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Société - Page 12

  • En France, on peut mourir à 26 ans aux urgences

    dans un couloir, sans soins

    Lucas est mort après dix heures passées aux urgences d’Hyères, dans le Var, au mois d’octobre. Un poète a chanté que la misère est plus belle au soleil. Hyères est éblouissante dans ses palmiers au bord de la mer. Mais on y meurt comme ailleurs, et bien plus mal qu’ailleurs, quand on est lamentablement abandonné aux urgences.

    Lucas a commencé à se sentir mal le vendredi soir. Alors qu’il devait partir pour la soirée à Marseille, il décide de faire demi-tour et rentrer chez lui avec sa compagne parce qu’il se sent trop mal. Après une nuit mal en point, il décide d’appeler SOS Médecins le matin. Finalement, en début d’après-midi le samedi, comme SOS Médecins n’est toujours pas venu chez lui, il compose le 15. Il respire difficilement. Il a mal aux côtes, vomit, a des diarrhées.

    On l’envoie à l’hôpital d’Hyères. Il y arrive à 15 h 50. Il est installé sur un brancard, dans le couloir. Et puis ? Et puis, rien. Le rapport des pompiers n’a même pas bien été transmis.

    Il souffre. À 18 h 30, on lui administre un anti-vomitif. Vers 20 h un médecin l’ausculte rapidement. Et puis, toujours rien.

    On lui demande s’il fume de l’herbe. Eh bien non. C’est vrai que ses dreadlocks pouvaient le laisser penser. Donc comme on croit qu’il se drogue, on ne lui fait rien. On croit que ça va passer.

    C’est comme un autre jeune, soigné à Vierzon par une interne voilée qui lui avait dit : " Ah, comme tu es chrétien, tu as trop mangé à Pâques. " Comme si les chrétiens après le carême s’empiffraient comme les musulmans les soirs de ramadan. Ben voyons.

    Lucas souffre terriblement, gémit, se retourne sur son brancard. On lui donne du spasfon. La seule personne qui compatit c’est son voisin, un autre jeune homme, horrifié.

    Ses parents sont sur le parking de l’hôpital mais on leur interdit d’entrer. Ils suivent par SMS l’état de leur fils. Ils ne le reverront qu’intubé et dans le coma : trop tard.

    Vers 21 h 30, Lucas fait un malaise dit vagal. Un médecin lui prend sa tension et trouve 5,3. Mais comme Lucas parle, il n’y croit pas.

    Lucas multiplie les arrêts cardiaques. On le met enfin en réanimation. On lui fait un massage cardiaque pendant 45 minutes. Mais c’est trop tard et surtout le diagnostic n’est pas fait.

    Son voisin de couloir témoigne: "Un infirmier sort de la salle de déchoc en hurlant parce qu’il n’y avait pas d’adrénaline. Tout le monde court dans tous les sens pour en chercher dans l’hôpital. Rien ! C’est finalement dans l’ambulance du Smur qu’un infirmier en a trouvé, revenant avec quatre petits flacons!".

    C’est la grande pauvreté de l’hôpital. En 2023.

    Lucas meurt à deux heures du matin, d’une infection à méningocoque. Il a une bactérie dans l’abdomen. Son agonie aura duré dix heures, abandonné dans un couloir, sur un brancard.

    Sa famille a décidé de porter plainte pour homicide involontaire. Elle estime qu’il y a eu des négligences et veut que cela ne se reproduise plus.

    Cela souligne les failles du système hospitalier. Malgré ses symptômes alarmants, son admission aux urgences a été marquée par un manque de suivi médical et des retards dans les soins. Les résultats d’analyses, révélant une grave infection bactérienne, n’ont pas été traités avec l’urgence requise. Sa mère dénonce un manquement aux obligations de prudence et de sécurité, ayant contribué à la mort de son fils.

    Mais cela se reproduit tous les jours. Dans un autre hôpital une de mes amies a failli mourir il y a quinze jours de la même chose. On ne lui a pas diagnostiqué une infection. Grâce à l’insistance de sa sœur, qui a donné l’alarme et cogné aux portes, et l’a elle-même transportée aux urgences, on a pu guérir sa septicémie. De justesse.

    Comment est-ce que cela pourrait ne pas se reproduire ? Après quarante ans de numerus clausus abscons, on manque de médecins. On a fait des économies de bouts de chandelles. On manque d’infirmiers. On manque de tout.

    Macron et ses prédécesseurs se sont fait une gloire, pendant le covid, d’avoir fermé des lits d’hôpitaux. J’avais un vieil oncle qui, lui, médecin chef dans un hôpital, se faisait une gloire d’ouvrir des lits. À cette époque quand on le voyait, il nous disait bonjour puis tout de suite après il nous disait : "j’ai fait rouvrir trois lits, six lits". Il en était très fier. Mais c’était avant. Avant le grand malaise de la médecine. Nous avions une des meilleures médecines du monde. De nos jours elle est dans un état comateux. Et les Français avec elle.

    Forcément on ne peut pas accueillir et soigner toute la misère du monde. À un moment, ça craque.

    L’Aide médicale d’État (AME) doit être supprimée de toute urgence. Il est inadmissible qu’on dépense chaque année plus d’un milliard d’euros pour soigner des gens qui sont en France par effraction, alors que les Français sont abandonnés. Le Sénat a essayé de le faire, le 7 novembre. Mais elle a tout de suite été rétablie. Sa suppression ne suffirait sans doute pas pour remonter notre système. Mais ce serait toujours cela de pris. Et l’assurance pour les Français d’être soignés les premiers, dans leur pays.

    Une tribune du Monde a déclaré : "La remise en cause de l’AME ferait courir un risque majeur de désorganisation du système de santé, d’aggravation des conditions de travail des soignants et de surcoûts financiers importants". Quelles sornettes. Ce serait tout le contraire.

    L’appel d’air serait supprimé. Est-ce qu’il y a beaucoup de Français qui vont exprès se faire soigner à l’étranger ? Aux USA par exemple on ne soigne que ceux qui sont assurés. Avant d’opérer, on s’assure qu’ils pourront payer. Point.

    En attendant, en plus de risquer à tout instant le coup de couteau de l’égorgeur, le viol du frustré sexuel qui n’a pas nos codes, le cambriolage des déplacés qui croient que la France est à eux, les Français courent aussi le risque de mourir faute de soins, misérablement abandonnés dans un couloir d’hôpital.

    Sophie Durand

  • Mauvaises nouvelles pour les automobilistes

    L’Europe prépare une suspension automatique du permis tous les 15 ans pour tout le monde

    Le Conseil européen des ministres des Transports a décidé, à une courte majorité (22 voix contre 21), la suspension du permis de conduire tous les quinze ans, à revalider par des formalités médicales. Il doit y avoir maintenant un vote au Parlement avant que cette mesure ne rentre en vigueur. Alexandra Legendre, porte-parole de la Ligue de défense des conducteurs, réagit après ce vote.

    De plus, les automobilistes pourraient être contraints de passer une visite médicale tous les 15 ans pour revalider leur permis de conduire. Tous les 15 ans, avec éventuellement un raccourcissement des délais au fur et à mesure que l’âge avancera, plus les conducteurs seront âgés, plus les conditions seront compliquées à remplir. Des contraintes aussi humiliantes qu’inutiles et coûteuses. Par ailleurs, rien ne dit que certains critères que l’on ne connaît pas encore dans les détails, ne se révèlent pas discriminants alors que les conditions de sécurité sont pourtant assurées.

    Prenons un exemple. En cas d’une petite baisse d’audition ne vous empêchant pas d’entendre, les critères pourraient être fixés de manière suffisamment stricte pour que vous ne récupériez pas votre permis. Bruxelles ne mesure pas à quel point cette mesure constitue un facteur d’angoisse pour les seniors. Là, on parle aujourd’hui de 65 ans, mais ce n’est pas parce que l’on a 85 ans qu’on a moins besoin de bouger, en particulier au fin fond de la campagne. Le problème, c’est qu’une fois encore, Bruxelles ne met pas en place d’alternative satisfaisante en amont d’une mesure qui, potentiellement, concernera des millions d’automobilistes

    Il faut des alternatives de transports qui permettent aux plus âgés de continuer à pouvoir aller consulter leur médecin ou visiter leurs petits-enfants dans la ville située à 20 kilomètres de chez eux.

    En d’autres termes, des alternatives qui contribuent à ne pas se laisser enfermer chez soi. Malgré tout, on a beau être vieux, on continue à avoir une vie sociale et la majorité des gens qui ne vivent pas dans Paris intra-muros sont contraints d’utiliser leur automobile.

    Voir les bilans de la sécurité routière. Si on rapporte les conducteurs de 75 ans et plus à la population, ils causent deux fois moins d’accidents que les 18-24 ans ou même que les 25-34 ans. En gros, cette mesure, en elle-même et du point de vue de sécurité routière, ne s’impose pas.

    Parce qu’évidemment, ce sujet sera lié aux cotisations d’assurance. Un conducteur a reçu un courrier de son assureur qui lui a annoncé ne plus le couvrir parce qu’il avait plus de 75 ans. L’anti-âgisme existe déjà aujourd’hui. Cette mesure européenne ne va pas aider.

     

  • Les ARN utilisés comme vaccins ou traitements

    ... doivent encore être améliorés

    Il faut avoir fait de sacrées études pour comprendre cette note mais bon, on voit qu'il y a des effets secondaires reconnus et documentés

    L’utilisation d’ARN a été un progrès spectaculaire qui a permis, dans des délais très courts, la mise au point de vaccins efficaces contre la covid-19. A la suite de recherches menées depuis des années, dont celles des deux prix Nobel de médecine 2023, Katalin Karikó et Drew Weissman, qui ont démontré le potentiel de cette approche et permis de lever plusieurs obstacles, les laboratoires Moderna et Pfizer-BioNTech ont pu produire des vaccins dont l’antigène (en l’occurrence, la protéine S du virus de la covid-19) est remplacé par une chaine d’ARN capable de diriger la synthèse de la protéine dans les cellules des personnes vaccinées.

    Pour atteindre leur cible, les ARN sont encapsulés dans des nanoparticules lipidiques qui fusionnent avec la membrane cellulaire. La méthode a plusieurs avantages, qui ont été exposés dans une actualité du 22 novembre 2020. Elle permet en particulier de s’adapter rapidement à des antigènes modifiés ou nouveaux, puisqu’il suffit de modifier la séquence codante de l’ARN en utilisant toujours la même plateforme de synthèse.

    L’ARN utilisé dans les vaccins n’a pas tout à fait la même composition que les ARN produits naturellement dans les cellules des êtres vivants. En effet, bien que l’ARN ne soit pas normalement considéré comme antigène par notre système immunitaire, certains ARN peuvent être reconnus comme étrangers par des mécanismes de défense innés (système des récepteurs Toll-like).

    Ils déclenchent alors des mécanismes qui aboutissent à leur dégradation et à l’activation de processus inflammatoires, ce qui contribue à la protection contre certaines infections. Comme les ARN introduits dans les vaccins ont des séquences d’origine virale, il a fallu inventer un moyen de limiter les effets indésirables en relation avec des réactions de défense et d’éviter la dégradation des molécules pour leur laisser le temps de diriger la synthèse des protéines antigéniques.

    On s’est appuyé pour cela sur les travaux des deux prix Nobel, qui ont montré que le remplacement de l’une des quatre bases qui composent l’ARN, l’uridine, par une forme modifiée, la N1-méthylpseudouridine, améliorait la tolérance et la durée de vie des ARN artificiels. Les vaccins développés contre la covid-19 ont utilisé cette modification, ils ont été administrés à des centaines de millions de personnes, souvent plusieurs fois, et se sont montrés efficaces et très généralement bien tolérés.

    A côté des cas de myocardite-péricardite apparus surtout dans certains groupes de population (préférentiellement des hommes jeunes), restés rares (et moins fréquents après vaccination qu’après infection) et d’évolution généralement favorable, les effets indésirables ont été ceux habituellement rencontrés avec les vaccins, quelle que soit leur nature.

    L’étude qui vient de paraître dans Nature indique toutefois que des améliorations des ARN utilisés comme vaccins ou médicaments chez l’Homme pourraient être nécessaires et sont possibles (1). Les travaux publiés, commencés il y a plus d’un an, montrent que la modification de l’ARN utilisée dans les vaccins anti-covid peut être à l’origine d’altérations de la traduction, l’étape durant laquelle la machinerie cellulaire "lit" l’ARN pour synthétiser la protéine antigénique.

    Les résidus de méthylpseudouridine entrainent des décalages de lecture ("frameshifting") qui aboutissent soit à des interruptions de la synthèse, soit à la synthèse de protéines dont une extrémité est "aléatoire", en tout cas différente de celle qui était programmée. Bien que le phénomène soit minoritaire, inconstant et limité dans le temps, puisque tous les ARN finissent par être dégradés, il peut faire apparaître des protéines non attendues en quantité suffisante pour provoquer, elles aussi, une réponse immunitaire. Les auteurs de l’étude ont d’ailleurs mis en évidence, de manière inconstante, une réponse immunitaire de type cellulaire contre ces protéines issues du décalage de lecture, à côté de celle correctement dirigée contre la protéine S du virus, chez des individus ayant reçu le vaccin covid-19 de Pfizer.

    Malgré un recul important sur l’utilisation des vaccins à ARN et une surveillance soutenue, aucun effet indésirable n’a jusqu’ici pu être imputé au mécanisme mis en évidence. Toutefois, on peut penser que des conséquences pourraient se manifester en cas d’utilisation d’ARN modifiés en grande quantité, de façon prolongée ou répétée, comme cela pourrait être le cas dans d’autres applications que les vaccins. Des pistes sont déjà évoquées pour corriger le problème constaté, comme l’introduction de codons "stop" dans tous les cadres de lecture pouvant résulter d’un "frameshifting".

    Référence

    T.E. Mulroney, T. Pöyry et coll. N1-methylpseudouridylation of mRNA causes +1 ribosomal frameshifting

  • INCROYABLE!

    De bonne foi, j'ai installé un post sur l'onglet "Communauté" de mon compte Youtube

    https://www.youtube.com

    un post lu dans un site où j'indiquais qu'un membre de la C.E. avait reconnu que les vaccins anti-covid étaient toxiques.

    Je ne suis pas contre les vaccins puisque j'ai été vaccinée contre cette maladie et que je me fait vacciner chaque hiver contre la grippe et mieux encore, j'ai fait, cette année, le vaccin contre les maladies pneumo que je fais tous les 5 ans, comme préconisé (car cet hiver, la grippe atteindra plus les poumons que d'habitude et risque d'être très dangereuse)

    ET FIGUREZ-VOUS QUE YOUTUBE

    M'a non seulement causé un avertissement et supprimé ce post mais m'INTERDIT DE POSTER DES VIDÉOS!

    La mise en ligne de vidéos n'a rien à voir avec la mise en ligne de posts!

    Je fais cette note pour que les personnes qui me suivent régulièrement sur youtube se rendent compte que je ne suis pas décédée de ma maladie mais que je reviendrai sur la chaîne quand cette plate-forme le décidera –c’est-à-dire vers le mois de mars 2024

    JE NE SUIS PAS ANTI-VACCIN, j'ai juste fait erreur de bonne foie

    MAIS,

    d'après les amerloques gauchistes, il n'y a qu'eux qui détiennent la vérité

  • Trahison: la France paie toujours la vente d’Alstom par Chéri-Bibi

    Rappel du “en même temps” de l’idéologie Chéri-Bibi, avec le massacre des nôtres, le massacre de nos industries ! Ainsi huit ans déjà qu’Alstom a été vendu aux USA sur accord du Minus à leur service… C’était aussi l’occasion de détruire l’industrie nucléaire française doublement concrétisée par la fermeture de Fessenheim, pour satisfaire les écolo-dingos et tata Merkel…

    L’officialisation de la cession de Steam Power, la branche nucléaire de General Electric à EDF reportée

    À quelques heures de l’officialisation du rachat de Steam Power, l’entité nucléaire de General Electric (GE), qui devait avoir lieu vendredi 1er décembre, les salariés du site de Belfort ont été informés du report de l’événement à une date indéterminée. L’annonce intervient alors qu’EDF s’inquiéterait des effets des sanctions américaines envers la Russie sur le carnet de commandes de GE Steam Power.

    QU’EST-CE QUE CES HESITATIONS ?

    Des consignes de Minus – tout est possible avec cet individu – pour rendre plus difficile le rachat – fort cher – des turbines Arabelle?

    Les salariés étaient convoqués, l’estrade dressée, et pourtant, vendredi 1er décembre sera une journée comme une autre pour le site General Electric Steam Power (GEAST) (américain “grâce” à Minus!) de Belfort (Territoire de Belfort). À la surprise générale, l’officialisation du rachat de la branche nucléaire de General Electric par EDF est reportée, a annoncé l’union départementale de la CGT du Territoire de Belfort jeudi 30 novembre dans un communiqué. « On apprend ce jour que l’opération est renvoyée à une date indéterminée », détaille-t-elle. Luc Rémont, le PDG d’EDF était attendu sur place ainsi que des élus locaux pour annoncer la bonne nouvelle.

    Contacté par L’Usine Nouvelle, EDF n’a pas souhaité faire de commentaire.

    Près de deux années auparavant, le 10 février 2022, EDF et General Electric annonçaient un « accord d’exclusivité» pour négocier le rachat de GEAST par l’énergéticien public. Le jour même, Chéri-Bibi  annonçait à Belfort la relance du nucléaire français et le retour des turbines les plus puissantes au monde (se fait une gloire de faire payer sa saloperie par les Français à travers EDF), les Arabelles de GEAST qui équipent certaines centrales nucléaires tricolores, sous pavillon français. Ces dernières, stratégiques pour l’Hexagone, étaient produites par Alstom à Belfort jusqu’en 2015, date de la cession de sa branche énergie à General Electric. Quelques mois plus tard, en novembre 2022, les sociétés américaines et françaises signaient un "accord définitif" (???) pour l’acquisition de GEAST par EDF.

    Les USA, les pires de nos “amis”, bien avant l’UE et l’Allemagne, avec eux, pas besoin d’ennemis !

    Marianne, pour rappel sur le sujet.

    …/…

    C’est une erreur (tu parles mon colon !) stratégique majeure dont la réparation prend des allures de chemin de croix. En 2014, alors qu’il était conseiller puis ministre de ToutMou, persiflan normal, Chéri-Bibi donnait le feu vert à la vente par Alstom, fleuron français du nucléaire, d’une partie de ses activités dans l’énergie à son concurrent, l’américain General Electric. Cette cession intervenait dans un contexte très particulier.

    Alstom faisait alors l’objet de poursuites judiciaires aux États-Unis et l’un de ses cadres, F.- P, avait même été incarcéré outre-Atlantique, dans ce que de nombreux observateurs ont interprété comme une manœuvre de déstabilisation américaine visant à mettre la main sur les très stratégiques activités françaises (Il fallait amener les choses sur le plan diplomatique, quitte à rompre les relations avec les USA pour leur comportement ignoble! Il fallait que tout cela ait un retentissement international…). La vente concernait un joyau de technologie tricolore : les turbines Arabelle, les plus puissantes du monde, équipant de très nombreuses centrales nucléaires à travers le monde.

    Et plutôt que de se mettre encore sous la coupe des USA, une autre turbine aurait pu être mise au point depuis 8 ans, on a toujours des ingénieurs aptes sur le domaine des turbines!

    Jean-Paul Saint-Marc

  • Les noms des assassins de Thomas

    Bien entendu celui qui a communiqué la liste n’est pas Moussa, c’est Damien Rieu et force est de reconnaître que ce sont en effet d’excellents Français.

     

    Akabli Chaid, Zazane Ilyes, El Moujahid Yasir, Hemaizia Nassir, Maref Kouider, Boukmiri Canel Yanis, Ramdani Faycal, Chorfia Kais…

    https://twitter.com/DamienRieu/status/1728134165877649629

     

    El Moujahid, ça veut dire "combattant engagé dans une lutte armée".

    Est-ce qu’on donne ce prénom à son enfant? Y-A-T-IL UN SEUL  VRAI FRANÇAIS QUI S’APPELLE "COMBATTANT"?

     

    Moussa avait raison, les tueurs de Crépol sont de bons Français!

    Élisabeth Borne dit qu’évoquer "ce drame pour jouer sur les peurs, c’est manquer de dignité et de respect pour les victimes". Ben voyons.

    Donc selon elle on n’a pas le droit de parler de ce drame ni de dire la vérité: la cause de ce drame est l’irresponsabilité des politiques depuis 40 ans.

    "Jouer sur les peurs" sont des termes particulièrement équivoques. N’est-il pas normal d’avoir peur quand on sait que toutes les racailles ou presque ont un couteau dans leur poche? N’est-il pas normal d’avoir peur quand on sait qu’il y a au moins 120 coups de couteau par jour en France?

    N’est-il pas normal d’avoir peur quand on sait que, nous les femmes, nous risquons d’être violées par des racailles à chaque coin de rue, ou la nuit chez nous? Même en maison de retraite… même à l'hôpital…

    N’est-il pas normal d’avoir peur quand on apprend que des cas comme Crépol, il y en a très souvent mais qu’ils sont étouffés "car il ne faut pas jouer sur les peurs"?

    Qui sait qu’à Pont-l’Évêque une jeune mariée le jour de son mariage, en avril dernier, a eu la jugulaire tranchée avec un tesson de verre par une racaille algérienne ivre et en situation irrégulière?

    https://actu.fr/hauts-de-france/pont-l-eveque

     

    La jugulaire tranchée, bel euphémisme pour dire que l’agresseur sauvage a essayé de l’égorger. Pourquoi essayer de nous le cacher?

    La mariée en lieu et place d’une nuit d’amour avec son mari a été transportée par hélicoptère à l’hôpital d’Amiens pour y être opérée en toute urgence. Quelques jours plus tard, elle ne pouvait toujours pas être entendue par la police car elle ne pouvait pas parler.

    À Saint-Martin-le-Petit, un jeune de notre pays le 30 septembre avait organisé une fête. Un type venu d’ailleurs a débarqué et a proféré des menaces: "On va vous crever, on va revenir avec des flingues! ". Les jeunes n’y ont pas cru.

    Mais vingt minutes après trois voitures sont arrivées, équipées d’armes semi-automatiques, d’une scie et d’une machette, et "la scène a basculé en scène d’Orange Mécanique". L’un des envahisseurs a braqué un pistolet sur l’un des jeunes de Saint-Martin.

    https://actu.fr/nouvelle-aquitaine/saint-martin-peti

     

    Encore des chances pour la France, puisque l’une des voitures était conduite par une femme voilée. Les jeunes de Saint-Martin fuirent mais furent pris en chasse par les voitures des racailleux. Ils s’en tirent, avec une peur énorme, mais dit la Borne, on n’a pas le droit d’avoir peur…

    À Marcoussis en janvier dernier, un anniversaire a mal tourné, dans les mêmes conditions: refoulés, les petites frappes sont revenus en bande et ont attaqué les convives, en ont blessé quinze, les ont traînés au sol et frappés à coups de poings et de pieds:

    https://www.20minutes.fr/justice

    Et il y a quelques jours, toujours à Marcoussis, une bande a voulu s’introduire dans une fête. Refoulés, les individus ont déclaré "vous allez manger vos morts" et sont revenus armés de barres de fer:

    https://www.leparisien.fr/essonne-91

     

    Et, dit un témoin, c’est tous les week-ends comme cela. Vous ne le savez pas? On nous le cache. C‘est exprès. Car cela pourrait donner des idées aux électeurs. Et même à ceux qui en ont assez et pourraient faire comme à Dublin où les Irlandais sont descendus dans la rue pour défendre cinq d’entre eux attaqués au couteau par un migrant naturalisé: ils ont mis le feu à un immeuble habité par des migrants, etc.

    On pourrait continuer longtemps comme cela, bien que la plupart des agressions soient cachées et enterrées. Surtout pas de vagues, omerta compète, on ne doit pas savoir.

    N’est-il pas normal d’avoir peur quand on voit que la liste de nos jeunes Français innocents tués par la racaille est longue comme un jour sans pain?

    Laura, Mauranne, assassinées gare Saint-Charles parce qu’elles étaient jolies, Lola, même raison, Adrien assassiné à la sortie d’une discothèque, Mégane empalée par un pervers, Lorenzo resté paraplégique, Marin battu à coups de béquilles parce qu’il prenait la défense d’un couple qui osait s’embrasser (c’est haram), et handicapé à vie, Thomas… et on en oublie.

    Mais parler de ces crimes serait selon Borne une atteinte à la dignité des victimes ! Alors que leur dignité a été mise à mal par la racaille même qui les a blessées ou tuées sans respect ! Comme si on pouvait dans une agression tuer ou blesser avec respect !

    AU CONTRAIRE, PARLONS-EN, PARTOUT ET SANS RELACHE. Traquons les responsables à coups de paroles et jusque dans les chiottes (pour parler comme Poutine).

    Le respect et la dignité ici sont utilisés comme tous les mots en "phobe": pour faire taire les victimes et protéger les coupables islamo-racailleux. Cela suffit ! On en a assez, nous les sans-dents, d’être pris pour des imbéciles par la classe soi-disant gouvernante mais qui ne gouverne rien du tout et se prosterne devant nos envahisseurs barbares et grand-remplaçants !

    Quant à l’ineffable et incopiable Sardine Ruisseau, c’est la totale. Elle accuse Zemmour et le clan patriote de souffler sur les braises et d’être racistes, juste parce qu’ils disent la vérité.

    LA VÉRITÉ DOIT ÊTRE DITE.

    Elle est qu’on nous ment tous les jours. Mais dans cette bataille, il y a une bonne nouvelle: partout des gens se réveillent. Les Espagnols, les Hongrois, les Irlandais se réveillent. Les Français sont en chemin. Geert Wilders vient de remporter les élections aux Pays-Bas. Champagne.

    Les Borne, les Sardine Rousseau ont peur pour leur matricule et leur avenir politique, c’est la raison de leurs discours toxiques.

    Cela commence à sentir le roussi pour les collabos. Tant mieux.

    Sophie Durand