Ok

En poursuivant votre navigation sur ce site, vous acceptez l'utilisation de cookies. Ces derniers assurent le bon fonctionnement de nos services. En savoir plus.

Santé - Page 48

  • Les chiens, les charognards, les hyènes sont entrés en France!

    Envoyé par une amie

    :-(( - tristesse

    Mon amie dit:

    un truc: si vous ne comprenez pas pourquoi des gens font des choses aussi abjectes (parce que votre cerveau est incapable de trouver la réponse)

     demandez vous pourquoi, VOUS, vous ne le feriez pas... vous obtenez des réponses (parce qu'on ne pille pas un mort, parce qu'on le respecte..blabla...etc.. mille raisons. )

    Oui, mais nous, nous sommes des Français éduqués et catholiques de surcroit…. et si comme moi vous avez enfoncé votre religion au tréfond de votre passé, vous avez appris à l'école que la France est un pays catholique, Fille Aînée de l'Eglise. NDLR

    puis vous inversez les réponses... et la, vous comprendrez pourquoi certains font des choses abjectes

    La Prom’, le soir du 14-Juillet. Nadia, Daniel et Ludovic, membres de l’Union nationale des parachutistes, racontent une nuit en enfer. Une nuit à veiller les morts et à protéger les vivants.

    Nadia et Daniel ont 70 ans. Ludovic est handicapé. Deux bérets rouges et une femme de béret rouge. Le soir du 14-Juillet, ils sortaient de la Villa Masséna où ils avaient assisté au feu d’artifice avec les autres membres de la section de Nice de l’Union nationale des parachutistes.

    Et le camion de la mort est passé sur la Prom’. Ils étaient là, bérets rouges, chemises blanches, insignes. Ils étaient là. Et ils sont restés. Pour aider. Désespérément. Tenter de ramener à la vie les derniers souffles. Tenir la main à ceux qui s’éteignaient doucement. Veiller les corps. Protéger les vivants. Et les morts des charognards et des voyeurs. (…)

    Voici leurs témoignages.

    Daniel Ziegler et Nadia Mercier.

    Souvent la nuit, elle rêve qu’elle retient un camion fou avec ses mains. Elle n’y arrive pas… Elle se réveille. Et le cauchemar continue. Elle se souvient " les corps, les enfants, les charognards… ". Ils n’ont " pas réfléchi ". Ils sont restés " pour voir s’ils pouvaient aider, sauver des vies ". Et ils n’ont " trouvé que des morts, ou presque ". Leur histoire. Le 14-Juillet. Le feu d’artifice qui se termine.

    Nadia et Daniel l’ont regardé depuis la terrasse de la villa Masséna avec les autres membres de la section de Nice de l’Union nationale des parachutistes (UNP). Puis, ils sont descendus sur la Promenade. " On voulait aller écouter un peu de musique. Mais, arrivés au CUM, on avait mal aux pieds, on s’est dit qu’on allait rentrer. " Et " le camion est passé, les corps sautaient en l’air, ça a été rapide ".

    Daniel est un ancien para. Nadia, veuve d’un ancien para. Bérets rouges, corps et âme. " On n’a pas réfléchi, on est allés voir si on pouvait aider ", dit simplement Nadia. Elle a les mains qui tremblent. Les yeux qui brillent un peu trop. Il lui prend la main. Et son regard se noie.

    “Il y avait des corps disloqués partout, raconte Daniel. Au milieu, une femme était encore vivante. J’ai essayé de la réanimer. Un docteur, qui habitait en face, était là. Il m’a dit: ‘Arrêtez, c’est fini’… Elle est morte comme tous les autres, tous ces enfants… "

    "UN GARS A PRIS LA POUPÉE DE LA PETITE FILLE MORTE, JE ME SUIS BATTU…"

     "On a donné une couverture à un petit gosse blessé. Il était vivant. Dans les bras de son père ", se souvient Nadia. " De temps en temps, je venais et je lui caressais le dos. Il était froid. Son père s’est couché contre lui pour le réchauffer. Il est resté contre son fils bien longtemps après que le petit était mort… " Daniel ajoute: " C’était un de ces silences… Un silence de mort…"

    Mais, le pire, lâche Daniel. " C’était pas ça. Toute cette mort, toute cette douleur. C’était les charognards. Des gens tournaient autour des cadavres. Ils soulevaient les corps avec les pieds… Ils sont venus comme des mouches… "

    Ça l’a brisé, il peine à trouver les mots pour " cette petite fille qui était morte. Il ne lui restait que sa poupée. Une poupée rose à côté d’elle. Un gars est arrivé et a pris la poupée, je me suis battu pour la reprendre ". Il pleure.

    Alors, continue Nadia, "j‘ai pris la petite poupée et je l’ai glissé sous la couverture de survie, tout contre elle, pour qu’elle reste avec elle".

    Daniel s’est " battu plusieurs fois: un type a pris un portable à côté d’un corps. Je lui ai dit: ‘Lâche ça’. Ils sont arrivés à cinq. Ils ont fait tomber mon béret et ils ont pris le portable. Je n’avais pas peur, j’étais dans une colère…"

    Nadia a aussi essayé de les arrêter.

    " Des fois ils étaient trois ou quatre… Je leur disais: “’j'ai été porte-drapeau, si tu me frappes, tu frappes la France’… "Et, puis, il y avait "les gens qui venaient voir. Parfois avec leurs enfants". (…)

    Mardi après-midi, j'étais à l'hôpital Purpan pour faire une IRM; depuis le 1er étage, j'ai vu une femme poussant un bébé devant elle; je ne sais si c'était une fillette ou un garçonnet (vue de haut) mais l'enfant n'avait pas de chapeau sur la tête alors que le soleil occitan brûlait de tous ses feux! le cagnas,  comme d'habitude en été à Toulouse qui vide les neurones du plus intelligent... alors, les QI de merde..... pas étonnant que depuis 2007, la France a perdu plus de 10 points en QI moyen général!

    Voilà, c'est comme cela que commence l'éducation: de nos jours, on éduque plus des enfants, ont fait de l'élevage de marmaille... pour toucher les allocs et autres prébendes distribuées généreusement par notre si grand pays! 52 années de cotisation sécu pour une retraite de merde! apparemment, il y a des Français plus Français que d'autres dans le cher pays de mon enfance....

    http://www.nicematin.com/vie-locale/ils-ont-protege-les-morts-des-pilleurs-de-cadavres-leurs-temoignages-sont-poignants-68641

     

  • En prévention de la mauvaise grippe de cet hiver: je vous conseille comment vous soigner nature

    Comme indiqué précédemment, la grippe sera très sévère…

    Vous pouvez vous protéger à l'aide d'un très ancien remède… qui a sauvé la vie de nombreuses personnes en 1918, au temps de la grippe “espagnole“. Des études françaises ont prouvé que 100% des Français étaient carencés en magnésium.

    Tout organisme vivant a besoin de magnésium pour vivre, les cellules cancéreuses comme les cellules saines. Pour être en pleine santé, le corps humain doit bénéficier d'un équilibre entre le calcium et le magnésium.

    L’action du chlorure de magnésium est cytophylactique, c’est-à-dire protectrice de la cellule. Si l’on applique du chlorure de magnésium sur des cellules saines, cela va encore les renforcer, leur donner une plus grande vitalité.

    Par contre, des cellules malades vont voir leur pouvoir d’auto-guérison s’amplifier et l'on guéri plus vite. Les sels de magnésium rétablissent le bon fonctionnement cellulaire perturbé par une pathologie.

    Des exemples?

    Prise au début d’un mal de gorge, une seule dose de chlorure de magnésium peut le faire disparaître presque immédiatement. Dans le cas d’une bronchite, il en enraye l’évolution à condition d’être pris dès les premiers symptômes.

    Mieux, on peut aussi le prendre en continu, comme indiqué plus haut nous sommes tous carencés et notre alimentation est tellement carencée que cela va nous protéger de pas mal de petites choses. Il suffit d’en prendre la valeur d’un demi-verre ou d’un verre chaque jour.

    Le chlorure de magnésium possède, en outre, une action très bénéfique sur les problèmes liés au vieillissement dans la mesure où c’est un puissant immunostimulant; l'on sait que le système immunitaire s’affaiblit avec les années (perso, j'en sais quelque chose…). Avec l'avance en âge, le taux naturel de magnésium chute de façon considérable. Il aide l’organisme à se régénérer bien mieux, notamment parce qu’il stimule la vitalité. Il est donc recommandé également à tous les malades et les personnes fatigués. Il permet de diminuer la consommation de médicaments, notamment celle d’antibiotiques ou d’anti-inflammatoires des seniors ou autres personnes alitées. On comprend aisément qu'avec moins de médicaments, le foie, les reins fonctionnent mieux, ne sont plus surchargés. Un phénomène de réactions en chaîne, s'amorce dans la bonne voie de santé et vitalité.

    Le chlorure de magnésium se présente sous forme de paillettes ou de poudre blanche soluble dans l'eau. Sa couleur peut varier mais reste sans incidence sur ses propriétés.

    Sous forme de poudre blanche

    Le chlorure de magnésium est vendu en magasins biologiques (en sachets de 150 g ou plus) et en pharmacie (sachets de 20 g). Il peut aussi se trouver au détail dans certaines pharmacies.

    Sous forme de paillettes: le nigari

    Au Japon, nigari est le nom traditionnel donné au chlorure de magnésium, dérivé du mot japonais signifiant amer. Présenté sous forme de poudre blanche ou de cristaux, il sert de coagulant pour la préparation du tofu à partir du lait de soja.

    Le nigari est, en fait, du chlorure de magnésium naturel, C’est-à-dire qui n'est pas complètement raffiné (il contient jusqu'à 5 % de sulfate de magnésium et minéraux divers). Le nigari étant d'origine japonaise, il arrive que l'on croie qu'il est extrait d'une algue du même nom. Il s'agit d'un complément alimentaire bon marché apportant du magnésium, d'où son intérêt au regard d'un déficit généralisé dans notre consommation actuelle. Il est obtenu en faisant traverser des masses de sel marin (le Japon importe ce sel d'anciennes mines de Mongolie et de Chine) par une petite quantité d'eau. L'eau prélève les composés minéraux qui ont le plus d'affinité avec elle.

    Précautions d'utilisation

    La consommation excessive de chlorure de magnésium est éliminée naturellement par l'organisme dans les urines chez un individu parfaitement sain. Elle peut provoquer une diarrhée naturelle qui indique que le corps a pu bénéficier d'une dose suffisante.

    Il y a un risque de déshydratation s'il y a une surconsommation prolongée. Il est totalement à proscrire chez ceux présentant une insuffisance rénale, un état hémolytique (anémie) ou chez les hémophiles.

    L'insuffisance rénale pouvant survenir justement en état de fatigue accrue, il est conseillé de ne pas sur-doser. En effet, un excès dans le sérum sanguin de magnésium entraîne un hypermagnésiémie. Dans le cas d'insuffisance rénale sévère due à des calculs rénaux, les sels de magnésium peuvent en excès, participer à la formation de nouveaux calculs de struvite. En général on note un état de fatigue généralisée, des vomissements et états nauséeux, une décalcification (hypocalcémie), de l'hypotension, des troubles respiratoires, de l'arythmie et de l'asystolie.

    Quelle dose? Un verre ou un demi-verre. Quand on parle d’un verre, c’est d’une solution avec 20 g par litre. Simplement pour se mettre en forme, en prévention avant l’hiver et quand il n’y a pas de pathologie avérée, le chlorure de magnésium est intéressant à faible dose. Certes, le goût n’en est pas fameux et il est même exécrable, croyez-moi! Pour atténuer le mauvais goût, la dose peut être prise dans un verre d’eau sucré, jus de fruit. En cas de problèmes intestinaux espacer les doses.

    ACTION IMMUNOSTIMULANTE:

    En prévention des états de grippes et d'épidémies 1 verre matin et soir.

    En cas d’infection, que ce soit une grippe, une bronchite ou même des maladies plus graves, il est conseillé de suivre la posologie classique qui est d’un verre de chlorure de magnésium toutes les trois heures et puis, dès que la diarrhée est arrivée, la fièvre commence à tomber. On constate souvent que plus on a de température, plus cette réaction tarde à venir. Il faudra peut-être attendre trois jours pour voir apparaître cette diarrhée. À la suite de quoi, l’état s’améliore nettement. Dès ce moment-là, on réduit la dose, on espace les prises et tout rentre dans l’ordre.

    D'autres doses pour diverses maladies sur mon site:

    H.E., tisanes, thés, plantes, épices...

    heu, dans un petit moment

  • "La France se fait infiltrer par l'islamisme radical"

    Par Guillaume Lamy

    Pierre Martinet est un ancien de la DGSE Service Action, aujourd'hui directeur Associé en charge des opérations chez Corpguard, société basée à Brignais, spécialisée dans la prévention et la gestion des risques en France et à l’international.

    Lyoncapitale.fr : Un camion qui fonce sur la foule à Nice, que vous inspire ce mode d'action ?

    Pierre Martinet : Ce mode d'action existe depuis des années, notamment en Israël. Un véhicule lourd ou léger est une arme aussi efficace si ce n’est plus efficace qu'une kalachnikov. Le porte-parole de l'Etat islamique a appelé tous les Musulmans qui adhèrent à leur projet à frapper tous les mécréants avec tout ce qu'ils trouvent sous la main. La première fois, ça a été avec un couteau contre un commissariat du 18e arrondissement de Paris. Le couteau aussi contre deux policiers égorgés à leur domicile, pareil pour l'attaque contre un militaire à La Défense. Ne faisons pas comme si c'était nouveau. La seule différence à Nice, c'est que la personne, plutôt que d'utiliser une voiture, a utilisé un 19 tonnes lancée à une vitesse assez élevée qui fait qu'avec le poids et l’inertie, c’est très difficile à stopper. Surtout pour des primo-intervenants qui ne sont pas équipés comme ils devaient l'être en état de guerre.

    "Si les primo-intervenants étaient équipés d'HK G36, des fusils d'assaut comme la BAC, ça aurait pu changer les choses."

    Les forces de police ne sont pas assez armées selon vous ?

    Ils ont du 9 mm : sur un pare-brise, on l'a vu contre le camion à Nice, ça ne sert à rien. Si les primo-intervenants étaient équipés d'HK G36, des fusils d'assaut comme la BAC, ça aurait pu changer les choses. On fustige toujours les Etats-Unis sur cette question, sauf que eux sont en menace permanente et que les policiers sont équipés d'armes lourdes. On ne met pas des 9 mm en face de kalachnikovs ! Les policiers municipaux et nationaux doivent être armés d'armes lourdes. Ça n'arrêtera pas les terroristes mais ça permettra de les ralentir quand ils entrent en action.

    Comment un camion de 19 tonnes a pu rentrer sur la Promenade des Anglais ?

    Il n'est pas rentré puisque ce n'était pas fermé ! On ne peut pas autoriser ce genre de rassemblement quand on est en état d'urgence et en état de guerre. Les « fan zones » lors de l'Euro de foot, c'était très sécurisé, il y avait des fouilles pour entrer, des forces de sécurité aux abords. Sur la voie publique, c'est impossible d'avoir une telle organisation. Il y a un moment donné, il faut prendre des mesures en adéquation avec cet état d'urgence.

    "238 morts depuis les attentats de janvier 2015... Israël ne l'a pas ce décompte macabre"

    Changer nos comportements notamment ?

    Evidemment. Un rassemblement à Nice, je vous le répète, on ne peut pas l'autoriser. Le camion n'est jamais rentré car il n'y a jamais eu de secteur limité et sécurisé. Il y a 238 morts depuis les attentats de janvier 2015 et près de 400 blessés... Israël ne l'a pas ce décompte macabre. Il faut être vigilant au quotidien. Ça doit être l'affaire de tout un chacun. Est-ce qu'on est en état de guerre ? Oui ! Mais avez-vous vu des changements dans notre quotidien ? Moi non. Il n'y a par exemple pas plus de contrôles...

    "Les militaires de la force Sentinelle qui ont pour ordre de ne pas ouvrir le feu sur l'ennemi, on marche sur la tête !"

    On a vu que les militaires de la force Sentinelle qui étaient présents aux abords du Bataclan, lors des attentats, ont eu pour ordre de ne pas ouvrir le feu. Est-ce encore possible que ces militaires n’interviennent pas ?

    Là, on marche sur la tête. Les militaires ont eu pour ordre de ne pas ouvrir le feu, vous rendez-vous compte ? Nos militaires n'ont pas de mission claire. Ils sont là pour rassurer la population. Ça ne sert à rien s'ils ont pour ordre de ne pas intervenir, à rien. On doit leur dire clairement d'ouvrir le feu face à l'ennemi. Il faut un changement dans les ordre à donner.

    "On est trop laxiste avec les Frères musulmans et les salafistes"

     

    N'y-a-t-il pas en toile de fond les gueguerres entre les services?

    Il y a toujours eu des accrochages mais quand je vois le rapport Fenech (président de la commission d'enquête parlementaire sur les attentats de Paris et conseiller municipal de Lyon, NdlR) qui dit que la France n'est pas prête face à la menace terroriste, je tombe de ma chaise. On est prêt depuis 1995, à l'époque j'étais encore dans la DGSE. Le problème c'est qu'on a laissé monté cette idéologie de l'islamisme radical en France qui, aujourd'hui, est incontenable. On a été trop laxiste avec les Frères Musulmans, avec les salafistes et toutes les revendications religieuses, au sein des entreprises, au sein des écoles publiques, avec le voile. Une partie du monde musulman se sent attaquée par l'Occident qui refuse le voile. Une partie de l'islam politique en France adhère au projet de l'Etat islamique.

    Quel recul a-t-on sur nos actions militaires en Libye, en Syrie, en Irak ?

    L’efficacité de nos actions militaires sur le front ne se mesurent pas sur une décennie mais sur 30 ou 40 ans. Ben Laden, quand il a frappé le 11 septembre, voulait attaquer les États-Unis pour créer une coalition de certains pays musulmans contre les États-Unis : le principe du terrorisme islamiste est de créer des clivages communautaires. C'est ça le grand risque: l’émotion, la psychose et la déstabilisation d'un pays.

    "Le principe du terrorisme islamiste est de créer des clivages communautaires"

    C'est le risque expliqué par Patrick Calvar, patron de la DGSI, lors de son audition par la commission d'enquête parlementaire sur les attentats de 2015, de voir une confrontation entre l'ultra-droite et le monde musulman ?

    Je marche sur la tête encore une fois. La menace n’est pas l'extrême-droite, c'est le terrorisme ! Mais effectivement, ce terrorisme va créer des clivages entre communautés. Mais ce ne sera pas seulement l'extrême-droite mais Monsieur et Madame Tout-le-monde qui, un jour, en auront marre et vont s'en prendre à des Musulmans car pour beaucoup de gens, le terrorisme est en lien avec les Musulmans. Il y a trop de concitoyens qui font des mélanges car nos gouvernants ne nomment pas assez clairement notre ennemi.

    Manuel Valls a dit que l'ennemi, c'était "l’islamisme radical"...

    L'ennemi, c'est l’islamisme radical, oui. C'est le seul qui l'a dit dans un gouvernement en activité. Les autres parlent de terroristes. Mais si vous ne les nommez pas clairement les choses, c’est la porte ouverte à toutes les stigmatisations et à tous les amalgames. Quand Cazeneuve parle de mosquées radicales, ce n'est pas dire "islamisme radical". Aujourd’hui, les islamistes radicaux imposent leur vision de l’islam en tuant au nom d’Allah. Ils nous considèrent comme des mécréants et des kouffars, des infidèles : soit on se convertit, soit on est tué. On parle ici d'islam politique qui n’a rien à voir avec le musulman qui vit sa religion paisiblement, chez lui. Si les gouvernants appellent un chat un chat on évitera tout amalgame.

    "Il faudrait pouvoir faire intervenir des sociétés de sécurité privée pour certaines missions."

    Selon vous, nos moyens sont en inadéquation avec la situation. Que faut-il faire alors ?

    Quand j'entends François Hollande qui en appelle aux réservistes, c'est du grand n'importe quoi. Les militaires sont usés, à bout de souffle. Il faudrait pouvoir faire intervenir des sociétés de sécurité privée pour certaines missions. Certaines sociétés privées sont exclusivement formées d'anciens militaires. En Israël, la plupart des terroristes qui commencent à passer à l'action, à tirer sont stoppés dans leur progression par des membres de sociétés de sécurité privées, formés et armés.

    Les travaux du futur Institut Français de Civilisation Musulmane, qui ont démarré à proximité de la grande mosquée de Lyon, ont déclenché une polémique politique. Le président du conseil régional, Laurent Wauquiez, a refusé d'accorder une subvention au motif que l'Arabie Saoudite, notamment, finançait l'IFCM...

    Aujourd'hui, l'idéologie de certains pays musulmans qui autorisent la charia arrive en force en France. On se fait infiltrer par ces pays. Quelle est la limite entre l'islam paisible et laïc et l'islam radical qui veut imposer sa religion face à nos démocraties, là est la véritable question.

    La gauchiasse est incapable de nous protéger!

     

  • AVERTISSEMENT: la grippe de cette fin d'année sera très sévère!

    Cette grippe nous atteindra en fin d'année puisqu'elle fait le tour du globe

    Une épidémie de grippe plus sévère

    Cette année, la grippe fait des ravages chez les Réunionnais avec plus de 87 000 cas recensés et 8 morts. Selon l’Agence régionale de Santé - Océan Indien, cette épidémie de grippe est plus précoce et plus sévère.

    Épidémie de grippe à La Réunion : plus de 26 500 consultations, 5 décès

    C’est déjà la deuxième fois en l’espace de quelques semaines que Corinne vient consulter un médecin pour des symptômes grippaux.

    Une grippe plus violente et douloureuse

    "J’ai de la fièvre, de la toux, des douleurs dans tout le corps et franchement ça fait mal" déclare Corinne.

    Pour cette Réunionnaise, cette année, la grippe est bien plus violente et surtout elle dure plus longtemps. Cela fait déjà deux semaines qu’elle se sent mal. Elle confie : "Ça ne part pas, c’est toujours là surtout la toux qui fait mal à l’estomac et beaucoup de douleur."

    Intensité des symptômes et hospitalisation

    Un virus plus intense, une thèse corroborée par Éric Farella, médecin généraliste.

    Il explique : "Les grippes sont plus agressives, plus virulentes avec, que ce soit chez les personnes à risques et également dans le groupe des personnes qui ne sont pas forcément à risque, une intensité des symptômes et une plus grande durée aussi. J’ai eu des cas que j’ai dû faire hospitaliser parce que le tableau était suffisamment sévère pour qu’il soit nécessaire de les mettre en observation."

    L’Agence régionale de Santé - Océan Indien (ARS - OI) va dans ce sens, l’épidémie de grippe semble plus précoce et plus sévère.

    De son côté, après consultation, Corinne à bien la grippe. Elle devra prendre un traitement adapté pendant au moins quinze jours.

    http://www.linfo.re/la-reunion/sante/698449-u

  • Prévention de la transmission par les moustiques

    Il n’y a pas de vaccin ou d’immunoprophylaxie qui protège contre les infections par le virus Zika. Le CCMTMV recommande que tous les voyageurs qui se rendent dans des régions à risque doivent être avisés de respecter strictement les recommandations concernant l’utilisation de mesures de protection individuelle contre les piqûres de moustiques (voir ci-dessous).

    Étant donné que les moustiques qui transmettent le virus Zika peuvent piquer à n’importe quel moment (y compris pendant les heures de jour), des mesures de protection individuelle devraient être utilisées tout au long de la journée et de la nuit. L’adoption des mesures de protection individuelle fournira une protection contre le virus Zika ainsi que contre d’autres maladies vectorielles associées, comme le paludisme, la dengue et le chikungunya. Les recommandations en matière de mesures de protection individuelle se trouvent dans la Déclaration relative aux mesures de protection individuelle pour prévenir les piqûres ou morsures d’arthropodes du CCMTMV Note de bas de page 17. Ces recommandations sont résumées comme suit :

    Mesures de protection individuelle pour prévenir les piqûres ou morsures d’arthropodes

    1) Couvrez-vous :

    Portez une chemise ample de couleur claire à manches longues rentrée dans un pantalon, des chaussures ou des bottes (évitez les sandales) et un chapeau.

    2) Utilisez un insectifuge sur la peau exposée :

    Il est recommandé que les adultes utilisent des insectifuges contenant du DEET (20-30 %) ou de l’icaridine (20 %).

    Il est recommandé que les enfants âgés de six mois à douze ans utilisent des insectifuges contenant de l’icaridine (20 %). Comme autre option, ce groupe d’âge peut utiliser des insectifuges présentant des concentrations de DEET appropriées à son âge selon l’étiquette. Depuis la publication des lignes directrices en matière de mesures de protection individuelle le p-menthane-3,8-diol (20 %) est maintenant offert au Canada et il représente une option.

    Si les piqûres ne peuvent pas être évitées en utilisant une barrière physique, envisagez d’utiliser jusqu’à 10 % de DEET ou d’icaridine pour les enfants de moins de six mois.

    3) Protégez les lieux de vie de l’entrée des moustiques :

    Séjournez dans une chambre climatisée bien protégée par des moustiquaires ou complètement fermée.

    Réduisez vos risques dans les lieux de travail et d’hébergement en fermant les avant-toits, en éliminant les trous dans les murs et les toits, et en fermant toutes les autres ouvertures.

    4) S’il est impossible d’empêcher l’entrée des moustiques dans les lieux de vie (p. ex. par des moustiquaires):

    Utilisez une moustiquaire (p. ex. pour dormir ou se reposer à l’intérieur), de préférence imprégnée d’insecticide.

    Des moustiquaires peuvent également être utilisées pour protéger les enfants dans leur parc, berceau ou poussette.

    Les moustiquaires fourniront également une protection contre des maladies comme le paludisme.

    5) Appliquez de la perméthrine (insecticide) sur les vêtements et les autres accessoires de voyage pour une meilleure protection :

    Bien que les traitements à la perméthrine pour les vêtements ne soient pas grandement accessibles au Canada, les cliniques de santé des voyageurs peuvent vous indiquer comment acheter de la perméthrine et du matériel prétraité avant ou pendant votre voyage.

    Les traitements des vêtements à la perméthrine sont efficaces pendant plusieurs lavages.

    Suivez toujours les instructions figurant sur l’étiquette lors de l’utilisation de la perméthrine.

    Évitez de vaporiser la perméthrine directement sur la peau.

     

    La sécurité des insectifuges, des moustiquaires imprégnées d’insecticide et des vêtements traités à la perméthrine/des traitements des vêtements à la perméthrine ont été examinées au Canada ou aux États-Unis. Leur sécurité est établie pour les enfants, les femmes enceintes et celles qui allaitent, s’ils sont utilisés conformément aux instructions figurant sur l’étiquette.

    Prévention de la transmission sexuelle

    L’ARN du virus Zika a été détecté dans le sperme deux mois après la fin de la maladie aiguë Note de bas de page 16,Note de bas de page 57. On ne sait ni combien de temps peut durer l’élimination virale dans le sperme, ni à quelle fréquence cela peut se produire lorsque l’infection est asymptomatique, ni la facilité avec laquelle le virus peut être transmis par contact sexuel. Cependant, le nombre de rapports indiquant une transmission sexuelle montre une augmentation, ce qui suggère que cette voie de transmission ne serait pas rare. Utilisés correctement, les condoms réduisent au minimum le risque de transmission sexuelle.

    Femmes enceintes et leur partenaire masculin

    Lorsqu’un voyage dans une région à risque ne peut être évité, les femmes enceintes et leurs partenaires masculins devraient pratiquer l’abstinence ou utiliser des condoms jusqu’à ce qu’on en sache davantage  au sujet de l’élimination prolongée du virus Zika dans le sperme.  Si un homme s’est rendu dans une région à risque, ce couple doit également pratiquer l’abstinence ou utiliser des condoms (y compris après son retour) pendant la durée d’une grossesse.

    Couples prévoyant une grossesse

    Compte tenu des renseignements actuels sur la période d’incubation et la durée de la virémie ainsi que de l’incertitude concernant la durée de la persistance virale dans les tissus, les femmes qui souhaitent devenir enceintes devraient attendre au moins deux mois après leur retour d’une région à risque avant de tenter de concevoir un enfant. Pour un couple où le partenaire masculin s’est rendu dans une région à risque, il est raisonnable d’attendre six mois avant d’essayer de concevoir un enfant.

    Couples dont la femme n’est pas enceinte ou ne prévoyant pas actuellement une grossesse

    Les hommes qui reviennent d’une région à risque et qui désirent réduire la possibilité de transmission sexuelle à leur partenaire (en dehors du contexte d’une grossesse) peuvent le faire par l’utilisation appropriée des condoms. Même si, jusqu’à présent, la transmission n’a été signalée qu’après une infection symptomatique, et même s’il est plausible que le risque après une infection asymptomatique est plus faible, il n’existe pas de données à l’appui de la formulation de recommandations différentes pour les hommes symptomatiques ou asymptomatiques. L’utilisation de condoms confère probablement la plus grande protection dans les premières semaines suivant la maladie, mais compte tenu de la possibilité de la persistance à long terme dans le sperme, elle devrait être envisagée pendant les six mois suivant le retour d’une région à risque.

    Analyses en laboratoire dans le contexte de la prévention de la transmission ou de la surveillance des femmes enceintes

    Les analyses en laboratoire pour l’infection par le virus Zika sont entièrement décrites ci-dessous. En théorie, selon les renseignements issus d’autres infections virales semblables, l’absence d’anticorps anti-virus Zika spécifiques au moins deux semaines après la dernière exposition possible signifie que la personne n’a jamais été infectée, et qu’elle n’est pas contagieuse pour son partenaire sexuel ni pour le fœtus. De telles personnes séronégatives peuvent envisager l’abandon du suivi intensif des complications liées au virus Zika pendant la grossesse ainsi que des mesures pour prévenir la transmission sexuelle. L’absence d’ARN du virus Zika dans un échantillon de sperme pourrait indiquer l’absence de contagiosité, mais il n’existe pas de données à l’appui de cette pratique à l’heure actuelle. Le risque théorique de faible sensibilité de l’analyse pour certaines souches du virus Zika demeure. Toutefois, à l’heure actuelle, les tests sérologiques et la détection de l’ARN au Canada ne sont accessibles que pour les personnes symptomatiques et les femmes enceintes. Le dépistage des personnes asymptomatiques (hommes ou femmes non enceintes) n’est pas systématiquement offert.

    Traitement

    Il n’existe à l’heure actuelle aucun traitement antiviral précis pour traiter une infection par le virus Zika. Le traitement en est un de soutien et consiste en la prescription d’antipyrétiques (acétaminophène durant la grossesse), d’une hydratation et de repos. L’aspirine et autres médicaments anti-inflammatoires non stéroïdiens (AINS) sont à éviter jusqu’à ce que le diagnostic de la dengue puisse être écarté afin de réduire le risque d’hémorragie

    En général, la maladie symptomatique dure sept jours ou moins. Des soins médicaux d’urgence sont recommandés en présence de tout symptôme associé au SGB, et il importe que les fournisseurs de soins de santé soient informés des voyages récents du patient dans une région où circulent le virus Zika et/ou les symptômes de cette infection.

    Advenant une infection par le virus Zika confirmée pendant la grossesse, une consultation auprès d’un spécialiste de la médecine fœto-maternelle ou d’un infectiologue sera demandée. La présence d’une microcéphalie, de calcifications intracrâniennes ou d’autres anomalies requiert les conseils appropriés d’un néonatalogiste et d’un spécialiste pédiatrique en maladies contagieuses prodigués aux parents au sujet du développement neurologique potentiel de leur nourrisson.

     

  • REVOLUTIONNAIRE!

    Bioverre: la substance révolutionnaire qui répare les os

    Le bioverre permet de fabriquer de l’os de façon naturelle, là où il en manque. Une révolution pour la chirurgie orthopédique, dentaire ou de la colonne vertébrale.

    Le bioverre, qu’est-ce que c’est?

    D’apparence, le bioverre ressemble à du gros sel. Il est également appelé verre bioactif. Au contact de tissus vivants, cette substance constitue un environnement compatible à la croissance de l’os. "Ce qui distingue le bioverre des autres substituts osseux utilisés en chirurgie, c’est sa capacité de régénération osseuse, en ayant des effets locaux antibactériens et anti-inflammatoires grâce à ses propriétés biologiques" explique Céline Saint Olive Baque, directrice de Noraker, la société qui le fabrique. Et de préciser que "mis au contact de sang et de sérum physiologique, ces petits granules constituent une masse qui s’intègre parfaitement à l’os traité. Ils vont libérer des sels minéraux présents dans le corps, et fabriquer, de façon naturelle, de nouvelles cellules osseuses".

    À quoi ça sert?

    Les os ont une capacité impressionnante à se régénérer après de légères lésions. Toutefois, passé un certain stade, ce processus naturel de guérison atteint ses limites. Lorsqu'une fracture est trop importante, les os ont besoin d'un coup de main... C’est tout l’intérêt du bioverre qui permet de recréer des cellules osseuses de façon naturelle. Que ce soit pour des interventions en orthopédie, en dentisterie ou en chirurgie du rachis, ce matériau offre des potentialités nombreuses dans la reconsolidation de l’os. À ce jour, environ un million de patients dans le monde ont déjà été traités avec cette technique.

    Une première expérience à Lyon

    Encore peu utilisé en France car les médecins n’étaient pas formés, ce dispositif médical commence à être employé dans plusieurs hôpitaux. Depuis 2015, le professeur Cédric Barrey, responsable de l’unité rachis de l'hôpital Pierre Wertheimer à Lyon, l’utilise pour rigidifier une greffe osseuse lors d’une intervention chirurgicale sur les vertèbres ou la colonne vertébrale. Avec des premiers résultats très encourageants puisque plus de 80 réparations ont ainsi été réalisées au sein de l’unité.  "L'intérêt du bioverre c'est qu'il va stimuler les cellules responsables de la repousse osseuse, les ostéoblastes, et qu'il se résorbe totalement dans l'organisme au bout de trois à six mois," explique-t-il.

    D’autres centres hospitaliers ont décidé de tester ce dispositif médical, notamment à Marseille (AP-HM), à Paris (AP-HP) et en région lyonnaise.