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société - Page 320

  • Vive la République Française, vive NOTRE FRANCE!

    Ami, entends-tu le vol noir des corbeaux sur nos plaines?

    Ami, entends-tu les cris sourds du pays qu´on enchaîne?

    Ohé, partisans, ouvriers et paysans, c´est l´alarme.

    Ce soir l´ennemi connaîtra le prix du sang et les larmes.

    Montez de la mine, descendez des collines, camarades!

    Sortez de la paille les fusils, la mitraille, les grenades.

    Ohé, les tueurs à la balle et au couteau, tuez vite!

    Ohé, saboteur, attention à ton fardeau : dynamite...

    C´est nous qui brisons les barreaux des prisons pour nos frères.

    La haine à nos trousses et la faim qui nous pousse, la misère.

    Il y a des pays où les gens au creux des lits font des rêves.

    Ici, nous, vois-tu, nous on marche et nous on tue, nous on crève...

    Ici chacun sait ce qu´il veut, ce qu´il fait quand il passe.

    Ami, si tu tombes un ami sort de l´ombre à ta place.

    Demain du sang noir sèchera au grand soleil sur les routes.

    Sifflez, compagnons, dans la nuit la liberté nous écoute...

    Ami, entends-tu le vol noir des corbeaux sur nos plaines?

    Ami, entends-tu les cris sourds du pays qu'on enchaîne?

    Oh oh oh oh oh oh oh oh oh oh oh oh oh oh oh oh...

     

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  • REVOLUTIONNAIRE!

    Bioverre: la substance révolutionnaire qui répare les os

    Le bioverre permet de fabriquer de l’os de façon naturelle, là où il en manque. Une révolution pour la chirurgie orthopédique, dentaire ou de la colonne vertébrale.

    Le bioverre, qu’est-ce que c’est?

    D’apparence, le bioverre ressemble à du gros sel. Il est également appelé verre bioactif. Au contact de tissus vivants, cette substance constitue un environnement compatible à la croissance de l’os. "Ce qui distingue le bioverre des autres substituts osseux utilisés en chirurgie, c’est sa capacité de régénération osseuse, en ayant des effets locaux antibactériens et anti-inflammatoires grâce à ses propriétés biologiques" explique Céline Saint Olive Baque, directrice de Noraker, la société qui le fabrique. Et de préciser que "mis au contact de sang et de sérum physiologique, ces petits granules constituent une masse qui s’intègre parfaitement à l’os traité. Ils vont libérer des sels minéraux présents dans le corps, et fabriquer, de façon naturelle, de nouvelles cellules osseuses".

    À quoi ça sert?

    Les os ont une capacité impressionnante à se régénérer après de légères lésions. Toutefois, passé un certain stade, ce processus naturel de guérison atteint ses limites. Lorsqu'une fracture est trop importante, les os ont besoin d'un coup de main... C’est tout l’intérêt du bioverre qui permet de recréer des cellules osseuses de façon naturelle. Que ce soit pour des interventions en orthopédie, en dentisterie ou en chirurgie du rachis, ce matériau offre des potentialités nombreuses dans la reconsolidation de l’os. À ce jour, environ un million de patients dans le monde ont déjà été traités avec cette technique.

    Une première expérience à Lyon

    Encore peu utilisé en France car les médecins n’étaient pas formés, ce dispositif médical commence à être employé dans plusieurs hôpitaux. Depuis 2015, le professeur Cédric Barrey, responsable de l’unité rachis de l'hôpital Pierre Wertheimer à Lyon, l’utilise pour rigidifier une greffe osseuse lors d’une intervention chirurgicale sur les vertèbres ou la colonne vertébrale. Avec des premiers résultats très encourageants puisque plus de 80 réparations ont ainsi été réalisées au sein de l’unité.  "L'intérêt du bioverre c'est qu'il va stimuler les cellules responsables de la repousse osseuse, les ostéoblastes, et qu'il se résorbe totalement dans l'organisme au bout de trois à six mois," explique-t-il.

    D’autres centres hospitaliers ont décidé de tester ce dispositif médical, notamment à Marseille (AP-HM), à Paris (AP-HP) et en région lyonnaise.

     

  • Envoyé par une amie, perso, je ne parle que Français

    “j'ai vérifié la traduction, c'est exact, d'après cet article: http://www.n24.de/n24/Nachrichten/Panorama/d/8777854/-habe-vom-recht-gebrauch-gemacht--meine-frau-zu-toeten-.html

    L'homme a 3 enfants de 3 à 8 ans, il a étranglé sa femme pensant qu'elle le trompait... On ignore si les enfants ont vu la scène

    "J'ai usé de mon droit de tuer ma femme.

    Il ne comprend pas pourquoi on le mets en prison!

    "Ich habe von meinem Recht Gebrauch gemacht, meine Ehefrau zu töten." Warum er ins Gefängnis komme, habe er nicht verstanden.

    C'est sur que les mœurs européennes sont plus "rudes" qu'ailleurs...

    au Moyen-Age, en France, celui qui violait une prostituée (ou une non prostituée), était condamné à mort...

    http://www.fdesouche.com/746097-jai-use-de-mon-droit-tuer-ma-femme-explique-jumaah-k-refugie-irakien-en-allemagne

  • Ben voyons!

    Un jeune djihadiste français, très connu des services de renseignement, se serait rendu aux autorités turques, selon BFMTV. L’homme de 23 ans avait rejoint le Front al-Nostra puis Daech, où il est vite monté dans la hiérarchie. Il figure sur la liste noire des terroristes les plus dangereux établie par l’Organisation des Nations Unies (ONU).

    L’homme est soupçonné d’avoir mis en place un système de financement du terrorisme et d’avoir été un recruteur de femmes pour les rangs djihadistes. Il a notamment recruté l’une de ses épouses, qu’il avait fait venir en Syrie alors qu’elle était encore mineure.

    Depuis quelques mois, ce djihadiste a exprimé son souhait de revenir en France pour se repentir. Toujours selon BFMTV, il avait contacté les autorités depuis la Syrie pour leur expliquer qu’il préférait les prisons françaises à “ces malades“ de Daech. Avec ses quatre épouses et leurs sept enfants, il s’est rendu aux autorités turques.

     

    (…) Le Parisien

    Fdesouche

     

     

  • Pendez-les à un croc de boucher!

    Suède: 35 filles âgées de 12 à 17 ans agressées sexuellement par des migrants lors d’un festival

    Une fille de 17 ans a raconté l’épreuve qu’elle a subie après qu’une foule de "jeunes étrangers" a agressé sexuellement des dizaines de filles au cours d’un festival de musique en Suède.

    Au moins 35 victimes âgées de 12 à 17 ans ont signalé avoir été attaquées durant le festival "Party in the Park" à Karlstad, à 400 kilomètres de Stockholm, dans le comté suédois du Varmland, vendredi et samedi soir.

    Certaines des victimes présumées ont rapporté avoir été "embrassées et tripotées" lors de scènes similaires aux attaques du nouvel an à Cologne, au cours desquelles des dizaines de femmes affirmèrent avoir été agressées.

    L’une des victimes (17 ans) a renoncé à son droit à l’anonymat pour décrire comment un assaillant l’a ciblée pendant qu’elle regardait le concert.

    Alexandra Larsson a raconté au MailOnline qu’elle a été agressée vendredi soir alors qu’elle avait hâte d’assister au festival depuis des mois.

    Elle dit: "Tout allait bien au début de la soirée. Mais tout est parti en vrille pendant le dernier concert de John de Sohn qui a commencé à minuit. D’abord, on a été poussés contre la scène par une foule énorme. Tout le monde autour de nous se comportait vraiment mal et mes amis ont demandé à deux garçons de se calmer.

    Ils ont été alors menacés par ces garçons qui ont dit "tu vas mourir, salope". Mais les injures n’étaient qu’un début. Les choses allaient empirer. Nous avons réussi à nous éloigner de ces garçons au bout d’un moment et nous avons regardé le concert. C’est là que j’ai senti le premier contact contre mes fesses. Ensuite, quelqu’un s’est permis de serrer mes fesses très fort. Je me suis retournée pour dire au groupe de garçons derrière nous que ce n’était pas bien d’agir ainsi, mais je ne savais pas qui avait fait ça. Quelques instants plus tard, j’ai senti que quelqu’un faisait courir ses doigts entre mes jambes et touchait mes parties génitales. Par chance, je portais un jean“.

    Après ce harcèlement, elle s’est retournée pour dire au groupe de jeunes qui se tenaient à coté d’elle qu’ils devraient arrêter de faire ça. Mais tout le monde autour d’elle clamait son innocence.

    Ça a recommencé, dit-elle.

     "Je me suis retournée et j’ai hurlé" peu importe qui c’est – tu es un porc! ". J’ai raconté à mes amies ce qui s’était passé; elles étaient toutes choquées. Mes amies et moi avons décidé de quitter le concert car on ne pouvait pas voir qui faisait ça. C’était noir de monde.

    Mlle Larsson décrit un sentiment d’impuissance tandis que le festival qu’elle et ses amies attendaient depuis si longtemps était complètement gâché.

    "C’était glauque. Il y avait quelqu’un autour de moi qui me tripotait et je n’avais aucune idée de son identité. C’était dégoûtant. Nous étions venues pour nous amuser, mais notre festival n’aura duré que 20 minutes car nous nous sentions très mal à l’aise“.

    "C’était d’abord un peu innocent, on me touchait les fesses. C’est quelque chose qu’on peut faire par erreur au milieu d’une foule immense. Mais c’est devenu de pire en pire. Celui qui me touchait allait plus loin à chaque fois“.

    Elle dit que les garçons autour d’elle avait 17-18 ans. Mais "ceux qui se trouvaient derrière moi n’étaient pas d’origine suédoise. C’était probablement des immigrés. Je déteste dire ça, mais c’est la vérité“.

    "J’ai signalé tout ça à la police, mais j’ai l’impression que c’est une goutte d’eau dans l’océan. J’ai vu des filles sortir en pleurant, dont une amie d’enfance qui a deux ans de moins que moi. Elle pleurait tant que j’en avais le cœur brisé. La  même chose lui est arrivée devant la scène. Une bande d’adolescents cachés dans la foule l’avait attrapée par les fesses, les seins et les parties génitales. Je pense qu’au moins des centaines de filles ont été agressées durant le festival. Il y a probablement des tas d’incidents non répertoriés. Des filles ayant peu d’estime pour elles-mêmes pourraient penser que tout est de leur faute, qu’elles ont peut-être fait quelque chose de mal qui a provoqué tout ça. Mais elles ont ort. Personne ne peut toucher une femme sans recevoir sa permission“.

     

    "J’ai entendu parler d’autres filles qui avaient été tripotées durant des festivals précédents. Mais l’avoir subi m’a rendu malade, surtout parce que c’était si brutal. C’était comme un coup de poing en plein visage. Je voyais des filles qui pleuraient partout autour de moi quand j’ai quitté le festival. Je ne sais pas si toutes avaient été agressées, mais la plupart d’entre elles avaient subi des violences sexuelles devant la scène“.

    Mlle Larsson dit qu’elle est "assez forte pour faire face", mais ajoute: "Quand une fille de 14 ans qui n’est pas aussi forte devient une victime, elle risque d’être totalement détruite. C’est ça qui me dégoûte. Ça arrive tout le temps mais on ne peut rien faire. Je ne sais pas quoi penser, c’est tellement mal. Tout le monde pense que c’est mal mais rien ne se passe. Il y a des grands festivals avec des milliers de participants et ces incidents de masse créent un sentiment d’impuissance autant pour la police que les agents de sécurité, et surtout pour les visiteurs qui deviennent des victimes“.

    "Les responsables savent qu’ils demeureront anonymes au milieu de la foule et qu’ils échapperont aux poursuites pour crimes sexuels. C’est le problème principal, que les responsables s’en tirent“.

    "Ce n’est pas bien. Je devrais pouvoir me rendre à des festivals et m’amuser comme n’importe qui d’autre sans avoir peur. C’est mal, vraiment mal, c’est le sentiment que j’ai après les évènements d’hier. C’est très dur pour des gens ordinaires qui souhaitent s’amuser de souffrir parce que d’autres pensent que les violences sexuelles sont quelque chose d’amusant“.

    Elle croit que le problème est en train de s’étendre "car les assaillants savent qu’ils ne seront pas arrêtés“.

    Mais elle ajoute que la police a pris l’affaire " très au sérieux " lorsqu’elle a signalé l’incident et espère que ça va déboucher sur quelque chose.

    "Je ne viendrai plus à ce festival. J’étais si mal à l’aise, je ne veux pas prendre le risque que ça se reproduise“.

     "J’en ai parlé à mon père et à mes trois frères. Ils étaient dévastés d’apprendre ce qui s’était passé. Surtout mon père qui m’a dit que les hommes normaux savent qu’ils n’ont pas le droit de toucher des femmes qui ne le veulent pas. Il ne comprend pas quels sont les repères moraux de ces garçons“.

    La police a indiqué que les auteurs de ces agressions étaient des "hommes jeunes, des étrangers".

    Ils ont arrêté deux garçons qui vivent non loin, dans un centre de réfugiés pour mineurs isolés de leurs parents.

    Le tabloïd Expressen a parlé avec une mère inquiète qui a affirmé qu’un agent de sécurité a répondu à sa fille "c’est juste un truc qui arrive dans les festivals", lorsque celle-ci s’est plainte d’avoir été agressée. Sa fille a décrit ce qui lui était arrivé. Elle a ajouté: "J’étais debout en train de danser lorsqu’un type est venu par derrière, m’a plaquée au sol et se frottait contre moi. C’était horrible“.

    Selon Breitbart, le promoteur du festival a indiqué qu’il trouvait que le comportement de son staff était inacceptable, qu’ils devraient perdre leur agrément d’agents de sécurité.

    24 agressions présumées ont eu lieu durant le festival, 11 autres à la fin, selon Breitbart.

    Les incidents ont eu lieu une semaine après que la police suédoise a lancé sa nouvelle campagne contre les agressions sexuelles. L’objectif principal de la campagne était de distribuer des bracelets "Don’t molest" ("pas d’agression sexuelle" dans les festivals et de lancer un hashtag sur Twitter, #tafsainte ("ne tripotez pas").

    Daily Mail

    (Merci à Propatria pour la traduction) - Lu sur Fdesouche

    Selon la police, les attaques se sont produites au cours du festival  Party in the Park“‘

    Les autorités ont déclaré que les auteurs sont des "jeunes hommes étrangers“‘

    Les agents ont arrêté deux garçons vivants dans un centre d’asile à proximité

    Une victime, Alexandra Larsson, 17 ans, a renoncé à l’anonymat pour décrire son calvaire

    Daily Mail

     

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