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Santé - Page 48

  • ATTENTION: DANGER MORTEL!

    Lu dans Challenges 498 du 17 novembre 2016

    Page 130 – Menthon-Rouvier

    Sous le titre: Jean-Louis Bruguières conseille de prendre des gants contre Daesh, il faut bien entendu comprendre:

    Jean-Louis Brugières, ex-juge antiterroriste indique que “nous devons prendre des gants car une pâte à base de cyanure posée sur les barres pourrait être mortelle, comme cela a été testé sur les poignées des voitures de policiers irakiens“.

    Faites passer sur les réseaux sociaux

     

  • Quand des patients lèvent la main et frappent des hommes et des femmes en blanc

    Vu aux urgences: accueil d’un enfant hyperthermique, on le pique, il pleure, le père lève la main sur la puéricultrice. Que faire?

    On se souvient de l’affaire des urgentistes hospitaliers de Tourcoing – urgentistes violemment agressés le mois dernier dans l’exercice de leur métier. Où en est-on de ce " fait divers "? Les (nombreux) agresseurs sont libres dans l’attente d’un procès plusieurs fois repoussé. Le Dr Hacène Moussoni, chef de service des urgences du centre hospitalier de Tourcoing, revient sur cette affaire dans un entretien accordé au site Egora (Sandy Bonin-Berrebi).

    Entretien éclairant sur cette zone grise des urgences et du soin. Le Dr Moussoni observe une montée en puissance de la violence depuis quelques années. Comme si les mots ne suffisaient plus, avaient disparu. Frapper faute de parler.  Il faut, ici, lire les mots de ce médecin qui travaille aux urgences depuis plus de vingt ans. Extraits.

    " Je n’avais pas cette agressivité il y a 10/15 ans. La violence monte en puissance. Elle était verbale essentiellement et devient de plus en plus physique. Paradoxalement, nous avons vu une recrudescence des faits d’agression dans le service depuis les événements du 15 octobre. Nous ne comprenons pas pourquoi. Sur les réseaux sociaux et dans la presse nous lisons le soutien de la population, des politiques, des confrères mais localement on ne comprend pas. Il y a des agressions verbales et/ou physiques quasiment tous les jours. Nous avons retrouvé des individus dans le service avec des couteaux. Les agressions sont gratuites.

    L’affaire de l’enfant et l’Ordre

    "Pas plus tard que ce lundi, un couple est arrivé avec un enfant pour une hyperthermie qui nécessitait un bilan sanguin. Une puéricultrice est venue de pédiatrie pour lui faire une prise de sang. L’enfant, comme tous les enfants à qui ont fait une piqûre, a pleuré et donc le père a levé la main sur la puéricultrice. Nous avons dû faire sortir les parents.

    "Non [nous ne faisons pas remonter les violences au conseil de l’Ordre].  Nous faisons remonter les violences au niveau de la direction sous forme de fiche d’événement indésirable (FEI). Il y a des plaintes qui sont déposées quand l’agression est importante et quand les soignants le veulent. L’hôpital ne peut pas se porter partie civile si le soignant ne porte pas plainte. Il faut les convaincre car ils ont souvent la peur des représailles. Je ne sais pas si ça remonte au niveau de l’observatoire de la sécurité des médecins mais ce qui est certain c’est que les statistiques sont sous-estimées.

    " Nous vivons tous la même chose en France et rien ne bouge. En septembre à Saint-Denis, un collègue urgentiste s’est fait fracturer les deux poignets. Dans la Vienne une généraliste a reçu un coup de poing avec une lésion cérébrale parce qu’elle a eu le malheur de demander à un patient qui avait 1h30 de retard de patienter. A Lens au SMUR des collègues se sont fait filmer et agresser… On est dans une société qui a accepté qui les policiers se fassent brûler, que les pompiers se fassent caillasser et que les soignants se fassent frapper ".

    La nuit du 15 au 16 octobre

    "Un patient se présente avec plusieurs membres de sa famille. Ils arrivent en fait à trois voitures dans le sas. Ils sont accueillis par l’infirmière d’accueil et d’orientation, comme dans tous les services d’urgences. On met le patient sur un brancard pour le faire admettre dans le service. Dès le début, les accompagnants se montrent  très agressifs et vont même jusqu’à lever la main sur l’infirmière. Le vigile permet d’arrêter ça. Les accompagnants ne comprennent pas qu’ils doivent aller garer leurs voitures et attendre en salle d’attente que le membre de leur famille soit examiné.

    "Le patient est entré assez rapidement, dans les minutes qui ont suivi son admission. A ce moment dans le service des urgences, l’activité est assez importante. Nous avons deux personnes qui sont au déchoquage, intubés et ventilés et le service est rempli. Au bout de 40 minutes, ce qui est délai très raisonnable, un médecin se  présente dans la salle d’examen. Et quand il ouvre la porte, il découvre le patient entouré de plus d’une dizaine de personne. La praticienne demande aux accompagnants de patienter dans le couloir pour pouvoir examiner correctement le patient. Les accompagnants refusent. Dans ces conditions, étant donné que nos salles sont très petites, elle leur signifie que l’examen ne va pas pouvoir être possible dans ces conditions. Elle ressort et à ce moment-là elle est suivie par des membres de la famille qui l’invectivent. Un médecin du SMUR présent essaye de calmer les individus mais l’un d’eux l’attrape par la gorge et le traîne par terre. Ils se mettent à cinq pour le frapper. La première praticienne essaie d’intervenir, elle se fait saisir les mains, on lui arrache les cheveux. Une interne arrive, elle est mise à terre. Puis des soignants et le vigile arrivent. Il faut bien comprendre que dans cette salle ils sont une dizaine à agresser les soignants. Nous avons fait appel aux policiers qui sont intervenus dans les six ou sept minutes.

    Et maintenant? 

    " Après une période de choc psycho-traumatique initial qui se comprend au vu de cette importante agression, il y a eu un sentiment de colère et d’incompréhension face à cette violence gratuite. Puis il y a eu un sentiment de frustration de la décision judiciaire. Nous avons eu l’impression que les propos des agresseurs ont été plus pris en considération que ceux des soignants. On ne comprend pas que notre parole ne soit pas suffisante. D’autant que vient se rajouter le fait que lors de la dernière audience, il y a eu un report de jugement mais on a aussi enlevé le contrôle judiciaire des agresseurs. Ils sont libres et n’ont jamais été incarcérés.

    "L’avocat de l’hôpital nous a expliqué qu’initialement le dossier était très peu étayé. Il y avait quelques plaintes mais les procès-verbaux et témoignages des soignants présents n’ont pas été pris en compte parce que dans le cadre de comparution immédiate, le dossier est instruit puis est figé. On ne peut pas rapporter d’autres pièces. Selon le juge il manquait des témoignages pour avoir une décision de justice. Le procureur et les policiers ont dû penser que les faits étaient suffisamment graves pour croire les soignants plutôt que leurs agresseurs et n’avaient probablement pas imaginé cette situation. Le seul point positif de ce report et que nous puissions mettre en évidence qu’ils n’étaient pas que trois agresseurs et que d’autres puissent être incriminés.

    "Nous serons très vigilants sur les suites que donnera la justice à cette affaire. Pour nous il est inconcevable qu’il y ait du sursis. Nous avons besoin d’avoir, pour les soignants comme pour le public, une réponse adéquate et à la hauteur de l’agression. Un juge d’instruction a été nommé mais nous sommes en attente.

    "Il y a une agression toutes les trente minutes dans un milieu hospitalier. En tant que chef de service, à partir de cet évènement, je me suis dit stop. On fera peut-être le petit village gaulois mais on ne peut plus accepter les violences et passer à autre chose. Nous ne sommes pas là pour nous faire frapper. Nous sommes dans une zone de sécurité prioritaire qui est défavorisée. Nous sommes là pour soigner des gens. On a tous une vie de famille et on ne veut pas rentrer chez nous avec des hématomes. Ca n’est pas admissible. "

    Et demain?

    "Aujourd’hui, la page n’est pas tournée. La seule façon pour les soignants de s’apaiser est que la justice reconnaisse que ces comportements ne sont pas possibles et qu’elle les reconnaisse en tant que victime. Si ça n’était pas le cas, le message serait terrible et ça serait la porte ouverte à toutes les agressions. A ce moment-là nous nous poserions vraiment la question de notre maintien dans un milieu de santé dans lequel nous ne sommes pas protégés par nos instances judiciaires et politiques.

    Qui sont les agresseurs?

    "Il y a deux types des personnes agressives, les patients qui relèvent de la psychiatrie et les accompagnants qui relèvent plus de la délinquance. Quand on a affaire à cette famille qui a agressée d’emblée les soignants, ça n’était pas une question de délai d’attente.  Il s’agit de gens qui viennent imposer leur loi. On pourrait discuter quinze  ans avec eux, ils n’ont rien compris au système. Ils ne comprennent pas qu’il existe des lois et règles de fonctionnement dans une société auxquelles il faut obéir. Lorsque l’on est à un feu rouge, on s’arrête, même si on est pressé. Ces gens-là sont perdus pour la société. Il faut savoir que le patient dont la famille était agressive, a été hospitalisé. Nous avons fait notre job. Même en hospitalisation à l’étage ils ont continué à mettre le bazar. Ils ne respectaient pas les horaires de visite par exemple. C’est leur loi qui s’impose au système et non l’inverse. Contre ces gens-là il n’y a malheureusement rien à faire“.

    Rien à faire. Rien à faire, vraiment?

    https://jeanyvesnau.com

  • Et pendant ce temps-là, ils croient que les autres AUSSI se gavent…

    Alors voilà, l’autre jour, j’ai vu en consultation un vieil homme. Il ne payait pas de mine. 80 ans bien tassés. Il vient pour un renouvellement, trois fois rien.

    On parle un peu lui et moi. HAD, FNASS, SSID, bla-bla-bla, on se perd dans les acronymes.

    En gros, il s’occupe de son épouse en fin de vie. 40 ans de vie commune. Ils touchent une petite retraite, tous les deux. C’est trop pour la CMU, pas assez pour offrir un cadeau à leur petit-fils à Noël. Il me dit ça en triturant un trou dans sa veste.

    Il touchait une aide spéciale pour les changes de son épouse, mais le gouvernement l’a supprimée. Alors il se débrouille: il met des chiffons dans la culotte, qu’il nettoie ensuite. Mais ce n’est pas efficace comme des vraies couches. C’est ma femme, et lui faire "ça" avec "ça", c’est pas bien, non, c’est pas bien…. qu’il dit en secouant la tête.

    Cela dure un 1/4 de seconde, mais je le vois, moi: le regard du vieux se trouble. IL SE TROUBLE. Je l’entends murmurer:

    “Je me sens indigne“.

    […]

    Finalement, ce patient s’en va. Le suivant me pose un lapin. 15 minutes de rab’. Je surfe sur le net en attendant, clique sur "Google Actualités". Ça parle voyage ministériel à 14000€ pour un "match de foot", note de taxi à 400 000 € pour une responsable culturelle. Ça se gave bien, en haut lieu, ça se gave bien. Et la voix du vieux revient, elle résonne entre les 4 murs du cabinet, elle chevrote.

    “Je me sens indigne“.

    J’ai comme un haut-le-cœur tout à coup et je m’entends penser: "Putain de merde, Baptiste, on vit quand même dans un monde sacrément violent“.

    Chaque jour passe et, chaque jour, je vieillis dans ma tête. Si vous saviez comme je suis en colère et comme je suis vieux…

    Parfois, j’ai comme des envies de casser le monde. J’espère que j’arriverai à toujours vous raconter des histoires drôles. Des histoires sans violence, des histoires sans colère.

    Et sans "vieillards indignes".

    Un commentaire d'un lecteur

    Cette histoire tombe pile. je viens de rentrer à la maison la voiture pleine de couches et autres protections. Pour les cacher, oui je dis bien les cacher. Ma chérie qui bosse comme AMP dans une petite structure d’aide à domicile, a une inspection de l’ARS lundi et il est interdit d’avoir ces produits en stock pour aider les patients qui sont dans le cas de ton vieil homme.

    Alors voilà ceux dans haut se gavent et ceux d’en bas qui veulent aider ne le peuvent pas.

    C’est cela qui est indigne et pas ce brave homme.

    La bise

    http://www.alorsvoila.com/la-colere

    Baptiste Beaulieu est un jeune médecin de 31 ans qui tient le blog "alors voila"... qui a écrit déjà 3 romans.

     

  • Oui à la gastronomie Française!

     

    Liste_abattoirs_2015.pdf

     

    Vous pouvez la télécharger ici et l’imprimer, elle comprend également les indications pour comprendre ce que signifient les chiffres présents sur les étiquettes de la viande sous cellophane vendue en supermarché.

    Naturellement les abattoirs pour les porcs ne figurent pas dans cette liste puisqu’ils ne peuvent être halal et sont donc abattus traditionnellement, après étourdissement, ni les volailles mais, à part les volailles tuées à la ferme, la plupart de celles élevées industriellement sont tuées selon le rite halal, sans étourdissement…

  • Foie gras: quand c'est moins cher, ça vient d'ailleurs!

    Le prix du foie gras augmentera de "40 centimes d'euros maximum par tranche" de 40 grammes par rapport au prix de 2015, a indiqué jeudi le Comité interprofessionnel des palmipèdes à foie gras (Cifog). Le prix final dépendra des enseignes de distribution.

    Cette hausse de prix est "structurelle", a souligné le Cifog.

    "C'est le prix de la qualité sanitaire" car au-delà de l'épizootie et du vide sanitaire qui l'a suivi, estimé à 500 millions d'euros, "les mesures de biosécurité imposent des investissements dans les exploitations agricoles, comme la construction de nouveaux bâtiments", a déclaré le président du Cifog, Christophe Barrailh lors d'une conférence de presse.

    Une garantie de qualité

    "Cette filière est en train de repartir dans des conditions sanitaires complètement repensées, renouvelées, et on aura à la fin de l'année un foie gras d'excellente qualité. Aujourd'hui, le foie gras français correspond aux toutes nouvelles normes en matière de biosécurité. Il sera un peu plus cher, mais c'est une garantie de qualité", a déclaré le ministre de l'agriculture Stéphane Le Foll.

    Mais la France ne retrouvera pas dès 2017, son niveau de production de 2015, qui était alors de 19,2 tonnes.

    Idem sur la balance commerciale. Après un excédent de 56,3 millions d'euros en 2015 sur l'ensemble de la filière, les exportations françaises ont déjà chuté de 7,8 millions d'euros au premier semestre 2016 en raison de la crise sanitaire.

    Dans le même temps, les importations venant de Hongrie et de Bulgarie ont augmenté de 10,9 millions d'euros, selon les professionnels.

    "Aujourd'hui, les professionnels français se mobilisent donc massivement pour que les pays ayant fermé leurs frontières au foie gras français, notamment en Asie, les rouvrent dès que possible", assure le Cifog.

    Un vide sanitaire de 5 semaines

    Pour endiguer l'épizootie de grippe aviaire déclarée en novembre 2015, un vide sanitaire de cinq semaines avait été imposé au printemps dans les élevages de 18 départements du sud-ouest de la France.

    L'élevage de canetons n'a pu reprendre qu'à la mi-mai après une complète désinfection des élevages et la mise en place de nouvelles mesures de biosécurité.

    L'ensemble de la filière attend maintenant le feu vert de l'Office international des épizooties (OIE), indispensable pour les exportations hors Union Européenne.

    *Épizootie : une maladie qui frappe, dans une région plus ou moins vaste, une espèce animale ou un groupe d'espèces dans son ensemble

     

  • La viande de bœuf va augmenter: explications

    L’effet bœuf de Le Foll: sauver la filière bovine grâce au halal des migrants!

    La vache, quel le Foll celui là! Il va nous faire bouffer de la vache enragée…

    Vous allez payer plus cher votre steak de bœuf pour nourrir gratuitement en halal des migrants.

    Voici comment: Trois ministres européens ont décidé d’utiliser l’humanitaire pour désengorger le marché de la viande et du lait et ainsi de faire remonter les cours pour sauver l’agriculture. L’idée est de fournir gratuitement en viande les pays d’accueil de migrants ainsi que les pays d’origine du départ de ces migrants(*). Bravo, l’idée est généreuse, elle séduit même.

    Oui mais si vous nourrissez des rats, faudra s’attendre à une infestation de rats, c’est un véritable appel d’air à l’immigration qui risque d’être mis en place par un allemand Schmidt, un polonais Jurgiel et … un français, puisqu’il faut toujours un socialiste français dans une immense connerie monumentale, le bien nommé Le Foll.

    Tout le monde sait que la filière bovine connait des difficultés, les éleveurs ne vendent pas assez cher lait et bestiaux pour avoir un revenu correct. Pour beaucoup ce revenu est de moitié le salaire minimum ceci pour 50-60 heures / semaine et avec un maximum 10 jours de vacances. Intermédiaires entre la grande distribution et le producteur, des grandes sociétés comme Lactalis achètent à vil prix pour vendre chèrement.

    Elles ont le quasi monopôle de la production des produits laitiers (lait, fromages et crèmes fraîches ou sucrées). En final vous avez le distributeur qui se fait une marge plus que correcte mesurable au nombre de Mercedes garées sur les places réservées de la direction d’un simple magasin de bourg. Le producteur de base vend pratiquement à perte et roule, lui, en Clio d’occasion.

    Revenons au principe humanitaire de notre cher ministre qui porte le nom d’une maladie bovine. On sait que nos amis migrants, 100% clandestins et 100% remboursés par la Sécu consomment de la viande certifiée halal sinon la réaction est brutale: Il vous jette le plat (gratuit) à la figure. En plus il faut que ce soit au goût de leur terroir, c’est à dire plutôt bien épicé sinon là aussi le bénévole prend le plat dans la gueule (Il faut être profondément idiot pour aider ces primitifs).

    Donc et par conséquent tous les excédents de la filière bovine devront passer par un abattoir rituel. Il y a là un premier problème. Et même un double problème. Comment des ministres de l’Agriculture osent proposer une solution qui n’est pas légale. L’abattage rituel, c’est à dire sans étourdissement, est interdit sauf dérogation. Le fait de réaliser une filière étatique qui donne doit à une absence de dérogation pour être le régime général est une déculottée devant l’envahisseur musulman.

    L’autre problème est le financement de l’Etat à cet abattage rituel. En principe l’état ne finance pas le culte, sauf pour deux régions depuis le concordat, les curés ou les rabbins ne sont pas salariés de l’état. Au travers des abattoirs rituels le client final va payer pour constituer le salaire d’un vérificateur musulman. Il y a donc financement d’un culte au travers d’une décision d’un ministre. Déjà, et j’en ai parlé sur ce site, que nous avons un système de notation de viande sous forme d’étoiles sans savoir de quel morceau il s’agit, nous aurons désormais systématiquement du bœuf halal ce à quoi je ne peux me résoudre.

    Parce que je suis têtu et irréductible et inventif aussi, gourmand également, j’ai repris des recettes comme de la blanquette de veau et j’ai remplacé le veau par des morceaux de rôti de porc. Impeccable. Idem pour le bœuf bourguignon mais je suggère plutôt du sanglier à la place du porc. Il est dommage de devoir modifier nos recettes ancestrales pour se battre contre un ennemi de l’intérieur.

    Non pas Bœuf bourguignon mais sanglier bourguignon.

    Alors Monsieur Le Foll, rangez vos idées du même nom au placard et mettez-vous y même, jetez la clef dans un caniveau, là où cette idée idiote n’aurait jamais dû sortir et arrêtez de vendre la France clef en main à l’envahisseur musulman.

    Philippe Legrand

     

    http://ripostelaique.com/leffet-boeuf-de-le-foll-sauver-la-filiere-bovine-grace-au-halal-des-migrants.html