choses vues, je tiens à planter le décor: les urgences de l’hôpital de Poissy – Centre Hospitalier Intercommunal Poissy/Saint-Germain-en-Laye, exactement. Cet hôpital se trouve au cœur d’un de ces quartiers bucoliques que nous vantent les progressistes, lesquels s’interdisent toutefois d’y vivre pour des raisons qui n’ont rien à voir avec celles que les vilains petits canards racistes invoquent… évidemment!

    Le quartier en question – La Coudraie – a même connu son heure de gloire artistique, puisqu’il a servi de décor à un film du réalisateur français Jacques Audiard, récompensé entre autres d’une palme d’or au festival de Cannes: " Dheepan ". Un film qui, pour n’avoir pas exalté le bonheur de ces lieux enchanteurs, a reçu de la part de la presse bien-pensante de sévères réprimandes. Ainsi, les inénarrables Inrockuptibles se sont irrité le gosier face à ce tableau si noir d’une diversité qu’ils veulent à toute force heureuse, évoquant avec ironie une: "peinture délirante d’une cité française proche du New York 1997 de Carpenter, entièrement aux mains de gangs de dealers qui guettent tels des snipers-sentinelles du haut de barres d’immeuble/miradors. Heureusement que Dheepan est là pour nettoyer la racaille au Karcher".

    Mais je m’égare. Revenons à nos moutons…

    Jeudi 15 août, à la suite d’une chute bête comme nous en avons tous connu, une amie a été accompagnée par les pompiers aux urgences de l’hôpital de Poissy, me demandant dans l’intervalle de l’y rejoindre pour ensuite la ramener chez elle. Les urgences de l’hôpital de Poissy, il faut vous le dire, chers amis lecteurs, provoquent des sueurs froides à tous ceux qui les ont fréquentées. Car là-bas c’est le règne de la diversité la plus décomplexée et il n’est pas rare d’y croiser de longues barbes et des hijabs en veux-tu en voilà, avec la bienséance qui les caractérise!

    Sauf que je ne m’attendais pas à ce que le personnel – clamant pourtant à longueur de banderoles son désarroi et son intérêt pour les patients – suive la route tracée par sa "clientèle" majoritaire.

     

     

    En français dans le texte, la personne que j’assistais dans cette épreuve que sont, hélas, les urgences françaises, souffrait terriblement au niveau de son genou gauche, sur lequel elle était malencontreusement tombée dans sa chute.

    Voici qu’après un certain temps arriva un médecin –lui-même de la diversité–; il ausculta sa patiente, l’envoya à la radio, revint, toujours après un certain temps, la voir, tandis que les urgences, ce soir-là, n’étaient pas trop encombrées, même si l’on entendait gémir de douleur des patients laissés là sur des brancards et sans aucun mot de réconfort. Là, le médecin nous dit que nous pouvions y aller et qu’un Doliprane ferait l’affaire. Devant l’impossibilité pour mon amie de mettre le pied par terre, je suggérai au praticien qu’il serait peut-être judicieux de lui procurer au moins une attelle. Ce qu’il accepta, après une hésitation qui me fit douter de ses compétences, je le confesse.

    Et c’est là que ça devient formidable…

    Une infirmière, plus occupée à plaisanter et minauder avec ses collègues masculins que faire ce pour quoi elle était payée – je l’observais depuis un certain temps, à accomplir des allers et retours sans but dans le couloir –, arriva en traînant des pieds et frappant par jeu lesdits collègues avec l’attelle. Mon amie, toujours en proie à la douleur physique, je lui dis, devant l’infirmière occupée à lui mettre son attelle: "Si tu souffres trop on reste ici".

    L’infirmière en question me balance alors, avec le ton de la Grosse Bertha crachant le feu de l’enfer: "Excusez-moi mais ce n’est pas vous qui décidez!".

    Moi de lui répondre qu’on ne laisse pas partir comme ça une patiente en état de souffrance, qu’ici c’est un hôpital, me semble-t-il".

    Déjà, vous vous calmez!" se met-elle à grogner, faute d’arguments valables à m’opposer. Et de monter en puissance, de plus en plus menaçante, agitant violemment les bras pendant qu’elle éructe, reprochant à mon amie d’avoir refusé de prendre un Doliprane pour la soigner – un Doliprane aurait-il la vertu de soigner? Jusqu’à ce que je la menace à mon tour d’appeler le commissariat si elle continue ses invectives et ses gestes dignes d’une recrue des cités environnantes…

    Soudain, tandis que deux mâles de la diversité, eux aussi employés de l’hôpital, surveillaient la scène avec le regard mauvais comme il faut, j’ai décidé de laisser tomber car je savais par avance que j’avais tout contre moi et que je risquais de me faire démolir le portrait au moindre geste suspect, ainsi qu’une condamnation en bonne et due forme…

    Avant de partir, j’ai quand même pris le temps de dire à la furie qu’elle avait raison, que j’étais un "imbécile" mais que je n’en resterai pas là, même si je savais par avance qu’elle jouirait d’une totale impunité en cas de plainte. Au fait, m’aurait-elle parlé sur ce ton si j’avais porté une djellaba et mon amie un niqab? J’en doute…

    Dernier point: sur la fiche de sortie de mon amie, il était écrit qu’elle n’était pas accompagnée. C’était faux bien sûr, mais on n’avait plus la force de se frotter à ce petit monde et lui signifier son incompétence.

    Le lendemain, nous sommes allés dans une clinique privée où l’accueil et la compétence, justement, étaient plus notables! Bilan: une IRM – imagerie par résonance magnétique – a été programmée car, selon un avis médical avisé cette fois, ce pourrait être plus grave qu’un simple bobo ne nécessitant qu’un Doliprane. Les ligaments pourraient être touchés, toujours selon le praticien de la clinique. Au fait, l’hôpital de Poissy possède tout le matériel nécessaire pour faire passer une IRM!

    Je tiens aussi à préciser que j’ai fréquenté plusieurs autres urgences d’hôpitaux publics français et que je n’avais, jusqu’à présent, jamais été confronté à une pareille épreuve. Je suis aussi conscient de tout le travail accompli par le personnel soignant en général. Mais les urgences de Poissy sont décidément fidèles à leur déplorable réputation…

    Ghislaine Dumesnil, avec son édifiant témoignage – "Mahomet au volant, la charia au tournant" –, nous avait déjà alertés sur l’atmosphère islamique au sein des transport en commun; nous savions que l’Éducation nationale préférait l’exotisme aux faces de craie ; nous savions ce qu’il en était des tribunaux – où le Blanc est ontologiquement coupable tandis que la diversité bénéficie presque immanquablement de circonstances atténuantes – ; nous n’ignorions pas, notamment à travers le mouvement des Gilets jaunes, que les forces de l’ordre avait comme consigne de cogner plus volontiers sur le peuple réel de France que les hordes des cités; nous constations que les migrants avaient plus de droits que le pauvre clochard visage pâle, juste bon à crever dans la rue, etc. En sera-t-il de même pour la Santé, pleine d’empathie pour l’Autre et de mépris pour l’Autochtone? Question brûlante et non moins effrayante.

    Malgré toutes ces preuves, les progressistes montent sur leurs ergots parce que nous autres, Français de cœur, nous révoltons contre cet état de fait. Nous avons simplement peur de voir notre mode de vie anéanti par de sombres volontés destructrices qui fantasment un monde sans identités ni frontières ; un monde qui n’est qu’une promesse de chaos, comme ces urgences où l’on se défoule sur les proies faciles, à savoir nous, les Blancs! Attention toutefois: "La peur peut faire faire des choses bien plus dangereuses que la colère" (Bernardin de Saint-Pierre).

    Charles Demassieux