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Société - Page 259

  • Des “françaises“ beaucoup foutent la merde en Allemagne!

    beaucoup??? qui sont Françaises depuis peu, qui ne tente même pas de parler français, qui s'habillent comme des "carnavals", qui gueulent youyou à tout bout de champs, etc., etc.....

    Excédée par le comportement des " Françaises ", une piscine allemande fait appel à … l’Arabie saoudite

    Les responsables du Damenbad de Fribourg [piscine réservée depuis un siècle et demi aux femmes et aux jeunes enfants] en ont assez : parce qu’il faut faire appel continuellement à la police à cause de jeunes musulmanes, l’association [qui gère l’établissement] a une idée peu conventionnelle pour éloigner ces clientes – et les Saoudiens jouent ici un rôle clé. ‎

    Le conflit sur le règlement de la Loretto-Damenbad, vénérable piscine de Fribourg, est désamorcé, du moins provisoirement. Lancée en juin, une pétition en ligne demandant la suppression du personnel masculin s’est achevée jeudi, sans succès. […] ‎

    ‎La pétition avait causé un certain émoi dans toute l’Allemagne, parce qu’elle était dirigée contre la prétendue discrimination que subiraient les visiteuses musulmanes de la piscine.‎[…]

    Le nouveau règlement de la piscine correspond à un changement rampant du public fréquentant l’unique piscine pour femmes d’Allemagne. C’est ainsi que, depuis l’été 2016, des femmes musulmanes arrivent par bus entiers depuis l’Alsace. Elles ont choisi Fribourg comme nouvelle destination, car la piscine pour femmes de Bâle " Fraueli " a rendu plus sévère son règlement à cause des Françaises. Comme précédemment à Bâle, il y a eu également à Fribourg des querelles parmi les femmes musulmanes. […] il a fallu faire appel de plus en plus souvent à la police pour des bagarres.‎

    ‎Dans le journal ‎‎"Badische Zeitung"‎‎, on pouvait lire que " de jeunes Françaises d’origine maghrébine se faisaient fâcheusement remarquer" et se disputaient avec d’autres En raison de ces conflits persistants, on craint à l’association pour l’avenir de la piscine . […]. Et on a finalement eu l’idée de s’adresser par écrit à l’ambassade ‎‎d’Arabie saoudite‎‎ à Berlin.‎

     "Comme il apparaît qu’il existe manifestement un très fort besoin d’une piscine réservée aux femmes chez les femmes musulmanes venant d’Alsace, l’association a suggéré dans sa lettre à l’ambassade du Royaume d’Arabie saoudite que ce pays fournisse des fonds pour la construction d’une piscine pour femmes en Alsace", peut-on lire dans le communiqué de l’association fribourgeoise.‎

    Die Welt

     

  • Les nouveaux autodafés de l'Histoire de France… non, mais, quelles conne…..es on nous fait ingurgiter!

    COUPONS LA TÊTE AUX COUPEURS DE TÊTE!!!! Dehors, sales c..... uniquement avides de nos allocs!

    Eux, ils n'ont pour histoire que des tentes dans le désert, des cabanes en tôles, des youyous, des cases, des os dans le nez, des noires à plateaux, de l'excision et de l'esclavage MODERNE.... oui, l'esclavage existe toujours dans certains pays africains; il faut le dire!

    Alors, leurs leçons d'histoire... dans la raie! Oui, je suis grossière, mais on laisse de plus en plus faire, de plus en plus grignotter notre espace public.

    Moi, j'aime l'Histoire de mon pays.... et, dehors, ceux qui ne l'aiment pas... je ne vais pas donner des leçons chez eux.... pourquoi je supporterais en entendre chez moi?????

     

    "Qui arrêtera les grands épurateurs de l'Histoire?"

    Par  Bérénice Levet

    FIGAROVOX/TRIBUNE - À la suite de la polémique sur la statue déboulonnée du général Lee à Charlottesville, les demandes de réécriture de l'Histoire se multiplient. Pour la philosophe, ces exigences trahissent une démesure consistant à réécrire le passé avec nos grilles du présent.

    Bérénice Levet est docteur en philosophie et professeur de philosophie au Centre Sèvres. Son dernier livre Le crépuscule des idoles progressistes, a été publié chez Stock en février 2017.

    Mardi dernier, le 28, se saisissant de la condamnation unanime par les médias français des événements de Charlottesville déclenchés par la décision de la municipalité de destituer la statue du ségrégationniste Général Lee, et la dénonciation non moins unanime du racisme persistant des Américains, de l'attitude des "suprémacistes blancs", le très prévisible président du Conseil Représentation des Associations noires de France (Cran), Louis-Georges Tin, publiait dans Libération une tribune intitulée "Vos héros sont parfois nos bourreaux" - précisons que la nuance n'est pas de Tin lui-même ; pour lui, il n'y a pas de "parfois": "Vos héros sont nos bourreaux", écrit-il.

    Dans cette tribune, il somme le peuple français de procéder à son examen de conscience, de prendre acte de sa propre complaisance envers "les négriers", et réclame des édiles une vaste politique d'épuration urbaine: débaptiser les noms de rues, déboulonner les statues et, parmi les cibles visées par le militant, un nom se détache, nullement choisi au hasard tant la charge symbolique est forte, celui d'une des grandes figures de l'histoire de France: le nom de Colbert. "Lequel des deux pays est le plus problématique, feint de s'interroger Tin, celui où il y a un conflit autour de la statue d'un général esclavagiste, ou celui où il y a l'Assemblée nationale une statue de Colbert, une salle Colbert, une aile Colbert au ministère de l'Économie, des lycées Colbert, des dizaines de rues ou d'avenue Colbert sans qu'il y ait le moindre conflit, la moindre gêne, le moindre embarras?"

    S'attaquer aux statues est un geste hautement significatif. Une ville est sédimentée historiquement et les statues sont les incarnations de ces couches successives qui la composent

    Souvenons-nous de l'Abbé Grégoire et de sa grande croisade contre le vandalisme (mot qu'il forgea) révolutionnaire, qu'il interprétait comme une volonté de "ramener le peuple à l'ignorance en détruisant les monuments des arts". Une ville est sédimentée historiquement et les statues sont les incarnations de ces couches successives qui la composent. Une ville se raconte au travers de ses statues. Celles-ci sont riches d'une double épaisseur temporelle: elles renvoient au siècle de la personne statufiée - témoins d'un temps passé, elles sont les marqueurs de la continuité historique d'une nation - mais aussi à l'époque où elles ont été érigées. (Je renvoie sur cette question aux précieux travaux de Maurice Agulhon).

    Ces grands démolisseurs ignorent les racines affectives de ces monuments. "Ces mois derniers, racontait le philosophe Ortega y Gasset dans sa préface à la Révolte des masses destinée aux lecteurs français, tout en traînant ma solitude par les rues de Paris, je découvrais qu'en vérité je ne connaissais personne dans la grande ville, personne sauf les statues (…) N'ayant personne à qui parler, c'est avec elles que je m'entretins". Et chacun de nous fait au moins l'expérience de ces itinéraires urbains jalonnés par la présence de ces grands hommes, écrivains, monarques, révolutionnaires, qui ont fait la France.

    Ces exigences de réécriture de l'histoire se sont multipliées au cours de ces dernières années. En décembre 2015, le Rijksmuseum d'Amsterdam s'engageait dans une vaste opération intitulée "Ajustements au sujet des terminologies colonialistes". Vingt-trois termes figurant sur les cartels des œuvres accrochées aux cimaises du musée, pouvant être jugés "offensants" par les visiteurs, avaient été retenus afin de leur trouver des substituts politiquement corrects: Maure, nègre, esclave, sauvage, hottentot, nain, mahométan. La même année, un Américain de trente-trois attaquait le Metropolitan Museum of Art de New York en justice pour racisme. Il accusait l'institution muséale de n'exposer que des œuvres figurant des Christs de type "arien", des Christs à la peau claire et aux cheveux blonds, provoquant du même coup, chez lui "un sentiment de rejet". Quatre toiles l'offensaient particulièrement, dont une du Tintoret et une autre du Pérugin. Il en exigeait impérieusement le décrochage.

    Cette année, en Martinique, à l'occasion du 23 août, décrété par l'Unesco journée international de la mémoire de l'esclavage et de son abolition, une manifestation à l'initiative du MIR (Mouvement International pour les Réparations) a été organisée afin d'obtenir la destitution de la statue de Joséphine de Beauharnais, sur la place de la Savane. Les militants ont brûlé sur la statue le drapeau aux serpents, emblème très controversé de la Martinique puisque ce pavillon figurait à l'époque sur les navires négriers. D'autres manifestations et revendications de cet ordre ont été récemment rappelées par Mathieu Bock-Côté (Le Figaro, 30 août 2017). Il faudrait également regarder du côté des féministes non moins résolues à reconfigurer l'espace public.

    Politique de reconnaissance importée

    Comment en sommes-nous arrivés là? Plusieurs facteurs y ont contribué et se conjuguent.

    Nous sommes la proie d'une hydre à plusieurs têtes. Effets délétères partout dans le monde, mais plus encore en France tant cet esprit est contraire à notre histoire. L'avènement d'une mémoire pénitentielle et l'importation d'une idéologie et d'une politique de reconnaissance des identités venue des pays anglo-saxons, l'exaltation du droit à la différence avec la création de SOS Racisme par la gauche mitterrandienne en 1984 ont eu raison de la conception française de la République et de sa passion du monde commun.

    Le retrait de la nation, de l'histoire nationale comme principe d'identification a laissé le champ libre à l'affirmation identitaire, aux revendications de chacune des communautés et à l'émiettement du corps national. Un individu ne se satisfait pas longtemps de demeurer sans identité, il se tourne alors vers les plus avenants, les seuls offrants. Une identité de victime, autorisant la haine de la France et de l'Occident, semble un joyeux écrin.

    Le retrait de la nation, de l'histoire nationale comme principe d'identification a laissé le champ libre à l'émiettement du corps national.

    Ces phénomènes témoignent du rapport extrêmement épineux que nous entretenons avec le passé. Nous ne savons plus comment l'appréhender. Le passé appelle des héritiers, car il aspire à être continué, maintenu vivant et enrichi, or, il semble bien qu'il doive se contenter de touristes ou de juges, qui sont souvent les mêmes. L'hubris, la démesure d'un présent qui se voudrait entièrement fondateur, nous domine. L'homme ne veut plus se concevoir comme un héritier, avec ce que cela engage de responsabilité. L'histoire singulière dans laquelle nous entrons nous est confiée et il nous appartient d'en répondre. "Naître, disait Marcel Hénaff, c'est être en dette".

    La passion judiciaire nous habite et le passé ne nous apparaît plus que comme coupable de part en part et indigne d'être continué. Nous sommes devenus inaccessibles à la grandeur du passé, à sa noblesse, à sa puissance d'inspiration, à ses trésors. Dans la novlangue des années 1960-1970, fabriquer des héritiers signifie ipso facto se rendre coupable de collaboration en permettant à une civilisation de se prolonger. La passion de la repentance, l'ivresse pénitentielle, sur lesquelles tout a été écrit, nous habitent.

    Incarcérés dans la prison du présent

    Un point me semble devoir cependant être ajouté, plus rarement souligné. Incarcérés dans la prison du présent, nous sommes devenus incapables de nous extraire de nos catégories de pensée et de jugement - sexisme, racisme, colonialisme, machisme, dominants/dominés et nous revisiterons l'histoire avec pour seule pierre de touche cette indigente grille de lecture. L'inconnu est ramené au connu, l'étrangeté qui marque de son sceau des modalités de pensée et de vie venues d'autres rives temporelles, reconduites à du familier.

     

    Les programmes d'histoire et de littérature sont infestés par l'idéologie contemporaine et l'élève appréhende le passé avec les lunettes du présent.

    Un mal redoutable nous affecte: nous sommes devenus incapables de suspendre nos évidences, de mettre entre parenthèses nos préjugés d'hommes démocratiques, égalitaristes. Incapables, autrement dit, de "nous dépayser dans un sens autre" (Paul Ricoeur) et d'atteindre à la complexité de réalités essentiellement distinctes des nôtres - et le plus grave est que l'école elle-même ne se fait plus le lieu de l'apprentissage de cette faculté, de cet art. Les programmes d'histoire et de littérature sont infestés par l'idéologie contemporaine et l'élève appréhende le passé avec les lunettes du présent, encouragé à distribuer les bons et mauvais points.

    Ainsi de Colbert, cette immense figure de l'histoire de France, qui a permis à notre pays d'accéder à une grandeur jusqu'alors inégalée, Louis-Georges Tin ne sait et ne veut savoir qu'une chose: qu'il fut l' "auteur du code noir" - formule approximative car si Colbert fut à l'initiative du code noir, il n'en fut pas le rédacteur, mais ne demanderons pas à Tin de s'embarrasser de ce qui n'est assurément à ses yeux qu'un détail - et le fondateur de la Compagnie des Indes Occidentales.

    Qu'on ne nous accuse pas de nier la réalité de l'esclavage et la rigueur de cette juridiction. Nous n'ignorons nullement que le Code noir "en vigueur jusqu'en 1848, fut l'un des outils de l'inhumanité du système esclavagiste. Il en demeure l'un des symboles" (Olivier Grenouilleau) mais l'histoire de la France ne s'y réduit pas. Ce que s'obstinent à nier les Tin et consorts pour qui la colonisation est l'essence même de la France. Et dans cette intrigue des plus rudimentaires, les rôles sont aisés à distribuer: nous sommes les bourreaux et eux, les victimes.

    Il est évident que l'établissement des faits, la connaissance historique n'intéressent pas ces militants. L'objectif de ces carabiniers n'est pas le savoir, l'instruction, mais la comparution: ils veulent une France à terre, une France qui batte sa coulpe. La haine, le ressentiment - passion vile des hommes démocratiques, disait Nietzsche - les dévorent.

    L'objectif de ces carabiniers n'est pas le savoir, l'instruction, mais la comparution: ils veulent une France à terre, une France qui batte sa coulpe.

    Lecture infantilisante de l'histoire

    Cette lecture en blanc et en noir de l'histoire pourrait être dénoncée comme de l'infantilisme, ce qu'elle est assurément - l'adulte, l'homme qui a accédé à l'âge de la majorité, l'homme éclairé est censé savoir que l'histoire est un tissu de complexités - mais ce serait insuffisant car elle est d'une redoutable efficacité, elle séduit et est diffusée, relayée par des esprits qui ont largement dépassé l'âge infantile.

    Nos élites intellectuelles, culturelles, politiques en sont les grandes instigatrices. Ainsi, mardi 28, dès 7h30, avant même de s'être rendu à son kiosque à journaux, l'auditeur de la Matinale de France-inter savait, grâce à son animateur Nicolas Demorand (éditorial accessible en ligne sur le site de la radio), qu'il était ce jour-là un sermon à ne pas manquer et à gravement médité, publié dans le quotidien Libération, la tribune de Louis-Georges Tin. "Examen de conscience nécessaire, donc, de ce côté de l'Atlantique", concluait le journaliste sur un ton solennel mais non moins enjoué, le ton de celui qui se sait appartenir au camp du bien.

    On aurait tort de traiter par le mépris, avec un haussement d'épaules et un sourire au coin des lèvres, ces manifestations et revendications.

    C'est la raison pour laquelle on aurait tort de traiter par le mépris, avec un haussement d'épaules et un sourire au coin des lèvres, ces manifestations et revendications. Comment ces grands épurateurs de notre histoire, de notre passé, ne trouveraient-ils pas audience auprès de nos politiques hantés par l'idée d'être suspects de complicité avec les "péchés", quand ce ne sont pas les "crimes", de la France (colonialisme, sexisme etc.)? Imaginons un instant, Anne Hidalgo, lisant la tribune de Tin: Comment l'exhortation à traquer la moindre trace des "négriers" dont la ville perpétuerait le souvenir, et en conséquence, à débaptiser les rues, les établissements scolaires, déboulonner les statues pécheresses, ne trouverait-elle une oreille des plus bienveillantes auprès de la maire de Paris engagée dans cette vaste opération d'ingénierie urbaine et sociétale, éloquemment intitulée "Réinventer Paris" (entendre régénérer le peuple parisien)? Une ville nettoyée de ces vieilleries au nom de la lutte contre le racisme et l'esclavagisme…Que rêver de mieux!

    Il nous faut être extrêmement vigilants, car les revendications communautaristes sont un tonneau des Danaïdes et nos élites font montre d'une véritable soumission.

    Cette focalisation sur le passé offre l'avantage de se détourner de l'urgence du présent, de se dispenser de juger ici et maintenant. Ainsi la France mérite-t-elle toute leur haine, quand les terroristes islamistes à l'inverse, serinent-ils après chaque nouvel attentat, ne l'auront pas.

    http://www.lefigaro.fr/vox/societe/2017/09/01/31003-20170901ARTFIG00265-berenice-levet-qui-arretera-les-grands-epurateurs-de-l-histoire.php

  • En retard…..

    Je suis un peu en retard pour mettre des articles; il faut dire que depuis plus d'une semaine, je refais mon site de tisanes, thés, huiles de beauté, gélules, huiles essentielles…. le catalogue du fournisseur a entièrement changé et vous n'imaginez pas le travail que cela me cause.

    En attendant, voici une petite recette à cuisiner avec ou sans huiles essentielles; mais, bien sûr, vous les trouvez sur mon site!

    Tout les prix sont valables… sauf pour les gélules, j'ai encore du travail… mais, je les améliore chaque jour et d'ici trois à quatre jours, vous pourrez en commander…

    C'est un site spécifique pour les SEP… mais, vous trouverez des tas de renseignements pour votre santé ou celle de vos proches.

     

     

     

    Poêlée de légumes d'hiver et divers!

    Pour 6 personnes pour 4 personnes

    Chou romanesco: 600 g; Champignon de Paris : 250 g

    Châtaigne (marrons cuits à la vapeur, nature) : 150 g; Noix (entière) : une dizaine soit 150 g de cerneaux; Echalote : 3;  2 cuillères à soupe d'huile d'olive; 1 cuillère à soupe de bon vinaigre rouge; 1 branche de thym –possible thym au citron; Vous remplacez le thym citron par 2 gouttes d'HE de thym rouge et 4 gouttes d'HE de citron; 1/3 cuillère à café de mélange 5 baies et sel.

    Coupez les branches du chou romanesco, et faites les cuire à l’autocuiseur 4 minutes lorsque la soupape est sous pression.

    Pendant ce temps, lavez les champignons si nécessaire ou coupez les pieds terreux, puis les couper en lamelles, et faites les revenir et rissoler dans une poêle avec une cuillère d’huile d’olive.

    Peler et détailler les échalotes finement, puis ajoutez- les aux champignons. Laissez cuire avec les champignons une dizaine de minutes à feu moyen. Décortiquez les noix et les hacher grossièrement. Coupez grossièrement les châtaignes cuites et épluchées, puis les réserver. Lorsque les champignons sont cuits, ajoutez les branches de chou, les noix et les châtaignes avec la dernière cuillère d’huile d’olive.

    Ajoutez alors le vinaigre, le mélange 5 baies, le sel et le thym citron. Bien mélanger, et laisser 1 minute sur le feu pour que l’assaisonnement s’homogénéise

    Pour ajouter un peu de force au thym, il est possible de le faire griller 1 minute au four à 180°C ou dans une poêle contenant une cuillère d'huile très chaude.

    Vous pouvez utiliser des pois gourmands à la place du chou romanesco ou tout autre chou: fleur, brocolis...

  • Fipronil: autre liste des produits retirés de la vente en France

    Quatrième liste de produits publiés dans le dernier communiqué du ministère de l’agriculture du 24 août 2017: 32 produits retirés de la vente.

    Comment lire ce qui suit? Vous avez successivement les titres suivants:

    Dénomination du produit; Marque; Origine; Lots; Date mise sur le marché

    BROWNIE INDIVIDUEL CHOCOLAT ET PEPITES 240G; MARQUE REPERE; BE; 28-juin

    BROWNIE A PARTAGER CHOCOLAT PEPITES 285G; MARQUE REPERE; BE; 7177 DDM: 27/09/17; 29-juin

    MUFFINS PEPITES CHOCOLAT NOIR 4X75G; MARQUE REPERE; BE; 7179 DDM: 07/09/17; 03-juil.

    Muffins Vanille pépites chocolat 4x75g; Leader Price; BE; 7178 DDM: 01/09/17; pas d’infos

    Muffins chocolat pépites chocolat 4x75g; Leader Price; BE; 7178 DDM: 01/09/17; pas d’infos

    Muffins Vanille pépites chocolat fourrés noisette 4x75g; Leader Price; BE; 7178 DDM: 01/09/17 et 30/08/17; pas d’infos

    Muffins Vanille fourrés myrtilles 4x75g; Leader Price; BE; 7178 DDM: 30/08/17; pas d’infos

    Pommes Dauphine U – Sachet de 1kg U; BE; lot D3 70432352 DDM 11/02/2019; pas d’infos

    Mini torsades 7 œufs 250 g; Marque Grand-mère; Matière première (NL) Pâtes de fabrication françaises; H 27.06.2020 – XX:XX/4A et 4B; 17-juil.

    Mini torsades 7 œufs 250 g; Marque Grand-mère; Matière première (NL) Pâtes de fabrication françaises; H 27.06.2020 – XX:XX/4A et 4B; 17-juil.

    Nids 4 mm 7 œufs Format 250g; Marque Nos régions ont du talent; Matière première (NL) Pâtes de fabrication françaises; H22.06.2020 05:00/ 6A et 6B à H22.06.2020 11:35/ 6A et 6B; 17-juil.

    Nids 4 mm 7 œufs 500g; Marque Grand-mère; Matière première (NL) Pâtes de fabrication françaises; H 08.06.2020 – XX:XX/6A et 6B – H 09.06.2020 XX:XX /6A et 6B; 17-juil.

    8 mini gaufres 165g; Les Trouvailles de Luciles; NL; DLUO 21/09; 27-juil

    Frangipane 208g; LOTUS; BE; 041017B de DDM 04/10/17; 03-août

    Mini frangipane 260g; LOTUS; BE; DDM 12/09/17 – DDM 05/10/17 – DDM 06/10/17 – DDM 05/10/17; 07-juil

    4 gaufres 165g le prix gagnant; LEADER PRICE; NL; DLC 17/08 – 24/08 – 31/08 – 07/09 – 05/10; 28-juin

    12 mini gaufres 250g; LEADER PRICE; NL; DLC 21/09; 01-août

    6 gaufres poudrées 260g; LEADER PRICE; NL; DLC; 14/09 et 21/09; 27-juil

    12 mini gaufres 250g; FRANPRIX; NL; DLC 21/09; 26-juil

    6 gaufres poudrées 260g; FRANPRIX; NL; DLC 14/09 et 21/09; 26-juil

    6 gaufres flash poudrées 260g; SYSTÈME U; NL; DLC 25/09 et 04/10; 01-août

    6 gaufres pâtissières 250g; SYSTÈME U; NL; DLC 31/08 – 07/09 – 25/09 – 05/10; 05-juil

    Gaufres moelleuses poudrées 260g; MONOPRIX; NL; 24/08 et 31/08; 12-juil

    Mini gaufres molles poudrées 208g; MONOPRIX; NL; DLC 29/09 – 18/08 – 25/08 – 01/09 – 21/09; 23-juin

    6 gaufres flash poudrées 260g; CASINO; NL; 17/08 – 27/09

    Gaufres flash tous les jours 165g; CASINO; NL; 17/08 – 18/08 – 04/10

    gaufres molles; CHABRIOR 345 g (ITM) NL DLC 29/09- 12/10- 13/10 20-juil

    gaufres molles; NETTO 260 g  (ITM); NL; DLC 29/09- 12/10 20-juil

    gaufres molles TOP BUDGET 250 g (ITM); NL; DLC 29/09 – 13/10 20-juil

    6 gaufres poudrées 260g; MARQUE REPERE – P’TIT DELI (Leclerc); NL; DLC 31/08 – 07/09 – 14/09 – 21/09 – 25/09 -06/10; 28-juin

    12 gaufres aux œufs frais 250G; ECO + (Leclerc); NL; DLC 02/09 – 22/09; 28-juin

    Gaufres poudrées aux œufs frais (4x26g); CARREFOUR; NL; DLC 18/8 – 25/8 – 22/09; 11/08 – 17/07 – 29/07

    NB: Précisions: la DGCCRF n’en est qu’a la première liste de produits retirés alors que le ministère de l’agriculture en est à sa quatrième liste …

     

    Toulouse, toulousain, société, cuisine, recettes, Actualité, Occitanie, France

  • Dans quelque pays qu'elle soit, la gauchiasse est toujours aussi con!

    Le touriste, le salafiste et le Catalan

    Par François d'Orcival

    Valeurs actuelles

    Les Catalans avaient rempli les rues de Barcelone aux cris de “Touristes dehors, bienvenue aux réfugiés!”. Les djihadistes leur ont répondu par la terreur.

    L’histoire nous réserve souvent de tragiques rapprochements. À l’heure même où la fourgonnette des djihadistes fonçait sur la foule des Ramblas de Barcelone, le jeudi 17 août, un millier de manifestants défilaient dans le centre historique de Saint-Sébastien aux cris de "Tourists go home!". Ainsi, quand les djihadistes chassaient les touristes par la terreur au coeur de la Catalogne, des Basques d’ultragauche manifestaient contre les mêmes, dénoncés comme une "plaie du capitalisme"…

    Le samedi 18 février, la maire de Barcelone, Ada Colau, fidèle à ses engagements altermondialistes, avait pris les devants : elle avait demandé à ses électeurs de "remplir les rues" pour crier "volem acollir" en catalan — "nous voulons accueillir des réfugiés". Ce que les plus radicaux traduisaient par ce double slogan, en anglais cette fois: "Tourists go home, refugees welcome". Et l’on a pu voir, badigeonné sur un mur, ce slogan définitif à l’endroit des touristes: "You are the terrorists! "Un amalgame qui ne manquait pas de sel à lire les arguments des auteurs: " Ce n’est pas du tourisme, c’est une invasion!": "L’Espagne est pleine": "Nos ressources sont limitées": "Ils saccagent notre environnement"…

    Le problème est que la Catalogne aux bras ouverts est devenue, au fil des années, un nid de salafistes. Et pour cause: le salafiste ne se voit pas, ne boit pas, ne cause pas, il est gentil, serviable, pieux, bon voisin, comme le rapportent les témoins. La maison où s’était réfugié le groupe qui préparait le massacre de Barcelone était remplie de 120 bonbonnes de gaz: personne n’avait rien vu venir. Le touriste, lui, se remarque, en short, tongs et casquette: il se déplace avec son argent, ses habitudes et ses horaires: il boit et fume, mais ne fait que passer.

    Le salafiste n’appartient même pas à une minorité visible, le port de la barbe n’étant plus un signe distinctif depuis que les Occidentaux l’ont adopté: et le Coran lui permet d’être imberbe si nécessaire. Mais, à la différence du touriste, il est venu pour conquérir les âmes. Il a sa maison, veut des enfants nombreux, introduit ses traditions, voile ses filles et ses femmes, propage sa religion, crée sa mosquée et son école coranique.

    Le Catalan redoute le touriste mais voisine avec le salafiste sans rien savoir de lui et, un matin, celui-ci s’en va, avec armes et bagages, accomplir la mission qu’Allah (depuis la Syrie, l’Irak ou l’Afghanistan) lui a désignée. "Ce n’est pas l’islamophobie qui entraîne le terrorisme, dit l’essayiste Pascal Bruckner dans un lumineux entretien au Figaro (19 août), mais le terrorisme qui rend l’islam haïssable et pénalise les musulmans modérés. " Qui accuserait la Catalogne d’islamophobie?

    Il n’y a pas de capitale plus accueillante et moins préparée à la vigilance que Barcelone, au contraire des Israéliens qui sont sur leurs gardes dès leur naissance (voyez notre rencontre avec Aliza Bin-Noun, page 90). C’est pourtant bien elle que les terroristes salafistes ont choisie pour cible à une heure où ils comptaient coucher au sol plus de touristes encore que d’Espagnols catalans. Ils " nous frappent, insiste Bruckner, non pour ce que nous faisons, mais parce que nous sommes " — à cause de notre existence même.

    La Catalogne a ceci de commun avec les Molenbeek de Belgique que ses salafistes sont marocains. C’est parmi eux que se sont recrutés les terroristes du 17 août. Marocains et espagnols, regardés comme binationaux par le droit espagnol, tandis que pour le Maroc on ne peut être que marocain. L’Espagne devrait saisir l’occasion pour extrader au Maroc ses suspects de djihadisme. Les services antiterroristes marocains, les mieux informés sur nos réseaux salafistes, sauraient quoi en faire. Il est vrai que les policiers catalans n’ont pas molli: sur les douze membres identifiés du commando, ils en ont abattu huit.

     

  • Ceux qui font honneur à la France!

    Attentat de Barcelone : un footballeur français a porté secours aux victimes

    Terrorisme. Lucas Digne habite place de la Catalogne, à deux pas des Ramblas. Il est tout de suite descendu porter assistance aux victimes à la suite des attentats.

    Il n'est pas forcément connu des non-initiés, mais Lucas Digne suit une carrière tout à fait honorable dans le monde du football, évoluant notamment au FC Barcelone, un des plus grands clubs d'Europe. Mais surtout, il est définitivement rentré dans le coeur des Catalans après les attentats islamistes qui ont ensanglanté Barcelone, la ville dans laquelle il évolue depuis 2016.

    Discrétion totale

    Selon le journal El Mundo Deportivo, le défenseur international français se trouvait chez lui, place de la Catalogne, lorsque le fourgon des terroristes a percuté 13 personnes sur les Ramblas, jeudi 17 août. Immédiatement, l'ancien joueur lillois de 24 ans, né à Meaux, est descendu dans la rue afin d’apporter les premiers soins aux victimes en posant des garrots avec des serviettes et en distribuant des bouteilles d'eau. Après de longs moments sur place, il décide finalement de rentrer chez lui en toute discrétion. Ne cherchant pas à médiatiser son geste, il refuse de s'exprimer sur le sujet et souhaite ne pas être considéré comme un héros, estimant avoir agi comme des dizaines d'autres personnes présentes sur les lieux du drame.