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Société - Page 255

  • Tatouages, détatouages, faux ongles… : comment réduire les risques pour la santé ?

    À la suite d’une séance thématique intitulée "Décoration du corps humain et risques pour la santé", l’Académie de pharmacie a récemment publié des recommandations destinées à réduire le risque d’effets indésirables et de complications liées aux pratiques comme le tatouage, le détatouage, la pose d’ongles synthétiques, le blanchiment dentaire, etc.

    Ces recommandations insistent sur le besoin d’information des publics, de formation de professionnels, de recherche toxicologique et épidémiologique, ainsi que sur l’importance du contrôle et de la traçabilité des produits employés.

    Ces recommandations insistent en particulier sur le flou qui existe autour de la composition des encres de tatouage les plus récentes, ainsi que leur traçabilité. Outre le fait que ces encres peuvent rendre impossible le détatouage au laser, une étude récente a montré que, au-delà du derme, leurs particules les plus fines se fixent dans les ganglions lymphatiques où elles provoquent une désorganisation cellulaire.

    Les bonnes pratiques de tatouage permettent de limiter, mais non supprimer, les risques d'effets indésirables, immédiats ou à long terme (illustration).

    Les bonnes pratiques de tatouage permettent de limiter, mais non supprimer, les risques d'effets indésirables, immédiats ou à long terme

    Un Français sur 10 est tatoué (et 20 % des moins de 35 ans)

    En juin 2017, l'Académie de pharmacie s'est penchée sur la tendance actuelle qui pousse les Français à modifier leur corps à des fins décoratives, "pour séduire ou exprimer sa personnalité". La mode influe aussi sur les choix des motifs (exemple: tatouages maoris inspirés par les images des rugbymen maoris, tatouages visant à reproduire ceux d'une célébrité, etc.).

    On estime que 10% de la population française est tatouée (20% chez les moins de 35 ans), avec plus de 4 000 salons en activité.

    La pratique du tatouage cosmétique (maquillage permanent) s'est également répandue.

    Analyse d'autres pratiques à visée décorative en vogue aujourd'hui

    Au-delà des tatouages, l'Académie a fait le point sur les conséquences sanitaires de pratiques aussi diverses que le piercing, le blanchiment des dents ou la pose d'ongles synthétiques.

    Cependant, elle n'a pas abordé le blanchiment de la peau, autre pratique qui se répand et peut être source d'effets indésirables et de complications.

    Les effets indésirables et les complications des tatouages ont fortement diminué

    Les complications des tatouages sont beaucoup moins fréquents depuis qu'une modification du Code de santé publique, parue en 2008, impose aux artistes tatoueurs (et pierceurs) de suivre trois journées (21 heures) de formation sur l'hygiène et les règles d'élimination des déchets d'activités de soins à risque infectieux et assimilés (DASRI).

    Des risques d'allergies et des infections sont cependant toujours signalées

    Environ 6% des 7 millions de Français tatoués ont fait l'expérience d'effets indésirables, toutes sévérités confondues. Les complications encore observées sont essentiellement des allergies (en particulier aux encres rouges) et des infections (avec une recrudescence des infections à mycobactéries atypiques).

    Sur l'élévation du risque de cancer de la peau possiblement associée au tatouage, régulièrement mise en avant, l'Académie précise qu'entre 1950 et 2012, seulement 54 cas ont été reportés ce qui n'en fait pas un sur-risque évident, ni majeur s'il existe.

    Composition réelle des encres de tatouage, la grande inconnue

    Plus que le risque d'infection, les membres de l'Académie de pharmacie insistent sur le flou qui existe sur la composition des encres de tatouage (en particulier en ce qui concerne les encres de couleur et les conservateurs).

    Des encres récemment apparues sur le marché du tatouage peuvent contenir des laques, des plastiques, etc., mais n'indiquent que rarement leur composition.

    Quid d'un éventuel effet cancérigène des nanoparticules d'encre?

    Une étude post-mortem allemande, publiée dans Nature Scientific Reports en septembre 2017 (après les recommandations de l'Académie de pharmacie), a montré que les plus petites particules contenues dans les encres migraient de façon permanente dans les ganglions lymphatiques drainant la région tatouée, ce qui soulève des questions quant aux effets à long terme de ces particules. 

    Pour arriver à ce résultat, les chercheurs allemands ont utilisé les techniques de fluorescence aux rayons X pour rechercher la présence de particules d'encre de tatouage dans des ganglions lymphatiques de personnes tatouées décédées.

    Confirmant des observations macroscopiques anecdotiques, cette étude a retrouvé des particules fines, voire de l'ordre de taille des nanoparticules, dans les sinus capsulaires des ganglions lymphatiques drainant la région tatouée.

    Ces particules de pigments organiques, de métaux lourds ou d'oxyde de titane, avaient entraîné une réorganisation cellulaire locale habituellement observée lors de phénomènes d'inflammation cutanée. L'impact sanitaire de cette observation reste à préciser.

    Le détatouage, dont la demande augmente proportionnellement avec la fréquence des tatouages, n'est pas toujours possible

    L'Académie de pharmacie précise que, contrairement à une idée répandue, tous les tatouages ne peuvent pas être enlevés par traitement laser (erbium, QS 1064 nm, etc.).

    En particulier, le détatouage n'est pas efficace sur les encres de couleur turquoise ou orangé, ni sur les tatouages les plus profonds ou les plus denses.

    De plus, il est plus difficile de faire disparaître des tatouages de couleur effectués avec des encres récentes, comme celles contenant des laques.

    Les tatouages superficiels à l'encre bleue ou noire peuvent être enlevés en quelques séances, mais des traces brunes subsistent parfois.

     Les ongles de synthèse peuvent aussi provoquer des complications, nécessitant des précautions spécifiques

    La pose de faux ongles est devenue populaire, avec des ongles de divers matériaux fixés par une grande variété de colles. Souvent la pose de ces ongles nécessite le durcissement de substances à l'aide d'une lampe UV.

    L'Académie de pharmacie rappelle que cette pratique (et en particulier la dépose de ces ongles pour les changer) peut provoquer des troubles: dermite de contact, paresthésies, décollement de la tablette unguéale, infections, etc.

    De plus, des brûlures superficielles des mains ont été observées avec des lampes UV non conformes aux normes européennes.

    Sur les conséquences sanitaires de la pose d'ongles, l'Agence nationale de sécurité des médicaments et des produits de santé (ANSM) a publié une liste de précautions qui rappelle que les personnes âgées de moins de 16 ans, les femmes enceintes et le personnel soignant doivent s'abstenir de cette pratique.

    Des recommandations en termes d'information des personnes souhaitant se faire tatouer

    Dans ses recommandations, l'Académie de pharmacie insiste sur la nécessité d'informer les personnes qui sollicitent ces décorations sur les bonnes pratiques (recours à un professionnel) et sur les conséquences qu'elles peuvent avoir (difficulté à détatouer, comportement dans le temps des différentes couleurs d'encre, risque en terme d'exposition au soleil, etc.).

    Cette information devrait être délivrée par les professionnels aux clients potentiels, mais aussi aux adolescents par le biais des enseignants, animateurs, parents, etc.

    Des actions de formation devraient être mises en place auprès de ces professionnels, ainsi que des actions de vulgarisation vers les publics concernés.

    Des recommandations concernant la déclaration des effets indésirables et la traçabilité des produits

    L'Académie de pharmacie recommande aussi d'améliorer la connaissance de la composition des produits utilisés (encres, colles, etc.), leur contrôle et leur traçabilité, ainsi que de favoriser systématiquement la déclaration d'effets indésirables par les professionnels et les clients, sur le modèle de ce qui est fait pour les médicaments.

     

    Les Académiciens souhaitent également que les professionnels et les publics soient avertis des dangers du recours à des produits non contrôlés disponibles sur internet (encres bon marché, kits de pose d'ongles, kits de blanchiment des dents, etc.).

    Enfin, l'Académie regrette qu'ait été supprimé, en janvier 2016, le CAP de styliste ungulaire exigé pour l'inscription des boutiques posant des faux ongles à la Chambre de commerce.

    Et des recommandations concernant des pistes de recherche

    Enfin, l'Académie de pharmacie exprime son souhait de voir davantage d'activités de recherche autour de l'impact sanitaire des pratiques de décorations du corps, dans les domaines de l'anthropologie, de la toxicologie, de l'identification et de l'évaluation des risques, ou en termes de connaissance des produits utilisés.

    Par Stéphane KORSIA-MEFFRE - Vidal News

  • “Du haut de ces taux zéro, 5 000 ans d’histoire vous contemplent“!

    Mes chères impertinentes, mes chers impertinents,

    Si nous faisons un peu d’histoire, et de théologie aussi, rien qu’un peu, de quoi va-t-on se rendre compte rapidement?

    Que depuis l’invention de la monnaie, on fait de l’argent avec de l’argent.

    Pour faire de l’argent avec de l’argent, rien de plus simple car depuis la nuit des temps, le monde s’est divisé en deux catégories: les cigales d’un côté, qui chantent tous l’été, et les fourmis, qui patiemment entassent, économisent, travaillent.

    Vous connaissez l’histoire, enfin la fin de cette fable, quand l’hiver vient, la cigale devient emprunteuse, et la fourmi, excédentaire, peut donc lui prêter.

    La fourmi, qui n’est pas non plus uniquement philanthrope, veut bien avancer un peu de sous à notre cigale mais en échange, il faudra lui rembourser un peu plus. Cela s’appelle le taux d’intérêt.

    L’usure même, dans certaines religions, ou faire de l’argent avec l’argent, est interdit ou très mal vu. C’est le cas pour l’islam et cela a donné les principes de la finance dite "islamique"; pour les chrétiens et les catholiques en particulier, cela sent encore le souffre et le souffle du diable, l’argent reste sale, même si la religion permet le prêt et le taux d’intérêt.

    Pourquoi vous parler de cela? Parce que du coup, depuis très longtemps, l’argent en excédent et pouvant être prêté avec un taux d’intérêt a permis de laisser des traces dans l’histoire, dans nos archives.

    En réalité, nous savons depuis 5 000 ans quel est le prix de l’argent, quel est le taux d’intérêt moyen, et 5 000 ans c’est pas mal pour se donner une idée de la tendance.

    Pour faire simple, le prix de l’argent c’est 10% depuis la nuit des temps!

    C’est un article du Business Insider qui a fait cette petite synthèse passionnante des taux d’intérêt à travers les âges. Et c’est très instructif évidemment sur l’époque que nous vivons aujourd’hui.

    • Mésopotamie (3000 av. J.-C.): 20%
    • Babylone, selon le Code de Hammourabi en 1771 av. J.-C.: 20%
    • Après la conquête perse de Babylone par le roi Cyrus en 539 av. J.-C.: plus de 40%
    • Grèce, au temple de Délos en 500 av. J.-C.: 10%
    • Rome, selon la Loi des 12 tables en 443 av. J.-C.: 8,33%
    • Athènes et Rome, durant la période des 2 premières guerres puniques (300-200 avant J.-C.): 8%
    • Rome en l’an 1 après J.-C.: 4%
    • Empire romain sous Dioclétien en 300: 15% (estimation)
    • Empire byzantin sous Constantin (325): 12,5% maximum
    • Empire byzantin, code de Justinien (528): 8% maximum
    • Cités-États italiennes en 1150: 20%
    • Venise dans les années 1430: 20%
    • Venise dans les années 1490: 6,25%
    • Hollande, au début de la Guerre de 80 ans dans les années 1570: 8,13%
    • Angleterre dans les années 1700: 9,92%
    • États-Unis, en Floride de l’Ouest annexée par les États-Unis dans les années 1810: 7,64%
    • États-Unis, durant la Seconde Guerre mondiale: 1,85%
    • États-Unis durant l’administration Reagan (années 80): 15,84%
    • États-Unis en septembre 2015: 0-0,25%

    Qu’est-ce que cela nous dit sur notre situation actuelle?

    Que même si tout le discours lénifiant des plus hautes autorités financières, économiques et politiques du monde vous disent que tout va très bien, que la situation est sous contrôle et qu’ils prennent soin de votre argent, la réalité factuelle, froide, c’est que JAMAIS dans l’histoire humaine et depuis que l’écriture existe, c’est-à-dire avec 5000 ans de recul, JAMAIS, mes amis, je dis bien JAMAIS, les taux n’ont été négatifs. Pire: JAMAIS les taux moyens n’ont été durablement tellement en dessous de 10% !!

    Cela signifie très clairement que nous ne sommes pas dans une période normale mais dans l’exception.

    Généralement, quand l’exception prend fin, la fin, pour celles et ceux qui n’avaient pas compris, est douloureuse. Alors, protégez-vous!

    https://insolentiae.com/du-haut-de-ces-taux-zero-5-000-ans-dhistoire-vous-contemplent-ledito-de-charles-sannat/

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  • Assez de repentance!

    dehors les débiles!

    Il n’y a pas de descendants des esclaves, castrés, de la traite arabo-musulmane pour demander repentance

    Il y avait longtemps que l’on n’entendait plus la voix de Louis-Georges TIN, président du CRAN (Conseil Représentatif des Associations Noires).

    Il s’adresse aujourd’hui à la France.

    Non pas pour dénoncer le comportement criminel des descendants de ces esclaves noirs tout récemment, à Saint-Martin notamment, mais pour exiger que l’on débaptise en France tous les lieux et édifices rendant hommage à Jean-Baptiste Colbert qui, selon lui, serait le principal responsable de l’esclavage atlantique puisque auteur de ce " monstrueux " code noir, présenté à l’Assemblée Nationale.

    Il souhaite que certaines "statues de la honte" soient remplacées par ceux ayant lutté contre l’esclavage et le racisme.

    Ne sait-il pas qu’en tout premier lieu ceux qui ont lutté contre l’esclavage sont la France et les Français ?

    Que l’esclavage fut aboli en France en 1848, entraînant l’abolition également à l’Algérie et à la Tunisie ?

    Alors que l’Arabie Saoudite ne l’a aboli qu’en 1962, la Mauritanie en 1980 et qu’il se poursuit toujours de nos jours dans certains territoires musulmans qu’il connait parfaitement !

    Qu’il me soit permis de rappeler à Louis-Georges TIN la véritable histoire de l’esclavage.

    S’il est vrai que l’esclavage peut être considéré comme un crime contre l’humanité il ne faudrait tout de même pas se tromper de coupable pour ce crime. Il s’agit en tout premier lieu des Arabes et non des européens, comme nous allons le démontrer!

    La traite négrière n’a pas été une invention de l’Europe, loin s’en faut et quoi que certains en pensent!

    Ce sont les Arabo-musulmans qui sont à l’origine de cet esclavage et ce sont les seuls qui l’ont pratiqué dès le 7e siècle et jusqu’au vingtième, donc durant près de 1300 ans et cela n’a pas cessé de nos jours !

    Alors que la traite atlantique n’a duré que de 1660 à environ 1800.

    Durant des siècles seuls les captifs africains furent soumis aux traitements abominables que leur réservaient les arabo-musulmans.

    Avec la complicité des " roitelets " noirs qui vendaient leurs sujets, le continent noir a été saigné à blanc durant 13 siècles et ce sont des millions d’esclaves noirs qui furent enlevés. Les femmes âgées et les vieillards étaient massacrés, les autres garrottés et retenus par un collier de fer qui creusait les chairs tout au long de ce trajet interminable pour ces malheureux au cours duquel les pertes dépassaient les 20%.

    Nombreux furent les esclaves réservés à la surveillance des harems et ils subissaient au préalable le supplice de la castration. Les autres étaient affectés, pour les plus chanceux, à des tâches domestiques ou agricoles, pour les plus malchanceux, si c’était possible, au travail forcé dans les mines de sel et d’or.

    Les Arabes exigeaient que les esclaves n’aient pas de descendance en terre d’Islam et cela expliquait la castration des noirs, tout d’abord, puis, plus tard, des européens. Il ne fallait pas qu’ils se reproduisent et les chances de survies à ce supplice effroyable étaient plus que minimes, 70 à 80 % mouraient et cela explique qu’il n’y ait aucun descendant de ces esclaves, noirs ou européens, pour réclamer justice.

    Quant aux "femelles", les plus belles remplissaient les harems et les autres rejoignaient le troupeau des bonnes à tout faire ou gardiennes de troupeaux de chèvres.

    Le grand historien arabe Ibn-Khaldoum, écrivait: "Les seuls peuples à accepter l’esclavage sont les nègres et cela en raison d’un degré inférieur d’humanité. Leur place était plus proche du stade animal".

    Après les dizaines de millions de nègres ce fut le tour des européens : 8 à 10 millions de victimes de cette barbarie.

     

    Il n’y a jamais eu de mouvements abolitionnistes dans le monde arabo-musulman. L’Arabie Saoudite n’a officiellement aboli l’esclavage qu’en 1962, la Tunisie et l’Algérie en 1846 et la Mauritanie en 1980.

    C’est dans l’objectif de mettre fin à cette piraterie et de libérer les esclaves que la France a conquis cette terre qui ne s’appelait pas encore Algérie en 1830.

    ll ne s’agit nullement de faire l’apologie de l’esclavage mais d’un simple constat.

    Cette mise au point faite sur le sujet concernant l’origine de la traite négrière, intéressons-nous à présent à la traite atlantique.

    Si le commerce négrier fut au long de ces treize siècles bien plus dévastateurs que la traite atlantique, vous l’avez compris : c’est d’abord par sa durée, par son ampleur et par sa cruauté. Ils n’existent plus de descendants, ni noirs, ni blancs.

    En revanche,  les descendants d’esclaves commercialisés par les européens se comptent par millions et peuvent revendiquer et exiger repentance et indemnisations et cela ils le doivent à la facilité de reproduction non seulement acceptée par leurs maîtres blancs mais même encouragée, non pas pour des raisons humanitaires bien évidemment, mais uniquement économiques et financières.

    En définitive, les européens, accusés à tort, sont loin d’être les responsables de la misère, de la pauvreté et des retards de développement actuels de l’Afrique.

    En les privant d’une liberté qui les aurait sans doute vu mourir avant trente ans, soit d’épidémies, soit à l’issue de guerres tribales, l’esclavage leur a permis de survivre. Ils ont fondé des familles, eurent de nombreux enfants qu’ils ont pu élever et leur population s’est développée et s’est multipliée. Ils sont aujourd’hui près de cent millions sur notre planète Terre.

    Bien sûr ils ont été exploités, bien sûr ils ont travaillé dur, bien sûr ils n’étaient pas "libres", mais le résultat de tous ces "bien sûr" c’est le peuple noir américain actuel et les descendants d’esclaves résidant dans les DOM-TOM, en Amérique du Sud et partout dans le monde.

    Alors je pose la question: Qui devrait réclamer repentance au nom de l’esclavagisme?

    Les descendants des Africains de la traite atlantique ou ceux des esclaves "noirs" et "blancs" de la traite arabo-musulmane?

    Il est vrai que personne ne réclame justice et repentance pour ces derniers et pour cause!

     

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  • La France insultée, bafouée, humiliée: et la gauchiasse encourage cela!

  • Grotesque! indécent!

    Des CRS délogés de leurs chambres d'hôtel par des migrants

    valeursactuelles.com

    Après avoir procédé à l’évacuation d’un camp de migrants à Grande-Synthe (Nord), des CRS ont découvert avec stupéfaction que leurs chambres d’hôtel avaient été confiées aux expulsés en question, rapporte RT France ce mardi.

    Chez les policiers, c’est l’indignation qui prédomine. Sur les réseaux sociaux résonne depuis quelques heures l’histoire d’un bataillon de CRS contraint d’abandonner les chambres d’hôtel qui leur avaient été allouées, pour les laisser aux migrants qu’ils avaient évacués plus tôt dans la journée du 19 septembre. Le site RT France s’en fait l’écho.

    “On se fait virer par les migrants”

    Les CRS ne s’attendaient pas à avoir de tels voisins de chambre. Mardi 19 septembre, un bataillon de policiers est appelé à évacuer le camp de migrants de Puythouck de ses centaines d’occupants, situé à Grande-Synthe, dans le Nord. Des bus sont mis à disposition des expulsés, par la suite acheminés vers des hôtels dans la région. Mais à leur retour de mission, après 14 heures de service, c’est la stupéfaction : c’est dans leur hôtel qu’ont été placés les migrants. Les CRS ne s’attendaient pas à tant de proximité, et sont contraints de plier bagages.

    Sur Facebook, l’association MPC – Mobilisation des Policiers en colère, a relayé un “message privé” reçu par l’administrateur de la page. “Après 14 heures de service, on apprend avec stupeur qu’un bus de migrants interpellés par nos soins arrive dans notre hôtel, dans nos chambres. Il nous est demandé de quitter nos chambres. Oui, oui, les amis. On se fait virer par les migrants. Nous sommes dans l’attente d’un hôtel”, peut-on lire. Le syndicat de police Unsa a partiellement confirmé l’information, soulignant que “comble du comble”, ce sont bien les policiers qui ont dû céder leur place. Pourtant, l’Office français de l’immigration et de l’intégration (OFII) avait annoncé que 400 places d’hébergement avaient été dégagées dans des centres d’accueil et d’orientation (CAO).