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Savoir - Page 235

  • Voici ce qui se passe après 3 jours de cosmétiques sans produits chimiques

    En adoptant des produits d’hygiène et cosmétiques sans produits chimiques, on diminue de 27 à 45% les niveaux de perturbateurs endocriniens dans le corps.

    Une nouvelle étude menée par des chercheurs californiens démontre qu’en arrêtant même brièvement d’utiliser certains types de produits de maquillage, shampooings et lotions on voit baisser significativement les niveaux de produits chimiques perturbateurs endocriniens dans le corps.

    Les résultats, publiés dans la revue Environmental Health Perspectives sont issus d'une étude sur 100 adolescents participant à l’étude HERMOSA.

    HERMOSA est une collaboration entre l'Université de Berkeley, Clinica de Salud del Valle de Salinas, visant à impliquer les jeunes dans les questions de santé publique et d'environnement.

    Les chercheurs ont fourni aux participants à l'étude des produits d’hygiène exempts de produits chimiques tels que les phtalates, les parabènes, le triclosan et l'oxybenzone. Ces produits chimiques sont largement utilisés dans les produits cosmétiques, les parfums, les produits capillaires, les savons et crèmes solaires, et il a été démontré dans des études chez l’animale qu’ils interfèrent avec le fonctionnement hormonal.

    «Parce que les femmes sont les principaux consommateurs de nombreux produits de soins, elles peuvent être exposées de façon disproportionnée à ces produits chimiques», dit le principal auteur de l'étude, Kim Harley (université de Berkeley). Les adolescentes peuvent être particulièrement exposées car elles traversent une période de développement rapide des fonctions reproductrices, et elles utilisent plus de cosmétiques et produits de soins que les femmes adultes."

    L'analyse des échantillons d'urine avant et après un essai de trois jours au cours duquel les participants ont utilisé les produits qui leur avaient été donnés ont montré des baisses significatives des niveaux des produits chimiques dans le corps. Les métabolites de diéthylphtalate, souvent utilisés dans les parfums ont diminué de 27 pour cent. Le méthyle et le propyle de paraben, utilisés comme conservateurs dans les cosmétiques, ont chuté respectivement de 44 et 45 pour cent. Les deux triclosans, trouvés dans les savons antibactériens et certaines marques de dentifrice, et la benzophénone-3 (BP-3), présente dans certains écrans solaires sous le nom d'oxybenzone, ont chuté de 36 pour cent.

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  • Hypocrite ou Hippocrate? ….. Dilemme gitano médical

    Malins ou Escrocs? … Comment qualifiez-vous cela?

    La médecine a fait un pas de géant a Perpignan. Elle vient d’inventer la "Bi-Natalité" au moment ou le Pays tout entier s’interroge sur la "Bi-Nationalité" Ce phénomène est testé auprès de cobayes de la communauté gitane Perpignanaise.

    La communauté gitane de Perpignan, parmi laquelle vivent quelques cas de parasitisme social, vient de voir passer un cas exemplaire de ce comportement en jugement au tribunal.

    Que concerne cette affaire? Rien de gravissime mais assez exemplaire d’un comportement parait il assez répandu et tout au moins révélateur d’un esprit que certains qualifient de "malin" ou "débrouillard" et que la justice vient de qualifier de parfaitement illégal en employant le vrai mot "escroquerie"

    C’est une "combine" qui consiste à faire naitre deux fois le même bébé, dans deux familles différentes.

    La 1ere maman gitane accouche très normalement dans une chambre de rez-de-chaussée du centre hospitalier. Pendant la nuit et par la fenêtre le bébé est ‘exfiltré’ jusqu’au domicile dans la cité voisine, d’une "fausse maman" qui attend, au lit avec son vrai faux bébé dans les bras, le médecin.

    Le Médecin fait ‘gentiment’ une déclaration de naissance, sans même avoir examiné la mère, sans doute au prétexte que la pudeur communautaire l’interdisait. Il officie donc simplement en déclarant d’état civil.

    Une fois l’opération "bi-natalité" réalisée, le bébé est ramené à la chambre de l’hôpital qu’il n’aurait jamais du quitter, ou il y retrouve le sein maternel.

    Résultat de l’opération, outre une natalité exemplaire en France, dont nous sommes très fiers, les allocations ‘familiales vont automatiquement alimenter la famille du "vrai faux né".

    Ce n’est que lorsque l’âge de la scolarité ‘obligatoire’ arrive que cette supercherie peut éventuellement être mise au grand jour et seulement si la famille est toujours en place.

    Cela a été le cas pour cette maman gitane de 32 ans, héroïne du jour au tribunal, qui l’a condamnée à 18 mois de prison, bien sur avec sursis, donc très illusoires, et à une amende colossale de 3000 € que sa condition sociale autorisera l’état à passer en pertes et profits car irrécupérable.

    Il faut dire que ce faux accouchement était la troisième fausse naissance dont ce prévalait cette mère isolée de famille nombreuse. Ce stratagème ayant déjà eu lieu en 2000 et en 2005.

    Le bénéfice de cet accouchement de théâtre, est quand même conséquent, car c’est au moins 28000 € d’allocations familiales indues que la fausse maman à empoché.

    Nous ne pouvons que féliciter le médecin qui sans être déclaré complice a réalisé avec bien sur une conscience professionnelle exceptionnelle de qualité, une déclaration de naissance pour le moins foireuse, dans laquelle il à certainement et très exceptionnellement confondu le serment d’hypocrite et le serment d’Hippocrate.

    Dans une déclaration unanime, Les Bourricots félicitent également le père fantôme et la CAF pour leur immense générosité.

    Alors que dit on … Escrocs ou Malins?

    https://lebourricot.wordpress.com/

  • Tocqueville / discours à l'assemblée 12 sept 48/ socialisme

    Extrait d'un discours d'Alexis de Tocqueville, "Grand député français“

    Voici le troisième et dernier trait, celui qui caractérise surtout à mes yeux les socialistes de toutes les couleurs et de toutes les écoles, c’est une défiance profonde de la liberté, de la raison humaine; c’est un profond mépris pour l’individu pris en lui-même, à l’état d’homme; ce qui les caractérise tous, c’est une tentative continue, variée, incessante, pour mutiler, pour écourter, pour gêner la liberté humaine de toutes les manières; c’est l’idée que l’Etat ne doit pas seulement être le directeur de la société, mais doit être, pour ainsi dire, le maître de chaque homme - que dis-je! son maître, son précepteur, son pédagogue; que, de peur de le laisser faillir, il doit se placer sans cesse à côté de lui, au-dessus de lui, autour de lui, pour le guider, le garantir, le retenir, le maintenir; en un mot c’est la confiscation, comme je le disais tout à l’heure, dans un degré plus ou moins grand, de la liberté humaine; à ce point que si, en définitive, j’avais à trouver une formule générale pour exprimer ce que m’apparait le socialisme dans son ensemble, je dirais que c’est une nouvelle formule de la servitude.

    (...)

    Et enfin, messieurs, quant à la liberté, il y a une chose qui me frappe, c’est que l’Ancien Régime, qui sans doute, sur beaucoup de points, il faut le reconnaitre, était d’une autre opinion que les socialistes, avait cependant, en matière politique, des idées moins éloignées d’eux qu’on ne pourrait le croire. Il était bien plus près d’eux, à tout prendre, que nous. L’Ancien Régime, en effet, professait cette opinion que la sagesse seule est dans l’Etat, que les sujets sont des êtres infirmes et faibles, qu’il faut toujours tenir par la main, de peur qu’ils ne tombent ou ne se blessent; qu’il est bon de gêner, de contrarier, de comprimer sans cesse les libertés individuelles; qu’il est nécessaire de réglementer l’industrie, d’assurer la bonté des produits, d’empêcher la libre concurrence. L’Ancien Régime pensait sur ce point, précisément comme les socialistes d’aujourd’hui. Et qu’est-ce qui a pensé autrement, je vous prie? La Révolution française.

    Eh quoi! messieurs, tout ce grand mouvement de la Révolution française n’aurait abouti qu’à cette société que nous peignent avec délices les socialistes, à cette société réglementée, réglée, compassée, où l’Etat se charge de tout, où l’individu n’est rien, où la société agglomère en elle-même, résume en elle-même toute la force, toute la vie, où le but assigné à l’homme est uniquement le bien-être, cette société où l’air manque! où la lumière ne pénètre presque plus. Quoi! Ce serait pour cette société d’abeilles et de castors, pour cette société plutôt d’animaux savants que d’hommes libres et civilisés, que la Révolution française aurait été faite!

    (...)

    Non, messieurs, la démocratie et le socialisme ne sont pas solidaires l’un de l’autre. Ce sont des choses non seulement différentes mais contraires. Serait-ce par hasard que la démocratie consisterait à créer un gouvernement plus tracassier, plus détaillé, plus restrictif que tous les autres, avec cette seule différence qu’on le ferait élire par le peuple et qu’il agirait au nom du peuple? Mais alors, qu’auriez vous fait? sinon donner à la tyrannie un air légitime qu’elle n’avait pas, et de lui assurer ainsi la force et la toute puissance qui lui manquaient. La démocratie étend la sphère de l’indépendance individuelle, le socialisme la resserre. La démocratie donne toute sa valeur possible à chaque homme, le socialisme fait de chaque homme un agent, un instrument, un chiffre. La démocratie et le socialisme ne se tiennent que par un mot, l’égalité; mais remarquez la différence: la démocratie veut l’égalité dans la liberté, et le socialisme veut l’égalité dans la gêne et la servitude.

    (...)

    La Révolution française, je vous l’ai déjà dit, n’a pas eu la prétention ridicule de créer un pouvoir social qui fit directement par lui-même la fortune, le bien-être, l’aisance de chaque citoyen, qui substitua la sagesse très contestable des gouvernements à la sagesse pratique et intéressée des gouvernés; elle a cru que c’était assez remplir sa tâche, que de donner à chaque citoyen des lumières et de la liberté.

    Elle a eu cette ferme, cette noble, cette orgueilleuse croyance que vous semblez ne pas avoir, qu’il suffit à l’homme courageux et honnête d’avoir ces deux choses, des lumières et de la liberté, pour n’avoir rien de plus à demander à ceux qui le gouvernent.

    La Révolution a voulu cela; elle n’a eu ni le temps, ni les moyens de le faire. Nous devons le vouloir et le faire".

    Oublier l'histoire c'est se condamner à la revivre

  • Douce France, cher pays de mon enfance....

    Villeurbanne (69): une église détruite pour laisser la place à des HLM et hébergements d’urgence

    L’église du Cœur Immaculé de Marie démolie. Les bulldozers sont entrés en action. C’est le sort est réservé à cet édifice religieux bâti en 1838 et consacré en 1842, un des derniers vestiges du château de la Ferrandière, dans le quartier des Maisons Neuves, à Villeurbanne.

    Des pans de murs, de même que le sol, resteront en place pour rappeler l’existence de l’église. Une église qui attirait peu de fidèles et coûtait trop cher au diocèse. Elle doit laisser place à un immeuble social construit par Est Métropole Habitat. Outre les logements sociaux, au nombre de dix-sept, il y aura en plus un centre d’hébergement d’urgence en lieu et place de l’église.

    Ce lieu d’accueil pour 70 personnes sera géré par l’association Alynea (Association lyonnaise d’écoute et d’accompagnement). L’association défend ce projet depuis plusieurs années. Un bail de 55 ans a été signé avec le Diocèse. Les premiers locataires et premières personnes hébergées dans le centre sont attendues en septembre 2017.

    (…) France 3 Rhone-Alpes

  • Salle prêtée à des Salafistes par la mairie d'Aulnay-sous-Bois; Beschizza livre sa vérité

    Par valeursactuelles.com  

    Bruno Beschizza, le maire (Les Républicains) d'Aulnay-sous-Bois; "Je rappelle que seul l’Etat a le droit de mettre en rétention administrative une personne. C’est donc à l’Etat qu’il faut demander des comptes et non au Maire ! L’Etat doit assumer ses responsabilités. D’autant qu’il a été prévenu".

    Entretien. Cette semaine, l'hebdomadaire Marianne a mis en cause Bruno Beschizza le maire LR d'Aulnay-sous-Bois, en affirmant qu'il a prêté " gracieusement " une salle municipale à une organisation salafiste de la ville. Face à la polémique, il livre sa vérité à Valeurs actuelles. Et contre-attaque; "seul l’Etat a le droit de mettre en rétention administrative une personne".

    Vous dénoncez la " mauvaise foi de vos détracteurs "…que s’est-il passé à Aulnay-sous-Bois ?

    Bruno Beschizza. L’histoire est simple; une association aulnaysienne a fait une demande d’utilisation de salle. Cette demande était conforme en droit. Elle a donc pu bénéficier de l’octroi d’une salle aux mêmes conditions que toutes les autres associations aulnaysiennes. Que veulent les donneurs de leçon bien à l’abri dans leurs beaux quartiers parisiens ? Faire payer une salle à une association en particulier et pas aux autres ? Selon quels critères ? Sportif, culturel, politique, cultuel…Ce serait illégal. Annuler une réservation de salle au motif que les intervenants ne sont pas forcément des gens avec qui l’on aimerait partir en vacances ? C’est aussi illégal. Il est pour le moins étonnant que le journal Marianne qui n’a que le mot République à la bouche en oublie un fait important; une collectivité locale est soumise aux lois de la République. En tant que Maire, je respecte le droit. Si j’avais décidé de ne pas mettre à disposition cette salle, la Ville aurait été condamnée en référé au Tribunal Administratif. Contrairement à ce qu’affirme Marianne de manière fallacieuse, ce n’est donc pas avec ma " bénédiction " que cette association a pu organiser cet événement. Quand la section locale du Parti Socialiste demande une salle, je ne peux pas exiger d’eux qu’ils me disent qui va intervenir lors de leur réunion. Et même si je le faisais, je n’aurais pas la capacité juridique de vérifier les bonnes mœurs des intervenants. Les prédicateurs désignés par le journal Marianne, malgré l’Etat d’urgence, ne font l’objet d’aucune interdiction de s’exprimer en France. Je rappelle que seul l’Etat a le droit de mettre en rétention administrative une personne. C’est donc à l’Etat qu’il faut demander des comptes et non au Maire ! L’Etat doit assumer ses responsabilités. D’autant qu’il a été prévenu…

    Vous faites pourtant partie des élus Républicains les plus fermes sur le sujet… Comment se passe le dialogue entre la municipalité et les organisations musulmanes, parfois radicales ?

    Bruno Beschizza. Là encore, il faut savoir de quoi l’on parle. Selon Marianne, mon prédécesseur à la Mairie d’Aulnay-sous-Bois était dans une démarche que l’on pourrait qualifier de communautariste vis à vis de certaines organisations. Des promesses auraient été faites à la veille d’élections. Je ne fonctionne pas de cette manière-là. Je n’ai jamais fait de pacte ou de marchandage avec telle ou telle communauté. A l’inverse, je dialogue régulièrement avec toutes les communautés religieuses. Je les réunis toutes au même moment lorsque cela peut-être nécessaire. Et contrairement à d’autres, je tiens le même discours aux chrétiens, aux juifs et aux musulmans. Le dialogue n’est jamais un problème. C’est la compromission qui l’est. Quand un cocktail molotov a été jeté sur une synagogue, j’ai immédiatement réuni l’ensemble des communautés religieuses et associations cultuelles afin d’envoyer un message de paix. Elles étaient toutes au rendez-vous. J’ai renouvelé ce dialogue inter-religieux à la suite des attentats de Charlie Hebdo et du 13 novembre. Ce dialogue permet aussi de rappeler les règles et d’éviter que certaines associations fonctionnent en roue libre en s’éloignant du cercle républicain.

    La ville d’Aulnay est-elle particulièrement touchée par l’islamisme radical, en progression sur le territoire français ?

    Bruno Beschizza. Pas plus qu’en Seine-Saint-Denis en général, mais pas moins non plus. Aulnay est une ville où les difficultés sociales sont réelles. Notre véritable problème, c’est l’insécurité. Dès la prise de fonctions de Jean-Jacques Urvoas, je lui ai écrit pour lui démontrer que le sentiment d’impunité n’est pas une invention mais une réalité quotidienne en Seine-Saint-Denis. Prochainement, je vais rencontrer le ministre de l’Intérieur au sujet de la relocalisation de notre commissariat. La police va partout, dans tous les quartiers, mais c’est la justice, elle qui ne passe plus. Et là encore, je dénonce en tant que Maire l’Etat qui ne fait pas son travail. Mais à l’inverse, je refuse de considérer qu’Aulnay serait un terreau particulier d’un islamisme radical violent au prétexte qu’il existe une porosité entre les trafics de stupéfiants et d’armes qui servent de fonction support à des terroristes.