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Humain? - Page 295

  • Toto, le robot

    Un robot autostoppeur va traverser le Canada

    Deux professeurs de communication ont conçu ce petit robot qui traversera le pays à partir du 27 juillet. L'idée : expérimenter la réaction humaine face à la robotique.

     

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    HitchBot, c'est le nom de ce robot, grand comme un enfant de six ans et chaussé de bottes rouges, qui partira le 27 juillet pour un périple de plus de 6000 kilomètres d'un bout à l'autre du Canada, depuis Halifax à l'est jusqu'à Victoria à l'ouest. Mais ne pouvant pas se déplacer tout seul, le bon déroulement de son aventure dépend entièrement de la participation des gens qui le croiseront sur leur chemin. Posé sur le bord d'une route le bras et le pouce levé, HitchBot fera de l'autostop afin d'être recueilli par des automobilistes, qui devront le transporter et même le recharger via leur allume-cigare.

    Cette initiative unique doit permettre d'expérimenter la gentillesse et la générosité des gens, ainsi que la manière dont ils réagissent vis-à-vis des robots dans un environnement ouvert. Au centre du questionnement: la confiance que peuvent faire les gens à une technologie encore méconnue. "En temps normal, on se demande si l'on peut faire confiance aux robots… mais ce projet inverse la question: les robots peuvent-ils faire confiance aux êtres humains?", explique Frauke Zeller, un des deux professeurs de communication à l'origine du projet, au Daily Mail.

    Les créateurs de ce robot pas comme les autres espèrent qu'il saura séduire la population canadienne afin d'arriver à destination. Car HitchBot, non content de savoir parler, peut interagir et réagir sur n'importe quel sujet, grâce à sa base de données directement alimentée par Wikipedia. Et au-delà du Canada, le monde entier pourra suivre ses aventures. Equipé d'une caméra embarquée et d'une connexion 3G, il peut poster automatiquement des vidéos sur son site internet et possède même un compte Twitter, spécialement créé pour l'occasion. Un seul souci pour traverser le Canada: HitchBot ne parle pas encore français!

  • Contraception : Découvrez la pilule télécommandée du futur

     

    Fini le calvaire de la prise à heure fixe et avec elle, le risque d'oublier qui concerne tant de femmes utilisant ce contraceptif quelque peu contraignant. Une nouvelle pilule pourrait bien voir le jour prochainement et fonctionnerait comme un implant sous-cutané que l'on peut activer et désactiver à la demande.

    Si les grossesses en cas d'oubli de pilule un jour restent rares, ces instants tête-en-l'air n'en sont pas moins facteurs de stress et de panique. Faut-il sauter un jour, doubler la prochaine prise, prendre une pilule du lendemain, s'abstenir de tout rapport sexuel ? Autant de question qui traversent l'esprit de l'oublieuse et font de ce moyen de contraception une chose bien plus compliquée qu'elle ne le devrait. Mais peut-être que le temps des rappels sur le portable et des frayeurs pourrait bientôt toucher à sa fin. Un nouveau contraceptif intégrant le dosage et le principe de la pilule ainsi que la simplicité et la durée de vie de l'implant ou du stérilet est actuellement à l'étude et, s'il s'avère efficace, pourrait être commercialisé dans les années à venir.

    Ce contraceptif révolutionnaire prendrait la forme d'une puce de 20 mm qui serait implantée sous la peau (dans le bras, les fesses ou le ventre) et pourvue d'une batterie de très faible courant électrique qui permettrait de délivrer chaque jour 30 microgrammes de lévonorgestrel, une hormone de synthèse déjà utilisée dans plusieurs contraceptifs. Elle serait protégée dans un petit réservoir pouvant contenir l'équivalent de 16 ans de traitement, soit le double de certains stérilets longue durée. Mais le véritable plus de cette pilule nouvelle génération réside dans le fait qu'elle pourra être activée ou éteinte quand on le veut, grâce à une télécommande. Ainsi, une femme désirant être enceinte pourra la désactiver puis la remettre en marche après son accouchement. Développé dans les laboratoires du prestigieux MIT (Massachussetts Institute of Technology) et financé par la Fondation Bill & Melinda Gates, qui encourage les nouveaux moyens de contraception comme le préservatif du futur Galactic Cap, pourrait être soumis à des tests pré-cliniques dès 2015 puis distribué sur le marché 3 ans plus tard s'ils sont concluants.

    Sachant que la pilule est de plus en plus délaissée chez les femmes, à cause des contraintes qu'elle implique mais aussi des récents scandales sanitaires autour des pilules de 3ème génération, au profit d'autres moyens comme le stérilet, l'implant, ou même des méthodes plus traditionnelles, ce système pourrait également représenter une alternative séduisante. Reste la question de la télécommande, qu'il ne faudra pas égarer, ou laisser à portée de mains malintentionnées !

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    NDLR: quand je pense que beaucoup de femmes et filles refusent que leur gosse soient vaccinés et qu'elles accepteraient avec grande joie ce truc électronique qui donne de l'électromagnétisme et bouzille les cellules du corps!

  • Obligeons les Japonais à faire des robots qui ressemblent à des machines et pas aux humains!

    Le consortium aux 100 robots que les Japonais viennent de lancer

    Le robot Pepper, conçu par le français Aldebarran robotics, a été présenté au Japon pour la première fois. L'actionnaire de référence de l'entreprise française étant la Soft Bank, un opérateur... japonais !

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    Plus de 300 sociétés japonaises se sont regroupés, le 1er juillet à Tokyo, pour lancer un consortium 100% robots. Son objectif ? Développer d'ici 2020 une centaine de robots dotés des dernières technologies. Baptisée i-RooBO Network forum, cette organisation (présidé par le professeur Tokuda de l'université de Keio) rassemble en fait deux grappes d'entreprises existantes : celle de Toshiba-Toyota-NTT et celle de petites entreprises spécialisées dans la robotique.

    Le consortium va développer en priorité des robots de compagnie, d'assistance ou de services, plutôt à destination du grand public. Pour financer ces projets, le consortium envisage de faire appel aux financements participatifs.

    Le Japon est en train de se structurer pour conserver son avance en robotique. Premier utilisateur au monde de robots industriels, le pays voudrait organiser, en parallèle des jeux olympiques de 2020, les JO des robots. Le but, selon le premier ministre Shinzo Abe, est de se servir de cette vitrine pour réaffirmer le savoir-faire japonais.

     

  • Ces Japonais nous proposent un avenir sombre!

     

    Le premier robot émotif

    Masayoshi Son, âtropn Softbank, nouveau robot  humanoïde Pepper.

    VIDEO - Les deux groupes vont mettre en vente en février prochain, au prix de 1.400 euros, “Pepper”, un petit humanoïde révolutionnaire qu’ils rêvent de voir entrer dans tous les foyers.

     L’image est peu commune : c’est un petit humanoïde blanc qui a accueilli Masayoshi Son, le patron de Softbank, lors d’une conférence de presse futuristique organisée ce matin à Tokyo. Le géant japonais de la téléphonie mobile y a présenté pour la première fois dans l’histoire de cette industrie un robot doté d’émotions, conçu par l’entreprise française Aldebaran Robotics.

    Baptisé “Pepper”, cet humanoïde d’environ un mètre de haut vise une cible jusqu’ici inédite pour le marché de la robotique: les particuliers. Fabriqué par le groupe taïwanais Foxconn, Pepper sera mis en vente à un prix de base de 198.000 yens (1.400 euros) à partir de février 2015, dans un premier temps au Japon. “C’est le prix des PC et cela doit permettre aux robots de faire leur entrée dans la même manière dans les maisons auprès des familles”, a lancé le PDG. “Nous voulons créer des robots personnels, qui travaillent et vivent avec les gens de façon autonome ", a expliqué l’ambitieux homme d’affaires qui est convaincu que les robots doués d’intelligence, de mémoire et de réflexion vont donner naissance à marché gigantesque de l’assistance ou de l’accompagnement.

    Tout droit sortis d’un manga

    D’un aspect très proche des deux robots précédemment conçus par Aldebaran, Nao et Romeo, Pepper s’en distingue car il n’est pas équipé de jambes, mais circule sur des roues. Le haut de son corps est celui d’un humanoïde, avec un torse, deux bras et un visage rond muni de deux grands yeux expressifs qui semblent tout droit sortis d’un manga.

    Insistant sur la “portée révolutionnaire” de ce nouveau produit, le PDG de SoftBank a particulièrement mis en avant la capacité de Pepper a comprendre les émotions humaines. Grâce à des capteurs et des algorithmes mis au point par Aldebaran, ce nouveau robot sait en effet, selon Masayoshi Son, analyser le comportement de ses interlocuteurs, en déduire leur état d’esprit et réagir en conséquence: " Pour la première fois dans l’histoire de la robotique, nous présentons un robot avec un coeur. C’est une date marquante pour l’humanité ", a-t-il martelé. " Pepper ne sait pas encore traiter toutes les émotions, mais c’est un premier pas: quand un membre de la famille est heureux, le robot le comprend et s’adapte ".

    Pour éprouver et faire progresser cette intelligence, Softbank se propose de “faire travailler” dès demain des exemplaires de “Pepper” dans au moins deux des boutiques qu’il exploite dans des quartiers à la mode de Tokyo. “Les consommateurs vont pouvoir toucher et intéragir avec le robot. Pepper va lui pouvoir mesurer le flux des visiteurs, observer leurs comportements et lire les émotions de nos clients”, a détaillé Masayoshi Son. Les deux machines vont profiter de cette interaction avec des humains pour analyser les réactions des consommateurs et emmagasiner de nouvelles informations dans une plateforme “dans les nuages”, à laquelle tous les robots de l’entreprise auront accès. Si Pepper détecte, par exemple, une émotion de joie lorsqu’il fait un pas de danse dans l’une des boutiques, il pourra transmettre cette info à un autre robot qui pourra générer le même comportement “positif” à plusieurs kilomètres de là.

    Intervenant aux côtés du PDG de SoftBank, Bruno Maisonnier, le président d’Aldebaran Robotics, dans lequel SoftBank avait pris une participation majoritaire en 2012, a pointé l’important bouleversement qu’allait connaître la robotique dans le futur : " Je pense que le rôle principal d’un robot est d’être un assistant pour les humains. Nous appelons cela un robot émotionnel. Cela va apporter une nouvelle dimension dans nos vies. " Le fondateur d’Aldebaran, qui emploie près de 500 personnes à Paris, a rappelé que son entreprise " était déjà un leader mondial de la robotique humanoïde, avec plus de 5000 robots Nao utilisés dans 70 pays pour la recherche, l’éducation ou l’aide aux enfants autistes ".

    Le patron d’Aldebaran Robotics a également expliqué que Pepper avait été conçu comme une plate-forme ouverte aux développeurs. " J’invite tous les développeurs, mais aussi les spécialistes de l’animation ou du design sonore à travailler avec nous. " Un kit de développement devrait bientôt être lancé, et une conférence de développeurs doit avoir lieu dès le mois de septembre. Des " ateliers Pepper " devraient également ouvrir leurs portes à Paris et Tokyo dans les prochains mois.

    En savoir plus sur http://www.lesechos.fr/tech-medias/medias/0203544504829-softbank-et-aldebaran-devoilent-le-premier-robot-emotif-1009789.php?xtor=AL-4003-%5BChoix_de_la_redaction%5D-%5Bsoftbank_et_aldebaran_devoilent_le_premier_robot_emotif%5D&PRYikqtIIC2ZvtWb.99

  • Ouf: je ne suis pas la seule à crier!

    Si je crains cette terrible catastrophe pour l'humain et les sociétés humaines en devenir, c'est parce que, en tant que voyante transgénérationnelle, j'ai vu cette terrible menace pour nos arrières-petits enfants...

    Peu à peu, je m'aperçois que d'autres aussi le sentent venir....

     

    www.legende-des-siecles.com

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    Stephen Hawking: Sous-estimer l’intelligence artificielle serait "la plus grave erreur de notre histoire"

    SCIENCE - Le scientifique britannique co-signe une tribune dans laquelle il alerte sur la potentielle menace pour l’humanité que constituerait l’invention de l’IA…

    L’intelligence artificielle fait fantasmer et trembler. D’Isaac Asimov à Transcendence avec Johnny Depp et Morgan Freeman, en passant par la série "Battlestar Galactica", les possibles dangers pour l’homme d’une machine intelligente ont déjà été explorés dans d’innombrables variations. Mais quand Stephen Hawking prend la plume pour alerter des dangers de l’intelligence artificielle, la science rejoint la science-fiction.

     "Nous sommes face à la meilleure, ou la pire chose qui puisse arriver à l’humanité"

     "Réussir à créer une intelligence artificielle serait le plus grand événement dans l’histoire de l’homme, écrit l’éminent physicien britannique, connu pour sa recherche sur les trous noirs. Mais ce pourrait aussi être le dernier, prévient-il dans une tribune cosignée dans le journal The Independent." Citant les voitures auto-pilotées, les assistants personnels comme Siri ou les armes autonomes qui décideraient de tuer sur un champ de bataille sans intervention humaine, Stephen Hawking avertit que ne pas prendre au sérieux ce qui est encore de la science-fiction pourrait être "la plus grave erreur de notre histoire".

     "On peut imaginer que cette technologie déjoue les marchés financiers, dépasse les chercheurs humains, manipule les dirigeants humains et développe des armes qu’on ne peut pas même comprendre", poursuit le scientifique. "L’incidence à court-terme de l’intelligence artificielle dépend de qui la contrôle, mais l’impact à long-terme dépend de la possibilité réelle de la contrôler." Stephen Hawking déplore le manque de recherche sérieuse sur ces questions, "alors que nous sommes face à la meilleure, ou la pire chose qui puisse arriver à l’humanité".

     

  • Comment les robots vont sauver la Sécu?...

    en prenant en charge les seniors

    La dépendance est un défi autant économique que social. Pour répondre à cet enjeu, les pouvoirs publics et les grands groupes misent de plus en plus sur la robotique.

    Wandecraft propose aux personnes âgées et handicapés de redevenir mobiles grâce à un exosquelette. (c) DR Wandecraft propose aux personnes âgées et handicapés de redevenir mobiles grâce à un exosquelette. (c) DR

     

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    "Avec les robots, l'homme n'a plus d'excuse pour ne pas s'occuper des autres", écrivait Bruno Bonnell, ancien dirigeant d'Atari et patron de Robopolis en conclusion de son livre "Viva la Robolution" en 2010. Grâce aux potentialités de ces objets de haute technologie, capables d'interagir à distance et de manière intelligente avec les humains, il est en effet possible d'espérer une autre façon de répondre aux problèmes de dépendance et de maintien à domicile des personnes âgées.

    Un défi autant économique que sociétal pour un pays développé comme la France. D'après les prévisions de l'Insee, plus de 10 millions de Français auront plus de 75 ans en 2040 et le nombre de personnes dépendantes devrait quasiment doubler pour atteindre 1,2 million à cet horizon, entraînant un surcoût de 9 milliards d'euros et ce, alors que notre système de Sécurité sociale est déjà largement déficitaire.  Tous ces seniors ne pourront pas être hébergés par un proche ou pris en charge dans un EPAD. D'où la nécessité de trouver des solutions innovantes. Et la robotique apparaît de plus en plus comme une alternative aux yeux des pouvoirs publics et des entreprises.

    "Se consacrer plus à la personne"

    En mars 2013, le ministre du Redressement Arnaud Montebourg a ainsi lancé "France Robots Initiatives", un plan doté de 100 millions d'euros pour soutenir cette nouvelle filière. A cette occasion, il a particulièrement mis en avant l'aide apportée aux seniors et aux aidants.

    "Qu’ils soient spécifiquement dédiés à l’assistance aux personnes âgées, comme les robots de télé-présence, intégrant par exemple des accessoires "médicaux" pour recueillir des données physiologiques et interagissant avec l’environnement, ou tout simplement grand public comme les robots aspirateurs ou les robots compagnons, ils concourent à la sécurisation de la vie quotidienne, à la stimulation cognitive, à la mobilité des personnes dépendantes et au vieillissement en bonne santé. Ils allègent les aidants des tâches les plus fastidieuses qui peuvent dès lors se consacrer plus à la personne"

    Dans son sillage, les initiatives fleurissent. Parmi elles, la création à l'été 2013 par Orkos Capital d'un fond spécialisé dans la robotique. Baptisé Robolution Capital et doté de 80 millions d'euros, il a reçu le soutien de la BPI et de grandes entreprises françaises comme Orange, Thales, EDF et AG2R-La Mondiale. "C'est le 1er fond de ce genre au niveau mondial, présente Bruno Bonnell, partner dans Robolution Capital. Il s'agit d'aider des sociétés qui créent des robots au service de l'homme notamment dans le domaine de la médecine".

    Plusieurs jeunes pousses se sont lancées, à l'instar d'Awabot. Basée à Villeurbanne, cette société conçoit des robots pilotables à distance permettant de discuter en visio-conférence. A domicile, les personnes âgées isolées peuvent ainsi compter sur un "complice" leur permettant d'entrer en contact avec un médecin ou un proche.

    D'ici la fin de l'année, ces robots seront également dotés de capteurs visuels et olfactifs capables de prendre le rythme cardiaque, la tension artérielle, de déterminer les bactéries présentes sur une plaie pour mieux la soigner et, même, de mieux appréhender les problèmes d'incontinence.  Prix: environ 1.500 euros pièce. "Nous allons aussi permettre aux élèves malades pendant une longue durée de suivre les cours grâce à ces robots. Un partenariat a été signé avec la région Rhône-Alpes dans ce sens", ajoute Jérémie Koessler, le directeur général d'Awabot.

    On investira dans un robot pour sa retraite

    Autre start-up innovante: Wandercraft qui a développé un exosquelette de jambes motorisé pour rendre mobiles des personnes handicapés ou âgées. Le développement de la conduite autonome des voitures peut également permettre aux seniors de continuer à se déplacer en dehors de leur domicile et ainsi les aider à garder des liens avec leur proches. "Le gain de temps doit s'accompagner d'un progrès social. Il n'est pas question de remplacer les humains par des robots", rassure Bruno Bonnell.

    Partenaire du fond dans lequel elle a investi plusieurs millions d'euros, AG2R-La mondiale croît en l'avenir de la robotique pour répondre au vieillissement de la population. "Je suis convaincu qu'il y aura un marché si la technologie se développe bien dans les prochaines années, soutient Thierry Chérier, directeur commercial au sein du groupe d'assurance mutualiste. Nous pouvons imaginer ajouter à nos offres une solution de préfinancement d'un robot pour préparer sa fin de vie".

    Si pour le moment le marché est balbutiant, il pourrait bien croître rapidement avec la baisse du prix des produits et l'avancement de la technologie. Le marché de la robotique des services, estimé à 17 milliards d'euros en 2013, devrait atteindre 100 milliards en 2020 d'après la Commission Européenne. Et plusieurs milliers d'emplois seraient créés.

     

    Et comme je le dis et le répète: un robot doit ressembler à un robot et pas à un humain.... et cela nous évitera de faire exploser la société humaine d'ici 50 ans!