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femme - Page 36

  • Il y longtemps que nous n'avons plus la première place de la meilleure médecine au monde!

    L’histoire de Laura, greffée des mains aux Etats-Unis faute d’accord administratif en France

    Quelques explications officielles s’imposent.  Telle qu’elle vient d’être rapportée par Le Figaro (Anne Jouan), l’histoire est un concentré de prouesses chirurgicales, d’absurdités administratives, d’incompréhensions. Résumons-là.

    Nous sommes en 2007. Laura a 19 ans. Un choc septique fait quelle doit, à l’hôpital Cochin, être amputée des deux avant-bras (sous les coudes et des deux jambes (sous les genoux). Equipée de prothèses, elle reprend ses études à l’école hôtelière de Lausanne et créée start-up. En 2009 elle rencontre le Pr Laurent Lantiéri, chirurgien à la forte personnalité, connu pour ses compétences dans le champ des greffes de membres et de faces.  C’est le début d’un parcours administratifs.

    En 2013, le Pr Lantiéri obtient l’autorisation de l’Agence régionale de santé (ARS) d’Ile-de-France pour réaliser une intervention chez Laura – intervention qui entre dans le cadre d’un programme de recherche. Laura est alors inscrite sur une liste d’attente, en attente d’une donneuse et de greffons.  Elle fait aussi la connaissance de Priscilla, elle aussi amputée des quatre membres à la suite d’un avortement " qui s’est mal terminé" ("aux urgences de la maternité du CHU de Bordeaux contre lequel elle est aujourd’hui en procès").

    Retirées de la liste d’attente

    "En janvier dernier, elles reçoivent un courrier de l’Agence de Biomédecine, elles ont été retirées de la liste d’attente, rapporte Le Figaro. Elles ne pourront donc pas être greffées en France.  Leur chirurgien a une idée: et si l’intervention se faisait à l’étranger? En novembre 2014, Laura et Priscilla partent à Philadelphie rencontrer le Pr Scott Levin, le chirurgien qui a réalisé, l’an dernier, une greffe des deux mains de Zion, un petit garçon de 8  ans, handicapé lui aussi, à cause d’une septicémie“.

    Les Prs Levin et Lantiéri sont en contact. Le 25 juin Laura est inscrite sur la liste d’attente américaine. " Le chirurgien français joint alors sa patiente, en vacances en Corse. Il lui dit de prendre l’avion pour Paris, qu’il va la retrouver là-bas et qu’ils partiront ensemble pour Philadelphie. Laura passe la douane américaine en chaise roulante, avec sa lettre de transplantation, lit-on dans Le Figaro.  Dans la nuit du 22 au 23 août, elle est opérée (…) Par un hasard du calendrier, mais comme un pied de nez à la France où elle a été amputée, elle retrouve deux mains neuf ans jour pour jour après les avoir perdues.

    Au bout du monde

    Aujourd’hui, jointe aux États-Unis par téléphone, elle explique, toujours au Figaro,  pourquoi elle avait choisi le Pr Lantiéri  et non l’autre équipe française spécialisée ce type d’intervention, à Lyon.

    "Je n’ai pas voulu y aller, car c’était trop loin de chez moi. Et j’ai dû me rendre à Philadelphie, au bout du monde, le comble ! Alors qu’en France, nous avons tous les moyens médicaux pour réaliser ce genre de greffe. C’est navrant, affolant, révoltant ". [Et de raconter comment, l’hiver dernier, elle a reçu un courrier de l’Agence de Biomédecine lui indiquant qu’elle n’était "provisoirement " plus sur la liste d’attente]. "Pour moi, c’était le projet d’une vie et ils n’ont même pas pris la peine de m’appeler ou de me convoquer. Ils n’en ont rien à faire des gens comme moi".

    Attente d’explications

    Laura avait demandé à la Sécurité sociale française la prise en charge de l’intervention réalisée aux États-Unis. Réponse : impossible pour un acte qui peut être réalisé en France. Laura envoie régulièrement des photos à Priscilla et lui fait admirer le résultat de l’intervention dont elle a pu bénéficier loin de Lyon et Paris. Priscilla " dort près de son téléphone, espérant un appel des États-Unis". "Le chirurgien m’a dit que je serai greffée  avant Noël. C’est quand même une honte: être massacrée dans un hôpital français et devoir partir aux États-Unis pour se reconstruire“.

    Des explications officielles s’imposent, tant de la part de l’Agence de la Biomédecine que de l’assurance maladie. Le plus tôt sera sans doute le mieux.

     

  • Français, vous avez le choix: mourrir ou aller en taule!

    Agressé par trois maghrébins multi-recidivistes devant sa femme et ses enfants : Vardon condamné à 6 mois pour s’être défendu

    Communiqué de Philippe Vardon :

    Agressé en mars 2014 devant ma femme et mes fils – 7 mois et 3 ans à l’époque – par trois multirécidivistes armés (manivelle, démonte-pneu) me reprochant mon engagement politique, j’ai été condamné aujourd’hui au même titre qu’eux pour m’être défendu.

    On me reproche d’avoir utilisé la bombe lacrymogène de ma femme pour tenir les agresseurs à distance alors que les policiers eux-mêmes ont été contraints de faire usage des leurs pour me protéger ensuite. Pouvais-je faire autrement ? Me laisser lyncher sous les yeux de ma famille ? Dans cette affaire je suis le seul blessé (blessure à la main par un outil tranchant) à afficher un ITT constaté par un médecin légiste.

    Aujourd’hui, un seul de mes agresseurs était présent au tribunal. Il n’avait pas le choix puisqu’il est déjà emprisonné pour une autre affaire ! Son casier affiche 12 condamnations (vols, violences). Les deux autres, multirécidivistes aussi, ne se sont pas présentés. L’un d’eux est sous bracelet électronique et vient de sortir de prison.

    J’avoue être sonné par ce jugement aberrant qui fait écho à l’injustice vécue par tant de victimes. Je fais bien entendu appel de cette décision !

    Source : Page Facebook de Philippe Vardon

     " Le tribunal correctionnel de Draguignan a condamné lundi à six mois de prison ferme Philippe Vardon et les trois autres protagonistes de violences, qui avaient émaillé la soirée du 30 mars 2014 à Fréjus, au deuxième tour de l’élection de David Rachline. " (…)

    Nice Matin

     

  • Dégueulasse!

    Morbihan. Le maire fait hospitaliser en urgence une handicapée

    Vendredi soir, le maire de Monterblanc (ici la mairie), en présence des gendarmes, a pris la décision de faire hospitaliser la jeune femme en raison d'un danger pour sa santé.

    Vendredi soir, le maire de Monterblanc (ici la mairie), en présence des gendarmes, a pris la décision de faire hospitaliser la jeune femme en raison d'un danger pour sa santé.

     " C'est lamentable. Je suis tombé de l'armoire lorsque j'ai découvert cette situation ". Gérard Guilleron, le maire de la petite commune de Monterblanc (3 200 habitants), près de Vannes, ne mâche pas ses mots.

    Vendredi soir, il est intervenu en urgence dans un logement social de sa commune pour porter secours à Laurye, une jeune femme handicapée de 28 ans, isolée dans sa maison.

     " J'ai été appelé vendredi après-midi en urgence par son voisin. Lorsque je suis arrivé, j'ai découvert Laurye, allongée dans son lit depuis 15 jours. Pourquoi ? Parce que son fauteuil roulant est cassé et que, semble-t-il, personne ne veut le remplacer ", lance Gérard Guilleron, le maire, qui raconte avoir découvert un logement dans un mauvais état, un frigo vide et des toilettes cassées.

    Un logement inadapté

    Laurye habite seule, dans une petite maison de Vannes Golfe Habitat, le bailleur social. Depuis toute petite, elle souffre du syndrome d'Aicardie-Goutières, une calcification d'une partie du cerveau qui provoque une régression de l'utilisation des membres. " Sans mon fauteuil, je ne peux pas me déplacer. Et même si j'avais un fauteuil, je ne pourrais pas l'utiliser dans ce logement inadapté. Je tape partout et je casse tout ", raconte Laurye.

    Pourtant, trois infirmiers passent à tour de rôle en journée pour lui apporter quelques soins. " Mais ils me lavent rapidement et disent qu'ils n'ont pas le temps ", témoigne la jeune femme qui bénéficie heureusement de l'aide de François, son voisin.

    Quels salauds ces infirmiers!

    Le ménage est aussi fait une fois par jour mais des bouteilles d'eau, avec de la moisissure, ont été retrouvées près du lit. " Quand on voit l'état de la maison, on se pose des questions ", ajoute l'élu.

    Le maire de Monterblanc pointe du doigt des " dysfonctionnements " dans le suivi social de Laurye." Vendredi, nous avons attendu la curatrice qui n'est jamais venue au rendez-vous ", déplore-t-il.

    En fin de journée, le maire, en présence des gendarmes, a pris la décision de faire hospitaliser la jeune femme en raison d'un danger pour sa santé.

    Ce lundi, Gérard Guilleron prévoit de s'occuper en urgence du dossier de Laurye et de convoquer les différents services qui s'occupent d'elle. En attendant, Laurye est en convalescence au centre hospitalier de Vannes.

    A vomir!

     

  • RD Congo: "Le viol des bébés se généralise" (Attention, contenu choquant !)

    Depuis trois ans, Denis Mukwege ne sort de chez lui qu’escorté par la police. Chez lui, c’est l’hôpital de Panzi, près de Bukavu, la capitale du Sud-Kivu dans l’est de la République démocratique du Congo (RDC). "Je vis là où je travaille, explique le gynécologue de 60 ans. J’essaye de réduire les risques au maximum". La Mission de l’ONU pour la stabilisation de la RDC (Monusco) le protège depuis qu’il a été victime d’une sixième tentative d’assassinat, en octobre 2012, alors qu’il rentrait à la maison.

    [...] Qui peut bien en vouloir au Dr Mukwege, sinon les violeurs? Depuis une quinzaine d’années, le gynécologue a soigné des dizaines de milliers de femmes abusées, violentées, découpées, charcutées pour certaines d’entre elles, leur sexe étant exhibé comme un trophée par leurs agresseurs. On parle de plus de 500 000 victimes. Jamais peut-être, le viol n’avait été utilisé comme arme de guerre de façon aussi systématique.

    Les violeurs, on les trouve dans tous les camps: les rebelles hutus dans un premier temps, puis les combattants locaux maï-maï, les soldats rwandais, mais aussi les forces gouvernementales, les infiltrés des pays voisins, et dernièrement les insurgés du M23. Tous s’y sont mis dans une orgie destinée à entretenir la terreur et faire fuir les populations. "Il n’y a rien de culturel à cela, souligne Denis Mukwege. Cette barbarie est corrélée à la guerre, à l’absence d’État de droit, au déni de justice. On n’avait jamais vu cela auparavant".

    Officiellement, la guerre en RDC est terminée depuis des années. Les zones de combat ont sensiblement diminué, et le nombre des viols avec. Aujourd’hui, le docteur recoud en moyenne 2500 femmes par an, alors qu’en 2004 c’était 4000. Mais les métastases sont là, le mal se propage dans la société. "J’observe de plus en plus de viols sur des enfants, des bébés, parfois de moins de douze mois, cela se généralise. Il n’y a toujours pas de répit pour la population".

    Plutôt que d’être achevés, ces bébés broyés sont déposés devant la maison des parents. "Cela procède de la même logique qu’avec les femmes. Il y a une volonté d’humiliation, de destruction du tissu social, de toute valeur, de tout ce qui est sacré". Un "cercle vicieux infernal" est à l’œuvre: les enfants issus de viols, eux-mêmes rejetés, deviennent parfois à leur tour des violeurs. Et puis, il y a ces histoires d’enfants forcés de découper le sein de leur mère. "On leur a enseigné à perpétrer des atrocités sur leur propre famille avant de les recruter comme combattants", explique le docteur

    [...]

    Il est difficile de démêler les logiques à l’œuvre qui continuent de déchirer la RDC, en particulier l’est du pays où plus de deux millions de personnes ont été déplacées. Mais, Denis Mukwege avance une hypothèse: "Il y a une corrélation entre les zones minières, les groupes armés et les femmes violées". En d’autres termes, le viol comme outil de terreur destiné à faire fuir les populations profite aux combattants qui veulent contrôler les territoires riches en minerais, ce qui ne manque pas dans la région [...]

    https://www.letemps.ch/monde/2016/03/08/apres-femmes-viol-bebes-se-generalise-rdc

     

  • Des vidéos pour connaître l'Histoire de la France

    Nos ancêtres les Gaulois? oui!

    Les vidéos Résistance républicaine à l’attention des enfants et de ceux qui ne savent pas

     1 Nos ancêtres les Gaulois sont devenus gallo-romains puis francs 

     2 Clovis, le premier roi chrétien des Francs, 466-511

     3 Charles Martel a battu les Arabes à Poitiers en 732

     

     

    4 Pépin le Bref et le début de la Dynastie carolingienne

     

    5 Charlemagne et Roland de Roncevaux

     

    http://resistancerepublicaine.eu/2015/toutes-les-videos-des-rencontres-charles-martel-du-7-juin/

     

  • Et si, un jour, c'était vous, le patient!

    Soin à domicile: blessé par son infirmier, quel recours?

    Un patient handicapé a été blessé lors de sa douche, à domicile, par son infirmier. La faute aux cadences infernales selon son kiné qui dénonce une forme de "maltraitance" et appelle à faire le "grand ménage".

    Un infirmier donne sa douche à un homme lourdement handicapé, en fauteuil électrique, à son domicile. Il fait tomber son patient qui, dans sa chute, brise la paroi en verre anti-éclaboussures. Bilan: des coupures aux pieds et aux mains, un hématome au niveau du thorax et sa rééducation qui doit être suspendue durant plusieurs jours.

    Cette affaire est révélée par son kiné, Jean-Luc Corne, qui exerce en libéral auprès de patients souffrant de lourds handicaps. Et d'assurer que ce professionnel ne respecte pas les règles d'hygiène, pénétrant dans la douche à l'italienne avec ses chaussures de ville et en costume". Et, afin de ne pas se mouiller, il ne tenait pas convenablement le patient qui a pourtant des difficultés évidentes de verticalisation, explique-t-il."

    Chiffre d'affaires ou bien-être?

    La faute au manque de temps, qui prive parfois les personnes handicapées de soins bienveillants. C'est en effet, selon Jean-Luc, la cadence, souvent infernale, imposée aux soins à domicile qui est à l'origine de cet empressement qui, au-delà des questions de sécurité, constitue un manque flagrant de respect à la personne".

    Quand le chiffre d'affaire prend le pas sur le bien-être, moi j'appelle cela de la maltraitance, poursuit-il. Je veux bien admettre que 10 minutes suffisent pour la toilette d'un patient peu handicapé mais pour des patients lourds à motricité très réduite ce n'est pas suffisant sans les mettre en danger." Carine témoigne à son tour. Atteinte d'ostéogénèse imparfaite (maladie des os de verre), elle déplore la rudesse de certains intervenants à domicile, et les douches expédiées en moins de quinze minutes sans tenir compte de sa vulnérabilité physique.

    Ce que prévoit la nomenclature

    La nomenclature des AIS 3 (Actes infirmier de soins, qui englobent les soins de base et le nursing) prévoit pourtant 30 minutes pour la toilette. Et, lorsqu'il dépasse le temps imparti, l'infirmier peut coter 2 AIS, c'est-à-dire appliquer une "double facturation". Quitte à ouvrir la porte aux fraudes selon une professionnelle: "Un grand nombre d'infirmiers (ières) de mon secteur passent 8 à 10 minutes en facturant ce 2e acte. Et le décompte sécu que reçoivent les patients est tellement complexe qu'ils sont bien incapables de déceler les escroqueries éventuelles." Selon Jean-Luc Corne, "les toilettes sont devenues certainement l'acte le plus rémunérateur des infirmiers au regard du temps passé...". Et pourtant!

    L'enjeu de la maltraitance à domicile

    L'enjeu est si fort que le ministère du Travail s'est saisi du sujet en publiant un document de "Gestion des risques de maltraitance pour les services d'aide, de soins et d'accompagnement à domicile". La démarche ainsi engagée renvoie à une réflexion plus générale sur les objectifs de la prise en charge des personnes vulnérables, au regard notamment de l'amélioration de la qualité et de la promotion de la bientraitance, pour laquelle des personnels formés et en nombre suffisant sont nécessaires. Mais qu'en est-il sur le terrain où les contrôles sont rares, voire inexistants? Et qui pour alerter? "Les intimidations déguisées de la part d'infirmiers (ières) qui menacent de laisser tomber les soins si la famille n'accepte pas les conditions imposées sont plus courantes qu'on ne le pense, déplore Jean-Luc''.

    Face à la pénurie, quelle garantie a-t-on de trouver une solution rapidement? L'offre de soins n'étant pas en rapport avec la demande, le patient risque en effet de se retrouver sans intervenant, d'autant que rien n'oblige un libéral à accepter un patient. Et cette perspective peut en bâillonner plus d'un..". Je vois cela trop souvent, assure Jean-Luc. En clair, certains doivent accepter de se faire mal soigner sinon ils n'auront pas l'hygiène nécessaire à tout être humain... Dramatique!"

    Ne pas rester muet

    Jean-Luc Corne, lui, refuse de "rester muet face à ces pratiques qui mettent en danger" ses patients".

    Mon rôle est de leur garantir une sécurité optimale quelle que soit la personne qui intervient auprès d'eux. 95% d'entre eux sont lourdement handicapés et leurs familles sont désemparées par l'extrême complexité à gérer ce handicap. N'en rajoutons pas!" Il a donc aussitôt signalé "l'incident de la douche" à l'ARS (Agence régionale de santé) qui a fait son travail en saisissant le Conseil de l'Ordre des infirmiers. Réponse inattendue de ce dernier: "Il m'a contacté pour me dire que mon attitude n'était pas correcte, s'indigne-t-il... Et m'a informé qu'il ne donnerait pas suite. (...) Il n'y a eu aucune excuse de la part de l'infirmier, ni déclaration à son assurance pour réparer les dégâts matériels".

    Faire le "grand ménage"

    Jean-Luc fait alors valoir que le risque de non-assistance à personne en danger ne doit pas être pris à la légère et que cautionner de tels agissements n'est pas dans l'éthique des professions de Santé. Et d'encourager à faire "le grand ménage". D'autres en rêvent mais au point de se demander s'il restera alors suffisamment d'intervenants? "Certains ne sont pas dignes d'exercer... Ce n'est pas parce qu'on a un diplôme de professionnel de Santé qu'on a systématiquement une auréole au-dessus de la tête." Le patient a finalement reçu une réponse de l'ARS qui l'enjoint à saisir lui-même le Conseil de l'ordre pour qu'il étudie l'affaire". Un patient contre un corporatisme, c'est trop facile, pour n'aboutir certainement à rien!" conclut Jean-Luc.

    https://informations.handicap.fr/art-handicap-infirmier-maltraitance-853-9003.php

    Parfois, certaines associations d'aide à domicile ont du personnel formé et diplômé pour aider à la toilette: se renseigner auprès d'elles.... N.D. La Rédactrice