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  • Les 10 innovations technologiques révolutionnaires à venir

     

    La technologie avance à la vitesse de l'éclair et elle n'est pas prête de s'arrêter là. Voici une petite sélection des nouveautés technologiques qui sont en voie de révolutionner votre futur quotidien.

    Les Google Glasses

    Vous en avez forcément entendu parler, les lunettes de Google, futur technologique révolutionnaire, font la une des médias. Elles seront commercialisées d’ici 2014 pour une somme avoisinant les 1 500 dollars alors que des bars et des cinémas les ont déjà interdites dans leurs enceintes. Il est un fantasme technologique pour certains, outil ultime de violation de la vie privée pour d’autres, les Google Glasses ne sont pas encore commercialisées, qu’elles suscitent déjà un vif débat de société. Il s’agit de lunettes à réalité augmentée, commandées à la voix, avec un petit écran transparent situé au coin de l’œil droit, sur lequel défilent des informations plus ou moins indispensables en réponse à une demande de l’utilisateur, ou sans qu’il ait demandé quoi que ce soit.

    Golden-I, le casque futuriste

    Golden-I est un ordinateur portable un peu particulier. Il prend place dans un casque futuriste à porter sur la tête. Entièrement contrôlable par la voix et les gestes, il dispose d’une caméra de 14 mégapixels. Le dispositif semble plutôt ambitieux et serait particulièrement adapté pour les travaux de construction et les services d’urgence. Ce qui est certain, c’est que ce gadget plaira en particulier aux amateurs de James Bond.

    L’Oculus Rift, le casque de gamer

    Sous ce nom barbare se cache en réalité un système de réalité virtuelle permettant de s’immerger pleinement dans le monde 3D de jeux prévus à cet effet. Un dispositif à la frontière entre un casque et une paire de lunettes, qui permet de plonger le joueur dans l’immersion la plus totale. Une fois le casque enfilé, ce dernier englobera complètement le champ de vision du joueur, faisait du jeu, sa nouvelle réalité.

    MYO, la télécommande virtuelle

    Le brassard MYO est peut-être l’innovation technologique de l’année. En enfilant l’appareil, il détecte l’activité électrique des muscles des bras. Ce dernier reconnait alors les mouvements de la main et du bras, qui deviennent alors une télécommande virtuelle pouvant accomplir toutes sortes d’actions, comme lancer une vidéo, tourner la plage d’un ebook ou encore jouer à un jeu vidéo. Pas de limites quant aux possibilités de l’appareil, elles dépendent uniquement de l’imagination des développeurs. Le brassard devrait être disponible en fin d’année, au prix de 149$.

    Des écrans souples pour ordinateurs, smartphones et tablettes

    Il n’existe pour le moment qu’un prototype de smartphone flexible avec Windows OS de Samsung, ainsi qu’un concept d’iPhone 6 avec écran légèrement souple, mais aussi un ordinateur portable, Pandora, capable d’être transformé en écran de télévision ou en tablette tactile. Sa charnière flexible permet d’être mis dans différentes positions. L’écran souple est donc une nouvelle façon de concevoir la mobilité.

    3D Doodler, le stylo qui écrit en 3D

    Une invention peut être moins impressionnante pour les amateurs de technologie mais tout aussi audacieuse, le stylo 3D Doodler, permet de donner des formes et du volume à vos dessins, en dessinant en 3 dimensions à l’aide d’un fil de plastique fondu à séchage rapide. Le projet élaboré par Peter Dilworth et Max Bogue a déjà rassemblé plus de 1,7 millions de dollars sur la plateforme de crowdfunding kickstarter, explosant la barre des 30 000 dollars qu’ils demandaient. Prévu pour novembre 2013, ce stylo qui sera vendu pour la modique somme de 60$ en fin d’année, pourrait bien révolutionner le dessin.

    Des voitures sans chauffeur

    Non, nous ne sommes pas encore au stade des soucoupes volantes, mais au stade des voitures sans chauffeur. Sur l’autoroute, dans un embouteillage ou quand il n’y a pas trop de feux de circulation par exemple, il vous suffira d’enfoncer un bouton sur le volant pour que la voiture se mette à conduite toute seule. La voiture adapte automatiquement sa vitesse à celle qui la précède, et reste dans sa file en suivant le marquage au sol. Pendant ce temps, vous pourrez tranquillement lire vos mails ou passer un appel vidéo…

    Les montres intelligentes

    Après les smartphones, le prochain joujou technologique en vogue pourrait bien être la “smartwatch”, une montre qui permet d’avoir accès partout en toute discrétion aux messages et aux appels de son téléphone portable. En attendant l’éventuelle iWatch sur laquelle travaillerait le géant américain Apple, d’autres poids lourds comme Sony ou de petits acteurs comme Pebble et I’m Watch occupent le terrain. La cible va des utilisateurs qui ont du mal à décrocher de leur téléphone lorsqu’ils sont en réunion ou au cinéma, jusqu’aux sportifs qui souhaitent surveiller leur rythme cardiaque pendant l’effort. Elles fonctionnement comme un complément du smartphone, avec lequel elle communique via le Bluetooth. L’utilisateur peut ainsi, sans sortir son téléphone de la poche, répondre ou rejeter un appel, consulter ses mails ou voir ses notifications sur les réseaux sociaux.

    Les écouteurs…sans écouteurs

    Le nouveau casque de Panasonic permet d’écouter sa musique tout en restant attentif à son environnement extérieur. Le nouveau casque de Panasonic exploite la connectivité osseuse de la boîte crânienne. Les embouts sont placés directement sur les os de la tempe et les vibrations sont transmises vers le nerf auditif par les os.

    La télévision intelligente, qui vous regarde

    Cela peut sembler inquiétant pour ceux qui ont lu 1984 de George Orwell, mais selon les acteurs du secteur, c’est la nouvelle étape de l’évolution de la télévision : Des télévisions "intelligentes", connectées à internet, équipées de technologies qui "voient" le spectateur, avec l’objectif de proposer des programmes plus adaptés. Méfiance tout de même, nombreuses sont les personnes qui pensent que notre vie sera de plus en plus assaillie par les publicitaires, qui pourront mettre au point des annonces encore plus ciblées qu’aujourd’hui.

     

  • Les drones militaires à atterrissage vertical arrivent !

     

    La DARPA (Département de recherche de l'armée américaine) développe, en coopération avec Lockheed Martin, un drone de soutien polyvalent à décollage et atterrissage vertical.

    Le transport d'équipement vers les zones de combat reste un véritable défi sur le plan logistique. Il faut en effet 45 tonnes d'équipement par semaine en moyenne pour approvisionner les postes de combats avancés et cet acheminement de matériel peut être complexe dans un contexte de conflit. Le transport par hélicoptère ne peut satisfaire ces besoins logistiques car il n'y a pas assez d'appareils disponibles et compte tenu de leur coût d'exploitation, ces appareils sont réservés en priorité à l'évacuation des blessés.

    Le projet de la DARPA a été baptisé Ares (du nom du dieu grec de la guerre) et il repose sur l'utilisation de drones capables de décollage et d'atterrissage vertical. Ces appareils seront pilotés à distance depuis un téléphone ou une tablette. Ils utiliseront deux hélices capables de basculer sur elles-mêmes pour pouvoir décoller et atterrir sur une zone d'atterrissage d'une superficie deux fois moins importante que celle requise pour un hélicoptère de même taille.

    Grâce à sa souplesse et à sa polyvalence, ce type de drone pourra s'adapter à différents types de missions : transport d'équipement, évacuation de blessés, surveillance aérienne ou reconnaissance. Sa charge utile devrait être d'environ 1 350 kg, soit 40 % de son poids brut au décollage.

  • un robot déguisé en bébé manchot

    Pas facile d'étudier la faune sauvage lorsqu'on est un balourd bipède harnaché de tout un tas d'appareils de mesure. Fort heureusement, les scientifiques sont des gens à la fois astucieux et dévoués. Prêts notamment à se déguiser, eux ou leurs appareils, pour approcher leur objet d'étude.

    Wired relaie ainsi l'invention ingénieuse d'un Français, Yvon Le Maho, spécialiste des manchots qui vit entre Strasbourg, Brest et l'Antarctique, comme le résumait ce portrait de 1997 de Libération. Pour étudier une colonie de manchots royaux, lui et son équipe ont récemment utilisé un robot... déguisé en bébé manchot! Recouvert d'un douvet tout doux, l'engin a moins effrayé les oiseaux qu'un robot présenté tel quel, écrit Cnet, en fibre de verre. Et a même pu approcher une «crèche», comme l'appellent les chercheurs, de bébés manchots!

    Dans un article publié dans le magazine Nature, Yvon Le Maho et son équipe racontent cette expérience, ainsi que les différentes réactions des manchots face aux robots. Pour les mesurer, les scientifiques avaient au préalable placé sur 34 de ces oiseaux un moniteur cardiaque dont les robots pouvaient capter le signal à distance, via une antenne RFID.

    A noter tout de même: si le robot nu a davantage effrayé la colonie, il reste moins perturbant qu'un humain:

     

    «[...] Le rythme cardiaque des oiseaux a moins augmenté et est retourné à la normale plus rapidement que lorsque la même tâche avait été effectuée par un humain avec un lecteur manuel», résume Wired.

    La même expérience a été menée auprès d'élephants de mer, qui n'ont visiblement pas bronché à l'approche du robot, même non camouflé, alors même «qu'ils réagissent fortement quand les humains [les] approchent», expliquent les chercheurs, cités par Wired (voir vidéo 3 sur Nature).

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    Ce n'est évidemment pas la première fois qu'une équipe tente de faire oublier sa présence sur un terrain d'observation grâce à l'astuce du camouflage. Nous avons tous en tête ces extraordinaires clichés d'employés du China Research and Conservation Center for the Giant Panda, déguisés en panda dans le but «de réduire le stress de l'animal et l'attachement aux humains», à en croire Andrea Muller de Pandas International, un organisme américain qui soutien le Centre chinois, cité par National Geographic. Le dévouement de ces employés irait même jusqu'au fait de s'asperger d'urine et de caca de pandas, poursuit le site.

    Moins extrême, National Geographic évoque également ces scientifiques qui se sont recouverts d'une couverture blanche pour voir si la pelisse pâle de l'ours Kermode (une espèce rare) lui permettait de mieux pêcher (apparemment oui); de ces observateurs qui placent un gant ressemblant à une grue; de tous ces robots qui ont un jour imité un crocodile ou un rocher.

     

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    Celle-ci n'a rien à voir avec ci-dessus: elle traînait dans mon ordi

     

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  • Dans la série: no futur.....

     

    cette vidéo a été réalisée en 2008

  • Accessibilité & handicap visuel : voici Qr Code Access.

    Qr Code Access est une solution innovante pour rendre accessible, grâce au Web, des informations et des contenus pour les personnes atteintes de déficience visuelle.

    Dans un souci d’assurer un accueil dans l’esprit de la loi 2005, QR Code Access propose de rendre accessible des informations pratiques à l’aide de page web conforme aux critères demandé par le W3C.

    Ces pages sont donc valides et codées en HTML5,WAI ARIA,CSS3 et utilise du javascript.

    QR code Access a utilisé également le RWD, Responsive Web Design, afin de permettre à l’affichage de s’adapter aux terminaux utilisés: smartphones, tablettes ou PC. Il est donc spécialement adaptée à l’ utilisation en mobilité.

    Une fois la page créée, Qr Code Access génère le QR Code associé.

    Ce QR Code peut être flashé et utilisé par tous, dès lors qu’il est visible au travers de: cartes de visite, supports publicitaires, publications commerciales, et bien sur, sur les lieux même.

    A l’aide d’un stickers possédant un repère en relief braille autour du QR Code, une personne déficiente visuelle peut flasher le code en toute autonomie, il suffit de lui placer entre les mains le code, et elle pourra accéder sur place à des informations pratiques qui seront lues par la synthèse vocale pré-installée dans le terminal mobile: par exemple au restaurant, elle accédera au menu du restaurant. Dans un festival, elle pourra accéder à un programme adapté. Les possibilités sont très nombreuses, et peuvent varier du menu de fast-food à la fiche immobilière accessible.

    QR Code Access a été pensé et réfléchi pour l’interaction avec des terminaux tactiles sous Talkback ou Voice Over, mais il fonctionne aussi avec NVDA et Jaws sur PC. De plus en plus de personnes déficientes visuelles se tournent vers l’apprentissage des terminaux tactiles et utilisent régulièrement un smartphone. Un smartphone se révèle être un très bon auxiliaire au quotidien: avec un iPhone ou un smartphone Android, un non voyant peut accéder à internet, suivre ses mails, lire la presse, utiliser des accessoires, des applications et même quelques jeux, scanner des produits,reconnaître des objets. C’est une révolution pour leur autonomie.

    Seule une très petite minorité des sites web mettent à disposition les normes d’accessibilité, et il faudra plusieurs années avant que ce faible pourcentage ne change significativement, dans ce contexte, QR Code Access propose une solution simple et facile à mettre en place, mais aussi économique et qui permet une présence sur le Web tout en assurant un accueil accessible.

    Il s’adresse aux commerçants, hôteliers, restaurateurs, structures culturelles, touristiques ou sportives, tous ceux qui reçoivent du public de manière permanente ou dans un cadre événementiel. Ce système est l’objet actuellement d’une campagne de financement participatif sur la plateforme de crowfunding KissKissBankBank. Cette campagne servira entre autres à financer l’achat de licences logicielles pour assurer certains développements et implémentations complémentaires, des nouveaux thèmes, mais aussi de terminaux pour mener tests et démonstrations.

    Comment la personne déficiente visuelle trouve-t-elle le QR Code?

    Sur place, nous proposons le stickers pour signaler le système, et permettre à toutes les personnes qui sont à proximité, de pouvoir flasher le QR Code: c'est le principe de l'universel.

    Pour la personne déficiente visuelle: lorsqu'elle arrive par exemple au restaurant, le serveur lui remet la carte et lui indique tout simplement ou se trouve le QR Code: "en bas de la page, à droite". De là, la personne peut aisément flasher le QR Code et devient libre de choisir tranquillement ses plats comme tout autre client.

    Vous pouvez soutenir QR Code Access en participant et en relayant le lien vers sa campagne de crowfunding auprès de vos contacts.

    Vous pouvez visualiser des exemples de page sur le site web de QR Code Access.

    http://www.kisskissbankbank.com/qr-code-access

    https://www.qr-code-access.fr

    Contact : postmaster@qr-code-access.fr

     

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  • Quelle imprimante 3D choisir en 2015 ?

    L’impression 3D promet beaucoup et quiconque s’y intéresse se rend compte de l’énorme potentiel de cette technologie.

    Par Yoan de Hautcastel.

     Selon l’analyse Wohlers, le marché de l’impression 3D semble marquer le pas après trois ans de croissance exponentielle. 2014 confirme cette tendance mais nous éclaire sur une évolution surprenante : contrairement à l’attente des analystes, c’est l’entrée de gamme, qui subit cette désaffection.

    Or l’industrie, américaine et chinoise essentiellement, a investi massivement dans le lowcost en 2014 afin de proposer du makerbot mais moins cher. Des machines carrossées et plus simples à utiliser. Ainsi, A4 technologie, gros revendeur français mise beaucoup sur sa 3D UP BOX, vendue tout de même presque 1800€ (prix de lancement).

     

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     Les freins à l’adoption massive de l’impression 3D dans les foyers sont la complexité et le prix. C’est ce que toutes les études successives martelaient. Alors que l’industrie semble répondre aux attentes des consommateurs, quelles sont les raisons de ce repli ? Pourquoi ce marché potentiellement énorme marque-t-il le pas ?

    Selon Henri Queuille, les promesses n’engagent que ceux qui les écoutent. L’impression 3D promet beaucoup et quiconque s’y intéresse se rend compte de l’énorme potentiel de cette technologie. Cependant il faut se rendre à l’évidence : malgré d’indéniables progrès, les machines d’entrée de gammes restent onéreuses et totalement inefficaces. Tout au plus, le particulier qui cède à la tentation pourra reproduire sans trop de peine, la crotte que le geek têtu aura eu tant de mal à imprimer avec son modèle d’imprimante Open Source.

     

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    Avec de l’entrée de gamme, il faut s’accrocher pour imprimer un objet…

    Avec un brin de mauvaise volonté, un journaliste du Temps, quotidien Suisse, témoigne des difficultés pour un débutant, d’imprimer en 3D avec une imprimante 3D vendue en grande surface. L’article relate une bonne partie des difficultés que rencontre tout débutant. Il n’y a rien de faux hormis la concentration des problèmes réunis au sein d’une seule expérience. Un brin exagéré certes mais pas délirant. Que d’effort, de temps et d’argent pour un buste de Yoda ou, en l’occurrence d’une figurine d’hippopotame…

    Les différentes études omettent toutes d’interroger les primo acheteurs ; pas les curieux qui suivent les tendances mais ceux qui ont pris conscience du potentiel et des contraintes techniques nécessaires pour le réaliser. En d’autres termes pour réaliser des impressions 3D satisfaisantes et utiles, il faut démultiplier son budget. L’impression 3D n’est pas prête à partir à l’assaut des particuliers mais elle débarque en force dans l’entreprise.

    Une fois de plus, l’innovation de vient pas des leaders mais de startups et aujourd’hui, les deux machines qui sortent largement du lot sont l’ECV-One de chez E-Crew Vis, jeune entreprise française dont les ventes explosent et la 3NTR A2 de chez 3NTR dont le site pourri ne reflète en aucune façon la qualité de leurs produits…

     

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    L’imprimante 3D 3NTR A2 de chez 3NTR

     

    l’ECV One dispose de deux extrudeurs et la 3NTR A2 en aligne trois. Indépendamment de celle qui a la plus grosse, notre choix se positionne en faveur de la machine de chez E-Crew Vis pour la passion et la compétence des jeunes français mais aussi pour certains détails qui font la différence comme le filtre à particules, bien utile quand on extrude de l’ABS, la facilité d’intervention et l’écran tactile, très intuitif. Cela dit, les deux imprimantes vous donneront entière satisfaction. Difficile, sinon impossible de rater une impression avec ces modèles.

    Bien entendu, le ticket d’entrée, bien que très raisonnable pour cette gamme de matériel, commence à 4500 euros hors taxe. Le prix, le poids et la taille rendent rédhibitoire leur accès au salon du particulier ou même dans un bureau. Cependant, si vous comptez créer votre entreprise ou étendre vos activités professionnelles à l’impression 3D, ces deux modèles sont incontournables.

    Cependant, n’existe-t’il pas malgré tout, une imprimante 3D de salon ou de bureau que je puisse m’offrir à Noël sans regretter mon achat ? Vais-je pouvoir imprimer autre chose qu’une crotte ayant vaguement l’aspect d’un buste de Yoda ?

     

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     Nous avions testé l’imprimante 3D Creatr de chez LeapFrog. Cette imprimante présente la caractéristique d’être très robuste et est présentée comme une imprimante 3D semi-professionnelle. Son tarif très raisonnable, surtout compte tenu de la qualité des matériaux et de sa finition irréprochable en font une championne potentielle. Néanmoins, la technologie de son lit d’impression est dépassée et l’adhérence du filament au plateau, fut-il du PLA, laisse à désirer.

     

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     Comme en 2014, la reine de l’entrée de gamme, reste l’Ultimaker 2, outre une bonne précision, cette imprimante offre tout ce que l’on est en droit d’attendre d’une telle machine

    consommable (filament) ouvert. Bannir toute technologie propriétaire

    logiciel ouvert

    connecteur réseau et/ou wifi

    précision

    fonctionnement silencieux

    robustesse

    vaste plateau d’impression

    réglages par défaut

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    Si la précision est votre priorité, alors la championne est la spiderbot dont l’originalité réside dans la liaison des bras articulés soutenant l’extrudeur: les rotules sont magnétiques. Elle évite ainsi les courroies ou les vis sans fin qui nécessitent parfois quelques réglages. C’est également cette particularité qui lui permet d’atteindre une précision hors du commun pour une machine de cette gamme.

     

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     Si, malgré toutes mes mises en garde, vous persistez dans votre désir d’apprendre et que votre choix se porte sur de l’Open Source, alors je ne saurais trop vous conseiller d’investir tant dans la machine que dans le service après vente. Tobeca, dont j’avais interviewé le dirigeant il y a quelque temps, s’impose: bonne machine couplé à un SAV qui ne vous laissera pas tomber.

     

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    https://www.contrepoints.org/2014/10/30/186439-quelle-imprimante-3d-choisir-en-2015