Ok

En poursuivant votre navigation sur ce site, vous acceptez l'utilisation de cookies. Ces derniers assurent le bon fonctionnement de nos services. En savoir plus.

mec - Page 12

  • Macrouille un jour… macrouille toujours

    Emmanuel Macron aime briller dans la langue de Shakespeare, même s’il n’en connaît pas toutes les subtilités.

    Emmanuel Macron, pour remercier ses hôtes australiens de leur accueil, a qualifié l’épouse du Premier ministre de "delicious": "Thank you and your delicious wife for your warm welcome", s’est-il exclamé, dans un anglais qui eût été parfait sans l’utilisation d’une épithète qui ne s’emploie guère que pour un plat, ou avec une connotation sexuelle. Le Premier ministre australien est resté impassible. Quelle eût été la réaction de notre Président si, lui retournant le compliment, il avait dit de Brigitte, en français, qu’elle était appétissante ou aguichante?

    La presse et les réseaux sociaux anglophones s’en sont donné à cœur joie, se gaussant de " la bourde merveilleusement délicieuse de Macron“ (" Macron’s slip delightfully delicious"). Le Daily Telegraph le compare à Pépé le Putois (Pepé le Pew), un personnage de dessin animé célèbre aux États-Unis, qui incarne le stéréotype du Français pour les Anglo-Saxons: séducteur, dragueur, tactile, un tantinet pesant, avec une hygiène laissant à désirer.

    Les commentaires qu’on peut lire sur Internet sont tantôt indulgents: on le compare à d’autres présidents, notamment François Hollande, qui ne savait pas aligner trois mots d’anglais; ou l’on juge plus important qu’il ait signé des contrats commerciaux (c’est fou comme les chefs d’État modernes se muent en commis voyageurs!). Tantôt plus sévères: on estime qu’il pourrait aussi exporter la langue française.

     

  • La France: le marché aux blanches où tout est gratuit!

    Strasbourg: un demandeur d’asile agresse sexuellement une femme dans le hall de la gare. " J’ai vu les tatouages, ça m’a plu "

    Vendredi dernier, un homme s’est assis à côté d’une femme qui patientait dans le hall de la gare de Strasbourg. Il lui a tendu la main en lui adressant des paroles dans une langue qu’elle ne comprenait pas. La jeune femme, qui était occupée à se recoiffer, n’a pas vraiment prêté attention. C’est alors que l’individu lui a touché la poitrine. Puis il a posé ses deux mains sur ses cuisses, n’hésitant pas à les glisser sous sa jupe. La victime lui a tapé sur les mains pour le repousser, sans succès: il a recommencé aussitôt. Elle s’est levée et a menacé de crier. L’auteur des attouchements a été interpellé un peu plus tard alors qu’il se trouvait toujours à la gare.

    "J’ai vu les tatouages, ça m’a paru extravagant, ça m’a plu", a indiqué le demandeur d’asile albanais, ce lundi, devant la chambre des comparutions immédiates du tribunal de grande instance de Strasbourg. Le prévenu âgé de 20 ans s’est confondu en excuses, promettant qu’un tel comportement ne se reproduirait plus.

    www.dna.fr

  • A votre avis, escroquerie pure et dure?

    sous couvert d'aide et solidarité….

    Comme j'avais raconté sur le site une expérience de “voyance“ en forme d'IME sur un site et que le médecin (voir plus bas) m'avait répondu en m'indiquant que oui, ma vision pouvait relever d'une EMI*, je viens de recevoir cet incroyable e-mail (le 1er du genre) et là, j'ai toutes les peines du monde à ne pas me mettre en colère!

    *Il est donc possible d'avoir une EMI alors que l'on est EVEILLE-E!

    Finalement, c'est bien ce que j'ai toujours pensé: un jour ou l'autre, les intentions les meilleures deviennent de la pure escroquerie! Honte à ce médecin: tout ceci commence à prendre l'odeur nauséabonde de prémisses d'une secte.

     

    Bonjour à toutes et à tous,
    Nous remercions chaleureusement toutes les personnes qui ont d'ores et déjà soutenu de leurs dons la rencontre "Expériences de Mort Imminente" que notre association organise en juin 2018.
    A ce jour, 34 personnes ont contribué pour un total de 1442 €, avec des dons allant de 5 à 100 €. La moyenne des dons est de 42 €.
    Cette somme nous permettra déjà de défrayer totalement les personnes qui ont les plus faibles revenus.
    Le reliquat sera réparti entre tous les autres participants et permettra de réduire en partie le coût de leur hébergement.
    Cependant, conformément à notre éthique, nous aimerions que cette rencontre soit totalement gratuite pour tous les participants, et nous n'avons pour l'instant recueilli que la moitié de la somme qui serait nécessaire.
    Pour cela, il faudrait que nous réunissions au moins 3000 €, et il ne reste que 9 jours avant la fin de cette campagne de financement participatif, qui se terminera le 29 avril.
    Il est encore temps de contribuer, et si ce n'est déjà fait, vous pouvez vous rendre à l'adresse suivante : https://www.zeste
    Vous pourrez y découvrir tous les détails concernant cette rencontre, qui permettra à 30 personnes de sortir d'un isolement qui, pour beaucoup, dure depuis des dizaines d'années.
    Si vous désirez nous soutenir, il vous suffira de cliquer sur l'encadré "Faites un Zeste" puis de choisir le montant de votre contribution et si vous le désirez, votre contrepartie.
    Au nom de toute l'équipe de bénévoles de IANDS-France, et surtout de toutes les personnes que vous allez aider de votre générosité, je vous adresse par avance mes plus chaleureux remerciements!
    Très cordialement
    Dr Jean-Pierre JOURDAN
    Président, directeur de la recherche médicale IANDS-France
    iands-france.org  
    deadlinelelivre.fr

  • Gauchiasse, punie par sa propre connerie!

    Collèges "ghettos" à Paris: le choix cornélien des "parents blancs, de gauche"

    Le propos est fort, presque provocateur, et on le doit à… Gilles Pécout, recteur de l’académie, un homme extrêmement urbain, spécialiste de l’histoire italienne, faisant preuve en toute occasion d’une tempérance de sénateur romain. Oui, Paris est une ville d’apartheid, c’est dur à admettre, mais c’est une réalité. Faut-il éviter le public ? Contraindre le privé ? Ou trouver d’autres voies?

    Dans tous les quartiers de la capitale un tant soit peu mélangés, le melting-pot culturel et social dont sont si fiers les Parisiens se transforme – dans la sphère scolaire – en une mosaïque complexe d’écoles blanches, noires, ou plus ou moins métissées.

    Dans les écoles à dominante noire, qui se trouvent être les plus socialement et scolairement défavorisées, les parents blancs, de gauche, se retrouvent confrontés à un choix cornélien : respecter leurs principes en scolarisant leur rejeton dans l’établissement du quartier, ou suivre la grande majorité de leurs pairs qui font désormais le choix du privé.

    […] En ségrégant son public, Paris opère par ailleurs un tri scolaire sans pitié: d’un côté une multitude de collèges excellents – majoritairement privés – dépassant les 95% de réussite au brevet, de l’autre une bonne trentaine – tous publics – fluctuant entre 50 et 75%, bien en-deçà des moyennes nationales, dont l’état dégradé étonne même les enseignants et principaux venus de Seine-Saint-Denis ou des quartiers nord de Marseille. […]

    Dans ces affaires de mixité, on s’intéresse beaucoup aux parents, essentiellement pour les culpabiliser. Non sans raisons. Comme le souligne le recteur Pécout, le "Parisien n’est guère raisonnable". A l’ouest, il est traditionnellement attaché au privé par conviction religieuse, ou, plus souvent, par attachement atavique à l’entre-soi bourgeois. Au centre et à l’est, il dégaine volontiers ses principes généreux, mais les remballe aussi vite, lorsque sa progéniture se rapproche du cap anxiogène de l’entrée au collège. […]

    Nouvel Obs

  • La longévité de Stephen Hawking, un mystère pour la science

    Stephen Hawking, décédé le 14 mars 2018, souffrait de la sclérose latérale amyotrophique depuis ses 21 ans, une maladie usuellement fatale en quelques mois... à laquelle l'astrophysicien a survécu plusieurs décennies. Un cas "exceptionnel" pour les neurologues.

    Stephen Hawking, astrophysicien britannique de génie, s'est éteint le 14 mars 2018 à l'âge de 76 ans. Il souffrait depuis ses 21 ans de sclérose latérale amyotrophique (SLA), ou maladie de Charcot, une pathologie neurodégénérative entraînant une perte progressive de mobilité. Une paralysie s'installe peu à peu et entraîne une insuffisance respiratoire qui conduit le plus souvent au décès dans les 2 à 5 ans (selon la forme de la maladie). Autant dire que l'incroyable longévité du scientifique face à la maladie fait figure de mystère médical. En 2002, alors que Stephen Hawking fêtait ses 60 ans, le British Medical Journal (BMJ), célèbre revue scientifique d'outre-Manche, revenait sur ce "cas fascinant" pour les neurologues. 

    Davantage de chances de survie lorsque la maladie se déclare tôt dans la vie

    "Les patients survivent en moyenne 14 mois après que le diagnostic a été établi", a expliqué au

    BMJ Neigel Leigh, professeur de neurologie clinique au King's College de Londres. "Mais nous avons découvert que le taux de survie était considérablement amélioré chez les patients jeunes, se comptant parfois en dizaines d'années. C'est complètement différent lorsque la maladie se déclare jeune, et bizarrement personne ne sait pourquoi". Lorsque la maladie surgit pendant la cinquantaine ou la soixantaine, les patients n'ont une espérance de vie que d'environ 4 ans, ajoute aussi le neurologue.

    EXCEPTION. "C'est un cas exceptionnel, je ne connais personne d'autre qui a survécu aussi longtemps à la SLA. Et ce qui est incroyable, ce n'est pas seulement sa longévité, mais également la stabilisation progressive de sa maladie, très rare chez les patients ayant contracté la maladie jeune", a aussi détaillé le professeur. Il existe en fait de nombreuses variantes génétiques de la maladie: "Au moins 6 à 12 formes génétiques, même si nous devons également explorer la possible interaction de la maladie avec le processus de vieillissement", évoque le neurologue. "Nous disposions de peu d'exemples de personnes ayant survécu aussi longtemps", a regretté le Professeur Pam Shaw, de l'université de Sheffield.

    Un message d'espoir

    Dans sa réponse à la publication britannique, Stephen Hawking a expliqué avoir recours à un régime particulier, enrichi en vitamines et acides gras et sans gluten. Il a suivi de fréquentes séances de physiothérapie afin de ralentir l'atteinte musculaire. "J'ai eu la SLA pendant presque toute ma vie adulte, ça ne m'a pas empêché de réussir mes projets professionnels. J'ai eu de la chance que ma maladie progresse plus lentement chez moi. Cela montre qu'il ne faut pas perdre espoir", expliquait le physicien