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  • Les faits sont têtus!

    François Kersaudy: "Quand arrachera-t-on les racines du terrorisme en France?"

    Les gouvernements de gauche et de droite ont eu leur lot d’attentats. Aucun n’a pris à temps les mesures adaptées à la situation, relève François Kersaudy, historien et chroniqueur au Point. Une situation de violence et de délinquance qui dure depuis 40 ans.

     [...] Que ce soit sous des gouvernements de gauche ou de droite ne fait rien à l’affaire : tous ont eu leur lot d’attentats destinés à semer l’épouvante, et aucun n’a pu prendre à temps les mesures adaptées à la situation. [...]

    Il reste pourtant que le gouvernement ne peut agir que dans le cadre des institutions, des structures, des lois et des contraintes existantes, et que c’est sous cet éclairage qu’il faut considérer les événements de Nice. Voici par exemple un citoyen tunisien bénéficiant d’un titre de séjour temporaire, défavorablement connu des services de police pour menaces, dégradations, vols, violences conjugales et agression ayant entraîné une condamnation judiciaire à six mois d’emprisonnement avec sursis.

    Dans plus de 130 pays au monde, de tels exploits auraient justifié une incarcération plus ou moins longue, suivie d’une expulsion immédiate vers le pays d’origine.

    En France, c’est impossible : le maquis des lois, la pusillanimité ou la compassion des juges, le formalisme et l’engorgement des tribunaux, le foisonnement d’associations de défense du délinquant étranger, la culpabilité post-coloniale, l’antiracisme agressif et sélectif, le droit-de-l’hommisme idéologique, l’absence de contrôles aux frontières, l’hostilité à l’égard des forces de l’ordre, la suppression de la double peine à l’initiative du président Sarkozy, les directives européennes hors-sol, l’omniprésence de médias obnubilés par la quête du sensationnel, le tabou de l’amalgame et le culte de la bien-pensance – autant d’éléments qui se conjuguent de longue date pour assurer la pérennité et la prospérité en France de la délinquance comme de la criminalité crapuleuse et pseudo-religieuse.

    Cette délinquance et cette criminalité, ce n’est pas depuis quatre ans, mais bien depuis quarante ans qu’elles prospèrent et se multiplient dans quelque 700 zones de non-droit , laissées en marge de la République par l’angélisme, l’électoralisme, la démagogie, l’assistanat, l’immigration massive, les petites concessions, les grandes lâchetés, les petits trafics et les grandes émeutes. C’est également depuis quarante ans que des juges, des professeurs, des syndicalistes, des éducateurs et autres idéologues d’extrême gauche se sont crus habilités à contester et à affronter l’État, afin de promouvoir une société utopique à leur convenance. [...]

    Le Point

  • La soumission....

    Reims : un centre de loisirs demande aux fillettes de porter un short sous la jupe

    Un centre de loisirs demande de mettre "un short sous la jupe "de leur fille de 4 ans pour éviter" des situations complexes à gérer". Les parents s’indignent, le Nouvel Obs s’interroge: "sexisme ou maladresse"?

    En fin d’après-midi, lundi 18 juillet, Alice et son mari viennent récupérer leur petite fille de quatre ans au centre de loisirs des Trois Piliers, à Reims. Sans commentaire, un animateur leur remet un mot qu’ils glissent dans le cartable de leur fille avant de partir. Une fois à la maison, les parents découvrent son contenu. Le programme du séjour, et puis cette instruction qui détonne:

    " Nous vous demandons de mettre soit des shorts, pantalons ou de mettre un short sous la jupe de votre fille car dans le groupe des plus de 6 ans notamment cela permettra à votre enfant déjà d’avoir une meilleure mobilité pour les activités et sachez que nous avons des enfants de 10 à 12 ans qui peuvent avoir un comportement déplacé avec une petite fille dont la jupe se soulèverait. Nous voulons juste éviter des situations complexes à gérer“.

    "En voyant ce mot, j’étais très en colère. La responsabilité était déplacée du côté des petites filles qui portent des jupes. Je comprends que le rôle de l’animateur n’est pas d’éduquer les enfants mais il peut dire ‘non’ à un garçon s’il embête une fille parce qu’elle a une jupe. Lui expliquer qu’il ne faut pas soulever la jupe d’une fillette ou l’embêter à cause de cela".

    La publication sur Facebook était destinée "aux proches seulement". Mais elle a été récupérée par une tierce-personne à l’insu d’Alice, et a été partagée sur Twitter plus de 4.300 fois. "Ce message a pris des proportions qui m’ont dépassée", confie la mère. [...]

    Le Nouvel Obs

  • Prévention de la transmission par les moustiques

    Il n’y a pas de vaccin ou d’immunoprophylaxie qui protège contre les infections par le virus Zika. Le CCMTMV recommande que tous les voyageurs qui se rendent dans des régions à risque doivent être avisés de respecter strictement les recommandations concernant l’utilisation de mesures de protection individuelle contre les piqûres de moustiques (voir ci-dessous).

    Étant donné que les moustiques qui transmettent le virus Zika peuvent piquer à n’importe quel moment (y compris pendant les heures de jour), des mesures de protection individuelle devraient être utilisées tout au long de la journée et de la nuit. L’adoption des mesures de protection individuelle fournira une protection contre le virus Zika ainsi que contre d’autres maladies vectorielles associées, comme le paludisme, la dengue et le chikungunya. Les recommandations en matière de mesures de protection individuelle se trouvent dans la Déclaration relative aux mesures de protection individuelle pour prévenir les piqûres ou morsures d’arthropodes du CCMTMV Note de bas de page 17. Ces recommandations sont résumées comme suit :

    Mesures de protection individuelle pour prévenir les piqûres ou morsures d’arthropodes

    1) Couvrez-vous :

    Portez une chemise ample de couleur claire à manches longues rentrée dans un pantalon, des chaussures ou des bottes (évitez les sandales) et un chapeau.

    2) Utilisez un insectifuge sur la peau exposée :

    Il est recommandé que les adultes utilisent des insectifuges contenant du DEET (20-30 %) ou de l’icaridine (20 %).

    Il est recommandé que les enfants âgés de six mois à douze ans utilisent des insectifuges contenant de l’icaridine (20 %). Comme autre option, ce groupe d’âge peut utiliser des insectifuges présentant des concentrations de DEET appropriées à son âge selon l’étiquette. Depuis la publication des lignes directrices en matière de mesures de protection individuelle le p-menthane-3,8-diol (20 %) est maintenant offert au Canada et il représente une option.

    Si les piqûres ne peuvent pas être évitées en utilisant une barrière physique, envisagez d’utiliser jusqu’à 10 % de DEET ou d’icaridine pour les enfants de moins de six mois.

    3) Protégez les lieux de vie de l’entrée des moustiques :

    Séjournez dans une chambre climatisée bien protégée par des moustiquaires ou complètement fermée.

    Réduisez vos risques dans les lieux de travail et d’hébergement en fermant les avant-toits, en éliminant les trous dans les murs et les toits, et en fermant toutes les autres ouvertures.

    4) S’il est impossible d’empêcher l’entrée des moustiques dans les lieux de vie (p. ex. par des moustiquaires):

    Utilisez une moustiquaire (p. ex. pour dormir ou se reposer à l’intérieur), de préférence imprégnée d’insecticide.

    Des moustiquaires peuvent également être utilisées pour protéger les enfants dans leur parc, berceau ou poussette.

    Les moustiquaires fourniront également une protection contre des maladies comme le paludisme.

    5) Appliquez de la perméthrine (insecticide) sur les vêtements et les autres accessoires de voyage pour une meilleure protection :

    Bien que les traitements à la perméthrine pour les vêtements ne soient pas grandement accessibles au Canada, les cliniques de santé des voyageurs peuvent vous indiquer comment acheter de la perméthrine et du matériel prétraité avant ou pendant votre voyage.

    Les traitements des vêtements à la perméthrine sont efficaces pendant plusieurs lavages.

    Suivez toujours les instructions figurant sur l’étiquette lors de l’utilisation de la perméthrine.

    Évitez de vaporiser la perméthrine directement sur la peau.

     

    La sécurité des insectifuges, des moustiquaires imprégnées d’insecticide et des vêtements traités à la perméthrine/des traitements des vêtements à la perméthrine ont été examinées au Canada ou aux États-Unis. Leur sécurité est établie pour les enfants, les femmes enceintes et celles qui allaitent, s’ils sont utilisés conformément aux instructions figurant sur l’étiquette.

    Prévention de la transmission sexuelle

    L’ARN du virus Zika a été détecté dans le sperme deux mois après la fin de la maladie aiguë Note de bas de page 16,Note de bas de page 57. On ne sait ni combien de temps peut durer l’élimination virale dans le sperme, ni à quelle fréquence cela peut se produire lorsque l’infection est asymptomatique, ni la facilité avec laquelle le virus peut être transmis par contact sexuel. Cependant, le nombre de rapports indiquant une transmission sexuelle montre une augmentation, ce qui suggère que cette voie de transmission ne serait pas rare. Utilisés correctement, les condoms réduisent au minimum le risque de transmission sexuelle.

    Femmes enceintes et leur partenaire masculin

    Lorsqu’un voyage dans une région à risque ne peut être évité, les femmes enceintes et leurs partenaires masculins devraient pratiquer l’abstinence ou utiliser des condoms jusqu’à ce qu’on en sache davantage  au sujet de l’élimination prolongée du virus Zika dans le sperme.  Si un homme s’est rendu dans une région à risque, ce couple doit également pratiquer l’abstinence ou utiliser des condoms (y compris après son retour) pendant la durée d’une grossesse.

    Couples prévoyant une grossesse

    Compte tenu des renseignements actuels sur la période d’incubation et la durée de la virémie ainsi que de l’incertitude concernant la durée de la persistance virale dans les tissus, les femmes qui souhaitent devenir enceintes devraient attendre au moins deux mois après leur retour d’une région à risque avant de tenter de concevoir un enfant. Pour un couple où le partenaire masculin s’est rendu dans une région à risque, il est raisonnable d’attendre six mois avant d’essayer de concevoir un enfant.

    Couples dont la femme n’est pas enceinte ou ne prévoyant pas actuellement une grossesse

    Les hommes qui reviennent d’une région à risque et qui désirent réduire la possibilité de transmission sexuelle à leur partenaire (en dehors du contexte d’une grossesse) peuvent le faire par l’utilisation appropriée des condoms. Même si, jusqu’à présent, la transmission n’a été signalée qu’après une infection symptomatique, et même s’il est plausible que le risque après une infection asymptomatique est plus faible, il n’existe pas de données à l’appui de la formulation de recommandations différentes pour les hommes symptomatiques ou asymptomatiques. L’utilisation de condoms confère probablement la plus grande protection dans les premières semaines suivant la maladie, mais compte tenu de la possibilité de la persistance à long terme dans le sperme, elle devrait être envisagée pendant les six mois suivant le retour d’une région à risque.

    Analyses en laboratoire dans le contexte de la prévention de la transmission ou de la surveillance des femmes enceintes

    Les analyses en laboratoire pour l’infection par le virus Zika sont entièrement décrites ci-dessous. En théorie, selon les renseignements issus d’autres infections virales semblables, l’absence d’anticorps anti-virus Zika spécifiques au moins deux semaines après la dernière exposition possible signifie que la personne n’a jamais été infectée, et qu’elle n’est pas contagieuse pour son partenaire sexuel ni pour le fœtus. De telles personnes séronégatives peuvent envisager l’abandon du suivi intensif des complications liées au virus Zika pendant la grossesse ainsi que des mesures pour prévenir la transmission sexuelle. L’absence d’ARN du virus Zika dans un échantillon de sperme pourrait indiquer l’absence de contagiosité, mais il n’existe pas de données à l’appui de cette pratique à l’heure actuelle. Le risque théorique de faible sensibilité de l’analyse pour certaines souches du virus Zika demeure. Toutefois, à l’heure actuelle, les tests sérologiques et la détection de l’ARN au Canada ne sont accessibles que pour les personnes symptomatiques et les femmes enceintes. Le dépistage des personnes asymptomatiques (hommes ou femmes non enceintes) n’est pas systématiquement offert.

    Traitement

    Il n’existe à l’heure actuelle aucun traitement antiviral précis pour traiter une infection par le virus Zika. Le traitement en est un de soutien et consiste en la prescription d’antipyrétiques (acétaminophène durant la grossesse), d’une hydratation et de repos. L’aspirine et autres médicaments anti-inflammatoires non stéroïdiens (AINS) sont à éviter jusqu’à ce que le diagnostic de la dengue puisse être écarté afin de réduire le risque d’hémorragie

    En général, la maladie symptomatique dure sept jours ou moins. Des soins médicaux d’urgence sont recommandés en présence de tout symptôme associé au SGB, et il importe que les fournisseurs de soins de santé soient informés des voyages récents du patient dans une région où circulent le virus Zika et/ou les symptômes de cette infection.

    Advenant une infection par le virus Zika confirmée pendant la grossesse, une consultation auprès d’un spécialiste de la médecine fœto-maternelle ou d’un infectiologue sera demandée. La présence d’une microcéphalie, de calcifications intracrâniennes ou d’autres anomalies requiert les conseils appropriés d’un néonatalogiste et d’un spécialiste pédiatrique en maladies contagieuses prodigués aux parents au sujet du développement neurologique potentiel de leur nourrisson.

     

  • Envoyé par une amie, perso, je ne parle que Français

    “j'ai vérifié la traduction, c'est exact, d'après cet article: http://www.n24.de/n24/Nachrichten/Panorama/d/8777854/-habe-vom-recht-gebrauch-gemacht--meine-frau-zu-toeten-.html

    L'homme a 3 enfants de 3 à 8 ans, il a étranglé sa femme pensant qu'elle le trompait... On ignore si les enfants ont vu la scène

    "J'ai usé de mon droit de tuer ma femme.

    Il ne comprend pas pourquoi on le mets en prison!

    "Ich habe von meinem Recht Gebrauch gemacht, meine Ehefrau zu töten." Warum er ins Gefängnis komme, habe er nicht verstanden.

    C'est sur que les mœurs européennes sont plus "rudes" qu'ailleurs...

    au Moyen-Age, en France, celui qui violait une prostituée (ou une non prostituée), était condamné à mort...

    http://www.fdesouche.com/746097-jai-use-de-mon-droit-tuer-ma-femme-explique-jumaah-k-refugie-irakien-en-allemagne

  • Ben voyons!

    Un jeune djihadiste français, très connu des services de renseignement, se serait rendu aux autorités turques, selon BFMTV. L’homme de 23 ans avait rejoint le Front al-Nostra puis Daech, où il est vite monté dans la hiérarchie. Il figure sur la liste noire des terroristes les plus dangereux établie par l’Organisation des Nations Unies (ONU).

    L’homme est soupçonné d’avoir mis en place un système de financement du terrorisme et d’avoir été un recruteur de femmes pour les rangs djihadistes. Il a notamment recruté l’une de ses épouses, qu’il avait fait venir en Syrie alors qu’elle était encore mineure.

    Depuis quelques mois, ce djihadiste a exprimé son souhait de revenir en France pour se repentir. Toujours selon BFMTV, il avait contacté les autorités depuis la Syrie pour leur expliquer qu’il préférait les prisons françaises à “ces malades“ de Daech. Avec ses quatre épouses et leurs sept enfants, il s’est rendu aux autorités turques.

     

    (…) Le Parisien

    Fdesouche

     

     

  • Pendez-les à un croc de boucher!

    Suède: 35 filles âgées de 12 à 17 ans agressées sexuellement par des migrants lors d’un festival

    Une fille de 17 ans a raconté l’épreuve qu’elle a subie après qu’une foule de "jeunes étrangers" a agressé sexuellement des dizaines de filles au cours d’un festival de musique en Suède.

    Au moins 35 victimes âgées de 12 à 17 ans ont signalé avoir été attaquées durant le festival "Party in the Park" à Karlstad, à 400 kilomètres de Stockholm, dans le comté suédois du Varmland, vendredi et samedi soir.

    Certaines des victimes présumées ont rapporté avoir été "embrassées et tripotées" lors de scènes similaires aux attaques du nouvel an à Cologne, au cours desquelles des dizaines de femmes affirmèrent avoir été agressées.

    L’une des victimes (17 ans) a renoncé à son droit à l’anonymat pour décrire comment un assaillant l’a ciblée pendant qu’elle regardait le concert.

    Alexandra Larsson a raconté au MailOnline qu’elle a été agressée vendredi soir alors qu’elle avait hâte d’assister au festival depuis des mois.

    Elle dit: "Tout allait bien au début de la soirée. Mais tout est parti en vrille pendant le dernier concert de John de Sohn qui a commencé à minuit. D’abord, on a été poussés contre la scène par une foule énorme. Tout le monde autour de nous se comportait vraiment mal et mes amis ont demandé à deux garçons de se calmer.

    Ils ont été alors menacés par ces garçons qui ont dit "tu vas mourir, salope". Mais les injures n’étaient qu’un début. Les choses allaient empirer. Nous avons réussi à nous éloigner de ces garçons au bout d’un moment et nous avons regardé le concert. C’est là que j’ai senti le premier contact contre mes fesses. Ensuite, quelqu’un s’est permis de serrer mes fesses très fort. Je me suis retournée pour dire au groupe de garçons derrière nous que ce n’était pas bien d’agir ainsi, mais je ne savais pas qui avait fait ça. Quelques instants plus tard, j’ai senti que quelqu’un faisait courir ses doigts entre mes jambes et touchait mes parties génitales. Par chance, je portais un jean“.

    Après ce harcèlement, elle s’est retournée pour dire au groupe de jeunes qui se tenaient à coté d’elle qu’ils devraient arrêter de faire ça. Mais tout le monde autour d’elle clamait son innocence.

    Ça a recommencé, dit-elle.

     "Je me suis retournée et j’ai hurlé" peu importe qui c’est – tu es un porc! ". J’ai raconté à mes amies ce qui s’était passé; elles étaient toutes choquées. Mes amies et moi avons décidé de quitter le concert car on ne pouvait pas voir qui faisait ça. C’était noir de monde.

    Mlle Larsson décrit un sentiment d’impuissance tandis que le festival qu’elle et ses amies attendaient depuis si longtemps était complètement gâché.

    "C’était glauque. Il y avait quelqu’un autour de moi qui me tripotait et je n’avais aucune idée de son identité. C’était dégoûtant. Nous étions venues pour nous amuser, mais notre festival n’aura duré que 20 minutes car nous nous sentions très mal à l’aise“.

    "C’était d’abord un peu innocent, on me touchait les fesses. C’est quelque chose qu’on peut faire par erreur au milieu d’une foule immense. Mais c’est devenu de pire en pire. Celui qui me touchait allait plus loin à chaque fois“.

    Elle dit que les garçons autour d’elle avait 17-18 ans. Mais "ceux qui se trouvaient derrière moi n’étaient pas d’origine suédoise. C’était probablement des immigrés. Je déteste dire ça, mais c’est la vérité“.

    "J’ai signalé tout ça à la police, mais j’ai l’impression que c’est une goutte d’eau dans l’océan. J’ai vu des filles sortir en pleurant, dont une amie d’enfance qui a deux ans de moins que moi. Elle pleurait tant que j’en avais le cœur brisé. La  même chose lui est arrivée devant la scène. Une bande d’adolescents cachés dans la foule l’avait attrapée par les fesses, les seins et les parties génitales. Je pense qu’au moins des centaines de filles ont été agressées durant le festival. Il y a probablement des tas d’incidents non répertoriés. Des filles ayant peu d’estime pour elles-mêmes pourraient penser que tout est de leur faute, qu’elles ont peut-être fait quelque chose de mal qui a provoqué tout ça. Mais elles ont ort. Personne ne peut toucher une femme sans recevoir sa permission“.

     

    "J’ai entendu parler d’autres filles qui avaient été tripotées durant des festivals précédents. Mais l’avoir subi m’a rendu malade, surtout parce que c’était si brutal. C’était comme un coup de poing en plein visage. Je voyais des filles qui pleuraient partout autour de moi quand j’ai quitté le festival. Je ne sais pas si toutes avaient été agressées, mais la plupart d’entre elles avaient subi des violences sexuelles devant la scène“.

    Mlle Larsson dit qu’elle est "assez forte pour faire face", mais ajoute: "Quand une fille de 14 ans qui n’est pas aussi forte devient une victime, elle risque d’être totalement détruite. C’est ça qui me dégoûte. Ça arrive tout le temps mais on ne peut rien faire. Je ne sais pas quoi penser, c’est tellement mal. Tout le monde pense que c’est mal mais rien ne se passe. Il y a des grands festivals avec des milliers de participants et ces incidents de masse créent un sentiment d’impuissance autant pour la police que les agents de sécurité, et surtout pour les visiteurs qui deviennent des victimes“.

    "Les responsables savent qu’ils demeureront anonymes au milieu de la foule et qu’ils échapperont aux poursuites pour crimes sexuels. C’est le problème principal, que les responsables s’en tirent“.

    "Ce n’est pas bien. Je devrais pouvoir me rendre à des festivals et m’amuser comme n’importe qui d’autre sans avoir peur. C’est mal, vraiment mal, c’est le sentiment que j’ai après les évènements d’hier. C’est très dur pour des gens ordinaires qui souhaitent s’amuser de souffrir parce que d’autres pensent que les violences sexuelles sont quelque chose d’amusant“.

    Elle croit que le problème est en train de s’étendre "car les assaillants savent qu’ils ne seront pas arrêtés“.

    Mais elle ajoute que la police a pris l’affaire " très au sérieux " lorsqu’elle a signalé l’incident et espère que ça va déboucher sur quelque chose.

    "Je ne viendrai plus à ce festival. J’étais si mal à l’aise, je ne veux pas prendre le risque que ça se reproduise“.

     "J’en ai parlé à mon père et à mes trois frères. Ils étaient dévastés d’apprendre ce qui s’était passé. Surtout mon père qui m’a dit que les hommes normaux savent qu’ils n’ont pas le droit de toucher des femmes qui ne le veulent pas. Il ne comprend pas quels sont les repères moraux de ces garçons“.

    La police a indiqué que les auteurs de ces agressions étaient des "hommes jeunes, des étrangers".

    Ils ont arrêté deux garçons qui vivent non loin, dans un centre de réfugiés pour mineurs isolés de leurs parents.

    Le tabloïd Expressen a parlé avec une mère inquiète qui a affirmé qu’un agent de sécurité a répondu à sa fille "c’est juste un truc qui arrive dans les festivals", lorsque celle-ci s’est plainte d’avoir été agressée. Sa fille a décrit ce qui lui était arrivé. Elle a ajouté: "J’étais debout en train de danser lorsqu’un type est venu par derrière, m’a plaquée au sol et se frottait contre moi. C’était horrible“.

    Selon Breitbart, le promoteur du festival a indiqué qu’il trouvait que le comportement de son staff était inacceptable, qu’ils devraient perdre leur agrément d’agents de sécurité.

    24 agressions présumées ont eu lieu durant le festival, 11 autres à la fin, selon Breitbart.

    Les incidents ont eu lieu une semaine après que la police suédoise a lancé sa nouvelle campagne contre les agressions sexuelles. L’objectif principal de la campagne était de distribuer des bracelets "Don’t molest" ("pas d’agression sexuelle" dans les festivals et de lancer un hashtag sur Twitter, #tafsainte ("ne tripotez pas").

    Daily Mail

    (Merci à Propatria pour la traduction) - Lu sur Fdesouche

    Selon la police, les attaques se sont produites au cours du festival  Party in the Park“‘

    Les autorités ont déclaré que les auteurs sont des "jeunes hommes étrangers“‘

    Les agents ont arrêté deux garçons vivants dans un centre d’asile à proximité

    Une victime, Alexandra Larsson, 17 ans, a renoncé à l’anonymat pour décrire son calvaire

    Daily Mail