Ok

En poursuivant votre navigation sur ce site, vous acceptez l'utilisation de cookies. Ces derniers assurent le bon fonctionnement de nos services. En savoir plus.

Blog - Page 6

  • Largage programmé de la Nouvelle-Calédonie:

    les loyalistes ont capitulé

    Les Chinois, qui lorgnent sur ce territoire depuis des décennies, doivent saliver. Car c’est bien une séparation du couple France-Calédonie qui est actée, en attendant le divorce définitif que convoitent les Kanaks.

    Ceux qui doutent de l’intérêt stratégique de la Nouvelle-Calédonie et de l’enjeu qu’elle représente aussi bien pour les Occidentaux que pour les Chinois devraient parcourir ce lien. Par ailleurs, les richesses minérales et halieutiques sont toujours bonnes à prendre…

     

    https://www.areion24.news/2024/12/30/quand-la-chine-frappe-a-la-porte-de-la-nouvelle-caledonie/

     

    Après la débâcle de mai dernier, Manuel Valls peut aujourd’hui pavoiser. C’est vers l’indépendance que se dirige la Nouvelle-Calédonie, sous couvert d’un statut bidon et temporaire, qui fait de l’archipel un véritable Etat dans l’Etat avant le divorce définitif.

    La "souveraineté avec la France" initialement rejetée par les loyalistes s’est finalement transformée en une arnaque totale pour ces anti-indépendantistes qui ne voient rien venir et se font rouler dans la farine avec le sourire.

    Ces bisounours ont accepté que la Nouvelle-Calédonie devienne un Etat au sein de la République, avec la double nationalité française et calédonienne pour les citoyens de l’archipel. Si ce n’est pas un aller sans retour vers l’indépendance, qu’est-ce que c’est?

    Les trois référendums ayant rejeté l’indépendance ont été passés à la trappe (2018, 2020, 2021). Française depuis 1853, la Nouvelle-Calédonie ne le restera plus très longtemps. Les Kanaks réclameront le divorce définitif. Manipulés par certains pays, comme l’Azerbaïdjan, ils jouent la carte indépendantiste sans aucun état d’âme.

    Dans l’immédiat, une Loi fondamentale réglera les questions identitaires, comme le choix d’un drapeau, d’un hymne national et d’une devise.

    Mais ensuite, après un vote du Congrès en 2026, le nouvel Etat pourra obtenir le transfert de certaines compétences régaliennes, dans les domaines de la diplomatie, de la sécurité, de la justice ou de la monnaie.

    Et tout cela en restant dans le giron de la France, veulent se rassurer les loyalistes! Quelle naïveté!

    Il est clair que l’archipel bénéficiant d’une diplomatie indépendante, il sera aussitôt courtisé par Pékin. Ceux qui s’imaginent que ce statut bancal va s’éterniser au sein de la République sont de doux rêveurs. Les Chinois n’auront aucun mal à faire miroiter aux Kanaks les bienfaits d’une indépendance totale.

    Personnellement je ne partage pas l’enthousiasme de l’Elysée et de Matignon. Si les signataires du projet se réjouissent, le FLNKS ne s’est pas encore prononcé.

    Rien n’est réglé entre les communautés et c’est un territoire économiquement exsangue qui ressort des récentes émeutes meurtrières qui ont ravagé le pays. 14 morts et 2 milliards de dégâts, cela laisse une plaie béante qui n’est pas près de se refermer.

    Cet accord historique a des relents de grande braderie. Macron ne s’est jamais intéressé à l’outre-mer. Souvenez-vous de " l’île de Guyane et des expatriés de Guadeloupe ". Tout cela ne représente rien pour lui.

    En lâchant la Nouvelle-Calédonie, il faut donc s’attendre à un effet domino dans tous nos territoires ultramarins. Après le Pacifique, ce sera le tour de l’Océan Indien puis des Antilles. Toutes les coutures de la nation finiront par lâcher une à une.

    La France perdra son statut de deuxième puissance maritime du monde avec son immense zone économique exclusive. C’est l’abandon de l’outre-mer que l’Elysée et Matignon saluent comme un accord historique. Pas de quoi s’en féliciter.

    Avec ce projet irresponsable, on ne peut qu’espérer que les Caldoches ne connaîtront jamais le sort tragique des pieds-noirs d’Algérie ou des Boers d’Afrique du Sud.

    Jacques Guillemain

     

    Merci Macron: j'ai toujours appris que "la République est UNE et INDIVISIBLE!"

  • 14-Juillet: VIVE  LA  RÉPUBLIQUE  FRANÇAISE!

    VIVE  NOUS!

    La fête nationale française, également appelée 14 Juillet, est la fête nationale et un jour férié en France. Le terme peut s'écrire "14-Juillet" avec trait d'union: La majuscule, c’est capital! disent certains lexicologues…

     

    Elle est instituée par la loi Raspail du 6 juillet 1880 ("La République adopte le 14 Juillet comme jour de fête nationale annuelle"), qui ne mentionne pas quel événement est commémoré: la prise de la Bastille du 14 juillet 1789, symbole de la fin de la monarchie absolue, ou la Fête de la Fédération de 1790, symbole de l'union de la Nation et premier anniversaire de la prise de la Bastille; tous deux étant des symboles de la Révolution française.

     

    Un défilé militaire a lieu chaque 14 juillet sur les Champs-Élysées de Paris. Son départ a lieu généralement à 10 heures juste après le passage de la Patrouille de France et la revue des différents corps armés par le président de la République.

     

    Ces spectacles nocturnes prennent place autour de sites dégagés au sein des villes, comme des esplanades, des parcs ou des cours d'eau. Malgré leur coût parfois élevé, les feux d'artifice sont des spectacles très appréciés de la population. Le feu d'artifice peut être tiré la veille au soir (13 juillet).

     

    De nombreux bals sont organisés dans le pays, notamment des bals musette ou des bals des pompiers. Souvent, le bal a lieu le 13 juillet, veille de jour férié, ce qui permet d'aller travailler le 15 juillet tôt le matin.

     

    La promotion dite "du 14 Juillet" est l'une des deux promotions civiles annuelles dans l'Ordre national de la Légion d'honneur. Et comme certains présidents de la république se poussent du col, des tas de pignoufs étrangers y ont droit… ce qui revient à diminuer le courage et l'honneur des militaires et forces de l'ordre tombés pour la France!

     

    Certaines années, le président de la République accorde une grâce collective à l'occasion de la fête nationale, aux alentours du 14 juillet ce qui permet de "soulager"  les prisons et de remettre des raclures dans la nature.

    Vive la République Française, vive la France!

    VIVE NOUS!

  • Votre maison est-elle trop grande?

    L’INSEE vient de publier une étude recensant les logements "sous-occupés" en France, c’est-à-dire trop grands pour ceux qui y vivent, selon ses propres critères.

    C’est le rêve humide des technocrates de Bercy et des khmers verts de la planification écologique: fliquer chaque mètre carré, chaque chambre inoccupée, chaque espace vital un peu trop large aux yeux de leur dogme collectiviste. Voilà donc l’ogre bureaucratique qui s’invite dans nos foyers pour compter les pièces, mesurer les mètres et juger – depuis les couloirs feutrés de la technostructure – si nous vivons "trop confortablement".

    On nous dit que c’est pour "optimiser l’usage du parc immobilier". En novlangue, cela signifie: rançonner les classes moyennes avec un nouvel impôt sur la " sous-occupation " pour mieux financer leur grande lubie: l’accueil sans fin de l’immigration. Car oui, ne soyons pas naïfs: derrière le vernis écologique et humaniste, il s’agit bien d’organiser le Grand remplacement foncier.

    Après la voiture, la viande, la cheminée, voilà maintenant que le salon trop vide devient suspect. Le propriétaire devient coupable. Et bientôt, pourquoi pas, contraint d’ouvrir sa porte – sous peine d’amende ou de honte médiatique – à la nouvelle France importée. Une chambre d’ami, Quelle indécence! Une pièce vide, Une trahison républicaine!

    Ce qu’ils veulent, c’est la fin de la propriété privée. Ce dont ils rêvent, c’est d’une société à la chinoise, où tout le monde vit dans 18 m², surveillé, taxé, culpabilisé. L’écologie punitive comme cheval de Troie d’un néo-communisme progressiste. Mais qu’on se rassure: leurs palaces, leurs résidences secondaires, leurs duplex parisiens, eux, ne seront pas concernés.

    Thomas Joly

  • Votre maison est-elle trop grande?

    L’INSEE vient de publier une étude recensant les logements "sous-occupés" en France, c’est-à-dire trop grands pour ceux qui y vivent, selon ses propres critères.

    C’est le rêve humide des technocrates de Bercy et des khmers verts de la planification écologique: fliquer chaque mètre carré, chaque chambre inoccupée, chaque espace vital un peu trop large aux yeux de leur dogme collectiviste. Voilà donc l’ogre bureaucratique qui s’invite dans nos foyers pour compter les pièces, mesurer les mètres et juger – depuis les couloirs feutrés de la technostructure – si nous vivons "trop confortablement".

    On nous dit que c’est pour "optimiser l’usage du parc immobilier". En novlangue, cela signifie: rançonner les classes moyennes avec un nouvel impôt sur la " sous-occupation " pour mieux financer leur grande lubie: l’accueil sans fin de l’immigration. Car oui, ne soyons pas naïfs: derrière le vernis écologique et humaniste, il s’agit bien d’organiser le Grand remplacement foncier.

    Après la voiture, la viande, la cheminée, voilà maintenant que le salon trop vide devient suspect. Le propriétaire devient coupable. Et bientôt, pourquoi pas, contraint d’ouvrir sa porte – sous peine d’amende ou de honte médiatique – à la nouvelle France importée. Une chambre d’ami, Quelle indécence! Une pièce vide, Une trahison républicaine!

    Ce qu’ils veulent, c’est la fin de la propriété privée. Ce dont ils rêvent, c’est d’une société à la chinoise, où tout le monde vit dans 18 m², surveillé, taxé, culpabilisé. L’écologie punitive comme cheval de Troie d’un néo-communisme progressiste. Mais qu’on se rassure: leurs palaces, leurs résidences secondaires, leurs duplex parisiens, eux, ne seront pas concernés.

    Thomas Joly

  • L’État va vous empapaouter, pour faire travailler les étrangers

    L’État va augmenter une taxe de 5,5 à 20% de TVA sur l’électricité pour faire travailler nos migrants.

    Des surcoûts résultant des mécanismes de soutien aux énergies renouvelables et à la cogénération, de la péréquation tarifaire dans les zones non interconnectées (ZNI), de certains dispositifs sociaux bénéficiant aux ménages en situation de précarité et du soutien à l’effacement.

    https://www.presse-citron.net/un-coup-de-massue-fiscal-en-vue-la-tva-sur-lelectricite-senvole-de-263-en-aout/

    L’installation des parcs éoliens et photovoltaïques nécessite une main-d’œuvre de gros œuvre non qualifiée ou très peu qualifiée pour travailler dans des conditions difficiles. Les 60% d’immigrants travaillant font une main-d’œuvre idéale pour des chantiers colossaux rapportant beaucoup d’argent (sauf à l’État qui subventionne). Quant aux 40% de migrants qui ne travaillent pas, eux bénéficieront des dispositifs sociaux bénéficiant aux ménages en situation de précarité.

    50% des parcs éoliens et photovoltaïques sont aux mains d’étrangers, particulièrement les Nord-Américains et les Allemands qui bénéficient de nos subventions et des bénéfices, quel que soit le montant des taxes, qui nous sont de toute façon toujours répercutées.  Depuis 2003, ce soutien public s’est monté à 43 milliards d’euros, dont 11,5 milliards pour l’éolien terrestre et 24,6 milliards pour le solaire (2020)… ce n’était que le début.

    Le montant total des subventions publiques aux énergies renouvelables devrait atteindre entre 116,1 et 130,3 milliards d’euros d’ici 2028… Sans subventions, il n’y a pas d’énergies renouvelables.   

    https://www.transitionsenergies.com/subventions-energies-renouvelables/

    Un important changement se profile dans quelques semaines sur la facture énergétique des Français. Ainsi, la TVA qui est appliquée au gaz et à l’électricité passera de 5,5% à 20% dès le 1er août. Mais le gouvernement a promis que cela serait indolore grâce à la baisse d’une autre taxe. Faisons le point. L’accise sera en effet réduite au même moment alors qu’elle est actuellement à 33,70 euros par MWh, elle passera à 29,98 euros par MWh en août, pour l’électricité. Le même mécanisme s’applique au gaz.

    Lire la suite

  • Education sexuelle scolaire

    Le programme EVARS promeut la tolérance, la liberté, l’égalité, le rejet des persécutions

    Depuis des années, l’éducation à la sexualité suscite de telles controverses qu’Elisabeth Borne, ministre de l’Education nationale, a concocté une nouvelle mouture.

    Le premier programme d’éducation à la vie affective et relationnelle, et à la sexualité, proposé par le ministère de l’Education nationale, a été publié au Journal officiel le 6 février 2025. Sa mise en œuvre est prévue pour la rentrée de septembre 2025. C’est le plan EVARS.

    L’éducation à la sexualité est apparue avec la loi de Martine Aubry du 4 juillet 2001. Le Code de l’éducation indique que "Une information et une éducation à la sexualité sont dispensées dans les écoles, les collèges et les lycées à raison d’au moins trois séances annuelles par groupes d’âge homogène".

    L’éducation à la sexualité, créée par la loi n° 2001-588 du 4 juillet 2001, se déploie de manière progressive de l’école maternelle jusqu’aux classes du lycée, à travers une approche globale, positive et bienveillante.

    Le programme EVARS précise ses orientations. Dans ses objectifs comme dans ses démarches, l’éducation à la sexualité permet l’apprentissage du respect de l’intimité corporelle et psychique des élèves, en tenant compte de leur rythme de croissance et de développement, de leurs différences et de leurs singularités. En particulier:

    Egalité de considération et de dignité, égalité entre les femmes et les hommes, lutte contre les discriminations opérées entre les personnes sur le fondement "de leur sexe", "de leur identité de genre", et "de leur orientation sexuelle", prévention des violences sexistes et sexuelles, repérage de l’inceste.

    L’éducation à la sexualité promeut des relations respectueuses et participe au développement de compétences psycho-sociales.

    L’éducation à la sexualité s’ordonne selon trois questions:

    Comment se connaître, vivre et grandir sereinement avec son corps?

    Comment rencontrer les autres, construire avec eux des relations respectueuses et s’y épanouir?

    Comment trouver sa place dans la société, y être libre et responsable?

    L’éducation à la sexualité nécessite un ajustement à l’âge et à la maturité des élèves, et se construit en deux étapes successives: Dans le premier degré, éducation à la vie affective et relationnelle. Dans le second degré, prévention et information, parcours progressif visant l’épanouissement personnel et relationnel, tout en cultivant une réflexion sur les dimensions affectives, sociales et culturelles de la sexualité.

    Les professeurs conçoivent et organisent collégialement la mise en œuvre pédagogique de cette éducation sous le pilotage et avec le soutien des directeurs d’école ou des chefs d’établissement.

    Lire la suite