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Opinions - Page 123

  • La folie collective du Département d’État des Etats-Unis (Consortium News)

    Plus de 50 "diplomates" du Département d’Etat des Etats-Unis [Ministère des Affaires Etrangères – NdT] ont envoyé un rapport " dissident " exhortant le président Obama à lancer des frappes militaires contre l’armée syrienne, un signe de plus que ce Ministère a disjoncté de façon collective. Au cours des dernières décennies, le département d’Etat des Etats-Unis qui était jadis une maison raisonnablement professionnelle et réaliste en matière de diplomatie est devenu un repaire de bureaucrates guerriers possédés par des obsessions impériales, un phénomène dangereux souligné par la récente "dissidence" de masse en faveur de nouvelles tueries en Syrie.

    51 " diplomates " du Département d’Etat ont signé une note de service distribuée par un " canal de la dissidence " officiel, demandant des frappes militaires contre le gouvernement syrien de Bachar al-Assad dont les forces ont mené la contre-offensive contre les extrémistes islamistes qui cherchent à contrôler cette importante nation du Moyen-Orient .

    Le fait qu’un si grand nombre de fonctionnaires du Département d’Etat plaident en faveur d’un élargissement de la guerre d’agression en accord avec l’agenda néoconservateur, qui a placé la Syrie sur une liste noire il y a vingt ans, est révélateur du degré de folie qui s’est emparé du Département d’Etat.

    Le Département d’Etat semble être devenu un mélange de néoconservateurs pur jus, de libéraux interventionnistes et de quelques arrivistes qui ont compris qu’il était dans leur intérêt de se comporter comme des proconsuls globaux qui imposent leurs solutions ou recherchent un "changement de régime "plutôt que de se comporter en diplomates respectueux à la recherche de véritables compromis.

    Même certains fonctionnaires du Département d’Etat, que je connais personnellement et qui ne sont pas vraiment néoconservateurs ou libéraux-faucons, agissent comme s’ils avaient avalé la pilule et toute la boîte avec. Ils parlent comme des durs et se comportent avec arrogance envers les populations des pays sous leur contrôle. Les étrangers sont traités comme des objets stupides tout juste bons à être soumis ou soudoyés.

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  • La plus belle langue du monde!

    Quelle langue parlera-t-on à Bruxelles si ce n’est plus l’anglais ?

     Avec le brexit, la langue anglaise risque d’être beaucoup plus rare au sein des instances européennes. Qu’attend François Hollande pour sortir son clairon et aller y défendre la langue française?

    Par Yves Montenay.

    Hollande ira-t-il bouter l’anglais hors de Bruxelles?

    Comme le savent les personnes de ma génération, l’Europe, je veux dire le machin qui nous dirige de Bruxelles, ne parlait au début que français. Deux raisons à cela : trois pays sur six avaient le français comme langue officielle ou comme une de leurs langues officielles (France, Belgique, Luxembourg), et la plupart des personnalités, éduquées avant la vague américaine de l’après-guerre, parlaient français.

    Pompidou attendit la mort de de Gaulle pour accepter la Grande-Bretagne, et lui demanda de n’envoyer à Bruxelles que des Anglais bilingues (si, ça existe !). La promesse fut respectée pendant 10 ans. Mais ensuite l’époque avait changé, les générations suivantes avaient été élevées avec l’argent américain dès 1945 à l’ouest, et dès 1990 à l’est, avec un grand effort pour faire passer des élèves et les enseignants du russe à l’anglais. Bref, de nombreux responsables actuels d’Europe orientale nés dans les années 1970 ont appris l’anglais au lycée et fait des études supérieures en Amérique, tandis que leurs aînés ont été couverts de bourses pour s’y perfectionner.

    Ce cadeau à l’Angleterre

    La perfide Albion en a profité pour s’engouffrer dans la brèche pour le plus grand bénéfice de ses entreprises: dossiers d’appel d’offres en anglais, lobbying en anglais. J’ai vu de mes yeux arriver à la banque de Roumanie, alors encore largement francophone, un ordinateur apporté par l’ambassade d’Angleterre sur crédits européens avec des modes d’emploi et logiciel en anglais. J’ai bien sûr expliqué que la France avait payé une plus grande part de ce cadeau que l’Angleterre, mais le mal était fait. Les Marocains ou les Croates savent qu’ils n’ont aucune chance d’avoir une aide dans le cadre de "la politique de voisinage" s’ils ne déposent pas leur dossier en anglais. Il n’y a aucune raison juridique à cela, mais c’est ainsi.

    Le rapport Grin et les études qui ont suivi estiment à un gros paquet de milliards d’euros ce que cette colonisation linguistique a apporté à la très pratique Albion. Ça n’a pas empêché Madame Thatcher de réclamer un autre paquet de milliards (vous vous souvenez: "I want my money back"), puis David Cameron, ce printemps de réclamer encore de nouvelles concessions pour que les Anglais votent de rester.

    Je m’attends au pire concernant ce que réclameront des Anglais pour organiser la sortie. Il y aura deux ans de négociation paraît-il, et à ce petit jeu, les Anglais sont les meilleurs. Je le sais pour m’être souvent frotté à eux et avoir entendu : " notre proposition est effectivement moins intelligente que celle proposée par nos amis français, mais c’est la nôtre et nous bloquerons tout autre solution ".

    Et si l’Europe revenait au français?

    La plupart des dirigeants français du public ou du privé ne font pas attention à ces questions linguistiques, budgétaires ou réglementaires. Sauteront-ils sur l’occasion de revenir au français ? Il y a là une magnifique occasion de sauver notre langue en nous alliant avec les Allemands, qui souffrent linguistiquement, et donc commercialement, encore plus que nous. En effet, à Bruxelles, seule l’Irlande aura l’anglais comme langue officielle, la quasi-totalité des cadres anglophones vont partir et le petit personnel est francophone (j’en arrive: tout ce qui était intéressant était en anglais, seuls les panneaux destinés au personnel étaient en français).

    Il y a peut-être là un débouché pour François Hollande qui voit dépérir ses perspectives en France. Qu’il saute sur son cheval, mette le sabre au clair, crie " Montjoie et Saint Denis ! " et fonce sur Bruxelles! Ou qu’il se fasse parachuter avec un commando appuyé par ces soldats tchadiens qui se sont illustrés avec nous au Sahara… l’occasion de montrer à nos amis européens qu’ils auraient mieux faits de nous donner un coup de main en Afrique, là où nous nous battons pour eux, plutôt que de pérorer en mauvais anglais à Bruxelles.

    Contrepoint.org

     

    MOI, JE DIS

     

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  • Nous sommes au bord d’une guerre civile

    Le diagnostic n’est pas établi par une poignée d’illuminés en mal de scénarios catastrophe mais par le patron de la Direction générale de la sécurité intérieure (DGSI), Patrick Calvar. "Nous sommes au bord d’une guerre civile", a-t-il déclaré récemment aux députés de la commission d’enquête parlementaire sur les attentats du 13 Novembre présidée par le député (LR) du Rhône Georges Fenech.

    L’homme à la tête des services secrets ne faisait qu’enfoncer le clou. Quelques semaines plus tôt, il avait déjà averti les députés de la commission de la défense [...]

    D’où viendrait l’étincelle qui mettrait le feu aux poudres, transformerait la France en territoire incontrôlé où des groupes prendraient les armes et se feraient justice eux-mêmes? Qui verrait une nation en décomposition où alterneraient violences et vengeances du camp d’en face. Où la spirale des affrontements ne s’arrêterait plus. Rien n’est à exclure dans un pays aussi éruptif que la France d’aujourd’hui. Beaucoup pensent d’abord à un nouvel épisode de terrorisme islamiste où, cette fois, sa confiance dans les services d’élite émoussée, la population verserait dans l’autodéfense. Mais l’élément déclencheur peut aussi surgir d’une manifestation débordée par les casseurs, tel le triste saccage de la façade de l’hôpital Necker, d’une razzia de hooligans, d’une expédition punitive dans les banlieues ou pour prendre un exemple plus lointain, d’un viol collectif comme celui commis par des immigrés maghrébins à Cologne lors du Nouvel An… Parmi toutes ces sources de dérapage, la plus redoutée reste l’attentat dirigé contre des enfants, la prise d’otages dans une école qui susciterait en retour un déferlement de violence. Le plus haut niveau sur l’échelle de l’insupportable… [...]

    Parmi les groupes extrémistes, le patron de la DGSI expliquait surveiller de très près "l’ultradroite". Cette mouvance aux multiples ramifications est très active sur les réseaux sociaux. "Ils ont la volonté de mettre le feu, c’est certain, mais passeront-ils à l’acte?", interroge l’avocat Nicolas Lerègle, spécialisé dans les domaines de la sécurité et de l’intelligence économique. Plus généralement, tous les éléments sont réunis pour qu’un foyer éclate " [...]

    Face aux menaces, la volonté de quadriller au mieux le terrain est toujours présente. Ainsi, au sein de la Défense, plusieurs voix plaident pour que les soldats de "Sentinelle" ne se contentent pas de patrouiller dans les rues mais exercent une mission de "contrôle de zone". En d’autres termes qu’ils fassent aussi du renseignement.

    http://www.lefigaro.fr/actualite-france/2016/06/21/01016-20160621ARTFIG00282-quand-le-patron-de-la-dgsi-evoque-un-risque-de-guerre-civile.php

     

     

  • La France notre beau pays, vue par les Russes

    Voici ce que des reporters russes ont réalisé comme documentaire  pour les chaînes de TV russes

     

  • Foot en France: la vérité!

    L’affaire Benzema : Foot et Grand Remplacement

    Chronique de Paysan Savoyard

    L’affaire Benzema : le foot, illustration tangible du Grand Remplacement

    Karim Benzema a déclaré que  D. Deschamps ne l’avait pas sélectionné parce qu’il avait cédé à la partie raciste de la France. J. Debbouze a ajouté qu’il trouvait anormal qu’il n’y ait aucun maghrébin dans l’équipe de France. E. Cantona, dans le rôle du « dhimmi » islamo-gauchiste, a estimé que si D. Deschamps n’avait pas sélectionné de maghrébin, c’était peut-être « parce que personne dans sa famille n’est mélangé avec quelqu’un, comme les Mormons d’Amérique ». Cette affaire Benzema et l’évolution du football de façon plus générale, offrent une illustration parlante de ce qui est en train de se produire en France et en Europe.

    -L’immigration se traduit par le communautarisme.

    Elle ne débouche pas sur l’intégration, encore moins sur l’assimilation : dans une société multiculturelle et multiraciale, chacun raisonne en fonction d’une logique communautaire. Cette société communautarisée est nécessairement conflictuelle, chaque communauté cherchant à prendre le pas sur les autres. L’évolution du football en France et en Europe illustre cette situation.

    On peut ainsi constater que la plupart des joueurs Français issus de l’immigration ne chantent pas la Marseillaise. Il en est de même en Allemagne, où les trois joueurs immigrés (Boateng, Ozil et Khédira) ne chantent pas l’hymne national. De même les supporteurs Français d’origine immigrée montrent qu’ils ne se sentent pas membres de la communauté nationale : ils supportent les équipes de leur pays d’origine, en arborent les drapeaux et les maillots ; lors des matches France-Algérie, les supporteurs Français d’origine algérienne sifflent l’hymne national.

    Les joueurs Français manifestent également leur différence religieuse. F. Ribéry fait un signe d’appartenance à l’islam, auquel il est converti, en entrant sur le terrain. Anelka et Benzema arborent une barbe d’aspect manifestement islamiste. Les joueurs musulmans ont obtenu que la nourriture servie soit halal (selon ce que l’on a compris, même les joueurs non musulmans sont conduits à manger halal).

    -Le football illustre le Grand Remplacement qui est à l’œuvre.

    Les Blancs sont désormais en minorité dans les équipes de France de football (équipe première et espoirs) ; dans la plupart des équipes de clubs aux différents niveaux ; dans plusieurs autres sports collectifs.

    Les jeunes de souche européenne en effet fuient les clubs de football : parce qu’ils y sont minoritaires ; parce que l’islam y occupe une place croissante ; parce qu’ils n’ont pas l’habitude des rapports de force que leur imposent les joueurs d’origine immigrés.

    Le football illustre également le fait que les Blancs sont la cible de l’hostilité des personnes d’origine immigrée. Ils sont insultés et méprisés. Lors de la coupe du Monde en Afrique du Sud, il semble que le sélectionneur R. Domenech ait été traité de « fils de pute » par N. Anelka. Le joueur du PSG   S. Aurier a qualifié l’entraîneur L. Blanc de « fiotte » sur les réseaux sociaux. On a cru comprendre également qu’en Afrique du Sud, J. Gourcuff avait été mis à l’écart car trop représentatif du joueur Français et Blanc.

    Ces jours-ci, alors même que les Blancs sont depuis longtemps minoritaires en équipe de France, les responsables Français du football sont pourtant accusés de racisme pour ne pas avoir sélectionné de maghrébin.

    -Une partie de la société française appuie les revendications des immigrés

    C’est le troisième constat que le football permet d’illustrer. La classe dirigeante Française prend le plus souvent le parti des immigrés et de leurs revendications. A l’occasion de l’affaire Benzema, on voit ainsi différents intellectuels expliquer que le communautarisme et l’esprit vindicatif des immigrés, dans le football comme ailleurs, sont une réaction au comportement de la société française à leur égard. Les immigrés étant victimes du racisme, des discriminations et des difficultés sociales, leur susceptibilité et leur agressivité seraient compréhensibles.

    Dans le même registre anti-Français un certain nombre de commentateurs expliquent que le nombre important d’immigrés en équipe de France prouve leur supériorité sportive. L’explication ne repose pourtant sur rien de tangible : l’Italie championne du monde en 2006 ne comprenait aucun immigré ; l’Espagne vainqueur en 2010 idem. Les immigrés n’étaient que trois dans l’équipe d’Allemagne championne en 2014.

    https://leblogdepaysansavoyard.

     

  • FRANCAIS, FRANCAISES: LA FRANCE, NOTRE FRANCE, EST EN DANGER

    Lu sur Fdesouche

     

    Mouloud Achour : « Nous sommes le grand remplacement »

    Téléramadan sera disponible en juin.

    retrouvez ci-dessous l’édito signé Mouloud Achour, Mehdi Meklat et Badroudine Saïd Abdallah.

    Nous sommes le Grand Remplacement. Sûrement pas celui que les fous peuvent fantasmer. Nous sommes un grand remplacement naturel, celui d’une génération face aux « autres », du cycle de la vie. Nous sommes le présent. Nous sommes le Grand Remplacement d’un système archaïque, qui ne nous parle plus et qui ne nous a jamais considérés comme ses enfants. Nous sommes radicaux dans nos idées : nous irons au bout de la beauté. Nous écrirons quand vous voudrez qu’on se taise, et nous nous battrons quand vous aurez décidé qu’il est l’heure qu’on s’endorme. Nous reprendrons notre place, prise par ceux qu’on autorise à penser. Nous ne voulons parler qu’en NOTRE nom. De NOS gouts et de NOS couleurs. Nous sommes le Grand Remplacement d’une génération qui s’active sur Internet pour contrer les coups bas. D’artistes, seul au front, pour porter tous les combats. De révoltés d’une société qui ne sait plus se regarder dans les yeux et écouter les cœurs qui se battent.

     

    (…) Clique Tv