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Blog - Page 3

  • ATTENTION!

    ATTENTION: pour les personnes de plus de 75 ans!

    TOUS les médecins et spécialistes ont reçu un courrier pour leur demander de ne pas trop "aider" les personnes de plus de 75 ans à se soigner et à faire, pour cela, des examens médicaux: radios, scanner, IRM..

    de leur donner des doliprane et autres rivotril pour les calmer et de résister le plus possible à leurs demandes

    J'en ai la preuve, l'hôpital a refusé de me faire un IRM

    sous un prétexte fallacieux…

    je me suis renseignée auprès de divers soignants qui n'ont pas aimé répondre à cette question!

    Résistez, ne vous laissez pas faire  et parlez-en à ceux de votre âge autour de vous!

  • L’écologie une absurdité intellectuelle

    Dès les années 1950, Herbert Marcuse, philosophe allemand, naturalisé américain, (1898-1979), propose deux champs d’action qui recréeraient les conditions de la Révolution: un champ d’action intellectuel, et une action socio-politique.

    Marcuse appelle les intellectuels à formuler des idéologies gauchistes qui aideraient la gauche communiste dans son combat contre l’Occident, et qui détruiraient la culture, obstacle au retour à "l’état de nature". L’écologie est l’une de ces idéologies.

    En 2007, dans un rapport, le GIEC avait estimé que les glaciers de l’Himalaya reculaient plus vite que les autres du monde et "pourraient disparaître d’ici 2035, voire avant". En 2010, Rajendra Pachauri, un Indien président du GIEC, a officiellement reconnu que la prévision sur la fonte des glaciers de l’Himalaya était "une regrettable erreur".

    En juillet 2021, Michèle Rivasi, députée européenne aujourd’hui décédée, avait tweeté à l’annonce du pass vaccinal: "C’est l’apartheid au pays des droits de l’Homme!". Ses collègues d’Europe Écologie les Verts l’ont forcée à retirer ce message.

    Août 2025. À Poitiers, dans une rue étroite limitée à 20 km/heure, les voitures dépassaient cette vitesse. Les écologistes ont inventé le concept de trottoir végétalisé. Ils ont demandé et obtenu que l’on mette des plantes sur les trottoirs afin d’obliger les piétons à marcher sur la route pour ralentir les véhicules.

    1er août 2025. À Clisson, à 30 km de Nantes, une manifestation prévue du 22 au 24 août interroge sur son impact environnemental. Les "Verts" de Clisson demandent un bilan carbone pour le festival de voitures anciennes réunissant cette année des modèles de la gamme Coccinelle, de Wolkswagen.

    À Saint-Hilaire-de-Briouze, dans l’Orne, les 7, 8 ,9, 10 août 2025, lors du festival "Les Résistantes", des militantes "racisées" envahissent la scène, appellent à "déblanchiser " les collectifs écologistes, dénoncent le "racisme" en "milieu allié", et se prononcent "pour une écologie (réellement) populaire, décolonisée, antiraciste et antifasciste".

    4 août 2025. Selon Patrice Gibertie, les données satellites prouvent que le réchauffement climatique est expliqué par la baisse de la couverture nuageuse, le CO2 n’y est pour rien. Les satellites montrent que l’augmentation de la température correspond à une diminution de la couverture nuageuse. Les partisans du réchauffement climatique causé par les activités humaines doivent tricher pour défendre leur thèse.

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  • Nos dirigeants n’ont plus le pouvoir de garantir le bien commun

    En France, tout le système politico-médiatique conspire à nous faire croire que nos gouvernants gouvernent et que nos présidents président, conformément au texte de la Constitution de 1958. Personne, comme dans le conte d’Andersen, n’ose dire que le roi est nu, c’est-à-dire que nos gouvernants n’ont plus le pouvoir de garantir le bien commun au sein de la zone euro. Et, par conséquent, que les élections ne servent progressivement plus à rien dans l’Union européenne. C’est le grand secret que tous s’efforcent de nous cacher, mais de plus en plus difficilement.

    LA FICTION DU POUVOIR

    Les institutions nous font vivre dans un univers de fiction, comme si nous étions encore dans la France des années 1970.

    Comme on fait défiler nos soldats le 14 juillet pour faire croire que nous avons encore une armée à même de garantir notre indépendance, alors que nous nous soumettons à l’OTAN, qui veut nous engager dans des conflits qui ne sont pas les nôtres. Comme on n’a de cesse d’invoquer une République dont on a trahi toutes les valeurs fondatrices.

    Ceux qui sont " au pouvoir " nous font croire qu’ils prennent des décisions, alors que la réalité du pouvoir a fui les palais nationaux. Car aujourd’hui, les vrais décideurs résident à Bruxelles, à Francfort, à Berlin, à Washington, dans les prétoires, dans les salles de rédaction, dans les lobbys et dans les organes dirigeants des grandes entreprises mondialisées. Pas à Paris.

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  • Les canicules du passé étaient plus chaudes que celle d’août 2025

    En l’an 994, Hugues Capet régnant, l’absence prolongée de pluies assécha les fleuves et les lacs, asphyxiant tous les poissons. La chaleur enflamma des forêts entières avec leur gibier et anéantit les prairies, les moissons et les troupeaux. Les humains mouraient, desséchés.

    Une reconstitution modélisée de ces phénomènes extrêmes conclut à des températures égales ou supérieures à 42°C pendant au moins 5 à 6 semaines. Les témoins d’époque, clercs et tabellions, évoquent une "chaleur infernale" pendant près de 3 mois!

    Les ecclésiastiques y voyaient la main du diable comme Greta y sent l’odeur du CO2.

    Peu importe la vérité historique, il faut affoler les gens, ça les rend plus dociles et malléables

    Des canicules de plusieurs mois tarissaient puits et fontaines, faisaient des fleuves de simples ruisseaux et généraient des incendies monstrueux contre lesquels on n’avait pas les moyens de s’opposer sinon en faisant la part du feu, l’expression vient de là, en arasant toute la végétation sur des dizaines d’hectares de zones sacrifiées alentour.

    Ces chaleurs insupportables détruisaient les récoltes et les arbres fruitiers, tandis que les hommes et le bétail crevaient littéralement de soif, puis de faim.

    ON CONNUT 8 CANICULES MAJEURES DE L’AN MIL JUSQU’EN 1682.

    Suscitant autant de jacqueries qu’on qualifierait aujourd’hui d’émeutes de la faim. Les plus meurtrières furent celles de 1540 et de 1636 qui tua 500.000 Français.

    Plusieurs dizaines de canicules moins sévères, comparables à celle de cette année, se succédèrent.

    En plus des phénomènes extrêmes, les fortes chaleurs cycliques n’étaient pas exceptionnelles

    En 1684, l’Académie Royale des Sciences releva 25 jours d’une température d’au moins 31° et 16 jours avec 35° à l’ombre à Paris où le thermomètre marqua plusieurs fois 40° en 1701 selon l’échelle de Santorio.

    Le climat se dérégla à nouveau en 1694, en 1718 et 1719 avec 700.000 morts, puis 1767, 1778, 1803, 1817, 1825, 1842, 1858, 1875, 1893.

    Avec des pics de mortalité et de chaleur en 1846 et 1859. Et ça continua ainsi jusqu’au XXe siècle.

    Mais les astrologues du GIEC n’ont probablement jamais entendu parler de la canicule de 1911 qui fit 45.000 morts en France (19.000 pour celle de 2003 attribuée au léger réchauffement cyclique) pas plus que du pic de chaleur de 56,7°C enregistré en Californie en juillet 1913.

    Les réchauffards sont les premiers à dire d’un ton docte et inspiré qu’il ne faut pas confondre météo contingente et climat rémanent. Mais dès qu’il s’agit de canicule, changement de discours: le casuel et le provisoire, liés à des phénomènes localisés, deviennent l’expression du réchauffement planétaire global.

    C’EST DANS LEURS TÊTES QUE ÇA CHAUFFE!

    Pour les bateleurs du GIEC fédérés en 1990 en chamanes de la religion réchauffarde, la température moyenne de la terre vers 2040 dépasserait de 1,5°C celle du début de l’ère industrielle, deux siècles plus tôt, si les émissions de gaz à effet de serre dont leur obsessionnel CO2 devaient se poursuivre au rythme actuel… Et ce serait la fin du monde!

    La belle affaire quand on sait que lors de l’optimum médiéval de 950 à 1350, les moyennes (hors pics de chaleur) accusaient selon les endroits entre 3°C et 6°C de plus qu’aujourd’hui. En un temps où le Groenland était la terre verte des Vikings.

    Quand la vigne poussait en Scandinavie, à Terre-Neuve et sur la côte Nord Est des USA actuels.

    Les évolutions étaient, comme toujours, fonction de la latitude, des reliefs qui orientent les vents et influent sur les précipitations, ainsi que des courants marins et aériens qui pérennisent la répétition des phénomènes.

    Et si on remonte plus loin dans le temps, Hannibal a pu franchir discrètement les Alpes avec ses éléphants il y a 22 siècles parce qu’il n’y avait pas de glaciers sur sa route. L’optimum climatique romain redécouvert par Nature en 1999 a duré de 250 avant JC à 400 après.

    La Tondelière n’a pas osé incriminer les camions, les avions et les centrales à neutrons. Mais on n’est pas passé loin.

    L’EFFET DE SERRE A TOUTES LES SAUCES… UNE IMPOSTURE POUR TERRORISER LES MASSES

    Il n’y a aucun lien démontré entre un léger réchauffement de la planète et les émissions de CO2. Ce gaz a un effet de serre négligeable. Le CO2 ne représente que 0,04% de la composition de l’air. Une légère variation de ppm (partie par million) n’aurait aucune incidence sur les températures.

    D’ailleurs, la teneur en CO2 est stable depuis 35 ans qu’on la surveille. Le surplus est absorbé par les océans, et par la végétation avec des forêts en constante expansion. Le principal gaz à effet de serre est la vapeur d’eau aux effets plus significatifs. Puisque H2O représente 2% de l’atmosphère soit 50 fois plus que le CO2.

    Dans leurs modèles, le CO2 vire à l’obsession quand, dans l’atmosphère il est mélangé à la vapeur d’eau qui possède des bandes d’absorption qui recouvrent en intensité et fréquences celles du CO2 avec un ratio de 50 pour 1.

    C’est la vapeur d’eau qui absorbe par saturation la quasi-totalité de la chaleur, soit 90% des infra-rouges, le reste étant imputable à d’autres gaz comme l’ozone ou le méthane. Mais la chaleur ne s’empile comme des couches de lasagnes.

    En outre, les gugusses du GIEC oublient le gradient thermique vertical. L’air chaud monte et perd 2°C/1000 pieds. Quand il fait 25°C au sol, il ne fait plus que 5°C à 3000 m (9842 ft). Ils ne tiennent pas compte non plus du cycle de l’eau qui produit avec la chaleur un épaississement des couches nuageuses, avec pour effet d’accroître l’albédo de la terre et donc de renvoyer davantage de rayons solaires vers l’espace, diminuant ainsi l’effet de serre et le réchauffement tant redouté.

    L’antienne "Sauvons la planète" sans préciser en asservissant les humains est un mantra de propagande dépourvu de tout fondement scientifique.

    Les prédictions catastrophistes du GIEC qui prétend " guider les actions des gouvernements du monde entier" s’appuie sur l’ignorance des foules dans les domaine de la science et de l’histoire, et la cécité de ceux pour qui le JT tient lieu d’évangile. Sous la surveillance de l’ARCOM, la Gestapo des médias, qui sanctionne quiconque apporte la contradiction aux théories réchauffardes et veille à ce que des scientifiques de réputation internationale, hors doxa, soient ostracisés.

    Les articles de la foi ont été rédigés par de médiocres petits profs cooptés, pillant sans vergogne les travaux de leurs collègues quand ils y trouvent matière à étayer leurs prédictions. Quitte à modifier ou effacer les données qui ne vont pas dans leur sens. Pour servir un triple objectif:

    D’abord l’assujettissement des États-Nations à une plate forme de décision mondiale, en commençant par des traités contraignants d’abandons de souveraineté, anticipant un gouvernement global aux ordres des conglomérats industriels et financiers.

    Avec au moins au début, des simulacres d’élections, sans que les dirigeants désignés soient responsables devant le peuple. Le tout enrobé de diktats auxquels chacun est tenu de croire pour éviter l’exil intérieur et la mort sociale.

    Ensuite le détournement du regard des Occidentaux vers la menace fantôme du réchauffement cataclysmique, en occultant la menace réelle d’une déferlante migratoire qui est en train de modifier radicalement les équilibres géopolitiques et sociétaux ainsi que nos modes de vie…

    Tout en remplissant au profit des banksters et des oligarques des viviers grouillant de manœuvres et de nervis, hors syndicats et aisément manipulables, pour peu qu’on satisfasse leurs lubies religieuses.

    Enfin le parachèvement d’une paupérisation généralisée par la multiplication des faillites accroissant un chômage structurel compensé par un assistanat réduit au minimum vital destiné à rendre les gens encore plus dépendants et à enrayer toute velléité de contestation. Avec une restructuration économique destinée à parachever la transition de l’économie réelle vers le monde de la finance pure…

    En attendant un nouveau minimum de Maunder (petite ère glaciaire) qui pourrait commencer après 2030.

     

    Christian Navis

     

    https://climatorealist.blogspot.com/

     

  • Comment ils détruisent notre Nation...

    Incendies de forêts, arrachage de vignes,

    abattage des troupeaux: hasard ou nécessité?

    Quand la France brûle, Macron plante des panneaux solaires. Ce n’est pas une série de malchances, c’est une stratégie. Le feu est un outil, il dégage, il efface, il prépare le terrain. Et sur ce terrain dévasté, on installe une autre France.

    Une France sans paysans, sans éleveurs, sans vignerons. Une France des serveurs, d’objets connectés et de dépendance énergétique.

    MAIS AVANT DE CONSTRUIRE CE MONDE-LA, IL FAUT DÉTRUIRE L’ANCIEN.

    On ne modernise pas un pays enraciné, on le déracine.

    On commence par la vigne. En 2023, l’État propose une prime à l’arrachage, pas pour relancer, pour mettre fin. On appelle ça la réduction définitive du potentiel viticole.

    On offre de l’argent pour arracher, mais surtout on interdit de replanter. C’est le signal. Le vin français, ce pilier culturel et économique, devient une variable d’ajustement.

    La main de l’Etat n’aide pas les vignerons. Elle les paye pour abandonner. Une fois les ceps arrachés, les terres deviennent vides. Et ces terres vides sont alors convoitées.

    Non pas pour du maraîcher, non pas pour de l’agro écologie, mais pour du photovoltaïque. LES MULTINATIONALES INSTALLENT DES CHAMPS DE PANNEAUX SUR LES CADAVRES DE NOS VIGNES, DES MEGAWATTS.

    C’est l’écologie selon Macron: remplacer des hectares de biodiversité et l’histoire par des champs de silicium. On ne soutient pas le vin français, mais on importe des cuves d’Espagne, des bouteilles du Chili, des vins synthétiques des Etats-Unis. La viticulture française est vendue à la découpe.

    Août 2025. L’Aude s’embrase. 17000 hectares partis en fumée.

    Une femme meurt, des pompiers blessés.

    Et où est l’Etat? Absent.

    Quatorze Canadairs pour tout un pays, mais c’est une blague.

    Et encore, ce sont des modèles anciens, parfois cloués au sol pour maintenance. Macron avait promis quatre appareils supplémentaires. Il en a commandé deux.

    Et les crédits votés pour la flotte aérienne ont été supprimés en douce par décret.

    En parallèle, quatre-vingts dix véhicules blindés Centaure sont livrés à la gendarmerie pour réprimer les manifestations.

    LES FEUX DE FORET, NON. LES FEUX SOCIAUX, OUI.

    Ce n’est pas une négligence, c’est une hiérarchie des priorités. Ils laissent cramer les forêts, mais ils sont prêts à écraser la moindre flamme de colère.

    Et dans l’Aude, hasard étrange, le feu ravageait dans une zone promise à une centrale solaire. Un projet bloqué par les riverains, ralenti par les recours. Une fois le feu passé, plus d’obstacle, le terrain est libre, la végétation n’existe plus.

    Comme par enchantement, les travaux peuvent commencer. Le feu devient un bulldozer.

    Chaque incendie devient une opportunité.

    Une forêt qui brûle, ce sont des terres libérées de contraintes agressives. Des sols désencombrés, moins de haies, moins de biodiversité, donc moins de freins aux projets industriels.

    Les investisseurs arrivent après les flammes comme des vautours sur un champ de bataille.

    Des panneaux solaires, des éoliennes, des centres logistiques. L’incendie devient la première étape d’un chantier. Derrière les discours sur la sobriété, il y a une réalité: la marchandisation du vide.

    Les terres agricoles deviennent des déserts énergétiques stériles, gérés depuis des tours à Paris ou à Bruxelles. Les paysans, eux, sont expulsés du paysage, remplacés par des techniciens sous-payés. Le Green Deal (l’accord vert) est une opération immobilière.

    PENDANT QUE LES FORETS S’EFFACENT, NOS ELEVEURS CRIENT DANS LE VIDE.

    Une épidémie nommée DNC, dont personne n’avait entendu parler, devient le prétexte pour abattre des cheptels entiers. Même quand les animaux ne présentent aucun symptôme, même quand les tests sont négatifs, ordre est donné: euthanasie totale.

    Dans le Cantal, la Savoie, les Alpes, des éleveurs assistent à l’abattage de leurs vaches, de leurs veaux, de leur vie. Une femme raconte avoir nourri ses veaux au biberon le matin pour les voir mourir l’après-midi. Aucun recours, aucune pitié.

    C’est la politique du vide.

    Chaque troupeau supprimé ouvre la voie à autre chose.

    Importations sud-américaines, viande synthétique, solutions alternatives promues par les start-ups financées par Bill Gates ou BlackRock.

    Et les fermes, que deviennent-elles? Soit des friches, soit des terrains vendus pour d’autres usages: solaire, logistique, technologique. L’animal vivant gêne, la nourriture connectée rassure.

    LA VACHE MEURT, LE LABO PROSPÈRE.

    Dans ce pays qu’on déshabille, les moyens de secours s’effondrent, mais les moyens de contrôle explosent. Pas d’argent pour les Canadairs, mais des milliards pour l’armement, pour l’Ukraine, pour les intérêts de l’OTAN.

    Pas d’aide réelle pour les éleveurs, mais des chèques pour Amazon, Pfizer ou Microsoft. On privatise les profits, on nationalise les pertes.

    Les terres agricoles partent à l’étranger. Les subventions alimentent des programmes numériques absurdes. Les ZAP, zones agricoles protégées, conditionnent les exploitants à devenir dépendants. On appelle ça modernisation. En réalité, c’est un asservissement.

    Chaque feu de forêt est une justification pour accélérer la mutation. On prépare une agriculture sans hommes, sans terres, sans saisons. Et ceux qui refusent ce modèle sont traités d’extrémistes, d’anti-progrès.

    Ils sont ignorés jusqu’au jour où ils se révoltent. Pendant ce temps A PARIS, LA CASTE RIT.

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  • Nos dirigeants n’ont plus le pouvoir de garantir le bien commun

    En France, tout le système politico-médiatique conspire à nous faire croire que nos gouvernants gouvernent et que nos présidents président, conformément au texte de la Constitution de 1958. Personne, comme dans le conte d’Andersen, n’ose dire que le roi est nu, c’est-à-dire que nos gouvernants n’ont plus le pouvoir de garantir le bien commun au sein de la zone euro.

    Et, par conséquent, que les élections ne servent progressivement plus à rien dans l’Union européenne. C’est le grand secret que tous s’efforcent de nous cacher, mais de plus en plus difficilement.

    LA FICTION DU POUVOIR

    Les institutions nous font vivre dans un univers de fiction, comme si nous étions encore dans la France des années 1970.

    Comme on fait défiler nos soldats le 14 juillet pour faire croire que nous avons encore une armée à même de garantir notre indépendance, alors que nous nous soumettons à l’OTAN, qui veut nous engager dans des conflits qui ne sont pas les nôtres. Comme on n’a de cesse d’invoquer une République dont on a trahi toutes les valeurs fondatrices.

    Ceux qui sont "au pouvoir" nous font croire qu’ils prennent des décisions, alors que la réalité du pouvoir a fui les palais nationaux.

    Car aujourd’hui, les vrais décideurs résident à Bruxelles, à Francfort, à Berlin, à Washington, dans les prétoires, dans les salles de rédaction, dans les lobbys et dans les organes dirigeants des grandes entreprises mondialisées.

    Pas à Paris.

    La monnaie? De la compétence de la BCE.

    La politique commerciale? De la compétence de la Commission européenne. L’immigration? C’est l’affaire des juges.

    Les frontières? Ce ne sont plus que des passoires.

    La défense? C’est l’OTAN qui décide.

    L’économie et la finance? Elles sont dérégulées.

    Et tout à l’avenant.

    Pendant que nos parlementaires font mine de voter les lois, alors que pour l’essentiel ils transcrivent des directives de l’UE et qu’ils ne peuvent voter que ce que le Conseil constitutionnel et les juges, inamovibles et irresponsables politiquement, autorisent.

    Les prétendus "pouvoirs publics" n’ont plus de pouvoir.

    LE POUVOIR DE LA FICTION

    En réalité, ceux qui sont "au pouvoir" ne peuvent plus agir qu’à la marge: ils ne peuvent qu’aller dans le sens des orientations et de l’idéologie de l’UE. Ils peuvent accélérer (comme on le voit, par exemple, en matière "sociétale") ou freiner (beaucoup plus rarement), mais pas changer de direction. Sinon, ils seraient chassés du pouvoir et de ses avantages.

    C’est pourquoi également nos gouvernants sont devenus des perroquets communicants: de vrais moulins à paroles, tel Emmanuel Macron soliloquant pendant des heures lors du prétendu Grand Débat national de 2019, pour faire oublier qu’ils ne sont plus en mesure de faire quoi que ce soit de positif.

    C’est pourquoi aussi les présidences deviennent des "quinquennats pour rien": des quinquennats où il ne se produit rien de bon pour les Français.

    Mais ceux qui sont "dans l’opposition", hélas, trompent aussi: en faisant croire qu’une fois élus, ils feront entrer leurs belles promesses dans la réalité.

    Alors qu’à leur tour, ils subiront le même carcan idéologique et institutionnel de l’UE.

    Car, pour réaliser leurs programmes, il faudrait renverser la table, ce qu’ils ne semblent pas prêts à faire en réalité. Et s’ils promettaient de le faire, tout le Système se liguerait pour empêcher leur élection, comme on vient de le voir encore récemment en Roumanie.

    LA FIN PROGRAMMEE DE LA SOUVERAINETE POLITIQUE

    On a caché au peuple français que les transferts de souveraineté accomplis au profit de l’UE, imposés le plus souvent à la population par divers subterfuges comme le Traité de Lisbonne, ne nous rendaient pas "plus forts", comme le disait la propagande, mais qu’ils vidaient progressivement de son sens la politique dans les pays de la zone euro. C’est cela aussi, le Grand Secret.

    Et le projet de supprimer le droit de veto des États, porté par les européistes, détruirait complétement les fondements de toute souveraineté politique nationale, donc de toute démocratie.

    Tel est bien sûr "l’agenda" – comme ils disent – des artisans de cette "construction européenne" qui veut mettre fin au politique et donc à la souveraineté des peuples, pour imposer leur domination sans limite. Au nom de la vieille utopie de la rationalité et de l’administration des choses.

    UN GOUVERNEMENT DE SATRAPES

    Aujourd’hui, nos gouvernants ne sont plus que les satrapes d’un Système opaque, car il n’a même pas la qualité ni la présence d’une fédération ni d’un empire.

    On nous cache que nos gouvernants non seulement n’ont plus la volonté, mais surtout plus la capacité de faire ce que veut la population.

    Ni d’assurer sa prospérité et sa continuité. Ni de la protéger.

    Comme l’écrit significativement l’ancien commissaire divisionnaire Maurice Signolet dans son dernier essai: "La police ne peut plus rien pour vous".

    Mais ce constat s’applique de nos jours à presque tous les domaines de l’action publique.

    Nos satrapes ne sont là que pour assurer un certain ordre, pour empêcher toute révolte de la population et toute remise en cause de l’agenda mondialiste "européen".

    Pour "taper sur les Français" qui manifestent, comme Emmanuel Macron le fit lors du mouvement des Gilets jaunes ou lors des rassemblements contre la politique covidienne, contre la réforme des retraites ou contre la délinquance d’origine étrangère.

    Car le chaos ne gêne pas les satrapes s’il permet de sidérer encore plus la population, pour mieux la soumettre. C’est pourquoi cet ordre prend la forme d’une anarcho-tyrannie de plus en plus insupportable.

    UNE IDEE NEUVE: LE POUVOIR AU PEUPLE

    Mais bonne nouvelle: il devient de plus en plus difficile de préserver ce Grand Secret.

    Tout le monde voit désormais, en effet, les résultats de l’impuissance verbeuse de nos gouvernants: les usines qui ferment, la délinquance qui progresse, les services publics qui ne fonctionnent plus, l’immigration qui ne s’arrête pas, les dettes et les impôts qui augmentent, l’islamisation qui avance, les risques de guerre qui se multiplient…

    De plus en plus de Français voient que le roi est nu et qu’il ne dispose finalement que d’un pouvoir de nuisance. D’où l’image de plus en plus catastrophique de ces "dirigeants" qui ne dirigent rien.

    Et comme ce pouvoir n’est fort qu’avec les faibles, il est donc temps de montrer sa force.

    C’est pourquoi prendre le pouvoir pour redonner du pouvoir au pouvoir redevient progressivement une idée populaire et neuve en France.

    Michel Geoffroy

    https://www.polemia.com/