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mec - Page 14

  • INCROYABLE!

     

    Ma page Facebook n'est plus bloquée!

    ?????

    Ma dernière info ne lui a pas plu???? Toujours est-il que je l'ai supprimée, pour voir...

    Donc, retour de la possibilité de remettre des articles....

    ?????

    Cela prouve que “quelqu'un“ vient lire les infos que j'y dépose!

    MDR

  • la fausse bonne idée de la SNCF pour le 8 mars

    Des chocolats pour les femmes en 1ère classe: la fausse bonne idée de la SNCF pour le 8 mars

    PAS DE 1ERE CLASSE PAS DE CHOCOLAT

    Une initiative locale de la SNCF prévoyait de distribuer des chocolats aux femmes dans les TGV Paris-Lyon, à l'occasion de la journée internationale des droits des femmes. L'opération a été annulée par la direction nationale, qui la juge "contraire aux valeurs de la SNCF".

    Distribuer des chocolats à ces dames... mais seulement en 1ère classe. Telle est la consigne reçue, en interne, par les salariés de la SNCF sur l'axe TGV Sud-Est, en prévision du 8 mars, journée internationale des droits des femmes.

    L'initiative a été rendue publique mercredi 7 mars, par un tweet de la CGT Cheminots de Marseille. Visuel de communication à l'appui, la section locale révèle en effet qu'il était donc conseillé au personnel de bord de "participer" à la "journée internationale des femmes" en "leur offrant des chocolats dans les espaces PRO 1ère".

    https://www.lci.fr/societe/journee-des-droits-des-femmes-des-chocolats-tgv-pour-les-femmes-en-1ere-classe-la-fausse-bonne-idee-de-la-sncf-pour-le-8-mars-2081052.html

     

    Arrêtez de pleurer pour votre salaire, les filles, voilà comment on nous traitait... il n'y a pas si longtemps que cela!

    De 1970 à 1983, j'ai travaillé dans les imprimeries toulousaines. J'allais donner un coup de main à ce qu'on appelle “la photogravure“. Les potes avaient le smig multiplié par trois. Du coup, comme j'étais maman célibataire et qu'avec un enfant on n'a pas droit à de multiples allocations, que pour faire garder ma fille, la nourrice avalait la moitié de ma paye, je me suis faites embaucher dans une autre imprimerie comme photograveur offset… croyant avoir une meilleure paye.

    Ben non, j'ai eu droit a à peine le smig… j'ai été la première femme à Toulouse à être photograveur. Le quotidien local, ayant entendu cela, a décidé de former des filles pour son service de photogravure, en 73 ou 74. Il économisait deux fois le smig!

    Le chef de ce service m'avait contactée pour aller là-bas, puisque j'avais trois ans de pratique mais j'ai refusé! et pourquoi?

    parce qu'il fallait passer par un droit de cuissage, avant l'embauche….

    Non merci!

    Allez lire dans le blog de mon site exactement ce qui s'est passé, quelques années plus tard...

    http://www.josyanejoyce.com/voyances2/index.html

     

  • La seule et unique femme légionnaire!!!!

    Suzan était à Bir-Hakeim
    Seule femme parmi les combattants, elle a vécu les campagnes d’Afrique les plus dures.
    Hier, enfin, Légion d’honneur et souvenirs.

    Seule femme parmi plus de 5 000 soldats… Sous les bombardements allemands de Bir-Hakeim, ses vieux baroudeurs de compagnons légionnaires disaient d’elle avec respect : « Suzan, c’est un vrai mec ! » Miss Travers, que l’Angleterre offrit aux Forces Françaises Libres en 1940, a encore le pouvoir de faire venir au pied de son fauteuil de retraitée un ministre, plusieurs généraux, un parlementaire et de nombreux compagnons d’armes. Le 22 mai 1996, à Savigny-sur-Orge (Essonne), où elle s’est retirée, miss Suzan, 86 ans, a été décorée de la Légion d’honneur. Une médaille qui s’ajoute aux 12 qu’elle possède déjà. Héros for ever…

    À entendre la vieille dame, assise droite comme une lady, sa vie aurait vraiment commencé à l’âge de 30 ans. Rien ou presque sur sa naissance à Folkestone. Un père officier de la Royal Navy à la retraite, un frère pianiste, et c’est tout.

    Quand la guerre éclate en 1939, elle se trouve en France auprès d’amis de sa famille. En un tournemain, sa décision est prise : elle sera infirmière bénévole. « Parce qu’elle s’ennuyait », prétend le général Geoffrey, compagnon d’armes et compatriote. Nantie d’un diplôme de la Croix Rouge, voici Suzan Travers expédiée en Finlande. L’avancée des troupes allemandes à travers la Norvège la pousse peu à peu à retrouver le fog londonien. Avec une adresse en poche, Covent Garden, et un but : rejoindre ce général de Gaulle qui n’abdique pas. "Quelqu’un m’avait dit qu’il existait des Français Libres. J’ai été voir quelle tête ils avaient"», confie-t-elle avec l’accent adéquat.

    "Elle ne voulait pas faire comme ces filles de bonne famille, les Spearettes, ambulancières à Londres. Elle voulait combattre", explique le général Geoffrey. Ce sera l’Afrique, en long et en large, et une fidélité sans faille à la 13e Demi-Brigade de Légion Étrangère. Suzan s’engage le 28 août 1940, et embarque trois jours plus tard direction Dakar. Sur le navire elle croise de Gaulle. Ce qui n’est pas peu fait pour l’impressionner.

    Le Sénégal, le Congo, le Soudan, l’Éthiopie: pas de répit pour la jeune infirmière, nommée chauffeur de médecin. Prémonition? Cette place la conduit droit au volant de la Ford du général Kœnig, leader charismatique des Français Libres. En route pour les sables du désert libyen. "Chez nous elle était mieux gardée par les légionnaires qu’une jeune fille dans un couvent. Tous voulaient briller à ses yeux. Elle se comportait comme n’importe quel homme. Elle était gonflée ! » soutient le général Geoffrey".»

    Impact

    Courage qu’elle va montrer à Bir-Hakeim face à l’armée italienne et l’Afrika Korps de Rommel. Ici, du 27 mai au 19 juin 1942, encerclés par un ennemi plus nombreux, les Français tiennent. Leur sacrifice permet aux Britanniques de se regrouper et de barrer la route du Caire. Arc-boutés derrière leurs canons, crevant de soif, du sable plein la bouche, les yeux rouges mais le doigt sur la détente. Submergés, les hommes reçoivent enfin l’ordre de repli : il faut passer de nuit à travers un champ d’un demi-million de mines.

    Suzan entasse des sacs de sable dans la voiture de Kœnig, lui ordonne : "Couche-toi derrière, Mon Général".  Les mitrailleuses tirent en tous sens, les grenades pleuvent. La voiture qui précède saute sur une mine: elle descend, récupère les corps, repart. Plus tard, Kœnig se relève et constate, ahuri, que sa voiture collectionne les impacts.

    1943, l’au-revoir à l’Afrique. Direction la campagne d’Italie. Elle y conduit une ambulance. "Nous étions sur les hauteurs de Nice quand la guerre s’est finie", confie miss Suzan, qui rempile aussitôt pour l’Indochine et la Tunisie. Adjudant-chef, elle y épouse l’adjudant-chef Schlegelmich. Dans ce monde d’hommes, l’annonce du mariage de deux adjudants-chefs fait sensation pour qui ignore l’ex-miss Travers. 1947, l’aventure est bien finie. Madame la légionnaire s’est trouvé un autre combat: élever ses deux enfants.

    La croix de chevalier de la Légion d’honneur a été remise à Suzan par son camarade de combat le général H. Geoffrey, qui a prononcé le discours d’usage.

    Copyright "France-Soir/Press-Alliance" 1996.

    Extrait de la Revue de la France Libre, n°295, 3e trimestre 1996.

  • La chienlit française qui se croit au-dessus de tout!

    La mode Gucci ? La décapitation à l’honneur, on défile avec une tête sous le bras

    Oui, vous avez bien lu, bien vu. Les mannequins de chez Gucci défilent avec leur tête sous le bras. Connaissant l’islamophilie de ces milieux de la mode,  doit-on comprendre cela comme un encouragement envoyé aux terroristes musulmans ou bien carrément une invitation aux djihadistes à leur faire subir le même sort qu’à prêtre Hamel ?

    Ils trouvent malin de faire entrer les décapitations dans la vie, dans notre vie… Comme si c’était normal.

    Par la même occasion, ils font entrer les êtres hybrides, les " cyborg " ni homme ni femme, monstre du multi-culturalime issu de toute la planète, dans l’imaginaire… Gravissime.

    En tout cas, il paraît que c’est époustouflant d’originalité, de provocation… Les bobos et autres starlettes à l’abri des contingences se pâment… Ils adorent. Lors de ce défilé particulièrement attendu, le styliste Alessandro Michele a cassé les genres, inventant un nouvel être hybride, un "Cyborg Gucci ".

    Apparemment les dits bobos n’ont pas perdu leurs filles Maurane et Laura.

    Apparemment les dits bobos n’ont pas vu la tête de leur père Hervé Cornara accrochée au grillage de leur usine.

    Apparemment les dits bobos n’avaient pas d’amis morts ou handicapés à vie au Bataclan un certain 13 novembre.

    Apparemment les dits bobos pensent que les décapitations ça n’arrive qu’aux autres.

    Aux autres, assez cons pour s’exposer en travaillant comme Hervé Cornara.

    Aux autres, assez cons pour s’exposer en allant avec la foule des sans-dents écouter un concert.

    Aux autres, assez cons pour aller voir un feu d’artifice avec l’immense foule des lève-tôt au lieu de le regarder depuis le pont d’un yacht privé.

    Aux autres, assez cons, assez pauvres pour voyager en train au lieu de se promener en limousine avec chauffeur.

    Aux autres, assez cons pour publier des caricatures de Mahomet pendant que starlettes et bobos défilent sur les plateaux expliquer que l’islam serait une religion de paix et d’amour ".

    Ces dégénérés sont tellement mal dans leur peau, tellement avides de sensations qu’ils se rient des horreurs de notre monde, se trouvant courageux et intelligents quand il ne font qu’insulter au malheur des autres.

    Le malheur des Français d’origine ils s’en tamponnent le coquillart. Par contre celui des étrangers mérite toute leur compassion.

    A quand un défile de mode organisé par Gucci ou Saint-Laurent pour aider à comprendre l’horreur de la burqa, des pendaisons d’homosexuels et autres lapidations?

    Allez, les snobinards, bougez-vous le derrière intelligemment, pour une fois.

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     LA CONNERIE EST UN TRÈS VILAIN DÉFAUT!!!

     

  • Ha, ha, ha: ma malédiction a frappé!

    Lorsque j'ai appris que T. Ramadan avait "violé" une femme handicapée, ma colère n'a fait qu'un tour: je lui ai souhaité d'avoir le même problème de santé... mais, comme je ne savais pas le problème de la dame, je lui ai "envoyé" ma sclérose en plaques!

    BINGO!

    Ben, oui, quoi!

    Ce n'est pas chrétien....

    Le truc, c'est que je ne crois ni en dieu, ni en diable...

    donc, je n'ai pas à être charitable....

    ... et de toutes les façons, pourquoi moi j'ai cette malchance alors que je n'ai jamais violé ni agressé personne....

    HEIN?

    Comme disait le ressuscité: que celui qui n'a jamais péché lui jette la première pierre....

    MDR

     

  • Même les pros-migrants sont épouvantés!

    Vaut mieux tard que jamais.... mais, va y avoir du boulot pour les renvoyer! c'est trop tard! beaucoup trop tard!!!!

    Sur les ravages de l’immigration en Europe, les yeux s’ouvrent les uns après les autres, les dominos tombent, et les forteresses que l’on croyait les plus inexpugnables s’effondrent. Devant la réalité des faits. Ainsi, la semaine dernière, dans deux pays européens, deux acteurs d’institutions ou d’associations "migrants-friendly" ont fait leur coming out pour dire différents aspects très concrets de l’impasse migratoire.

    En Allemagne, c’est une militante engagée dans l’aide aux réfugiés qui a confié à la presse polonaise et allemande l’amer savoir de son expérience au plus près des migrants musulmans. Elle s’appelle Rebecca Sommer. Pensant d’abord que "les visions médiévales des Arabes changeraient avec le temps", elle s’est rendue à l’évidence et a déclaré qu’il était "presque trop tard pour l’Allemagne". Elle analyse le problème ainsi:

    "Les réfugiés musulmans ont grandi avec un système de valeurs complètement différent du nôtre, ont subi un lavage de cerveau religieux depuis l’enfance et n’ont aucun désir de s’adapter à la vie occidentale".

    Elle a constaté que l’aide que l’Allemagne leur a accordée était regardée avec "arrogance et mépris ". Elle affirme avoir été traitée de "stupide salope allemande". Rebecca Sommer tire de son expérience personnelle, de ce qu’elle a vu sur le terrain, deux enseignements: d’une part, l’islam prend une importance croissante dans la culture allemande, dans les institutions et les écoles; d’autre part, les cultures européennes, si elles veulent survivre, doivent s’affirmer et se défendre. Rebecca Sommer a, en particulier, encouragé les Polonais à rester "inflexibles" dans leur opposition à la politique de l’Union européenne:

    "Aucun peuple, ni groupe, que ce soient les Italiens, les Français, les Allemands ou les Polonais, ne pourront subsister en tant que nation, s’ils ne défendent pas de façon raisonnable leurs intérêts".