Ok

En poursuivant votre navigation sur ce site, vous acceptez l'utilisation de cookies. Ces derniers assurent le bon fonctionnement de nos services. En savoir plus.

Savoir - Page 238

  • Le scandale du financement syndical que personne ne dénonce

    Derrière les désaccords entre syndicats se cache une communion d’intérêts profonde portant sur le financement des syndicats. Un sujet à 30 milliards qui pèse sur l’économie française!

    Par Éric Verhaeghe.

    Derrière la manifestation l'ombre du financement des syndicats

    Officiellement, l’échec de la manifestation d’hier contre la loi Travail témoigne d’une division syndicale intense. Les uns sont réformistes et ne défilent pas, les autres sont contestataires et battent le pavé. Les uns ne veulent pas entendre parler d’inversion de la hiérarchie des normes, les autres la soutiennent. Mais derrière ces paravents de la discorde, se cache une entente plus profonde, une coalition d’intérêts où la division syndicale n’a plus sa place et qui tient en un mot: le financement des syndicats.

    Une intersyndicale en pleine division

    Il faut lire, dans les colonnes de la Tribune, la publication d’une lettre à Marisol Touraine signée par les cinq syndicats représentatifs au niveau interprofessionnel, pour comprendre quelle unité les organisations syndicales sont capables de trouver dès qu’il s’agit d’assurer leur financement. La lettre porte bien la signature de Philippe Martinez, de Laurent Berger, de Jean-Claude Mailly, de Philippe Louis et du tout nouvel élu de la CGC François Hommeril. On rêve? Non, c’est bien vrai! Alors que les centrales se déchirent sur la loi Travail, elles font, dans l’ombre, leur unité sur une question énigmatique pour le grand public: l’application de la loi du 11 février 1950 sur les pratiques conventionnelles en matière de protection sociale complémentaire.

    Qu’en termes élégants et pudiques ces choses-là sont dites!

    Un étrange amour pour les très petites entreprises

    Dans leur courrier, les organisations syndicales jouent un étrange rôle de composition: elles parlent au nom des très petites entreprises. C’est bien connu! les syndicats de salariés, en France, sont là pour défendre les patrons et les employeurs, rôle qui ne revient pas du tout aux organisations patronales.

    Donc, dans l’intérêt des très petites entreprises, ces petites choses en sucre qui ont besoin de la CGT et de la CFDT pour exprimer leurs revendications, la bande des 5 demande à la ministre de préserver les désignations en prévoyance, c’est-à-dire l’interdiction faite aux très petites entreprises de choisir elle-même l’assureur qui couvre les risques de leurs salariés. Dans l’intérêt des très petites entreprises, il faut que le choix de l’assureur revienne aux négociateurs de branche et non aux entrepreneurs eux-mêmes.

    La question du financement des syndicats

    Bien sûr, ce sujet, qui pèse 30 milliards environ dans l’économie française, est présenté dans l’intérêt des entreprises. Et, comme toujours quand on entend un syndicat de salariés parler au nom des entreprises, il cache une affaire de gros sous.

    Car les syndicats ne précisent pas que les accords de branche que leurs représentants négocient en prévoyance complémentaire profitent à peu près systématiquement à un cartel de groupes de protection sociale… gouvernés par les syndicats eux-mêmes et qui sont pour ceux-ci de superbes pompes à phynances. Autrement dit, les syndicats viennent de demander à Marisol Touraine de préserver un système (dénoncé par l’Autorité de la Concurrence comme attentatoire à la libre concurrence) censuré par le Conseil Constitutionnel parce que contraire à la liberté d’entreprendre, aux seules fins de garantir la continuité de leur financement.

    contrepoint.org

  • Attention: grippe de cet hiver dangereuse en France?

    La grippe sévit ailleurs, elle semble grave… après l'Océan Indien, elle viendra ici cet hiver… A surveiller de très près...

     

    Epidémie de grippe à La Réunion: plus de 38 000 consultations, 7 décès

    Au total depuis le début de l’épidémie, le nombre de consultations pour syndrome grippal est estimé à 38 600. L’Agence Régionale de la Santé (ARS-OI) précise que depuis le début de l’année, "16 personnes ont été hospitalisées en réanimation pour une forme grave de grippe, dont 7 sont décédées".

    Comme le rappelle l’Agence Régionale de la Santé (ARS-OI), L’épidémie saisonnière de grippe à la Réunion a démarré fin avril, de manière plus précoce cette année, avant même le début de l’hiver austral.

    Plus de 38 000 consultations, 7 personnes décédées à La Réunion

    Au total depuis le début de l’épidémie, le nombre de consultations pour syndrome grippal est estimé à 38 600.

    Depuis le début de l’année, "16 personnes ont été hospitalisées en réanimation pour une forme grave de grippe, dont 7 sont décédées. La majorité de ces patients présentait des facteurs de risque de complication et n’était pas vaccinée".

    L’ARS-OI rappelle que la vaccination contre la grippe est le seul moyen pour les personnes fragiles de se protéger contre les complications et les formes sévères de la maladie.

    L’ARS Océan Indien rappelle aux personnes concernées, dont les personnels soignants, l’importance de se faire vacciner.

     

  • La forfaiture de la gauchiasse

    France: la dette invisible des 3.200 milliards d’euros du “hors-bilan” que rien n’arrête…

    Les derniers “coups de pouce” annoncés par le gouvernement sont pointés du doigt comme étant des “cadeaux” qui vont un peu plus creuser la dette publique. Sauf qu’une autre dette, bien plus imposante que l’officielle, continue à croître bien loin des radars de l’opposition.

    C’est le même rituel à chaque fois que l’exécutif décide d’engager des dépenses supplémentaires, vues comme des “cadeaux” par ses opposants (comme actuellement pour les enseignants, les instituteurs ou les élus municipaux): le rappel du montant de la dette. Avec en sus, une petite tape sur les doigts de la part de Bruxelles, qui appelle la France à ne pas creuser un peu plus sa dette publique. Qui s’élève approximativement, en ce milieu d’année 2016, à 2.100 milliards d’euros, et commence à se rapprocher de la barre symbolique des 100% du PIB.

    Problème: il existe un autre type de dette, qui n’apparaît pas dans les chiffres officiels communiqués pour connaître l’Etat du budget français, et dont le passif ferait tourner de l‘œil ceux qui s’inquiète déjà du chiffre de 2.100 milliards.

    Le “hors-bilan”, comme son nom l’indique, représente l‘ensemble des engagements futurs de l’Etat, c’est-à-dire soit les dépenses déjà prévues au-delà de l’année en cours, soit de sommes que l’Etat s’engage à payer si un autre acteur, dont il est caution, devient défaillant. En France, en 2016, le montant du “hors-bilan” atteint approximativement le chiffre de 3.200 milliards d’euros. Plus de 1.000 milliards de plus donc que ce déficit qui fait tant couler d’encre, et sur lequel les futurs programmes politiques seront sommés de se positionner.

    Lire la suite sur francesoir

  • Foot en France: la vérité!

    L’affaire Benzema : Foot et Grand Remplacement

    Chronique de Paysan Savoyard

    L’affaire Benzema : le foot, illustration tangible du Grand Remplacement

    Karim Benzema a déclaré que  D. Deschamps ne l’avait pas sélectionné parce qu’il avait cédé à la partie raciste de la France. J. Debbouze a ajouté qu’il trouvait anormal qu’il n’y ait aucun maghrébin dans l’équipe de France. E. Cantona, dans le rôle du « dhimmi » islamo-gauchiste, a estimé que si D. Deschamps n’avait pas sélectionné de maghrébin, c’était peut-être « parce que personne dans sa famille n’est mélangé avec quelqu’un, comme les Mormons d’Amérique ». Cette affaire Benzema et l’évolution du football de façon plus générale, offrent une illustration parlante de ce qui est en train de se produire en France et en Europe.

    -L’immigration se traduit par le communautarisme.

    Elle ne débouche pas sur l’intégration, encore moins sur l’assimilation : dans une société multiculturelle et multiraciale, chacun raisonne en fonction d’une logique communautaire. Cette société communautarisée est nécessairement conflictuelle, chaque communauté cherchant à prendre le pas sur les autres. L’évolution du football en France et en Europe illustre cette situation.

    On peut ainsi constater que la plupart des joueurs Français issus de l’immigration ne chantent pas la Marseillaise. Il en est de même en Allemagne, où les trois joueurs immigrés (Boateng, Ozil et Khédira) ne chantent pas l’hymne national. De même les supporteurs Français d’origine immigrée montrent qu’ils ne se sentent pas membres de la communauté nationale : ils supportent les équipes de leur pays d’origine, en arborent les drapeaux et les maillots ; lors des matches France-Algérie, les supporteurs Français d’origine algérienne sifflent l’hymne national.

    Les joueurs Français manifestent également leur différence religieuse. F. Ribéry fait un signe d’appartenance à l’islam, auquel il est converti, en entrant sur le terrain. Anelka et Benzema arborent une barbe d’aspect manifestement islamiste. Les joueurs musulmans ont obtenu que la nourriture servie soit halal (selon ce que l’on a compris, même les joueurs non musulmans sont conduits à manger halal).

    -Le football illustre le Grand Remplacement qui est à l’œuvre.

    Les Blancs sont désormais en minorité dans les équipes de France de football (équipe première et espoirs) ; dans la plupart des équipes de clubs aux différents niveaux ; dans plusieurs autres sports collectifs.

    Les jeunes de souche européenne en effet fuient les clubs de football : parce qu’ils y sont minoritaires ; parce que l’islam y occupe une place croissante ; parce qu’ils n’ont pas l’habitude des rapports de force que leur imposent les joueurs d’origine immigrés.

    Le football illustre également le fait que les Blancs sont la cible de l’hostilité des personnes d’origine immigrée. Ils sont insultés et méprisés. Lors de la coupe du Monde en Afrique du Sud, il semble que le sélectionneur R. Domenech ait été traité de « fils de pute » par N. Anelka. Le joueur du PSG   S. Aurier a qualifié l’entraîneur L. Blanc de « fiotte » sur les réseaux sociaux. On a cru comprendre également qu’en Afrique du Sud, J. Gourcuff avait été mis à l’écart car trop représentatif du joueur Français et Blanc.

    Ces jours-ci, alors même que les Blancs sont depuis longtemps minoritaires en équipe de France, les responsables Français du football sont pourtant accusés de racisme pour ne pas avoir sélectionné de maghrébin.

    -Une partie de la société française appuie les revendications des immigrés

    C’est le troisième constat que le football permet d’illustrer. La classe dirigeante Française prend le plus souvent le parti des immigrés et de leurs revendications. A l’occasion de l’affaire Benzema, on voit ainsi différents intellectuels expliquer que le communautarisme et l’esprit vindicatif des immigrés, dans le football comme ailleurs, sont une réaction au comportement de la société française à leur égard. Les immigrés étant victimes du racisme, des discriminations et des difficultés sociales, leur susceptibilité et leur agressivité seraient compréhensibles.

    Dans le même registre anti-Français un certain nombre de commentateurs expliquent que le nombre important d’immigrés en équipe de France prouve leur supériorité sportive. L’explication ne repose pourtant sur rien de tangible : l’Italie championne du monde en 2006 ne comprenait aucun immigré ; l’Espagne vainqueur en 2010 idem. Les immigrés n’étaient que trois dans l’équipe d’Allemagne championne en 2014.

    https://leblogdepaysansavoyard.

     

  • FRANCAIS, FRANCAISES: LA FRANCE, NOTRE FRANCE, EST EN DANGER

    Lu sur Fdesouche

     

    Mouloud Achour : « Nous sommes le grand remplacement »

    Téléramadan sera disponible en juin.

    retrouvez ci-dessous l’édito signé Mouloud Achour, Mehdi Meklat et Badroudine Saïd Abdallah.

    Nous sommes le Grand Remplacement. Sûrement pas celui que les fous peuvent fantasmer. Nous sommes un grand remplacement naturel, celui d’une génération face aux « autres », du cycle de la vie. Nous sommes le présent. Nous sommes le Grand Remplacement d’un système archaïque, qui ne nous parle plus et qui ne nous a jamais considérés comme ses enfants. Nous sommes radicaux dans nos idées : nous irons au bout de la beauté. Nous écrirons quand vous voudrez qu’on se taise, et nous nous battrons quand vous aurez décidé qu’il est l’heure qu’on s’endorme. Nous reprendrons notre place, prise par ceux qu’on autorise à penser. Nous ne voulons parler qu’en NOTRE nom. De NOS gouts et de NOS couleurs. Nous sommes le Grand Remplacement d’une génération qui s’active sur Internet pour contrer les coups bas. D’artistes, seul au front, pour porter tous les combats. De révoltés d’une société qui ne sait plus se regarder dans les yeux et écouter les cœurs qui se battent.

     

    (…) Clique Tv

     

     

  • La peste brune n'est pas là où la gauchiasse nous dit!

    Vers le retour de l’extrême gauche fasciste?

    Yves Roucaute

    Sus au fascisme, à l "extrême droite, au nazisme! Gauche et extrême gauche ne craignent pas l’usage de ces mots pour diaboliser leurs adversaires. Et la plupart des médias enfourchent le cheval, suivis par des dirigeants de droite qui ne craignent pas de patauger dans les sillons. Penser, en France, est devenu un luxe. Relever le sens caché, un boulot dangereux.

    Je m’y risque pourtant. Un truc du type recherche de la vérité, à déconseiller en tout cas. Peut-être le souvenir de Charles de Gaulle ou de Ronald Reagan, traités de " fasciste " naguère. Par les mêmes. Par ceux qui aujourd’hui, tel un animateur du Petit ]ournal de Canal Plus, pensent que la Shoah est un détail de l’histoire, jusqu’à présenter Donald Trump décoré d’une croix gammée tenant son prétendu livre de chevet, MeinKampf, tandis que l’Humanité colle la photo de Pétain à Nicolas Sarkozy, le fameux "libéral-fasciste". De Norbert Hofer à Viktor Orban,  "hou, hou, méfions-nous, les fascistes sont partout", nous dit-on.

    Bien joué. Assimiler fascisme et extrême droite? Dans "extrême droite", il y a  droite", le truc est là. Le quidam ordinaire doit le sentir: la droite est potentiellement "extrême", donc  "fasciste ". Malin.

    Rappeler que l’opposition au fascisme, en France, a d’abord été celle de la droite, en particulier de Charles de Gaulle, et non de la gauche, qui fut collabo ou pacifiste, au moins jusqu’à l’arrivée des troupes allemandes à Paris? Que la grande figure de la lutte antifasciste dans le monde ne fut pas le communiste  Staline, qui avait signé un pacte de non-agression avec Hitler, mais un libéral et conservateur, Winston Churchill? Que la troisième grande figure de l’antifasciste fut Franklin Roosevelt, anticommuniste et antisocialiste notoire? Bon, je sens que déjà cela ne plaît pas. Pour la suite, il me faudra un abri.

    L’extrême droite, camarades? Royaliste, catholique, antipopuliste. Rien à voir avec le fascisme.

    Le fascisme? Né à gauche, à l’extrême gauche. Inventeur? Le socialiste Mussolini, Benito … en référence à Benito Juarez, révolutionnaire mexicain. En mars 1919, à Milan, il crée les Faisceaux italiens de combat, origine du mot "fasciste". Il se fait connaître en mai 1901 en interdisant aux enseignants d’entrer dans une école en grève. En Suisse, en 1902, il rencontre son égérie: Angelica Balabanova, amie de Lénine, décrite dans la Pravda comme celle qui conduit la politique révolutionnaire en Italie.

    Il publie, en 1903, un ouvrage anticlérical: Christ et Citoyen. Et il devient le socialiste le plus populaire, après deux condamnations pour avoir agressé des "exploiteurs". Nationaliste, il développe la thèse applaudie par Lénine, et reprise par Mao plus tard, de la "nation prolétaire" italienne, opposée aux "nations ploutocratiques" qui ont des colonies.

    En 1912, il l’emporte dans le Parti socialiste contre les "droitiers". Et sa popularité croît quand, après des sabotages économiques, il est emprisonné; le futur secrétaire général du Parti socialiste, Pietro Nenni, l’appelle alors Duce.

    Nommé directeur d’Avanti!, le journal central du parti, il organise la grève générale ouvrière de 1914. En octobre, il se prononce pour la guerre, comme les autres socialistes européens, et crée Il Po polo d’Italia, avec cette référence à Blanqui: "Qui a du fer a du pain“. Exclu, celui qui est alors le socialiste le plus populaire du pays réplique: "En m’excluant, vous ne m’interdirez pas la foi socialiste ni le combat pour la révolution“.

    Les grandes grèves de 1921? C’est aussi lui, jusqu’au référendum du 23 septembre, organisé par le syndicat de la métallurgie (FIOM), qui vote leur arrêt et le refus des "conseils d’usine", ces soviets anarchistes et communistes, soutenus par Moscou. Applaudi par le gouvernement et les socialistes, Mussolini les affronte: ils préfèrent la Russie à la classe ouvrière italienne, dit-il.

    En août 1921, il signe un  "pacte de paix" avec les socialistes, peu gênés par les violences contre chefs d’entreprise, police, militaires et prêtres. En décembre, il y met fin, assuré de l’appui des dirigeants syndicaux révolutionnaires et de 310 000 adhérents. En 1922, ce sont les marches, en particulier sur Rome. Nommé président du Conseil, il gouverne, au début, avec des ministres socialistes, joue au fils du peuple, pain et jeux, surtaxe des riches, impôt sur le capital, interdiction de la spéculation, grands travaux, emplois créés par l’État, semaine de 40 heures, augmentation des salaires, quadrillage du pays sur le modèle léniniste.

    Partout, en Europe, les groupes fascistes sont créés par des socialistes.

    Au Royaume-Uni? Par Oswald Mosley, député travailliste, qui fonde, en 1932, l’Union des fascistes britanniques. En France? Par le député socialiste Marcel Déat, ministre du Front populaire en 1936, fondateur du Rassemblement national populaire.

    Et Hitler?

    Il apprend nationalisme et révolution dans les cafés de Vienne. Et un antisémitisme nouveau qui n’est plus celui, traditionnel, lié à la terre, qui excluait les juifs, mais révolutionnaire, qui exige l’élimination des bourgeois, " donc " des juifs. Héritage de la gauche française du XIXe siècle. C’est le journal Candide, celui d’Auguste Blanqui, qui inventa la supériorité de la race aryenne. C’est Édouard Dumont, collaborateur de l’officielle Revue socialiste, repère d’antisémites révolutionnaires, qui, dès 1886, écrit la France juive. C’est Georges Vacher de La pouge, auteur préféré de Goebbels, candidat socialiste en 1888, fondateur de la section socialiste de Montpellier, qui publie l’Aryen, son rôle social (1899), qui choisira l’extrême gauche, en 1902.

    Qui appelle Hitler pour être ministre de la Propagande dans le gouvernement bavarois de 1920? Les socialistes!

    Membre du Parti ouvrier allemand, qui se réclame des bolcheviks, Hitler va créer le Parti national-socialiste des travailleurs allemands. Socialiste? Mais oui. Dans Mein Kampf, il indique qu’il a choisi la couleur rouge de la révolution socialiste et, à la place de la faucille et du marteau, le svastika, symbole de la refondation de l’homme. Goebbels pourra écrire dans Die zweite Revolution (1926) : " Les seuls vrais socialistes de l’Allemagne, de toute l’Europe, c’est nous! " En 1933, prise du pouvoir et descentes dans les entreprises placées sous la surveillance du parti, perquisitions chez les entrepreneurs, plan de quatre ans de Göring sur le modèle soviétique, SS aux conseils d’administration, héritages sous contrôle, expropriations …

    Et en France? Le fondateur du parti nazi, le Parti populaire français, est le député communiste jacques Doriot.

    Hé ho la gauche! Êtes-vous certain de pouvoir appeler "fasciste" un Donald Trump, héritier de Jackson et de Jefferson, un Norbert Hofer, nationaliste libéral

     

    Lui, il a voté à gauche. Par moi! (NDLR)