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Société - Page 257

  • Vite, construisons des asiles... il y a des fous dangereux en liberté en France!!!!

    Des personnalités signent une tribune: "Débaptisons les collèges et les lycées Colbert!"

    A l’initiative de Louis-Georges Tin, président du CRAN, et du philosophe Louis Sala-Molin, plusieurs personnalités signent une tribune afin que le nom de Colbert, ministre de Louis XIV et acteur de la légalisation de l’esclavage, soit retiré de l’espace public.

    Tribune. Tous les médias ont parlé de Charlottesville, de la statue du général Lee, de la " white supremacy ", etc. Mais rares sont ceux qui ont évoqué ce problème dans le contexte français. Or la question des emblèmes esclavagistes dans l’espace public se pose également dans notre pays. Elle est formulée depuis au moins trente ans par des citoyens – qu’ils viennent de l’outre-mer ou non – qui demandent que ces symboles soient retirés.

    Cette exigence suscite chez certains de nos compatriotes une certaine angoisse: jusqu’où, disent-ils, faudra-t-il aller ? La réponse est claire: on ne pourra sans doute pas modifier tous les symboles liés à l’esclavage dans l’espace public, tant ils sont nombreux et intimement liés à notre histoire nationale. Mais on ne peut pas non plus ne rien faire, en restant dans le déni et dans le mépris, comme si le problème n’existait pas. Entre ceux qui disent qu’il faut tout changer et ceux qui disent qu’il ne faut rien changer, il y a probablement une place pour l’action raisonnable.

    On pourrait, par exemple, se concentrer sur les collèges et les lycées Colbert, qui existent dans plusieurs villes de France. Il s’en trouve à Paris, à Lyon, à Marseille, à Reims, à Thionville, à Tourcoing, à Lorient, à Rouen et dans quelques autres villes. Pourquoi Colbert ? Parce que le ministre de Louis XIV est celui qui jeta les fondements du Code noir, monstre juridique qui légalisa ce crime contre l’humanité. Par ailleurs, Colbert est aussi celui qui fonda la Compagnie des Indes occidentales, compagnie négrière de sinistre mémoire. En d’autres termes, en matière d’esclavage, Colbert symbolise à la fois la théorie et la pratique, et cela, au plus haut niveau.

    Ceux qui sont attachés à Colbert à tout prix, et veulent retenir de lui non pas l’esclavagiste, mais le ministre qui sut établir la grandeur de l’économie française à l’époque, agissent comme ces gens, quelque peu douteux, qui affirment qu’ils célèbrent en Pétain non pas le représentant de Vichy, mais le vainqueur de Verdun. C’est un argument quelque peu délicat. Par ailleurs, comment Colbert a-t-il développé l’économie française au XVIIe siècle, si ce n’est sur la base de l’esclavage colonial, justement ?

    Mais pourquoi évoquer particulièrement les collèges et les lycées ? Parce que la question posée aujourd’hui est justement celle de l’histoire, de la mémoire et de la transmission. Si l’école républicaine elle-même renonce à ces valeurs, elle n’a plus lieu d’être. Comment peut-on sur un même fronton inscrire le nom de " Colbert ", et juste au-dessous, " Liberté, Egalité, Fraternité " ? Comment peut-on enseigner le vivre-ensemble et les valeurs républicaines à l’ombre de Colbert ?

    Certains commentateurs affirment qu’il ne faut pas changer ces noms, car il convient de conserver la trace des crimes commis. Mais les noms de bâtiments ne servent pas à garder la mémoire des criminels, ils servent en général à garder la mémoire des héros. C’est pour cela qu’il n’y a pas en France de rue Pierre-Laval, alors qu’il y a de nombreuses rues Jean-Moulin. Et si on veut vraiment sauvegarder la mémoire de l’esclavage, il vaudrait mieux donner à ces établissements les noms de ces héros, noirs ou blancs, bien souvent méconnus, qui luttèrent contre l’esclavage.

    On pense ici à des figures comme Delgrès, le héros de la Guadeloupe, ou aux habitants du village de Champagney (Haute-Saône), qui, pendant la Révolution, plaidèrent pour l’abolition. Pour ce qui est de Colbert, il faut bien sûr que son action soit enseignée – à l’intérieur de ces établissements, dans les cours d’histoire – mais non pas célébrée – à l’extérieur, sur les frontons.

     (…) Par ailleurs, en outre-mer et dans l’Hexagone, plusieurs rues ou bâtiments ont été débaptisés ces dernières années. En 2002, par exemple, la rue Richepanse, à Paris, qui célébrait ce général ayant rétabli l’esclavage en Guadeloupe, est devenue la rue du Chevalier-de-Saint-George, pour rendre hommage à ce brillant musicien et escrimeur du XVIIIe siècle. Ce changement, qui constitue une sorte de jurisprudence, a été effectué sans problème majeur.

    C’est pourquoi, dans le cadre de cette rentrée 2017, nous, citoyens, professeurs, élèves, parents d’élèves, demandons au ministre de l’éducation nationale d’engager une réflexion, en concertation avec les personnalités qualifiées, les associations, les syndicats et les établissements concernés, afin que les symboles qui célèbrent Colbert dans ces institutions éducatives soient remplacés par d’autres noms qui valorisent plutôt la résistance à l’esclavage. C’est aussi cela, la réparation à laquelle nous appelons le ministre de l’éducation nationale.

    Signataires: Christophe d’Astier de la Vigerie (éditeur), Fritz Calixte (philosophe, directeur du journal " Haïti Monde "), Isabel Castro Henriques (historienne), Juliette Chilowicz (secrétaire générale de la Fédération indépendante et démocratique lycéenne), Christine Chivallon (anthropologue), Catherine Clément (philosophe), Rokhaya Diallo (journaliste, documentariste), Didier Epsztajn (rédacteur en chef du site Entre les lignes, entre les mots), Mireille Fanon-Mendès-France (ancienne présidente du groupe d’experts de l’ONU sur les personnes d’ascendance africaine), Olivier Le Cour Grandmaison (philosophe), Victorin Lurel (ancien ministre des outre-mer), Jacques Martial (directeur du Memorial ACTe), Harry Roselmack (journaliste), Patrick Silberstein (directeur des Editions Syllepse), Michel Surya (directeur des Editions Lignes), Lilian Thuram (footballeur)

    Le Monde

  • Suppression de la taxe d’habitation: une fumisterie

    Si on supprime des rentrées d’argent, alors il faut supprimer des dépenses. La comptabilité nationale n’est pas indépendante des réalités financières.

    Par Jean-Baptiste Noé.

    C’est le miracle du socialisme: Emmanuel Macron supprime la taxe d’habitation (principale source de financement des communes) et en même temps il reverse à celles-ci l’intégralité de cette somme, "à l’euro près" nous dit le tract d’En Marche ! reçu dans ma boîte mail.

    L’État surendetté et en faillite, qui n’a plus les moyens de financer son armée alors que nous sommes en guerre et qui cherche à raboter les budgets de toute part s’engage ainsi à payer la taxe d’habitation des communes. En 2009, le montant de celle-ci était de 17 milliards d’euros. Où l’État va-t-il trouver cette somme?

    Comment croire aussi que la somme due sera réévaluée tous les ans et versée ainsi aux communes? La suppression de la taxe d’habitation est une arnaque vendue pour les présidentielles et que le gouvernement tente de ressortir pour les sénatoriales.

    Ce qui va se passer, c’est que l’État va capter à son profit la somme de la taxe d’habitation et qu’il va en reverser une partie aux communes. Bien évidemment, la somme reversée sera de moins en moins importante chaque année, alors que la somme prélevée sera accrue, sans que le citoyen sache réellement comment elle est calculée, à quoi elle sert et à qui elle est versée. L’opacité fiscale est indispensable pour pouvoir exercer une forte pression sur la population sans que celle-ci se rebelle.

    La suppression de la taxe d’habitation est donc une fumisterie. Comment croire d’ailleurs qu’un État surendetté et en faillite puisse supprimer un impôt?

    Réformer la fiscalité

    Ce qui est vrai, c’est qu’il faut revoir le fonctionnement de la fiscalité, qui prélève aujourd’hui plus de la moitié des revenus de la population. Il est regrettable que la droite n’ait pas d’idée sur ce sujet. Car réformer la fiscalité suppose de revoir le fonctionnement de notre État providence, la raison d’être des dépenses de l’État et le périmètre de son action. Cela ne se limite donc pas à quelques détails techniques pour savoir s’il faut diminuer tel ou tel taux.

    L’argent public n’existe pas, c’est l’argent des contribuables. Et l’argent ne pousse pas sur les arbres à sous de la forêt de Brocéliande. Si on supprime des rentrées d’argent, alors il faut supprimer des dépenses. La comptabilité nationale n’est pas indépendante des réalités financières, contrairement à ce que voudraient faire croire certains tracts politiques.

    contrepoints.org

  • Manif à Rennes. Il met le feu à un drapeau français et se brûle la main

    Au cours de la manifestation contre la loi Travail, ce mardi, à Rennes, un drapeau bleu blanc rouge a été incendié par un manifestant qui s’est brûlé la main. Il a été soigné à l’hôpital puis placé en garde à vue.

    Ce mardi, lors de la manifestation contre la loi Travail, un drapeau français a été incendié par un manifestant. Cela s’est passé rue Anatole-France devant l’ancienne caserne Mac Mahon, au milieu du parcours.

    Le drapeau bleu blanc rouge a entièrement brûlé. L’homme qui le tenait a été blessé à la main, car le feu a aussi pris dans un de ses gants.

    Les policiers de la brigade anti-criminalité ont tenté de l’interpeller, mais un groupe de manifestants s’est interposé.

    Finalement, le blessé a été soigné à l’hôpital, puis il a été placé en garde à vue au commissariat.

    http://linkis.com/ouest-france.fr/KKDOJ

    Complément

    Un décret du 21 juillet 2010 institue une amende prévue pour les contraventions de la 5e classe, soit 1.500 euros, qui sanctionne « lorsqu’un fait est commis dans des conditions de nature à troubler l’ordre public et dans l’intention d’outrager le drapeau tricolore", de "détruire, détériorer ou utiliser de manière dégradante"» le drapeau "dans un lieu public ou ouvert au public".

    http://www.latribune.fr/vos-finances/20110901trib000646190/bruler-le-drapeau-francais-c-est-1.500-euros-sauf-si-c-est-de-l-art.html

    Cette sanction a-t-elle été appliquée?

    J'ai récupéré la photo de l'abruti décervelé mais, finalement, je ne l'a mettrais pas: trop mal au cœur de voir notre Drapeau National Français brûlé par ce con.....

     

  • Présitante, le bidon!

    La place du Capitole vue d'en haut, le jour de la visite du présitante...

    et, que fait-on avec cette image où 3 pelés se battent en duel?

     

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    on fait, dans les merdias, ceci:

    Bain de foule à Toulouse (sic)

     

    088.png

     

     

     

    Tout est bidon chez ce type.

    Tout.

    Ses bains de foule,

    sa tronche maquillée,

    sa femme,

    sa connaissance de l'histoire de France,

    son électorat,

    son amour de la nation,

    sa connaissance du quotidien des Français,

    son financement électoral,

    sa connaissance du monde du travail,

    ses interviews spontanées,

    ...

    Tout est bidon.

     

     

  • Bon a savoir...

    Sclérose en plaques: imaginez-vous soulever une tasse de café de 2 kg et marcher avec des palmes sur un matelas pneumatique

    D'un air perplexe, la navetteuse observe la scène quelque peu insolite qui a été installée, ce mardi, dans le hall central de la gare du Midi à Bruxelles. Une paire de palmes, posée sur un tapis bleu marine, lui-même recouvrant un matelas pneumatique jonchant le sol devant un écran télé sur lequel défilent des images troubles avec, sur la gauche de ce décor fantasque, un petit fauteuil beige dont les pieds semblent avoir été coupés. Allant de l'un à l'autre objet, le regard interrogateur de la passante s'arrête alors sur l'affiche indiquant : "Vivre avec la SEP. Venez découvrir l'expérience de la vie quotidienne comme si vous viviez avec la sclérose en plaques". La voilà donc, l'explication de cette mise en scène inattendue.

    Comment, en effet, mieux comprendre les troubles de l'équilibre, un des multiples symptômes dont souffrent les patients atteints de SEP, sinon en chaussant ces palmes avant de s'essayer à faire quelques pas bien maladroits sur un matelas pneumatique?

    C'est un des exemples illustrant les difficultés auxquelles sont confrontées au quotidien les personnes vivant avec cette maladie dégénérative toujours incurable et dont les symptômes demeurent méconnus du grand public, bien qu'elle soit la maladie neurologique la plus fréquente chez le jeune adulte entre 20 et 40 ans.

    Une expérience à vivre pour mieux comprendre le quotidien des patients

    Clôturant la semaine nationale de la sclérose en plaques, la MS House Experience vise à sensibiliser et faire mieux comprendre au grand public la réalité de cette maladie. L'exposition, organisée mardi dans la gare bruxelloise, par la Ligue nationale de la SEP, avec le soutien du laboratoire pharmaceutique Merck, démontre combien cette maladie est invalidante. Pour s'en rendre compte, il suffit de se glisser, l'espace d'un instant, dans la peau de ces patients, en tentant les diverses expériences proposées.

    Cela commence au petit matin, à la cuisine, par la tasse de café qui pèse un bon kilo, sinon davantage en fonction de l'état de fatigue musculaire. Le plateau qui paraît déséquilibré, selon l'état de fatigue importante et changeante. Puis, à gauche de la table de cuisine, l'expérience se poursuit avec la lecture malaisée du livre de recettes. Histoire d'illustrer les troubles de mémoire et de concentration dont souffrent aussi ces patients. Ce qui ralentit forcément l'exécution d'une série de tâches aussi simples que préparer à manger. Plus loin, c'est un tableau noir qui est là pour rappeler les troubles cognitifs auxquels il faut faire face, compliquant eux aussi de nombreux gestes comme établir une liste de courses.

    De l'autre côté du mur, dans le salon, pour rendre compte des troubles de vision qui affectent également les malades, une télé demi-définition diffuse des images brouillées. Sur une table basse, deux colis bleus "mystérieux" et ce journal qui viennent encore souligner la diminution des capacités cognitives. Puis, il y a ce fauteuil trop bas dont on comprend aisément qu'il ne sera pas plus facile de s'y asseoir que de s'en sortir.

    Enfin, il reste ces palmes que l'on vous invite à enfiler avant de vous aventurer sur un matelas gonflable. Question de démontrer que la SEP affecte aussi de nombreuses parties du corps nécessaires à la coordination des mouvements et à l'équilibre.

    Equilibre que ces patients peuvent perdre à tout moment en raison de la perte de sensibilité au niveau des jambes ou des pieds. "Un peu comme s'ils marchaient avec des jambes en coton", explique-t-on à la Ligue où les patients se plaignent de "trébucher sur des poussières".

     

    actualité,société,santé,occitanie

     

     

     

     

     

  • Minute cynique…

    La presse compatissante commence à matraquer sur le « nettoyage ethnique » des malheureux Rohingyas, musulmans originaires du Bengale, ayant migré en Birmanie pendant la période coloniale. Ils furent supplétifs dans l’armée britannique et donc considérés comme des traîtres par les indépendantistes birmans, avant de soutenir de nouveau les Anglais, face aux Birmans, après-guerre. Du coup, en 1982, les voilà privés de la nationalité birmane et priés de déguerpir en direction de l’Indonésie, plus grand pays musulman du monde, lequel ne veut pas d’eux. Curieusement, les pays musulmans n’ont pas obligation comme nous, d’accueillir les migrants.

    Qu’ont il fait ces braves Rohingyas pour mériter tant de courroux ?

    Trois fois rien à la vérité. Bien que minoritaires, ils ont tenté d’imposer leurs pratiques musulmanes à l’ensemble de la population autochtone de la région, n’ont brûlé que quelques temples bouddhistes et saccagés deux ou trois villages, en tuant les villageois, rien de plus. Ils se sont également insurgés contre l’état Birman qui a eu l’audace, entre autres, de leur pondre une la loi imposant la monogamie. Ils ont alors réclamé plus de prérogatives pour leurs règles séculaires, en promettant le djihad en cas de refus : la routine quoi.

    Il faut dire que leur région est très pauvre et que ça donne le droit de prendre les armes. Un peu comme les paysans des très pauvres départements de la Lozère et de la Creuse qui se révoltent, armes à la main.

    En 2012, le viol sauvage d’une femme bouddhiste par un musulman, a déclenché de graves mesures de rétorsion envers cette communauté qualifiée par les Birmans, de prédatrice. Ben oui quoi, on ne peut même plus violer une mécréante tranquillement.

    Si, en France c’est possible. Dernièrement, le tribunal de Carpentras a reconnu à un Tunisien un genre d’alibi culturel, selon la bonne formule de l’avocate du prévenu pour agression sexuelle : « Il vient d’un village reculé de Tunisie, Il n’a jamais vécu au côté de jeunes filles vivant avec nos codes à nous ». Et malgré la condamnation à six mois de prison ferme, l’absence de mandat de dépôt a permis à l’homme de ressortir libre comme l’air.

    Elle est pénible, la Nobel de paix birmane, Aung San Suu Kyi, et elle n’y connaît rien, le viol, c’est une culture, allons, allons…

    https://lecolonel.net/la-minute-cynique-de-pierre-duriot-137/