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LA VERITE! - Page 357

  • Vous avez tort, Monsieur Juppé!

    Général Vincent Desportes a écrit:

    Monsieur Juppé,

    Les propos que vous avez tenus le 25 avril devant les étudiants de l’IEP de Bordeaux – " Un militaire, c’est comme un ministre : ça ferme sa gueule ou ça s’en va " – sont indignes. Méprisants, ils montrent une profonde méconnaissance de la réalité stratégique.

    Vous avez d’abord tort sur le fond. Non, les militaires n’ont pas à "la fermer“ comme un ministre. La première loyauté d’un ministre au service d’une politique fluctuante, souvent politicienne, est envers son président. La première loyauté d’un militaire au service permanent de la nation, de ses intérêts et de ses valeurs, est envers la France. Structuré par l’éthique de conviction, il doit prendre la parole pour lui rester fidèle, plutôt que de la renier. N’est-ce pas l’exacte attitude du général de Gaulle, tant par ses écrits que dans sa remarquable attitude au moment de la défaite de 1940 et des lâchetés qui l’ont suivie?

    Vous avez tort dans la forme, ensuite. Candidat à la présidence, vous devez le respect à ceux qui ont dédié leur vie à la protection de cette nation que vous souhaitez diriger. Votre réponse à l’emporte- pièce contredit le discernement attendu de celui qui vise la plus haute magistrature.  Car qui, dans la société civile, détient les connaissances, expériences et compétences, acquises par l’étude et le terrain, des officiers supérieurs et généraux? Pourquoi nos concitoyens ne seraient-ils pas informés par "ceux qui savent", comme dans les autres domaines de l’action publique? Les responsables militaires sont les mieux placés pour réfléchir aux conditions d’emploi des armées, pour apprécier les menaces, élaborer les solutions militaires propres à l’atteinte des buts politiques. Experts en leur domaine, les militaires ont, vis-à-vis de la nation, un devoir d’alerte.

    Vous avez tort politiquement, enfin. Quelle maladresse de vous aliéner une population qui vous était plutôt favorable: malmenée par la calamiteuse loi de programmation militaire 2014-2019, écartelée entre la multiplication des missions et l’érosion des capacités opérationnelles, elle en avait fini par oublier la loi de programmation 2008-2013, pourtant pire, et le mépris avec lequel elle avait été traitée lors de la crise de l’été 2008 consécutive à l’accident de Carcassonne. [En 2008, à Carcassonne (Aude), les journées portes ouvertes des militaires tournent au drame: au lieu de balles à blanc, un sous-officier a mis un chargeur de balles réelles dans son fusil. Bilan : 16 blessés] et à l’embuscade d’Uzbin, en Afghanistan. A vrai dire, le doute était déjà permis. Votre livre programme ose s’intituler: Pour un Etat fort, alors même que l’armée, à peine mentionnée, en est la grande absente!

    Qu’implicitement vous souteniez un exécutif qui a puni d’une "mutationsanction" un officier général dont le seul tort est d’avoir dit la vérité aux représentants de la nation dénote une attitude dangereuse. Fallait-il que le général Soubelet mente devant une commission parlementaire le 18 décembre 2013? Quelle est cette démocratie dont l’exécutif punit une de ses autorités parce qu’elle est sincère vis-à-vis des représentants du corps législatif? Pourquoi la démocratie américaine, avant toute audition au Sénat, fait-elle jurer aux intervenants de dire toute la vérité, quand notre propre démocratie sanctionne à l’inverse ceux qui se tiennent à l’exactitude des faits?

    UNE MALSAINE JURISPRUDENCE

    Que, par la suite, ayant été renié par les responsables exécutifs de la nation à laquelle il avait consacré sa vie, le général Soubelet décide de s’affranchir de sa réserve et dénonce le laxisme judiciaire et pénal français l’honore et montre à tous que l’on ne peut contraindre indéfiniment au silence ceux dont l’éthique de conviction est la règle de vie. D’ailleurs, le devoir de réserve des militaires est en France trop surinterprété. Inhibé par des années de stricte obéissance silencieuse, le militaire, facilement bon élève, s’est autocensuré.

    S’enfonçant dans son cantonnement juridique, il s’est enfermé dans un conformisme excessif et, hors du champ technico-tactique, a contraint sa pensée à ce qu’on lui dit de penser. Bridé par ce devoir de réserve scrupuleux, devenu révérant envers des autorités administratives ou politiques auxquelles il rend le mauvais service de ne dire que ce qu’elles veulent entendre. Pourtant, l’honneur des chefs militaires n’est pas de mettre en œuvre, au garde-à-vous, des décisions destructrices pour les armées: il tient dans la loyauté sans le renoncement, la loyauté sans le reniement, la fidélité à la nation.

    D’un point de vue légal, les militaires ont le droit de s’exprimer publiquement. Si, dans les faits, la parole est contrainte, et si la très grande majorité des militaires estime devoir se tenir à un strict silence, le mal est venu d’une malsaine jurisprudence étatiquement entretenue.

    Vous devriez savoir, monsieur Juppé, que cet excessif cantonnement militaire est une spécificité française, si l’on excepte les armées de dictature. Dans la plupart des pays développés, les voix des armées sont attendues et entendues. En Grande-Bretagne, les plus grands chefs militaires savent, si nécessaire, émettre des critiques vis-à-vis de décisions politiques de défense; ils sont dans leur rôle, et aucun n’a jamais été "démissionné". Aux Etats-Unis, les grands leaders militaires demandent à leurs subordonnés d’exprimer leurs avis et eux-mêmes énoncent leurs positions. Leur voix est respectée parce qu’ils sont les professionnels d’un art complexe; leur avis est souvent suivi par leur "commandant en chef", le président américain.

    Monsieur Juppé, ne prenez pas le militaire pour un simple technicien. Il est bien plus que cela, dans et pour la nation. Son devoir est de penser la défense pour l’immédiat et pour le temps long, au-delà des horizons politiciens.

    LIBÉRER LA PENSÉE CRITIQUE

    L’expression des militaires sur les problèmes organiques, sécuritaires et stratégiques est nécessaire: les restrictions dont elle souffre desservent la France. L’Histoire regorge d’évidences. Après la victoire d’Iéna, c’est par la liberté donnée aux officiers d’apporter des idées nouvelles que la Prusse trouve les principes qui feront de l’armée prussienne puis allemande cet outil redoutable dont la France souffrira à l’été 1870, en août 1914 et au printemps 1940. L’esprit du "Je rayerai du tableau d’avancement tout officier dont je verrai le nom sur une couverture de livre" de Mac-Mahon a fondé la défaite de 1870. La même attitude du général Gamelin de 1935 à 1940 mènera au nouveau Sedan.  Ainsi, vous avez stratégiquement tort, monsieur Juppé, lorsque le 25 avril vous complétez vos propos par cette affirmation digne de Coluche: "Certes, tous les militaires ont le droit de penser, mais il y a quand même des limites à ne pas dépasser“.

    Cette nécessité de l’expression est consubstantielle de la nature dialectique de la stratégie. Comme l’écrit le général Beaufre, celle-ci "est un processus d’innovation permanente". Celui qui ne pense plus est condamné à la défaite. Selon la formule américaine, il faut penser "out of the box", libérer la pensée critique, en admettre la nécessité et les débordements éventuels. Il n’y a pas de nation victorieuse qui n’ait su créer dans ses armées les conditions de l’expression de ses officiers. Pour la nation, l’armée doit tenir son rang et jouer son rôle.

    La nation est portée par ses corps sociaux qui dépassent l’Etat. Soutenir la nation, c’est soutenir l’expression de ses différents corps. Si l’un vient à manquer, tout l’édifice devient bancal. Enfin, la règle darwinienne s’applique aux militaires : les organes qui ne servent plus s’atrophient. Quand les militaires se cantonnent à leur technicité, ils perdent le goût de la pensée, et les meilleurs, ceux dont la France aura besoin aux heures sombres – les Foch, de Gaulle, Leclerc ou Koenig –, ne sont plus attirés par une profession où ils ne pourront plus faire grandir le meilleur d’eux-mêmes. Les Français doivent en être sûrs : si la discipline demeure la force principale des armées, la pensée libérée est la deuxième composante de son efficacité. L’équilibre est fragile, mais le déséquilibre en faveur du silence est la première marque de la sclérose, donc de la défaite.

    LE SILENCE DE DEUX GÉNÉRATIONS

    Cantonnée dans un rôle de mise en œuvre, la haute hiérarchie militaire a laissé le politique s’emparer de la réflexion de défense: les institutions de la Ve République, l’émergence du nucléaire et le précédent algérien ont favorisé cette mainmise. Un demi-siècle: le silence de deux générations!

    Certes, depuis des années, les officiers s’expriment sur leurs expériences professionnelles. Mais aujourd’hui, toute contestation de l’organique ou de l’opérationnel est assimilée à une contestation de l’exécutif. Trop peu d’officiers jouent leur rôle de "stratège pour la France". Peu s’expriment sur le fond dans les médias. On ne les entend pas sur les problématiques stratégiques, les dérives de l’institution militaire, la dégradation des forces. S’ils se permettent un commentaire à l’encontre de la ligne de l’Elysée, la sanction est immédiate.

    Les règles sont connues. La première: tant que le militaire est sous l’uniforme, il ne peut s’exprimer; et lorsqu’il ne l’est plus, il n’a plus de légitimité à le faire. La seconde: si, sous l’uniforme, il s’exprime en dehors du champ technique, il est aussitôt sermonné ou sanctionné; si, ayant compris cette impossibilité, il parle sous couvert d’anonymat, on lui reproche illico sa couardise, on l’accuse de complotisme, on fouille de manière illégale son ordinateur, on interroge ses proches, on le fait suivre et on le met sur écoute comme un criminel. Je l’ai vécu.

    Monsieur Juppé, le politique se trompe en voulant limiter la pensée du militaire. Son devoir est au contraire de tout mettre en œuvre pour favoriser l’esprit critique dans les armées. Les Français doivent l’exiger, tant ils ont payé son absence très cher: la négation des dimensions politique et stratégique du soldat, son cantonnement toujours plus étroit dans ce que l’on baptise à tort son "cœur de métier", le déni de son devoir d’expression constituent une menace directe pour la sécurité de nos concitoyens.

    Pour toutes ces raisons, vous avez tort, monsieur Juppé.

    Le général Vincent Desportes est professeur associé à Sciences Po. En juillet 2010, après  avoir accordé un entretien au "Monde" à propos de la stratégie américaine en Afghanistan, le général, alors directeur de l’Ecole de guerre, est sanctionné par sa hiérarchie sur ordre d’Hervé Morin (UDI), ministre de la défense, et doit quitter ses fonctions.

    http://www.lemonde.fr/idees/article/2016/05/04/le-general-vincent-desportes-vous-avez-tort-monsieur-juppe_4913212_3232.html

  • Salopards!

     Des adolescents attaquent et mettent le feu chez une personne handicapée

    Croissy-sur-Seine (78)

    Deux adolescents de 15 ans ont été interpellés, dans la nuit de jeudi à vendredi à Croissy-sur-Seine, après une agression commise au domicile d’une personne handicapée. A 1 h 05, les jeunes hommes s’introduisent au domicile de la victime, placée sous tutelle.

    Pour une raison encore obscure, ils aspergent l’appartement de White-spirit et mettent le feu dans la cuisine. La victime parvient à maîtriser les flammes en jetant un seau d’eau et prévient la police. Les adolescents sont interpellés alors qu’ils sont encore dans l’appartement. Ils ont été placés en garde à vue dans les locaux du commissariat de Saint-Germain-en-Laye.

     

    Le Parisien

  • Mais, enfin.... ce n'est pas possible!!!!!!!! ils sont pire que fous!

    Il faut faire quelque chose! que les parents et grands parents envahissent les écoles et protestent!!!!!

    Il en va de l'avenir de vos enfants!

    Faites suivre, faites passer: c'est plus ébouriffant, c'est à pleurer.....

     

    " Sa va dps samedi ? G1 truc a te dir jcroi kon devré fer 1 brek… "

    Manuel scolaire 5ème, 4ème, 3ème, éditions Nathan.

    Voilà, la réforme du collège devient concrète.

    Cette semaine, les enseignants découvrent, effarés, les manuels scolaires conformes aux injonctions ministérielles, préparés dans l’improvisation totale pour la rentrée prochaine. C’est un cours de maths remplacé par un sondage dans la classe sur les discriminations. C’est la littérature et la langue françaises sacrifiée pour des "punchlines" et des SMS. C’est l’immense aventure des sciences qui s’achève dans une curiosité morbide pour la mort de Claude François dans sa baignoire.

    Immense tristesse, immense colère aussi. J’ai la rage au fond du cœur de voir ce délire devenir réalité, avec la collaboration honteuse d’éditeurs serviles et lâches, dans le silence des médias et dans la passivité générale – si l’on excepte la complicité coupable de l’enseignement privé.

    Tous ceux qui coopèrent à cette immense dévastation, à ce mensonge, à ce délire, j’espère qu’ils ont un peu honte, au fond d’eux mêmes. Et j’espère, envers et contre tout, que cette réforme n’ira pas jusqu’au bout. Parce que ce n’est pas possible… Ils n’ont pas le droit. Nous n’avons pas le droit.

    L’école n’a qu’une seule mission : élever les élèves qui lui sont confiés. Chacun d’entre eux porte en lui quelque chose d’exceptionnel, et chacun d’entre eux a droit au meilleur de ce que nous avons reçu. De quel droit allons-nous priver les générations qui viennent de la beauté, de la grandeur, de l’intelligence ? De quel droit condamnons-nous ces enfants à ne plus rien comprendre de leur propre histoire, de leur langue, de leur culture ? Quand la conjugaison est remplacée par l’approximative " impression " des temps, quand toute la maîtrise de la langue consiste à faire de bonnes vannes et à casser avec sa copine, qu’espérons-nous faire grandir chez nos élèves ?

    Le manuel "Le livre scolaire", ici reproduit, comporte une phrase de Abd Al Malik qui résume à elle seule toute cette réforme du collège: "A force de vouloir se faire rue, on est devenu caniveau“.

    Voilà à quoi ressemble une civilisation qui meurt.

    Je voudrais crier partout ma tristesse pour ces enfants qu’on sacrifie… Qui ne trouveront à l’école que ipads, des SMS et des anecdotes people – tout ce qu’ils connaissent déjà en fait, bien mieux que nous, d’ailleurs, et ils nous trouveront bien ridicules de vouloir leur apprendre le "swag“"

    Je voudrais crier ma tristesse pour ces gamins condamnés à la pauvreté culturelle par l’école, le lieu même qui aurait dû être pour eux le chemin de l’évasion vers ce qu’il y a d’universel, d’intemporel – les grands textes, les grandes œuvres, les grandes découvertes, tout ce qui fait grandir le cœur, tout ce qui élargit le regard… Pour ces talents qu’en chacun d’eux nous condamnons à la médiocrité.

    Quand j’avais sept ou huit ans, mon grand-père m’a offert l’Anthologie de la poésie française, de Georges Pompidou, et il m’a dit: "Si tu veux être heureux dans la vie, il faut apprendre deux vers par jour“. Je l’ai fait. Il avait raison. J’ai découvert un savoir, une saveur de la vie que je ne soupçonnais pas, que le quotidien ne donne pas. Je n’ai pas tout compris bien sûr – pas tout entier, pas tout de suite… Mais c’était beau. C’était grand. Et finalement, c’est tout simplement que ce qu’il y a de beau, de grand, se dépose dans un cœur d’enfant pour l’enrichir, par le cœur. Mais qui maintenant aura encore la chance d’apprendre un peu de poésie – par cœur?

    Maintenant que le sujet des manuels de littérature, c’est: "jcroi kon devré fer 1 brek… "

    Voilà à quoi ressemble une génération qui renonce à transmettre.

    J’ai tant de tristesse au cœur…

    Pourquoi ne nous réveillons-nous pas?

    http://www.fxbellamy.fr/blog/2016/04/30/jcroi-kon-devre-fer-1-brek/

     

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  • Ce qu’un jeune pense de Nuit Debout

    Comment la jeunesse doit-elle se positionner parmi ces revendications ? Un lycéen nous livre son analyse du mouvement Nuit Debout.

    Par Lyvann Vaté.

    Etudiant en classe de première, Lyvann Vaté, né en 2000 à Auxerre, vit sur la Côte basque. Il publie régulièrement sur son blog (https://lyvannvate.wordpress.com ) où il traite de littérature ou de sujets de société et a collaboré à la revue littéraire La Règle du jeu.

     

    https://www.contrepoints.org/2016/05/01/250121-nuit-debout-lorniere-jeunesse

     

    Il a tout juste 16 ans!

     

    Ouf!!! Il y a encore des jeunes gens qui ont les pieds sur terre, en France!

  • Chronique d'un monde à l'envers...

    Victime d’un vol, il publie la vidéo de surveillance pour retrouver la voleuse qui porte plainte contre lui

    Une femme de 52 ans, qui a reconnu avoir volé une sacoche dans un cabinet dentaire à Nancy, va porter plainte contre sa victime, à qui elle reproche d’avoir publié sur internet la vidéo du larcin capté par la vidéo-surveillance.

    Publier de telles images, où l’auteur du vol est clairement reconnaissable, "c’est une méthode cavalière, c’est inconcevable", a expliqué aujourd’hui Me Paul Kéré, le défenseur de la quinquagénaire. " Ma cliente est très atteinte psychologiquement, elle va demander des dommages et intérêts", a ajouté l’avocat, précisant qu’il déposerait plainte lundi pour "atteinte à l’intimité de la vie privée".

    Les faits remontent à mardi dernier. Constatant le vol de sa sacoche, laissée derrière le comptoir d’accueil de son cabinet et qui, selon lui, contenait 1000 euros, le chirurgien dentiste s’était rapidement rendu compte que la voleuse était clairement visible sur les images de la vidéo-surveillance. Il les avait alors mises en ligne sur Facebook, avec ce commentaire: "Si l’un d’entre vous reconnaît (la voleuse), je vous serais infiniment reconnaissant de m’en faire part. Cette vidéo est à partager au maximum ". [...]

    "On comprend tout à fait que la personne veuille que justice soit faite, mais ce qu’on n’accepte pas, c’est le procédé", a dit à France Bleu Sud Lorraine une des filles de la voleuse présumée. "Il aurait dû déposer (les images) à la police, pas les divulguer sur internet, car ça revient à se faire justice soi-même. Il n’a pas mesuré les répercussions sur la famille. C’est la porte ouverte à tout et n’importe quoi", a-t-elle ajouté.[...]

    Le Figaro

     [...] Sur la vidéo postée sur son mur, on distingue nettement le petit manège. Toute de noir vêtue, bottines sombres aux pieds, foulard noir sur la tête, lunettes imposantes sur le nez, sacoche en bandoulière, la femme, que le praticien n’a pas reconnue comme étant une de ses patientes, pénètre dans le cabinet et s’accoude au comptoir, près de l’aquarium, attendant vraisemblablement une secrétaire. Les secondes défilent et pendant ce temps, elle observe nerveusement autour d’elle. Le canapé rouge et la salle d’attente sont vides… Mais elle ne remarque pas la caméra qui la filme depuis le début. L’indélicate passe alors derrière le guichet puis ressort pour assurer le coup avant de repasser derrière et de prendre la poudre d’escampette, d’un pas pressé, la fameuse sacoche brune à la main. [...]

    L’Est Républicain

     

  • Copier les Corses?... bonne idée

    Mayotte : les expulsions d’étrangers par les natifs de l’île se multiplient

    C’est un phénomène qui n’étonne plus personne ou presque à Mayotte [101ème département français], les expulsions d’étrangers : expulsions faites par les natifs de l’île, excédés par l’immigration clandestine, immigration qui serait selon certains, à l’origine de tous les maux du département. Une chose est sûre la cohabitation devient de plus en plus difficile.

    www.fdesouche.com