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  • La France, un malade en phase terminale

    "Les Français veulent l’égalité, et quand ils ne la trouvent pas dans la liberté, ils la souhaitent dans l’esclavage"  (Alexis de Tocqueville).

    "Le véritable exil n’est pas d’être arraché de son pays. C’est d’y vivre et de n’y plus rien trouver de ce qui le faisait aimer" (Edgar Quinet).

    Je ne compte pas le nombre de fois où mes lecteurs – souvent des amis – m’ont trouvé trop pessimiste, trop excessif dans mes jugements, trop complotiste, quand je dénonçais la descente aux enfers de notre pays, sa déliquescence, sa dégénérescence, la perte de TOUTES les valeurs qui ont fait sa grandeur. La situation du pays depuis la dissolution voulue par Macron me laisse à penser que j’étais peut-être trop…optimiste. Je croyais que nous avions touché le fond et qu’un coup de talon salutaire nous ferait remonter à la surface.

    Mais il faut croire qu’"au fond du trou, il reste une pelle", comme dit l’adage populaire. J’avais sous-estimé la nocivité de l’avorton présidentiel.

    Il y a quelques années, un homme politique – je ne me souviens plus qui – avait employé le mot ensauvagement pour décrire l’état pitoyable de notre pauvre pays. Et aussitôt nous avions eu droit à une bronca indignée des suppôts de la bien-pensance; or ce qualificatif était trop faible. Il faudrait plutôt parler de déchéance, de guerre civile (à peine larvée), de retour au tribalisme, en un mot, de barbarie à l’état pur. Nous en avons des exemples flagrants tous les jours.

    Aujourd’hui, quand une victime est mortellement blessé au cou par un individu qui crie Allah Akbar, la presse n’ose plus parler d’égorgement et l’auteur nous est présenté comme un malade mental et non comme un terroriste. Même constat quand une  femme est violée ou tuée par un OQTF bien connu des services de police donc multirécidiviste. Pour ne pas stigmatiser une communauté, il n’y a plus, chez nous, d’actes de terrorisme islamiste, juste quelques cinglés qui manient le surin précisément parce qu’ils sont cinglés. Au train où vont les choses, bientôt on nous dira que c’est notre racisme, notre islamophobie ou notre suprématisme d’Occidentaux qui les rend fous. Le fautif, c’est toujours l’homme blanc! Vous noterez aussi qu’Emmanuel Macron ne juge pas utile de rendre visite aux familles des victimes et pour cause, il n’aime pas les Gaulois.

    Dans notre pauvre France, il y a 120 agressions au couteau par jour et nos dirigeants, acquis au remplacement de population pratiquent la politique de l’autruche. Éric Dupont-Moretti a osé qualifier la peur des Français de sentiment d’insécurité. On croit rêver (ou cauchemarder?).

    Aujourd’hui, je ne crois plus à la capacité de rebondir de notre pays. Il est gangrené, vérolé, pourri, perverti, abruti… Les optimistes espèrent encore qu’il y aura un réveil, un sursaut salutaire, un retour de balancier. Je le souhaite mais je n’y crois plus. Il faut lire "Foutriquet" de Michel Onfray (1).

    L’auteur se montre plus pessimiste qu’Éric Zemmour sur le devenir de notre pays (et de l’Europe maestrichtienne). Pour lui, nous assistons à la fin d’une civilisation, et comme toutes les grandes civilisations sont mortes pour les mêmes raisons, je ne suis pas loin de penser la même chose. Notre France est en phase terminale. Déçu, cocufié, écœuré, blousé, j’ai cessé d’aimer MON pays.

     " La France a perdu une bataille, mais elle n’a pas perdu la guerre! ". Cette phrase, attribuée à De Gaulle, figure sur l’affiche placardée sur les murs de Londres le 3 août 1940. En réalité, on la doit au général Maxime Weygand qui comptait sur notre Empire colonial et sur notre Armée d’Afrique pour une éventuelle reconquête.

    En l’occurrence, Weygand et Giraud voyaient juste! Mais depuis, les choses ont bien changé.

    La France a perdu toutes ses batailles et elle est en train de perdre la guerre. Sa descente aux enfers aura connu des paliers successifs qui n’ont pas ému un peuple de veaux trop bien nourris durant les Trente Glorieuses.

    Nous avons perdu notre autosuffisance énergétique en bradant notre Empire, au début des années 60. Vatican II a affaibli le catholicisme deux ans plus tard. Mai 1968 a accéléré le délitement – moral ET intellectuel – du pays. Des accords de coopération avec nos anciennes colonies puis le funeste regroupement familial ont amené chez nous une immigration afro-maghrébine qui, contrairement à l’immigration de travail d’antan, n’a aucune intention d’intégrer nos us et coutumes, et encore moins de respecter nos lois. Manipulées par l’ultragauche, les jeunes générations issues de la diversité apprennent dès leur enfance à détester la France.

    Dans le même temps, la Loi Veil, légalisant l’avortement, condamnait à mort 230 ou 240 000 petits Français par an (chiffres officiels). Depuis 1975, on en a tué plus de 10 millions! Puis l’Europe et la mondialisation heureuse se chargeaient de tuer notre économie, de désindustrialiser le pays et d’aggraver son invasion. Rappelons ici quelques dates, juste pour mémoire: Schengen en 1985, Maastrich en 1992, le Marché unique en 1993, la Monnaie unique le 1er janvier 2002. Après ses frontières, devenues des passoires, la France perdait aussi sa monnaie. Elle n’était donc plus une nation, mais un Land européen.

    Dans cette litanie de coups tordus, n’oublions pas que les Français ont refusé le Traité de Nice, le 29 mai 2005, et que, à peine élu, Nicolas Sarkozy  faisait voter le Congrès (2), le 13 décembre 2007, pour nous imposer le Traité de Lisbonne (qui est un quasi copié-collé du Traité de Nice). À l’heure actuelle, 80% des textes qui régissent notre vie quotidienne sont des directives imposées par Bruxelles. Nos dirigeants ne sont que de vulgaires marionnettes à la solde de l’Europe (et, en réalité, des pantins manipulés par le Nouvel Ordre Mondial).

    L’agonie de la France a été relativement lente. De ce fait, beaucoup de nos concitoyens ont refusé d’écouter ceux qui les mettaient en garde. La politique de l’autruche: la tête dans le sable et le cul à l’air, prêt à recevoir les derniers outrages. Shootés au Padamalgam, abreuvés jusqu’à plus soif du vivre-ensemble, du multiculturalisme, de la diversité qui serait, paraît-il, une chance pour la France, ils n’ont pas vu, ou pas voulu voir, que nos banlieues devenaient des zones de non-droit, des coupe-gorge, des territoires perdus de la République pour parler comme les cuistres.

    Pour détruire la nation, il fallait tuer le travail (en désindustrialisant le pays), tuer la famille (avec l’IVG, le PACS, le mariage Gay, la primauté donnée aux LGBT, etc.) et, enfin, tuer la patrie en accueillant massivement une faune allogène qui la déteste. Il fallait aussi tuer la superstition car toutes les grandes civilisations s’appuient sur une religion forte. Au final, Soros, Attali, le Forum de Davos, le groupe Bilderberg, les GAFA, Ursula von der Leyen et Macron mènent le même combat. Ils œuvrent pour accélérer la mort programmée de l’Occident chrétien: l’euthanasie d’une civilisation!

    Dernier volet de cette mise à mort, la dictature des minorités. Pour être tout à fait exact, il faut parler d’une véritable prise de pouvoir par les minorités: islamistes (et islamo-gauchistes), LGBT, féministes, écolos, décoloniaux, végans, antispécistes, etc. Toutes ces catégories – minoritaires mais terriblement sectaires – ont déclaré la guerre à leur ennemi commun, le mâle blanc hétérosexuel (qui de surcroît, est souvent catholique et vote à droite).

    J’ai écrit plus haut que je n’aimais plus mon pays. C’est vrai, je me sens de moins en moins français mais le mal est plus profond: mon pays me fait honte! Autrefois, mon milieu familial puis les frères des écoles chrétiennes, durant mes classes primaires, m’ont appris à aimer mon pays ou, plus exactement, à en être fier. Plus tard, les écrits de Maurice Barrès m’ont inculqué le respect que nous devons à la terre et aux morts. J’ai été fier d’être français, fier de mon pays! Maintenant il me fait – assez régulièrement – honte. C’est triste mais c’est ainsi.

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  • Emmanuel Macron: 4 ans et un bilan de plus en plus lourd

    Le 7 mai 2017 était élu Emmanuel Macron. Quatre ans plus tard, les Français éprouvent un sentiment très spécial: celui d’être gouvernés par un Président qui leur est hostile. Hostile à leur histoire, hostile à leur culture.

    Par Claude Robert.

    Tel un Don Quichotte en costume-cravate, Emmanuel Macron s’est engagé dans un combat contre trois ennemis tout à fait hypothétiques: l’oppression dont souffriraient les minorités (religieuses, ethniques et sexuelles), l’amalgame qui existerait entre le terrorisme et l’Islam, et la fureur destructrice des Gilets jaunes.

    Mais il n’a rien entrepris contre les Black-blocs, ni contre l’insécurité et ses causes évidentes, ni contre les syndicats de fonctionnaires qui ont bloqué le pays. Surtout, il a poursuivi le travail de démantèlement de l’économie engagé par son mentor Hollande. Démantèlement qu’il a même accéléré en imposant une série de confinements délétères afin de pallier l’impréparation de son gouvernement face à la pandémie.

    Ainsi se sont révélées ces quatre années de gouvernance Macron, une succession de mauvaises décisions économiques assaisonnées de déclarations intempestives sur fond d’absence de réformes de fond.

    Mais est-ce une surprise? Emmanuel Macron ne s’était-il pas déjà distingué auprès du président Hollande? Voici les faits.

    La France, seul pays à avoir raté la reprise post-crise bancaire

     

    C’est parce que Hollande décide d’augmenter fortement la pression fiscale que l’Hexagone a manqué la reprise économique qui a suivi la crise bancaire. De par son rôle de conseiller fiscal du Président puis de ministre, Emmanuel Macron est naturellement considéré comme co-responsable de cette erreur contra-cyclique, erreur dont les conséquences vont rapidement se révéler funestes.

    Pendant le mandat de Hollande, la France voit son nombre de chômeurs s’accroître jusqu’à atteindre +1,132 million tandis que les Allemands et les Anglais en perdent respectivement 500000 et 400 000.

    La dette publique flambe de +4,1% par rapport à la moyenne européenne malgré des prélèvements fiscaux qui augmentent de 17,64% à 18,65% du PIB! Une véritable débâcle.

    Emmanuel Macron et quinze mois de révolte sociale des Gilets jaunes

    À peine élu président, Macron soulève la rue, les Gilets jaunes en l’occurrence, sur une durée record de 65 semaines, à raison d’un blocage des principaux centres urbains et de nombreux péages autoroutiers les samedis, battant ainsi le fameux record d’Alain Juppé.

    Déclenché par l’anachronique limitation à 80 km/h, perçue comme une opération d’extorsion d’argent, puis renforcé par les hausses de taxes, ce mouvement protestataire révèle à grande échelle un climat social terriblement dégradé.

    Car à la différence des grèves conduites par les syndicats d’extrême gauche arcboutés sur la défense pavlovienne des privilèges de certaines corporations de fonctionnaires, les Gilets jaunes sont issus de la vraie vie. Celle des travailleurs du privé, des petits entrepreneurs, des chômeurs et des laissés pour compte.

    N’étant pas du bon côté, ceux-ci se heurteront à un gouvernement Macron d’une impitoyable brutalité. Une brutalité qui incitera, excusez du peu, Amnesty International (17/12/18) puis le Conseil de l’Europe (26/02/19) puis de nouveau Amnesty international (29/09/20) à réagir pour respectivement "recours excessifs à la force ", "utilisation des LBD" et "acharnement judiciaire" contre les manifestants!

    D’innombrables plaintes ont été déposées contre le gouvernement à l’occasion de violences qui ont fait au total 140 blessés graves parmi les Gilets jaunes, dont 14 ayant perdu un œil.

    Loin de calmer les émeutes, Emmanuel Macron les aura même exacerbées avec ses déclarations malencontreuses, en particulier celle prononcée à l’arrivée du Tour de France: " On a commencé l’année avec les Gilets jaunes, on l’a finie avec le maillot jaune ". Ainsi est-il logiquement devenu l’une des motivations de l’insurrection, un grand nombre de Gilets jaunes réclamant désormais sa tête.

    Ce mouvement de révolte sociale qui ne s’est arrêté que pour des raisons de pandémie, car le pseudo grand débat n’a apporté aucune espèce de réponse, a coûté 12,5 millions d’euros à la collectivité. Un splendide échec.

    Emmanuel Macron et la fausse réforme ruineuse de la SNCF

    Enflammer les syndicats pour une réforme qui n’en est pas une, puisqu’il ne s’est agi que d’interrompre le recrutement sous statut de fonctionnaire, fournit un exemple grandiose de l’incapacité du Président à moderniser notre pays.

    Rien n’aura été tenté afin d’améliorer les méthodes de travail et l’efficience d’un mastodonte qui revient à environ 15 milliards d’euros chaque année aux Français, et qui est censé affronter le marché concurrentiel exigé par la Communauté européenne.

    Rien que pour la SNCF elle-même, ces 36 jours de grève auront coûté 790 millions d’euros, sans compter les conséquences induites sur l’économie. Un nouveau ratage particulièrement révélateur.

    L’obscure réforme inachevée des retraites

    Après le déploiement de violence contre les Gilets jaunes, la réforme des retraites fournit une autre illustration de la façon dont Macron envisage le dialogue social. À force de débats opaques et de concepts trompeurs tels que l’âge pivot, le gouvernement a déclenché une avalanche de grèves (SNCF, RATP, Air France, trafic aérien, etc.) qui auront paralysé le pays pendant plus d’une quarantaine de jours.

     

    Cette longue agonie de réforme qui s’est momentanément achevée sur un passage en force au 49.3 et donc sans le moindre consensus, aura coûté plus de 15 milliards d’euros à l’économie française, en plus des respectivement 200 et 850 millions d’euros perdus pour la RATP et la SNCF.

    Saluons là aussi un bel échec, échec qui risque de se prolonger lorsque la réforme, gelée pour cause de pandémie, reprendra son cours.

    Des résultats économiques plus mauvais que chez nos voisins

    Manquer le rebond économique post-crise bancaire n’était qu’un début. La série noire se poursuit, avec des résultats économiques systématiquement moins bons que ceux de l’UE (27 pays).

    Sur l’ensemble des indicateurs, celui du chômage semble certes se rapprocher de la moyenne en 2020, mais au prix d’une détérioration encore plus forte de notre croissance et de notre dette publique (en gras sur les tableaux), ce qui au contraire garantit durablement un faible taux d’emploi.

    De cette accélération de l’aggravation de l’endettement et de la croissance découle toujours la même question brûlante: où passe donc l’argent de cette fiscalité confiscatoire qui nous vaut régulièrement le record de l’OCDE?

    Pour les électeurs qui espéraient un président réformateur et libéral, la déception est immense car il n’en a rien été. Derrière un flux ininterrompu de promesses, Emmanuel Macron ne fait que poursuivre le travail de sape de son prédécesseur, asphyxiant l’économie sous le poids d’un État toujours plus insatiable, toujours plus socialiste.

    Une insécurité record sur fond d’autorité de l’État bafouée

    Il ne reste plus que 17 % des Français à faire confiance au gouvernement pour lutter contre l’insécurité (Odoxa, SudRadio 19/02/21). Ce score historique fait d’ailleurs suite à une chute quasi-ininterrompue depuis l’élection du président Macron.

    Les meurtres par égorgement revendiqués haut et fort, les attaques de policiers, les profanations de monuments, les tirs de mortier contre un commissariat, tout cela crée un sentiment d’autant plus anxiogène que le gouvernement paraît nettement plus enclin à honorer les victimes qu’à déployer une stratégie de prévention efficace.

    Alors que de nombreux actes terroristes affichent ostensiblement une symbolique religieuse, alors que les faits établissent un lien entre insécurité et immigration non contrôlée, Macron tente de dévier sur des problématiques absconses de " séparatisme islamique " et de défense de la laïcité.

    Empêtré dans son idéologie soi-disant progressiste, le Président s’est même flanqué d’un ministre de la Justice et d’un ministre de l’Intérieur en sérieux déphasage avec les peurs de la population.

    La pétition lancée par plus d’un millier de militaires contre " le délitement du pays et le risque de guerre civile " (VA, 21/04/21) est certes surprenante, mais ne fait que traduire le malaise actuel. Ce que confirme le sondage Harris Interactive (LCI 29/04/21): près de 60 % des Français la soutiennent.

    Emmanuel Macron et la gestion surréaliste de la pandémie de Covid-19

    Avec ses 105 387 morts du coronavirus et ses 1612 décès par million d’habitants, la France affiche une mortalité quatre fois supérieure à la moyenne mondiale. Avec en prime la plus forte récession européenne, conséquence du confinement non ciblé et de la très rapide et paradoxale incitation au chômage partiel, ces deux mesures imposant un arrêt brutal et plus fort que nécessaire de l’économie du pays.

    Mesures typiquement médiévales, les confinements et couvre-feux successifs n’ont été déclenchés que pour pallier l’absence d’une stratégie de prévention réactive et orchestrée.

    Importants retards dans l’approvisionnement en masques puis en tests de dépistage, absence de politique d’isolement des porteurs du virus et des personnes à risque, absence de plan de crise permettant d’actionner l’ensemble des professionnels de la santé qu’ils soient publics ou privés, lancement raté de l’application Stop-covid… les manquements se sont succédé sans discontinuer depuis l’arrivée du virus.

     

    Dernier en date, l’approvisionnement en vaccins extrêmement tardif, du fait notamment de la nomination d’un responsable de la logistique après le démarrage de la période de vaccination, exemple ô combien révélateur du niveau d’impréparation gouvernementale. De la part d’un pays qui truste les records de prélèvements obligatoires de l’OCDE, ces ratages sont inexcusables.

    S’est ajouté à cela un autoritarisme des plus consternants, sous la forme d’un questionnaire de justification de déplacement digne de l’occupation avec, ultime raffinement, une limitation kilométrique chiffrée, le tout contrôlé par des milliers de policiers.

    Sans oublier une communication gouvernementale mensongère et dangereuse qui a déclenché une cascade de plaintes en justice. Au nombre desquelles se trouve celle d’un collectif de plus de 600 médecins, pour rien moins que "mensonges d’État" et "mise en danger des personnes"!

    L’ennemi est à l’intérieur

    Comble du ridicule et de l’inconscience combinés, quatre ans après sa fameuse déclaration " il n’y a pas de culture française ", le président Macron vient d’appeler à " déconstruire notre propre histoire ". Il est clair que l’ennemi de l’Hexagone se trouve aux commandes même de son gouvernement.

    Ceci constitue une configuration assez originale, dont il serait hautement souhaitable que l’ensemble des électeurs prenne la mesure d’ici les prochaines élections.

    Source:

     

  • La justice islamo-collabo

    Roanne (42): un homme a été interné en psychiatrie après avoir crié "Allah Akbar" et menacé d’égorger des passants, il a été relâché 3 jours après

    "Je vais t’égorger, je suis musulman, Allah Akbar, tu ne sais pas qui je suis. " C’est en ces termes qu’un individu de 31 ans a menacé des Roannais le 26 décembre dans la soirée à Roanne, armé d’une branche de 3 mètres. Maîtrisé par les victimes, il a par la suite été interpellé par la police, puis interné d’office en psychiatrie. Une expertise psychiatrique doit être pratiquée pour évaluer sa responsabilité pénale.

    […]

    Des coups ont été échangés et l’individu a été maîtrisé après avoir menacé à plusieurs reprises d’égorger le père et son beau-fils et crié plusieurs fois "Allah Akbar". Des menaces également proférées à l’encontre des fonctionnaires de police quand ceux-ci sont intervenus. Quand la mère lui a demandé pourquoi il avait agi de la sorte, il aurait répondu avoir fait 15 ans de psychiatrie et être schizophrène.

    L’individu a été placé en garde à vue puis interné d’office en psychiatrie pendant trois jours, avant d’être relâché. Sa responsabilité pénale doit être évaluée par un expert. "Et s’il est déclaré responsable de ses actes, il sera jugé devant le tribunal", annonce le procureur de la République de Roanne, Abdelkrim Grini.

    Le Progrès

  • La vérité c'est??????

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    Flamme d’Udun  nous dit :

    Nos élites font semblant de ne pas croire au grand remplacement.
    En réalité, elles le dirigent de main de maître.

    J’ai déjà exposé ma théorie sur une alliance entre le grand capital et l’islam conquérant, le premier ayant tout à gagner à l’abrutissement généralisé des masses (et a la soumission de l’esprit à un Dieu qui interdit de réfléchir) que produit le second.

    Je ne crois pas au hasard.

    je pense que tout ça est programmé.

    Tout ça est voulu car si on raisonne en terme de marché, l’islam est plus porteur que la liberté de penser.

    Et je suis sûre qu’économiquement parlant, mieux vaut une grosse masse qui consomme des choses pas chères qu’un petit groupe qui consomme des choses chères.

    Or les musulmans sont de grands consommateurs d’huile de palme, de poissons et fruits de mer, la souffrance animale ils s’en cognent, les OGM ils ne connaissent pas, le plastique, ils en raffolent, les médicaments, ils en prennent sans se poser de question, la pollution généralisée n’est pas encore arrivée à leurs oreilles et n’y arrivera jamais, le tabagisme est un problème de santé publique dans beaucoup de pays musulmans, le haschich est très consommé (le prophète n’ayant pas interdit les drogues), bref, toutes les prises de conscience occidentales concernant la santé de notre environnement, grâce auxquelles les peuples occidentaux commencent à fragiliser l’establishment capitaliste, disparaîtront de facto avec le grand remplacement, car les populations qui arrivent n’ont pas droit à la prise de conscience.

    Soit dit en passant, les seuls qui sont en marche actuellement sont les envahisseurs, la France de macron, elle, est soit assise devant son écran soit vautrée sur une plage…
    Il mérite bien son nom le mouvement em !

     Je pense à peu près la même chose.
    Remplacer une population qui a pris conscience de la surconsommation, de l’épuisement des réserves, de la nécessité d’économiser l’eau, de la nécessité de supprimer les pesticides, et même pour beaucoup des dangers des médicaments et des vaccins (vous imaginez la trouille des labos pharmaceutiques),  une population qui limite raisonnablement ses naissances et refuse de consommer n’importe quoi, sans conscience et sans restriction…
    Cette population là n’a aucun intérêt pour le grand capital,

    Ceux qui vivent selon les préceptes du VIIe siècle, ça ne réfléchit pas, ça consomme le plus possible et avec un grand gaspillage, ça ne pense pas à l’avenir, ça vit dans l’instant, ça laisse traîner ses déchets n’importe où, quelle importance ! Ils ne les voient même pas.

    C’est du pain béni pour les gros trusts de l’agro-alimentaire qui voyaient leur part de marché diminuer au profit des produits bio, c’est du pain béni aussi pour les labos, car ceux qui veulent vivre comme à l’époque de Mahomet avalent toutes les médications sans se poser de question…

     résistance-républicaine