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société - Page 9

  • Des abus sexuels sur des bébés hospitalisés, c’est possible en France?

    De quoi refuser de laisser son enfant seul à l’hôpital! Des parents qui, rassurés d’avoir laissé leurs petits aux mains de gentilles infirmières très maternelles,  découvrent que, soir après soir, leur nouveau-né a été utilisé comme outil sexuel… Ça donne des envies de meurtre et je doute que les parents retrouvent un jour calme et sérénité après cette affaire.

    Juliette S, une infirmière exerçant à l’hôpital André Grégoire de Montreuil, dans le service de réanimation néonatale,  faisait subir aux bébés des attouchements, des violences et abus sexuels. Elle se filmait mettant son doigt dans la bouche d’un bébé tout en effectuant des gestes de va-et-vient sur le sexe de ce dernier. Ces vidéos étaient destinées à son compagnon de l’époque.

    Celui-ci les aurait ensuite envoyées à une autre femme avec laquelle il correspondait. Consciente de la gravité des faits, cette dernière a piégé l’homme et diffusé les images sur le réseau X, ce qui a poussé l’infirmière à se présenter au commissariat de Clichy-sous-Bois pour dénoncer les actes qu’elle aurait commis. Elle envoyait les images à son compagnon Redouane, employé à l’aéroport de Roissy, histoire de le faire bander et/ou éjaculer, allez savoir et lui-même faisait circuler sur le net… Il aurait envoyé à une autre femme qui aurait compris la gravité et aurait révélé l’affaire.En tout cas c’est abominable, impardonnable…

    Ce qui est également impardonnable, c’est la mansuétude du juge qui, pendant l’enquête, a relâché les 2 criminels, juste condamnés à ne plus entrer en contact en attendant enquête et jugement… La criminelle, elle, argue pour se défendre qu’elle était sous emprise (pauvre petite caille…).

    L’homme est mis en examen pour complicité d’agression sexuelle, détention, captation et transmissions d’images à caractère pédopornographique. Ils ont été dénoncés par leurs vidéos qui ont circulé sur les réseaux sociaux… simple perversité qu’ils partageaient histoire d’être encore plus excités ou bien le Redouane en question monnayait-il les images?

    8 familles déposent plainte, 6 se constituent partie civile… pour savoir si leur bébé a fait partie des petites victimes. Oui on en est là. Silence radio. Vous savez qu’il y a eu des horreurs commises dans le service réanimation pédiatrique pendant la période où votre enfant y était hospitalisé, mais personne ne vous dit s’il a fait partie des petites victimes…

    LES PARENTS OBLIGES DE SE PORTER PARTIE CIVILE POUR ESPERER CONNAITRE UN JOUR LA VERITE…

    Les faits se seraient passés d’octobre 2024 à début 2025… Les policiers réclament seulement des photos décembre et janvier de leurs bébés hospitalisés pour les comparer avec celles tirées des vidéos qui ont circulé… Vous imaginez le cauchemar des parents???

    La question qui tue: pourquoi les 2 monstres sont-ils dans la nature? Pourquoi n’ont-ils pas été enfermés, en détention provisoire le temps de l’enquête? Pour leur donner le temps de fuir à l’étranger et d’épargner ainsi les éventuels gros bonnets mouillés dans l’affaire? Oui, cette affaire est atroce et elle pue salement.

    Les juges auraient expliqué que les 2 mis en cause étaient bien insérés professionnellement et qu’il n’y avait pas d’antécédents judiciaires… Ben voyons! Les mauvaises langues ajoutent que, peut-être, les juges, de vrais papas gâteaux pour les agresseurs de bébés, auraient eu peur que lesdits agresseurs ne reçoivent une juste punition de la part de leurs codétenus.

    Quelque chose est pourri au royaume de France.

    Christine Tasin

     

  • ATTENTION!

    ATTENTION: pour les personnes de plus de 75 ans!

    TOUS les médecins et spécialistes ont reçu un courrier pour leur demander de ne pas trop "aider" les personnes de plus de 75 ans à se soigner et à faire, pour cela, des examens médicaux: radios, scanner, IRM..

    de leur donner des doliprane et autres rivotril pour les calmer et de résister le plus possible à leurs demandes

    J'en ai la preuve, l'hôpital a refusé de me faire un IRM

    sous un prétexte fallacieux…

    je me suis renseignée auprès de divers soignants qui n'ont pas aimé répondre à cette question!

    Résistez, ne vous laissez pas faire  et parlez-en à ceux de votre âge autour de vous!

  • Le Bohemian Club reproduit des croyances païennes archaïques

    Le Bohemian Club est la principale société secrète de la gouvernance occulte. Le point de ralliement est situé à Santa Rosa, en Californie, à 120 kilomètres au Nord de San Francisco. Créé en 1872 par cinq journalistes, c’est l’un des clubs les plus fermés au monde. Il est réservé à une élite, il regroupe environ 2300 hommes d’influence, d’origine nord-américaine, européenne et asiatique. La cotisation annuelle et la compensation aux déficits sont de l’ordre de 10 000 à 20 000 dollars.

    Pour en faire partie, la liste d’attente exige une dizaine d’années de patience. La majorité des membres sont californiens: des PDG d’entreprises, de hauts fonctionnaires, des membres de conseils politiques ou de fondations. L’élite de la justice, du commerce, du milieu universitaire, médical, scientifique, littéraire. Tous se réunissent chaque année, les deux dernières semaines de Juillet dans la forêt californienne.

    Cette élite forme la tête et le corps de l’actuelle gouvernance mondiale. Il s’agit d’une classe de personnalités de la société civile, riches, influentes, souvent charismatiques, à l’instar des anciens druides. L’initiation à la cause grandiose produit un impact indélébile sur le psychisme de chacun d’entre eux.

    Ils sont à l’origine de l’actuel enlisement économique et social. Ils sont à l’origine des réformes sociétales, aux conséquences gravissimes. Tout cela afin de conditionner les peuples et les Etats. Les peuples et les Etats doivent finalement accepter le programme de sauvegarde d’un Nouvel Ordre Mondial économique et environnemental. Bon gré, mal gré. Avec le consentement ou de force.

    Dans le parc californien du Bohemian Club, sur une place aménagée, en l’honneur des membres et de leurs invités, placés sous haute surveillance, des représentations théâtrales rituelles consistent à mettre le feu au pied de la haute statue en forme de chouette et de simuler des sacrifices humains. Une statue géante de douze mètres, en forme de hibou, taillée dans la roche, surplombe leurs réunions secrètes. La figure mythique de cet oiseau a été reproduite sur les planches à billets de la FED, en minuscule figurine. Le recours au symbole prouve qu’ils ont besoin d’un support matériel pour tirer force de l’esprit. Pourquoi ont-ils choisi l’emblème de la chouette ou du hibou?

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  • Nos dirigeants n’ont plus le pouvoir de garantir le bien commun

    En France, tout le système politico-médiatique conspire à nous faire croire que nos gouvernants gouvernent et que nos présidents président, conformément au texte de la Constitution de 1958. Personne, comme dans le conte d’Andersen, n’ose dire que le roi est nu, c’est-à-dire que nos gouvernants n’ont plus le pouvoir de garantir le bien commun au sein de la zone euro. Et, par conséquent, que les élections ne servent progressivement plus à rien dans l’Union européenne. C’est le grand secret que tous s’efforcent de nous cacher, mais de plus en plus difficilement.

    LA FICTION DU POUVOIR

    Les institutions nous font vivre dans un univers de fiction, comme si nous étions encore dans la France des années 1970.

    Comme on fait défiler nos soldats le 14 juillet pour faire croire que nous avons encore une armée à même de garantir notre indépendance, alors que nous nous soumettons à l’OTAN, qui veut nous engager dans des conflits qui ne sont pas les nôtres. Comme on n’a de cesse d’invoquer une République dont on a trahi toutes les valeurs fondatrices.

    Ceux qui sont " au pouvoir " nous font croire qu’ils prennent des décisions, alors que la réalité du pouvoir a fui les palais nationaux. Car aujourd’hui, les vrais décideurs résident à Bruxelles, à Francfort, à Berlin, à Washington, dans les prétoires, dans les salles de rédaction, dans les lobbys et dans les organes dirigeants des grandes entreprises mondialisées. Pas à Paris.

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  • Une vaste étude montre que l’aluminium présent dans plusieurs vaccins

    n’augmente pas le risque de maladie auto-immune ou allergique et de trouble du développement cérébral chez les jeunes enfants

    La vaccination se heurte à des réticences ou des oppositions aux motivations variées et complexes, parmi lesquelles figure la crainte d’effets délétères mal évalués ou cachés.

    Tous les composants des vaccins sont suspectés d’avoir des effets autres que celui qui justifie leur présence, les rendant potentiellement responsables d’altérations passagères ou durables de certains organes et de leurs fonctions. Parmi ces composants, les sels d’aluminium utilisés comme adjuvants depuis des décennies et présents dans plusieurs vaccins administrés dès le plus jeune âge (diphtérie, tétanos, coqueluche, Haemophilus influenzae, pneumocoque, hépatites) sont régulièrement mis en cause.

    Les adjuvants ont pour rôle d’augmenter l’efficacité de la vaccination en élevant le niveau de la réponse immunitaire, parfois en l’orientant vers ses composantes les plus actives. Ils permettent aussi de réduire la quantité d’antigène présente dans les doses de vaccins.

    A la différence d’autres métaux, l’aluminium n’a pas de rôle dans l’organisme, mais il s’y trouve présent en petites quantités en raison de sa très large répartition dans l’environnement.

    En cas d’absorption excessive ou de troubles de l’élimination (altération des fonctions hépatiques et surtout rénales), il peut s’accumuler, principalement dans les os et le système nerveux.

    Il peut alors être responsable d’une fragilité osseuse, ou de troubles neurologiques (anomalies du développement cérébral chez les sujets jeunes, altérations diverses chez les adultes).

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  • L’aventure "morale" des ONG, c’est terminé!

    Les organisations non gouvernementales (ONG) sont aujourd’hui sur la sellette. Les crédits leur sont coupés.

    LICENCIEMENTS EN SÉRIE

    Une enquête menée dans 160 pays par le Conseil international des agences bénévoles (ICVA) a révélé que 54  % des ONG humanitaires opérant dans 150  États ont dû licencier du personnel après le démantèlement de l’USAID.

    L’USAID, l’agence qui distribuait l’aide au développement du gouvernement fédéral américain, a fermé boutique : les 35 milliards de dollars distribués en 2024 ont été réintégrés dans le budget fédéral en 2025, et les 10 000 salariés de l’Agence ont presque tous été licenciés.

    International Rescue Committee (IRC), dont le budget a été réduit de 650 millions de dollars, a licencié plusieurs milliers de personnes ; Mercy Corps qui tirait 26 % de ses financements de l’USAID, a licencié les deux tiers de ses effectifs affectés à des programmes étrangers  ; Save the Children a licencié 2300 personnes et a fermé ses bureaux dans cinq pays ; Amref Health Africa a perdu 30 millions de dollars, a licencié 692 personnes et arrêté plus de vingt programmes; Danish Refugee Council a licencié 2000 salariés en raison d’un budget en baisse de 70 millions de dollars ; World Vision a licencié 3000 salariés ; Norwegian People’s Aid a licencié plus de 1700 employés ; Catholic Relief Services s’apprête à licencier jusqu’à 50  de son personnel mondial, ce qui affectera le travail dans 120 pays; FHI 360 a licencié 700 employés, etc.

    LE DEMANTELEMENT DE L’USAID N’A RIEN EU D’ISOLÉ

    Les 15,3 milliards de livres sterling (17,6 milliards d’euros) que la Grande-Bretagne a consacrés à l’aide au développement en 2023 (0,58 % du PIB) devraient chuter à 9,2 milliards de livres sterling (10,5 milliards d’euros) en 2027.

    En France, le projet de budget 2025 envisageait déjà un recul de 34 % des crédits affectés aux pays pauvres.

    Aux Pays-Bas, les coupes budgétaires totaliseront 2,4 milliards d’euros d’ici 2027.

    Le 16 avril 2025, l’OCDE a révélé qu’après cinq années consécutives de hausse, le montant de l’aide au développement a baissé en 2024 de 7,1 % par rapport à 2023. On n’ose imaginer le chiffre de 2025.

    GRANDEUR ET DÉCADENCE DES ONG

    L’aide au développement est une curiosité budgétaire propre aux pays occidentaux. La Chine ne dépense pas un yuan pour le tiers-monde, ni la Russie un kopeck, sans parler des pays arabes producteurs de pétrole.

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