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Savoir - Page 242

  • ...Sentant sa fin prochainne.... (le laboureur et ses enfants - LaFontaine)

    Des chercheurs américains de l'Université de Chicago, ont trouvé un lien entre l’incapacité à reconnaître des odeurs et le risque de mortalité.

    Selon une étude publiée mercredi dans la revue américaine Plos One, les personnes plus âgées, incapables d'identifier de simples odeurs comme celle de la rose ou de l'orange, ont un risque accru de mortalité dans les 5 ans.

    Sentir venir la mort... Selon une étude publiée mercredi dans la revue américaine Plos One, le dysfonctionnement olfactif s'avérerait être un meilleur indicateur du risque de mortalité qu'un diagnostic d'insuffisance cardiaque, de cancer ou de maladie pulmonaire.

    Seules des pathologies hépatiques graves sont un indicateur plus fort de la probabilité de décéder dans les cinq ans.

    L'équipe de chercheurs, qui comprenait des psychologues, des médecins, des sociologues et des statisticiens ont avancé plusieurs hypothèses pour expliquer ce phénomène. L'une d'entre elles est que le système olfactif est doté de cellules souches, capables de se régénérer. Une diminution de l'odorat pourrait donc signaler une baisse de la capacité générale de régénérescence de l'organisme avec l'âge, et accroître toutes les causes de la mortalité. "Cela n'est pas une cause directe de la mort mais un signe avant-coureur que quelque chose ne tourne plus rond dans l'organisme" tient à préciser le Dr Jayant Pinto, professeur adjoint de chirurgie à l'Université de Chicago, spécialisé dans la génétique et le traitement des maladies olfactives, et un des principaux auteurs de l'étude.

    Les résultats de cette recherche pourraient en tout cas, selon lui, "permettre de développer des tests cliniques utiles et pas chers, capables d'identifier rapidement des personnes courant un plus grand risque de mortalité".

    Ce travail, mené par des scientifiques de l'Université de Chicago, auprès de 3.000 hommes et femmes âgés de 57 à 85 ans, représentatifs de la population américaine, a en effet révélé que 39% des personnes sondées, qui n'avaient pas réussi à identifier des odeurs simples comme celle de la rose, de l'orange, du poisson, de la menthe et du cuir, sont décédées dans les cinq années suivant le début de l'étude. Contre 19% des personnes avec une perte modérée de l'odorat et 10% chez ceux pouvant sentir normalement. Et l'âge fait une différence: 64% des plus jeunes (57 ans) ont ainsi pu reconnaître toutes les odeurs qui leur étaient présentées pendant la phase de test, contre 25% seulement des plus âgés (85 ans).

    Un signe avant-coureur d'un dysfonctionnement de l'organisme

    L'équipe de chercheurs, qui comprenait des psychologues, des médecins, des sociologues et des statisticiens ont avancé plusieurs hypothèses pour expliquer ce phénomène. L'une d'entre elles est que le système olfactif est doté de cellules souches, capables de se régénérer. Une diminution de l'odorat pourrait donc signaler une baisse de la capacité générale de régénérescence de l'organisme avec l'âge, et accroître toutes les causes de la mortalité. "Cela n'est pas une cause directe de la mort mais un signe avant-coureur que quelque chose ne tourne plus rond dans l'organisme" tient à préciser le Dr Jayant Pinto, professeur adjoint de chirurgie à l'Université de Chicago, spécialisé dans la génétique et le traitement des maladies olfactives, et un des principaux auteurs de l'étude.

    Les résultats de cette recherche pourraient en tout cas, selon lui, "permettre de développer des tests cliniques utiles et pas chers, capables d'identifier rapidement des personnes courant un plus grand risque de mortalité".

    Une anosmie peut avoir de nombreuses causes. Lorsqu'elle est la conséquence d'une rhinite ou d'une sinusite, ce trouble cesse avec la maladie. Elle peut aussi être le symptôme d'une polypose (inflammation qui entraîne une congestion des muqueuses). Certaines affections virales peuvent entraîner une diminution non réversible de l'olfaction. Un traumatisme, notamment crânien, est également une cause fréquente (15-20%) d'anosmie non réversible.

    Ce trouble peut par ailleurs être associé à des intoxications (chrome, asphalte, plomb, zinc…), ainsi qu'à l'apparition de tumeurs. Il rentre également fréquemment dans le tableau clinique de pathologies neurologiques (SLA, sclérose en plaques, maladie d'Alzheimer, Parkinson…).

    Premier constat : 40% des 100 patients ayant reconnu moins de quatre odeurs… ont poussé leur dernier souffle dans les cinq années qui ont suivi.

    A priori, rien d'étonnant, puisque la plupart d'entre eux étaient âgés. Mais en y regardant de plus près, les scientifiques ont montré que, quel que soit leur âge, ces patients dits "anosmiques" avaient un risque de décéder dans ce laps de temps au moins doublé par rapport aux autres (sur-risque estimé entre +100% et +450%).

    Plus prédictif qu'un cancer ou un AVC

    Le fait d'être anosmique apparaît un facteur "prédictif" de décès – en d'autres termes, un indicateur de sur-risque de mortalité – plus pertinent que le fait d'avoir eu un cancer, d'avoir souffert d'une attaque cardiaque ou d'un AVC, voire d'être diabétique.

    Une des explications avancée par les chercheurs est que notre système olfactif est doté de cellules souches capables de se régénérer. Une diminution de l'odorat pourrait donc signaler une baisse de la capacité générale de la régénérescence de l'organisme, qui diminue de fait les risques de survie à toute maladie.

    Source : Olfactory Dysfunction Predicts 5-Year Mortality in Older Adults. J.M. Pinto et coll. PLOS One, 1er oct. 2014 doi:10.1371/journal.pone.0107541

     

  • Une ville sous-marine va naître au Japon

    Cette cité se présente sous la forme d'un gigantesque globe. Elle est capable d'accueillir 5000 résidents permanents. "C'est un véritable objectif, pas un rêve."

    Le Japon projette de construire une cité-sous-marine, à l'horizon 2030. C'est le géant japonais de la construction Shimizu qui a conçu cette cité futuriste baptisée “Ocean Spiral”.

    Les villes sous-marines alimentent des fantasmes depuis la nuit des temps. Et elles ont inspiré un nombre incalculable de fictions, mangas, films, et autres productions audiovisuelles dont certaines sont désormais célèbres: l'Atlantide, Star Wars et sa ville sous-marine Naboo... Cette fois-ci, cet univers tant fantasmé pourrait bien devenir une réalité. C'est que laisse entendre le géant japonais de la construction Shimizu, qui a dévoilé les plans de ce projet incroyable.

    Le concept: créer une cité sous-marine capable d'accueillir pas moins de 5000 résidents permanents, rapporte le Guardian. Son nom: Ocean Spiral. "Nous n'exploitons pas suffisamment l'immense potentiel des profondeurs", a expliqué le groupe à l'origine du projet, composé d'un panel d'architectes, ingénieurs, et océanographes. La construction prend la forme d'une immense sphère transparente de 500 mètres de diamètre immergée juste sous la surface de la mer. On y entrera en empruntant une spirale qui serpentera sur 15 kilomètres de long, et abritera logements, commerces, bureaux, hôtels...

    Tout au fond de cette grande structure en spirale, on trouvera "l'usine terrestre", qui produira le méthane nécessaire pour alimenter toute la cité sous-marine en énergie. Avec un budget de 20 milliards d'euros, la construction du projet devrait prendre environ cinq ans. En revanche, c'est de mettre au point la technologie qui permettra la vie dans cet espace qui demandera une quinzaine d'années, estiment les initiateurs du projet. "C'est un véritable objectif, pas un rêve", a tenu à déclarer Hideo Imamura, le porte-parole de Shimizu.

    La société de construction japonaise ne compte pas s'en tenir à ce seul projet pour les années à venir. Shimizu a d'ores et déjà planifié d'autres constructions ambitieuses. Parmi elles, on peut citer notamment une base lunaire, un hôtel dans l'espace ainsi que des cités botaniques flottantes. "J'espère qu'à l'avenir, ces initiatives vont se multiplier et qu'elles vont se démocratiser afin que chaque citoyen puisse avoir un rôle actif dans leur création", explique Christian Dimmer, professeur d'urbanisme à l'Université de Tokyo, qui estime que ce qu'il appelle les "techno-utopias" pourraient résoudre les problèmes de montées des eaux provoqués par le réchauffement climatique.

     

    Histoire racontée sur mon espace youtube: nos descendants de l'an 3000

     

     

     

  • Un gel qui s’étire de 21 fois sa longueur pourrait remplacer le cartilage

     

    Ce gel est composé à 90% d’eau, et pourtant il peut s’étirer de 21 fois sa longueur au repos sans rompre. Même un élastique ne s’étire que de six fois sa longueur au repos.

    Étant donné qu’il est compatible avec les tissus vivants, il pourrait un jour être utilisé dans l’organisme, par exemple pour remplacer le cartilage (comme dans les rotules), les disques intervertébraux ou d’autres tissus. Des hydrogels similaires sont actuellement utilisés pour établir des contacts.

    Toutefois, cet hydrogel-là est le plus extensible et le plus résistant jamais conçu.

    "C’est sans doute l’hydrogel le plus robuste dont nous ayons entendu parler ", affirme Zhigang Suo, ingénieur en mécanique à l’université de Harvard et auteur de l’article, qui a été publié dans Nature." Jusqu’ici, personne n’a contesté cette affirmation“.

    De quoi est-il fait?

    Les gels sont généralement cassants. Pour pouvoir créer un gel extensible, les ingénieurs doivent combiner entre eux des gels dont les structures dissipent l’énergie. En général, la combinaison choisie est un gel robuste et rigide composé de polymères à forte densité et un autre avec un réseau de polymères à faible densité.

    Ces deux gels fonctionnent de telle manière que si le gel rigide craque (autrement dit, si ses liaisons chimiques sont rompues), la souplesse du second gel réduit la cassure.

    Or, même les gels conçus de la sorte se rompent régulièrement, ce qui les affaiblit.

    Pour résoudre ce problème de fatigue, Zhigang Suo et ses collègues ont utilisé pour leur second gel une variante composée de polymères reliés par des ions de calcium. Ainsi, les liaisons ioniques peuvent se rétablir facilement.

    S’il apparaît qu’une fissure est sur le point de se former, les ions de calcium "se détachent“ pour dissiper l’énergie, ce qui permet aux liaisons covalentes de l’autre gel de rester intactes.

    Comme l’explique le Los Angeles Times, " plus tard, lorsque la tension décroît, les ions de calcium peuvent revenir à leur position initiale, rétablissant ainsi les liaisons ioniques. "

    Ce nouvel hydrogel doté de capacités d’auto-rétablissement peut endurer une contrainte mécanique jusqu’à neuf fois supérieure au cartilage, ce qui le rend aussi performant que le caoutchouc naturel. De plus, il garde son élasticité et sa robustesse même après avoir été étiré de nombreuses fois. Tout ce qu’il lui faut, c’est un temps entre chaque étirement pour que le calcium se remette en place.

    Ses capacités d’auto-rétablissement sont telles, en fait, que les chercheurs ont démontré que s’ils pratiquaient une incision de 5 cm dans le gel, il pouvait toujours s’étirer de 17 fois sa longueur de départ.

    Et n’essayez même pas de le déchirer à mains nues. C’est impossible.

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  • Des robots pour lutter contre Ebola

    L'armée américaine a mobilisé une nouvelle arme tueuse de microbes dans la lutte contre le virus Ebola: un robot doté de quatre roues pouvant désinfecter une pièce en quelques minutes en diffusant des ultraviolets.

    Version plus haute et plus fine que le célèbre R2D2 de la saga "Star Wars", le robot Xenex est utilisé par trois centres médicaux militaires ainsi que par environ 250 hôpitaux américains pour détruire des agents pathogènes.

     Il envoie 1,5 impulsion par seconde dans un périmètre de trois mètres. Ce robot utilise du xénon, un gaz non toxique, pour générer des rayons ultraviolets qui éradiquent les microbes plus vite et plus efficacement qu'une équipe humaine de nettoyage, ont souligné les médecins et des experts.

    "Le robot fait actuellement partie de notre stratégie pour combattre Ebola, mais il pourra être utilisé à l'hôpital pour lutter contre d'autres agents pathogènes à l'origine d'infections nosocomiales", a indiqué Alton Dunham, porte-parole de la base aérienne militaire de Langley, qui a acquis l'un de ces robots en octobre.

    La lumière ultraviolette est utilisée depuis plusieurs décennies déjà comme solution de nettoyage mais ces nouveaux robots fonctionnent avec du xénon, plus écologique que les ampoules à vapeur de mercure qui ont une action plus lente et qui sont toxiques, selon Xenex Disinfection Service, qui fabrique ces appareils de nouvelle génération.

    Transport de déchets contaminés

    Les chercheurs ont souligné que ces robots nettoyeurs sont l'un des exemples de machines autonomes qui pourraient jouer un rôle crucial dans la lutte contre l'épidémie de fièvre hémorragique qui sévit en Afrique de l'Ouest.

    Lors d'une conférence académique organisée en novembre par la Maison Blanche, des scientifiques et des travailleurs humanitaires ont expliqué que les robots pouvaient évacuer des déchets contaminés ou permettre au personnel médical de discuter à distance avec les patients.

    Le General dynamics land systems MUTT, un robot de transport de marchandises tout-terrain, pourrait notamment être déployé dès maintenant dans les pays affectés, a souligné Robin Murphy, professeur d'informatique et d'ingénierie au Texas A&M University.

     "Le principal enseignement est que ces robots existent déjà et pourraient être immédiatement réaffectés pour protéger le personnel de santé traitant Ebola", a-t-elle souligné dans un compte-rendu.

    Le virus Ebola se transmet par contact direct avec les fluides corporels d'un malade, ce qui requiert des équipements de protection spécifiques et des procédures pour protéger médecins et infirmiers.

     L'épidémie d'Ebola a fait 5.459 morts depuis le début de l'année sur 15.351 personnes infectées, selon le dernier bilan de l'Organisation mondiale de la santé (OMS) publié vendredi. Le personnel de santé a payé un lourd tribut, avec 337 morts sur 588 contaminations.

    "Les robots pourraient réduire le nombre de manipulations humaines des déchets contaminés" et permettre aux patients d'être soignés et surveillés à distance, limitant ainsi les contacts avec le personnel médical, a relevé Mme Murphy.

     Mais un centre de soins au Liberia ou en Sierra Leone est loin d'être idéal pour des robots conçus pour des environnements immaculés, avec un accès wifi, de l'électricité à volonté, des batteries et des sols plats.

    Infections nosocomiales 

    L'expédition du robot Xenex en Afrique n'est pas prévue dans l'immédiat mais l'épidémie d'Ebola a mis l'accent sur le problème plus large des maladies nosocomiales.

     Plusieurs centaines de patients meurent chaque année de maladies contractées pendant un séjour à l'hôpital, en particulier le Staphylocoque doré.

     Les dizaines d'hôpitaux ayant utilisé le Xenex ont constaté une baisse de ces infections nosocomiales, d'après Melinda Hart, porte-parole du fabricant du robot.

     Son faisceau ultraviolet peut désinfecter les surfaces et les recoins inaccessibles que même le plus consciencieux agent d'entretien humain ne pourrait atteindre, a-t-elle relevé. "Le robot est capable d'éliminer le risque d'erreur humaine".

     Le colonel Wayne Pritt, commandant de l'hôpital de la base aérienne de Langley, a indiqué que la présence de ces robots rassurait patients et personnel de santé.

     "L'équipement Xenex ajoute un niveau de sécurité au processus de désinfection qui n'était pas possible auparavant. Dans le cas d'Ebola, ça se traduit par une plus grande confiance des patients et du personnel", a-t-il précisé.

  • Technologie : en 2030, la pensée hybride ?

    En 2030, notre cerveau aura-t-il accès aux données numériques du réseau global et produira-t-il une pensée hybride ?

    Ray Kurzweil, Directeur de l’ingénierie de Google, fondateur de l’Université de la Singularité et théoricien de la pensée Singulariste Transhumaniste prévoit l’avènement de la pensée hybride qui sera, selon lui, « opérationnelle » en 2030. Le concept de pensée hybride s’appuie sur une connexion électro-bio-chimique entre le néocortex humain et le Cloud du futur (un futur très proche puisqu’il sera là dans 15 ans…) Une solution buvable contenant des nanobots permettra d’établir une connexion « wifi » entre notre néocortex et une interface globale stockée dans le cloud, compatible avec le format des neuro-informations. Une fois cette connexion réalisée, notre cerveau aura accès aux données numériques du réseau global et produira une pensée hybride. La base de connaissance sera alors composite car elle associera des informations produites naturellement dans le cerveau humain et des données artificielles neuroformatées issues du Cloud. Cette connexion neuro-cloud annoncée par Ray Kurzweil pour 2030 s’inscrit pleinement dans le mouvement de convergence (fusion) NBIC et nous laisse imaginer la nature du programme de recherche actuel de Google et de ses filiales spécialisées en nano et neurotechnologies.Un programme de recherche de quinze ans, c’est très court ! Si Kurzweil s’aventure sur de telles prévisions, c’est certainement que les premiers résultats ont été concluants et que le cahier des charges peut être respecté.

    Projetons-nous maintenant dans 16 ans. Nous sommes le 08 novembre 2030. Le responsable R&D de Google (pas forcément Ray Kurzweil d’ailleurs…) vient d’annoncer officiellement au monde entier que le protocole de connexion « neuro-cloud » est désormais opérationnel et que sa mise en production et sa commercialisation débuteront en fin d’année, à l’issue des derniers tests de sécurité. Au-delà de l’impact de la performance technologique et des perspectives vertigineuses qu’elle véhicule, au-delà de la transgression éthique, il faut logiquement penser « sécurité ».

    Une connexion neuro-cloud effective ouvrirait immédiatement la voie au neuro-hacking avec des conséquences illimitées sur l’intégrité de l’individu et sur son libre-arbitre. La tentation d’un détournement de la technologie serait inévitable et mobiliserait l’ensemble de la communauté du hacking. Le protocole de connexion serait décliné dans de multiples versions adaptées aux activités humaines (médicales, d’enseignement, de finance-trading, politiques, militaires, etc…). Le terme actuel de big bang d’innovation disruptive s’appliquerait alors pleinement à la connexion neuro-cloud. Les effets collatéraux seraient multiples et pourraient engendrer des turbulences d’extrême intensité.

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    Si vous allez sur Dailymotion, vous verrez sur mon compte: Toulousejoyce

    des vues sur l'avenir et vous verrez que ceci sera effectivement une réalité dans la vie de nos descendants.

    http://dai.ly/x6pxnx

     

    Autres liens

    ◾http://www.arte.tv/guide/fr/046446-113/square

    ◾http://www.youtube.com/watch?v=PVXQUItNEDQ

    ◾Marilyn Manson – Sweet Dreams

    ◾http://www.youtube.com/watch?v=BHRyMcH6WMM

     

     

  • Les 10 innovations technologiques révolutionnaires à venir

     

    La technologie avance à la vitesse de l'éclair et elle n'est pas prête de s'arrêter là. Voici une petite sélection des nouveautés technologiques qui sont en voie de révolutionner votre futur quotidien.

    Les Google Glasses

    Vous en avez forcément entendu parler, les lunettes de Google, futur technologique révolutionnaire, font la une des médias. Elles seront commercialisées d’ici 2014 pour une somme avoisinant les 1 500 dollars alors que des bars et des cinémas les ont déjà interdites dans leurs enceintes. Il est un fantasme technologique pour certains, outil ultime de violation de la vie privée pour d’autres, les Google Glasses ne sont pas encore commercialisées, qu’elles suscitent déjà un vif débat de société. Il s’agit de lunettes à réalité augmentée, commandées à la voix, avec un petit écran transparent situé au coin de l’œil droit, sur lequel défilent des informations plus ou moins indispensables en réponse à une demande de l’utilisateur, ou sans qu’il ait demandé quoi que ce soit.

    Golden-I, le casque futuriste

    Golden-I est un ordinateur portable un peu particulier. Il prend place dans un casque futuriste à porter sur la tête. Entièrement contrôlable par la voix et les gestes, il dispose d’une caméra de 14 mégapixels. Le dispositif semble plutôt ambitieux et serait particulièrement adapté pour les travaux de construction et les services d’urgence. Ce qui est certain, c’est que ce gadget plaira en particulier aux amateurs de James Bond.

    L’Oculus Rift, le casque de gamer

    Sous ce nom barbare se cache en réalité un système de réalité virtuelle permettant de s’immerger pleinement dans le monde 3D de jeux prévus à cet effet. Un dispositif à la frontière entre un casque et une paire de lunettes, qui permet de plonger le joueur dans l’immersion la plus totale. Une fois le casque enfilé, ce dernier englobera complètement le champ de vision du joueur, faisait du jeu, sa nouvelle réalité.

    MYO, la télécommande virtuelle

    Le brassard MYO est peut-être l’innovation technologique de l’année. En enfilant l’appareil, il détecte l’activité électrique des muscles des bras. Ce dernier reconnait alors les mouvements de la main et du bras, qui deviennent alors une télécommande virtuelle pouvant accomplir toutes sortes d’actions, comme lancer une vidéo, tourner la plage d’un ebook ou encore jouer à un jeu vidéo. Pas de limites quant aux possibilités de l’appareil, elles dépendent uniquement de l’imagination des développeurs. Le brassard devrait être disponible en fin d’année, au prix de 149$.

    Des écrans souples pour ordinateurs, smartphones et tablettes

    Il n’existe pour le moment qu’un prototype de smartphone flexible avec Windows OS de Samsung, ainsi qu’un concept d’iPhone 6 avec écran légèrement souple, mais aussi un ordinateur portable, Pandora, capable d’être transformé en écran de télévision ou en tablette tactile. Sa charnière flexible permet d’être mis dans différentes positions. L’écran souple est donc une nouvelle façon de concevoir la mobilité.

    3D Doodler, le stylo qui écrit en 3D

    Une invention peut être moins impressionnante pour les amateurs de technologie mais tout aussi audacieuse, le stylo 3D Doodler, permet de donner des formes et du volume à vos dessins, en dessinant en 3 dimensions à l’aide d’un fil de plastique fondu à séchage rapide. Le projet élaboré par Peter Dilworth et Max Bogue a déjà rassemblé plus de 1,7 millions de dollars sur la plateforme de crowdfunding kickstarter, explosant la barre des 30 000 dollars qu’ils demandaient. Prévu pour novembre 2013, ce stylo qui sera vendu pour la modique somme de 60$ en fin d’année, pourrait bien révolutionner le dessin.

    Des voitures sans chauffeur

    Non, nous ne sommes pas encore au stade des soucoupes volantes, mais au stade des voitures sans chauffeur. Sur l’autoroute, dans un embouteillage ou quand il n’y a pas trop de feux de circulation par exemple, il vous suffira d’enfoncer un bouton sur le volant pour que la voiture se mette à conduite toute seule. La voiture adapte automatiquement sa vitesse à celle qui la précède, et reste dans sa file en suivant le marquage au sol. Pendant ce temps, vous pourrez tranquillement lire vos mails ou passer un appel vidéo…

    Les montres intelligentes

    Après les smartphones, le prochain joujou technologique en vogue pourrait bien être la “smartwatch”, une montre qui permet d’avoir accès partout en toute discrétion aux messages et aux appels de son téléphone portable. En attendant l’éventuelle iWatch sur laquelle travaillerait le géant américain Apple, d’autres poids lourds comme Sony ou de petits acteurs comme Pebble et I’m Watch occupent le terrain. La cible va des utilisateurs qui ont du mal à décrocher de leur téléphone lorsqu’ils sont en réunion ou au cinéma, jusqu’aux sportifs qui souhaitent surveiller leur rythme cardiaque pendant l’effort. Elles fonctionnement comme un complément du smartphone, avec lequel elle communique via le Bluetooth. L’utilisateur peut ainsi, sans sortir son téléphone de la poche, répondre ou rejeter un appel, consulter ses mails ou voir ses notifications sur les réseaux sociaux.

    Les écouteurs…sans écouteurs

    Le nouveau casque de Panasonic permet d’écouter sa musique tout en restant attentif à son environnement extérieur. Le nouveau casque de Panasonic exploite la connectivité osseuse de la boîte crânienne. Les embouts sont placés directement sur les os de la tempe et les vibrations sont transmises vers le nerf auditif par les os.

    La télévision intelligente, qui vous regarde

    Cela peut sembler inquiétant pour ceux qui ont lu 1984 de George Orwell, mais selon les acteurs du secteur, c’est la nouvelle étape de l’évolution de la télévision : Des télévisions "intelligentes", connectées à internet, équipées de technologies qui "voient" le spectateur, avec l’objectif de proposer des programmes plus adaptés. Méfiance tout de même, nombreuses sont les personnes qui pensent que notre vie sera de plus en plus assaillie par les publicitaires, qui pourront mettre au point des annonces encore plus ciblées qu’aujourd’hui.