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france - Page 27

  • Quand ils se font justice eux-même....

    Maison squattée à Garges-lès-Gonesse : "C’est grâce à la cité qu’il a récupéré sa maison !"

    Mobilisés sur les réseaux sociaux, plusieurs habitants du quartier de la Lutèce sont intervenus ce mercredi pour évacuer la maison de Youcef, impuissant face au squat d’un groupe de Roms depuis novembre.

    La maison de Youcef, à Garges-lès-Gonesse, n’est plus squattée. Ce mercredi soir, une dizaine de jeunes du quartier de la Lutèce garde le pavillon qu’occupait il y a encore quelques heures un groupe d’individus qui avait pris possession des lieux fin novembre. La nouvelle a fait de tour des réseaux sociaux. De nombreux véhicules s’arrêtent dans la petite rue pavillonnaire pour saluer les jeunes. " Ça y est on les a virés ! ", annonce, fier de lui l’un d’entre eux.

    Youcef, le propriétaire qui n’habite plus ici depuis plusieurs années, expliquait dans notre édition de mardi qu’il avait été prévenu par les policiers que sa maison était squattée par des Roms. Ces derniers lui avaient indiqué ne plus pouvoir intervenir car les squatteurs occupaient les lieux depuis plus de 48 heures. Il devait donc se résoudre à engager une procédure civile aux délais incertains.

    La rage qu’il exprimait il y a quelques jours a disparu. Il semble déconcerté, mais pas malheureux. " J’étais à la maison cet après-midi [mercredi]. Un voisin m’a appelé pour me dire qu’il y avait un groupe de jeunes du quartier qui voulait vider les occupant ", indique-t-il. Il raconte qu’une précédente confrontation entre des gens prêts à l’aider et les occupants avait déjà eu lieu la veille. Les squatteurs auraient alors accepté de partir lundi. Mais les jeunes du quartier ne leur ont pas accordé autant.

    C’est ce mercredi après-midi qu’ils se sont rendus sur place, interpellés sur Snapchat par Bassem, un blogueur de la région lyonnaise, qui a depuis diffusé une autre vidéo pour les féliciter. On y voit les occupants se faire sortir de la maison sous les insultes. " Il a fait une annonce et tous les jeunes du quartier se sont mobilisés ", raconte Kamel*. " J’ai entendu parler de ça sur les coups de 15 heures, j’ai pété un câble, complète Yacine*, encore énervé. Avec mon équipe, on les a tous dégagés. " Tous racontent, vidéo à l’appui, que la police est intervenue pour interpeller plusieurs jeunes.

    Les Roms seraient alors revenus dans le pavillon. " Ils étaient une quinzaine à l’intérieur de la maison, mais ils ont appelé des renforts, ajoute un autre. De notre côté, toute la cité est venue. " Il indique qu’ils totalisaient environ 40 personnes. Il assure que leurs adversaires se tenaient une main dans leur veste comme pour indiquer qu’ils étaient armés. De leur côté, les jeunes évoquent leurs propres moyens d’intimidation : fusil à pompe, Tokarev, chiens. L’un d’eux exhibe une photo de lui prise armes à la main.

    L’un des jeunes observe une camionnette qui vient de passer devant la maison. " Ils repassent encore ! Toute la nuit, il faudra qu’on surveille ", siffle-t-il. " On dit qu’à cause de la cité, il n’y a pas de sécurité, mais c’est grâce à la cité qu’il a récupéré sa maison ! ", plastronne un autre. Plus loin, Youcef plaisante avec un voisin. " Je vais tout cadenasser ", annonce-t-il.

    (*) Les prénoms ont été modifiés.

    http://www.leparisien.fr/val-d-oise-95/garges-les-gonesse-les-squatteurs-de-la-maison-deloges-par-des-jeunes-du-quartier-31-01-2018-7534278.php#xtor=AD-1481423553

     

    QUAND CESSERA-T-ON DE MARCHER SUR LA TÊTE?

    D'un autre côté, qu'attendent les politiques pour supprimer cet article de loi qui permet à tous les emmerdeurs de France et de Navarre de se croire autorisés à s'installer dans une maison qui ne leur appartient pas?

    Cela arrive trop souvent.... et les assocs de merde conseillent un peu trop certaines raclures de la société à violer les lois de la République Française et à profiter d'une faiblesse juridique.... cela n'a plus rien à voir avec la charité que l'on doit aux mendiants.

    Ceux qui crachent sur Jésus et les cathos et qui se permettent de faire croire que de squatter une église protège (on est plus au Moyen-Age) et que l'on doit la charité à ceux qui meurent de faim, ça les aide bien ce genre de lois d'antiquité alors qu'ils se croient dans un Nouveau Monde (et lycée de Versailles);

    Pour dire, l'ancien avait du bon (quand ça les arrange!). Dehors les anars de tous mauvais poils; Si vous n'êtes pas heureux en France, allez voir ailleurs où la liberté est bafouée et où vous ferez ce que vous voulez puisque vous vous croyez si fort avec vos manches de pioche....

    moi, je dis que ces assocs diverses et avariées sont à dissoudre et disperser hors de France: mauvais français, collabos, 5e colonne etc....

    Le régime vichyste est toujours là, grâce à tout un tas de thuriféraires à la mentalité de sous-merde collaborationnistes ultra-gauchistes et itou! je n'arrive pas à comprendre comment fonctionne la cervelle de ces traitres à la France!

    Tu leur mets un fusil en mains pour sauver la Patrie si elle était attaquée ou envahie comme en 40 et ils s'enfuient à toutes jambes en criant "maman!".

    Bande de larves à la peau du ventre bien tendue!... et à la cervelle de betterave pourrie.

     

     

  • Rétablir la vérité...

    Éric Zemmour: " Mon constat et mon diagnostic sont désormais la norme"

    La Cour de cassation a annulé la condamnation d’Éric Zemmour pour ces propos tenus en 2014 dans le quotidien italien Corriere Della Serra :  " Il y a des millions de personnes qui vivent en France sans vouloir vivre à la française. Les musulmans ont leur propre Code civil : le Coran. Ils vivent entre eux, dans les périphéries. Les Français ont été obligés d’en partir ".

    Procureur du tribunal correctionnel de Paris, Annabelle Philippe s’était muée en militante politique au cours d’un réquisitoire stupéfiant, dans lequel elle soulignait que les propos " stigmatisants et sans nuance " d’Eric Zemmour avaient " pour objet principal d’opposer les musulmans et les Français ". Elle avait même ajouté qu’on pouvait se demander si Eric Zemmour ne nourrissait pas le funeste dessein de " mettre en place tout ce qu’il faut (pour arriver à une guerre civile) ". Aujourd’hui, la Cour de cassation a dit le droit, renvoyant le tribunal et la Cour d’appel à leurs études.

    Éric Zemmour a accepté de répondre à nos questions.

    Le procès politique n’est-il pas la dernière arme d’idéologues aux abois, refusant le réel?

    Éric Zemmour : Non, ce n’est pas la dernière de leurs armes : c’est l’arme principale utilisée dans le cadre d’un combat visant à faire taire les opposants. C’est la terreur du pauvre. On emploie la justice pour imposer le silence. Le réel n’intéresse pas Yann Moix ou ceux qui me font des procès. Pour ces gens, le réel n’existe pas, il n’est qu’une création du verbe. Ils pensent d’ailleurs que je n’exprime pas ce qui existe réellement, mais que j’essaye d’endoctriner les Français, qu’il suffirait de me faire taire pour que la réalité n’existe pas. Mais je ne suis qu’un messager.

    Mais la parole s’est libérée, sans doute grâce à vous : regardez Souâd Ayada, la nouvelle présidente du Conseil supérieur des programmes qui n’a pas hésité à dénoncer le manque d’objectivité des manuels d’histoire-géographie sur la question islamique.

    Mon constat et mon diagnostic sont désormais la norme ! Ce que je disais il y a quelques années est devenu banal. Tout le monde le pense. Regardez Ariane Chemin qui a sorti un livre sur les quartiers, s’étonnant que la ville de Trappes soit entièrement islamisée. Même elle voit le problème. Mais c’est Martine en banlieue ! J’ai peut-être contribué à une libération de la parole mais je ne suis pas optimiste. Car, si tout le monde sait, aucune mesure n’est prise. Rien n’est fait. Je ne voudrais pas m’abandonner au point Godwin, mais rappelons-nous la période 35-36 en Rhénanie. Là encore, tout le monde avait compris. Et que s’est-il passé? On n’a pas envoyé les chars. On a tergiversé. On a perdu du temps. Vous connaissez la suite. Il y a quantité d’exemples dans l’histoire – des drames, des invasions, des guerres – où des sociétés perçoivent une catastrophe sans tenter quelque chose pour la prévenir. Il y a une fascination pour la destruction, pour la chute. C’est le cas aujourd’hui.

    Cette réalité française est pourtant difficile à représenter avec exactitude, faute d’études statistiques

    Je recommande le papier de l’historien Pierre Vermeren dans Le Figaro (24 janvier 2018). Il montre bien que le nombre de musulmans est sous-estimé en France. D’ailleurs, une étude américaine a montré qu’il y avait 8,5 millions de musulmans en France, quand tous les experts nous disent qu’il n’y en aurait qu’entre 4 et 5 millions. Pourquoi? Tout simplement parce que les Américains sont plus pragmatiques. Ils ne tiennent pas uniquement compte de la religion déclarée ! Ils ajoutent la religion des parents, ce qui est beaucoup plus logique.

    Reste le procès que vous intente la mairie PCF de Grigny pour avoir dit : " Grigny ce n’est pas la France ".

    Mais de qui se moque-t-on? Je suis encore emmerdé pour avoir dit ce que tout le monde sait. La Grande Borne de Grigny n’est plus française ! Comme vous le dites, on a presque tort de parler de " territoires perdus de la République ", car ce sont des territoires perdus de la France ! La république y existe encore. Il y a des services publics. Il y a encore un peu d’Etat. Mais il n’y a plus de culture française. Trappes ou Grigny sont largement islamisées, soumises à la coupe des caïds. On veut faire de moi un criminel de guerre alors que quasiment tout le monde est d’accord avec ça ! C’est la France qui disparaît dans des dizaines et des dizaines de quartiers. Alors oui, vous avez des musulmans intégrés, des gens qui se fondent dans la population française. Reste que cette réalité là existe, plus que jamais.

    Gabriel Robin  

    https://lincorrect.org/eric-zemmour/

  • Le fichier de Prescrire

    pour_mieux_soigner,_des_medicaments_a_ecarter___bilan_2018.pdf

  • ALERTE!

    La revue Prescrire épingle 90 médicaments jugés "plus dangereux qu’utiles"

    Ces médicaments, qui disposent d’une autorisation de mise sur le marché, entraînent plus d’effets indésirables que d’autres ayant une efficacité similaire ou supérieure.

    Ils sont prescrits à des patients souffrant de cancers, de sclérose en plaques, de la maladie de Parkinson, à des personnes atteintes de troubles cardiaques, à des femmes ménopausées ou encore à des malades d’Alzheimer... Au total, 90 médicaments actuellement sur le marché présentent une balance bénéfices-risques défavorable, selon la revue médicale indépendante Prescrire . En clair, ils causent plus d’effets indésirables que d’autres substances ayant une efficacité similaire voire supérieure.

    Parmi eux, 79 sont commercialisés en France et tous disposent d’une autorisation européenne de mise sur le marché. De la pneumologie à la cardiologie en passant par la neurologie et la psychiatrie, aucune spécialité médicale n’est épargnée. La revue Prescrire a élaboré cette liste à partir d’une analyse méthodique de la littérature scientifique réalisée entre 2010 et 2017.

    Le Figaro fait le point sur les 5 spécialités médicales les plus concernées: la médecine de la douleur, la psychiatrie, la cancérologie, la cardiologie et, sur la première place du podium, la pneumologie-ORL.

    La revue Prescrire rappelle qu’un certain nombre de médicaments prescrits pour des troubles bénins tels que le rhume et la toux présentent des "effets indésirables disproportionnés" par rapport aux bénéfices escomptés. Ainsi, les décongestionnants à base d’éphédrine, de naphazoline ou encore de pseudo-éphédrine exposent à des troubles cardiovasculaires graves. L’ambroxol (nom commercial: Muxol) et la bromhexine (Bisolvon), utilisés pour soulager les maux de gorge et la toux, exposent à des "réactions anaphylactiques et à des réactions cutanées graves".

    La pholcodine, un opioïde utilisé pour lutter contre la toux sèche, pourrait être à l’origine d’accidents rares mais graves lors de certaines anesthésies. Quant au tixocortol (Thiovalone ou autre), un corticoïde utilisé sous la forme de pulvérisateur contre les maux de gorge, il "expose à des réactions allergiques". Prescrire recommande de s’en tenir au dextrométhrophane pour soulager la toux, et au paracétamol en cas de maux de gorge.

    D’autres médicaments, utilisés dans la prise en charge de la mucoviscidose, la fibrose pulmonaire et la broncho-pneumopathie chronique obstructive (BPCO) ont également été épinglés.

    Cardiologie: 11 médicaments à écarter

    La liste comprend 11 médicaments utilisés en cardiologie, dont 3 hypocholestérolémiants (le bézafibrate, le ciprofibrate et le fénofibrate). Non seulement ils ne permettent pas de prévenir la survenue d’accidents cardiovasculaires, mais ils "exposent à de nombreux effets indésirables, notamment cutanés, hématologiques et rénaux". D’autres médicaments, prescrits contre l’angine de poitrine, la fibrillation auriculaire ou l’insuffisance cardiaque, n’ont pas non plus de balance bénéfices-risques positives, selon la revue Prescrire.

    Cancérologie: 8 anticancéreux dans la tourmente

    "Divers anti-tumoraux ont une balance bénéfices-risques nettement défavorable, note Prescrire. Ils sont souvent autorisés dans des situations où les autres traitements semblent inefficaces". Pourtant, certains "exposent les patients à une toxicité importante sans bénéfice clinique le justifiant", poursuit la revue, qui cite 8 médicaments anticancéreux. Ceux-ci ne permettent pas d’allonger la durée de vie des patients mais exposent à de nombreux effets indésirables souvent graves.

    Psychiatrie: 7 antidépresseurs à éviter

    Bien qu’autorisés, ces médicaments exposent plus que d’autres antidépresseurs à des risques graves, mais ils ne sont pas plus efficaces. Parmi les risques, Prescrire évoque des hépatites, accès d’agressivité, des suicides, des troubles du rythme cardiaque ou encore des atteintes cutanées.

    Prise en charge de la douleur et de l’inflammation

     

    La revue liste ensuite 7 anti-inflammatoires non stéroïdiens qui, à efficacité équivalente ou inférieure, présentent plus de risques que d’autres. Certains exposent à un risque accru d’accidents cardiovasculaires (infarctus du myocarde, insuffisances cardiaques), d’autres à de l’eczéma et à des éruptions bulleuses sur la peau ou encore à des troubles digestifs. Sont cités: le diclofénac, notamment commercialisé sous le nom de Voltarène, et le kétoprofène en gel (Ketum ou autre).

    "Quand le paracétamol n’est pas suffisant, l’ibuprofène et le naproxène, à la plus petite dose efficace et pour une durée aussi courte que possible, sont les options les moins à risque", rappelle Prescrire.

    Alzheimer, perte de poids et arthrose: des médicaments inutiles et dangereux

    Concernant les médicaments anti-alzheimer, Prescrire rappelle qu’"aucun n’a d’efficacité démontrée pour ralentir l’évolution vers la dépendance" et qu’"ils exposent à des effets indésirables graves, parfois mortels". Par exemple, le donépézil, la galantamine et la rivastigmine exposent à des troubles digestifs, neuropsychiques et cardiaques. Quant à la mémantine, elle peut engendrer des hallucinations, des maux de tête, des convulsions, des insuffisances cardiaques voire des vertiges. "Mieux vaut se concentrer sur l’aide à l’organisation du quotidien, le maintien d’activité, l’accompagnement et l’aide de l’entourage", préconisent les auteurs.

    Deux médicaments indiqués dans la perte de poids sont également épinglés, dont l’un est commercialisé en France: l’orlistat (nom commercial: Xenical). Ceux-ci n’apportent pas la preuve d’un quelconque effet favorable à long terme. Par contre, ils font courir des risques bien connus: troubles digestifs fréquents, atteintes hépatiques, carences... "Aucun médicament ne permet de perdre du poids de façon durable et sans risque", rappelle Prescrire. "Mieux vaut s’en tenir à des modifications d’activité physique et diététiques avec, si nécessaire, un soutien psychologique".

    Enfin, deux médicaments "autorisés pour leur action supposée sur le processus aboutissant à l’arthrose sont à écarter". Et pour cause, leur efficacité n’est pas démontrée. Par contre, ils exposent à des effets indésirables notables, comme des troubles digestions, des hépatites et des réactions allergiques.

    "Comment justifier d’exposer des patients à des effets indésirables graves, quand l’efficacité du médicament n’est même pas démontrée au-delà de l’effet placebo ou sur des critères cliniques pertinents pour eux?", s’interroge Prescrire en conclusion.

     

  • Affaire Théo L.: une nouvelle vidéo de son interpellation contredit son récit

    Un an après les faits, Europe 1 révèle comment Théo L. a été arrêté et blessé par la police à Aulnay-sous-Bois. Un document inédit et éclairant sur cette affaire.

    C’est la pièce centrale de ce dossier, la preuve de ce qui est réellement arrivé à Théo L. le 2 février 2017. Europe 1 dévoile les images enregistrées par les caméras de vidéosurveillance de la ville d’Aulnay-sous-Bois. Elles ont été analysées par les enquêteurs de l’Inspection générale de la police (IGPN) puis versées dans la procédure judiciaire. Elles permettent de comprendre ce qu’il s’est vraiment passé.

    Un coup furtif. L’enregistrement témoigne d’abord de la grande confusion lors de ce contrôle d’identité qui dégénère. Les quatre fonctionnaires de la brigade spécialisée de terrain (BST) d’Aulnay ne semblent pas maîtriser la situation. La vidéo montre leurs coups portés à Théo L. qui se débat vigoureusement, leur grande difficulté à le menotter et le coup de bâton télescopique qui a provoqué la très grave blessure du jeune homme. Un geste très bref, extrêmement rapide, comme une estocade. Aussitôt, Théo L. se retourne et s’effondre de douleur, son caleçon toujours en place, transpercé par la matraque, selon les constatations des enquêteurs.

    Le pantalon baissé. Sur la vidéo, il apparaît clairement que, dans l’échauffourée, Théo L. perd sa veste de survêtement et son bas de jogging lui tombe sur les cuisses, laissant voir son caleçon. Quelques jours après les faits, le jeune homme déclarait à propos du policier qui l’a blessé: " il baisse mon pantalon et il enfonce la matraque dans mes fesses ". Les fonctionnaires poursuivis ont toujours contesté avoir baissé le bas de jogging de la victime. Les images permettent de confirmer leur version. Confronté à la vidéo par la juge d’instruction, Théo L. a fait évoluer son récit. Il reconnaît désormais que son pantalon de survêtement trop grand était mal attaché et qu’il a glissé tout seul, souligne Le Parisien.

    Acte de torture. En revanche, le jeune homme maintient dans différentes interviews que le policier lui a "volontairement" enfoncé la matraque dans les fesses. Il dénonce même un "acte de torture" et ses avocats envisagent de demander la requalification des faits en ce sens, selon les informations recueillies par Europe 1. Le policier auteur du coup de matraque a lui aussi été confronté à la vidéo dans le bureau de la juge d’instruction. Il reconnaît le geste mais nie toute intention volontaire de pénétration.

    www.europe1.fr