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femme - Page 40

  • Attention: ma note est très vulgaire, ne pas lire à vos enfants!

    Vulgaire. Oui, je revendique.... on ne sait plus à quel saint se vouer dans cette mer-de gauchiasserie médiacratique dans laquelle on nous enfonce chaque minute qui passe... alors, un peu plus, un peu moins.....

    Liberté d'expression vs “si les cons étaient satellisés, on aurait du monde autour de la lune!

    Par contre, je demande aux Grenoblois s'ils sont dotés de plus de deux neurones pour avoir voté pour cette municipalité de conn..ds. En attendant, payez vos impôts locaux à votre roitelet municipal, bande de rigolots!...

     

    Moins de 15 jours après l'assassinat de deux policiers à Magnanville, la mairie EELV de Grenoble a sponsorisé à hauteur de 25 000 euros une " fresque " représentant 2 policiers en train de bastonner une Marianne à terre tenant ce qu'il reste d'un drapeau français. Le créateur a appelé son "oeuvre": L'Etat matraquant la liberté ! Naturellement, et on le comprend, une polémique s'en suivit. Le maire de Grenoble, entendu sur RMC, a déclaré que c'était ça aussi la liberté d'expression et que nul ne pouvait l'entraver. A aucun moment cet abruti forcément congénital (parce qu'à ce niveau, on ne voit pas comment c'est possible d'être aussi con ) n'a compris que ce n'était pas le dessin en lui-même qui choquait mais bien son indécence dans le contexte actuel. La fresque a été taguée la nuit dernière; réaction de l'artiste:  "Les esprits faibles suivent leur berger: la stupidité. C'est justement en période de troubles que la liberté d'expression doit servir de boussole".

    Et pendant que tout le monde a les yeux rivés sur ses écrans pour le foot ou le Brexit, très discrètement, le gouvernement vient de décider de la création d'une nouvelle taxe afin d'aider les régions, la taxe spéciale d'équipement régional. A priori, celle-ci sera prélevée sur le foncier des entreprises et des ménages et devrait rapporter 600 millions d'euros dès 2017. Président avait promis qu'il n'y aurait plus de nouveaux impôts; promesse tenue donc, juste de nouvelles taxes.

    Faudrait demander à Flamby et toute sa gauchiasserie réunie quand est-ce qu'ils vont cesser de fumer la moquette de l’Élysée et de Matignon?

     

    http://corto74.blogspot.fr/2016/06/ainsi-va-la-vie-en-socialie-49_28.html

     

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    Concernant le mec qui a tagué cette merde absolue, j'aimerais qu'il m'explique si, la nuit, il se touche-pipi afin de remplir de foutre le vide sidéral de sa cervelle!...

    Je ne m'excuse pas de ne pas demander pardon aux collets-montés! Il arrive un moment où, trop c'est bien plus que trop aberrant l'insignifiance mentale de ces élites merdiques!...

     

     

  • La barbarie sera TOUJOURS ce qu'elle a été!

    Toulon: "Marche en short" après l’agression d’une jeune femme

    Une centaine de personnes se sont rassemblée samedi à Toulon, dans le Var, pour une "marche en short" après l’agression d’une jeune femme de 18 ans, Maud Vallet, agressée le 13 juin dernier alors qu’elle portait un short.

    'Tous en short, liberté, respecte moi", était-il inscrit sur les pancartes des manifestants, hommes et femmes, qui ont défilé vêtus pour la plupart de shorts. "Nous voulons dénoncer un fait de société et porter l’égalité des femmes", a indiqué Cécile Muschotti, organisatrice de la manifestation et ex-colistière de la tête de liste PS aux régionales, Christophe Castaner

    Texte de Maud Vallet publié sur son compte facebok:

    "Bonjour, je suis une salope".

    Je suis en colère ce soir.

    Nous sommes en 2016 et je viens de me faire agresser parce que je portais un short. Oui, un short. UN PUTAIN DE SHORT

    Nous sommes en 2016 et un groupe de 5 FILLES m’a insulté, menacé, craché dessus dans un bus sans que jamais personne n’intervienne, malgré leurs hurlements et les miens. Elles n’ont visiblement pas apprécié tous les arguments que j’ai sorti en faveur de l’égalité homme-femme et de la liberté de disposer de son propre corps puisqu’elles m’ont suivie pour me frapper lorsque je suis sortie du bus et ne sont parties qu’après qu’un homme que j’ai interpellé ait attendu avec moi qu’elles s’en aillent (au bout de 15 minutes, vous captez le délire ?) [...]

    Maintenant j’ai la très agréable impression d’avoir fait un bond de quelques siècles en arrière.

    Nous sommes en 2016 et malgré ce qu’en disent certains, le combat féministe est bien loin du compte. [...]

    Le Figaro

  • Le grand remplacement

    Cinq millions de migrants sont devenus citoyens européens en seulement six ans

    Cinq millions de migrants venus du monde entier ont acquis la citoyenneté européenne ou anglaise au cours des six dernières années. Ce chiffre vertigineux a été révélé aujourd’hui.

    L’agence de statistiques de l’UE a indiqué que près de 100 migrants recevaient un passeport chaque heure [...]

    Et les experts ont mis en garde, indiquant que ces chiffres étaient uniquement susceptibles d’augmenter à mesure que la crise des réfugiés éclate à travers la Méditerranée. [...]

    Eurostat a indiqué que ces chiffres révèlent la « riche diversité » de l’Union européenne. [...]

    The Sun (Traduction FDS)

     

  • Animalité

    Assises de Nîmes : la maman soutient son mari accusé de viol sur son bébé

    Le verdict est attendu dans la journée.

    La petite victime était âgée de 11 mois en juillet 2013. La maman de l'enfant aurait dû être partie civile dans cette affaire sensible.

    Anna (le prénom a été modifié) n'était encore qu'un bébé âgé de 11 mois  Quelques heures avant son hospitalisation, elle jouait, riait. En fin de soirée, à Nîmes, ses parents inquiets ont emmené la petite fille aux urgences de l'hôpital Carémeau de Nîmes. Samir, son papa, a découvert des traces de sang dans les selles du bébé lorsqu'il a voulu changer ses couches. Affolé, il a alerté son épouse partie faire des courses.

    Lésions suspectes et gravissimes au niveau de l'anus

    À l'hôpital de Nîmes, le verdict des médecins est alarmant. Ils constatent des lésions suspectes et gravissimes au niveau de l'anus, des fissures évocatrices d'un abus sexuel. L'enfant est évacuée sur l'hôpital Lapeyronie pour y être opérée. Le parquet de Nîmes confie l'enquête aux policiers de la Sûreté départementale de Nîmes.

    "Je ne peux pas dire ce que je n'ai pas fait", déclare le père de famille, mis en examen pour viol sur mineur devant la cour d'assises du Gard. Kharfiya, la maman de l'enfant, aurait dû être partie civile dans cette affaire sensible. La veille du procès, la mère de famille s'est séparée de son avocat. Maladroitement, elle défend son mari qui conteste les faits reprochés et a été entendue jeudi soir comme témoin. "Quand j'ai emmené ma petite fille aux urgences, elle n'était pas comme ça, assure Kharfiya. C'est peut-être à cause de la Bétadine ?…"

    Il avoue puis se rétracte

    Oui, Samir, son mari, a avoué, lors de sa garde à vue, avant de se rétracter rapidement. C'était lors d'une confrontation avec son épouse. "On était les yeux dans les yeux. J'ai vu qu'il me disait: "Tu crois vraiment que j'ai fait ça à ma fille?" Je sais qu'il n'en est pas capable. Il est prêt à tout prendre sur le dos“.

    "Cela peut-être un coup de pied de mon fils (un enfant d'un an et demi, NDLR)", déclare Samir, défendu par Mes Khadija Aoudia et Rémy Nougier. Ou des lésions dues à des problèmes de constipation ou d'une maladie comme la mucoviscidose, se défendent les parents, qui doutent des experts, des médecins, des psychologues.

    "Mon frère est innocent, a déclaré un peu plus tôt, et en larmes, Issam, le frère de Samir. C'est impossible qu'il fasse une chose pareille. Il nous est arrivé beaucoup de drames dans la famille. On ne mérite pas tout ce qui nous arrive, madame, ajoute Issam en s'adressant à Geneviève Perrin, la présidente de la cour d'assises. On est des gens bien. C'est impossible. C'est un cauchemar. J'en suis sûr et certain."

    Lésions de cause externe

    Les constatations sont pourtant incontestables. Les experts médecins, qui excluent l'hypothèse médicale, ont relevé des lésions de cause externe et une tentative de pénétration anale. Ils n'ont pu déterminer s'il s'agissait d'un sexe ou d'un objet. "La douleur a-t-elle été violente", demande Me Laurence Bourgeon, l'avocate de l'enfant, ou encore l'avocate générale Bénédicte Bertrand. "Extrêmement violente", confirme le médecin expert venue témoigner à la barre.

    L'enquête menée par les policiers n'a pas relevé la présence de sperme. Mais du sang sur la table à langer, dans le lavabo ou sur une lampe torche. "Qu'est ce qui s'est passé ?", reprend Me Laurence Bourgeon s'adressant à la mère de famille. "La couche s'est peut-être déplacée", avance la maman. "Qu'est-ce qui a pu provoquer cela, insiste Me Khadija Aoudia, l'avocat de Samir. Lui, dit que ce n'est pas lui. C'est vous?"

    "Ah, non !", répond la maman. Les débats se poursuivent ce vendredi. Le verdict est attendu dans la journée.

    Drame dans la famille de Samir

    Le 1er  janvier 2010, une grande partie de la famille de Samir a été décimée dans un incendie qui a détruit deux appartements, à Valdegour. Le père de l’accusé, la grand-mère et trois enfants sont décédés. La mère de famille et deux autres enfants ont été grièvement blessés et placés dans le coma. Samir était absent cette nuit-là et a eu à gérer ce drame familial.

    http://www.midilibre.fr/2016/06/10/la-maman-soutient-son-mari-accuse-de-viol,1346824.php

  • FRANCAIS, FRANCAISES: LA FRANCE, NOTRE FRANCE, EST EN DANGER

    Lu sur Fdesouche

     

    Mouloud Achour : « Nous sommes le grand remplacement »

    Téléramadan sera disponible en juin.

    retrouvez ci-dessous l’édito signé Mouloud Achour, Mehdi Meklat et Badroudine Saïd Abdallah.

    Nous sommes le Grand Remplacement. Sûrement pas celui que les fous peuvent fantasmer. Nous sommes un grand remplacement naturel, celui d’une génération face aux « autres », du cycle de la vie. Nous sommes le présent. Nous sommes le Grand Remplacement d’un système archaïque, qui ne nous parle plus et qui ne nous a jamais considérés comme ses enfants. Nous sommes radicaux dans nos idées : nous irons au bout de la beauté. Nous écrirons quand vous voudrez qu’on se taise, et nous nous battrons quand vous aurez décidé qu’il est l’heure qu’on s’endorme. Nous reprendrons notre place, prise par ceux qu’on autorise à penser. Nous ne voulons parler qu’en NOTRE nom. De NOS gouts et de NOS couleurs. Nous sommes le Grand Remplacement d’une génération qui s’active sur Internet pour contrer les coups bas. D’artistes, seul au front, pour porter tous les combats. De révoltés d’une société qui ne sait plus se regarder dans les yeux et écouter les cœurs qui se battent.

     

    (…) Clique Tv

     

     

  • Le poème, étudié en 1960...

    Un chat, nommé Rodilardus (2),
            Faisait de rats telle déconfiture
                Que l'on n'en voyait presque plus,
    Tant il en avait mis dedans la sépulture.
    Le peu qu'il en restait, n'osant quitter son trou
    Ne trouvait à manger que le quart de son soû (3),
    Et Rodilard passait, chez la gent misérable,
                Non pour un chat, mais pour un diable.
                Or, un jour qu'au haut et au loin
                Le galand alla chercher femme,
    Pendant tout le sabbat (4) qu'il fit avec sa dame,
    Le demeurant des rats tint chapitre en un coin
                Sur la nécessité (5) présente.
    Dès l'abord, leur doyen, personne fort prudente,
    Opina qu'il fallait, et plus tôt que plus tard,
    Attacher un grelot au cou de Rodilard ;
                Qu'ainsi, quand il irait en guerre,
    De sa marche avertis, ils s'enfuiraient sous terre ;
                Qu'il n'y savait que ce moyen.
    Chacun fut de l'avis de Monsieur le Doyen :
    Chose (6) ne leur parut à tous plus salutaire.
    La difficulté fut d'attacher le grelot.
    L'un dit : « Je n'y vas (7) point, je ne suis pas si sot, »
    L'autre : « Je ne saurais. » Si bien que sans rien faire
                On se quitta. J'ai maints chapitres vus,
                Qui pour néant se sont ainsi tenus ;
    Chapitres, non de rats, mais chapitres de moines,
                Voire chapitres de chanoines.
     

     

               Ne faut-il que (8) délibérer,
                La cour en conseillers foisonne;
               Est-il besoin (9) d'exécuter,
                L'on ne rencontre plus personne.