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politique - Page 248

  • Une étude de la NASA contredit les prévisions alarmantes du GIEC

    Ces derniers sont-ils vraiment des experts du climat comme ils le prétendent?

    Les médias nous abreuvent tous les jours de nouvelles alarmantes concernant la fonte des glaces de l'Arctique. A en croire les commentateurs, le Pôle Nord qui se situe au milieu de l'Océan, ne sera bientôt plus du tout couvert par la glace. Ce n'est qu'une question de temps. Et dans leur envolée lyrique, nos commentateurs incluent, bien qu'ils ne possèdent pas d'éléments de preuve, les deux pôles dans le même processus de fonte irréversible. Voire. Le continent Antarctique qui n'est accessible que par la voie des airs, et encore à condition que la météo soit favorable ce qui n'arrive pratiquement jamais en hiver, réserve bien des surprises pour peu que l'observation prime sur le dogme.

    Pour mesurer les gains ou les pertes de glace dans une région désertique et inaccessible comme l'Antarctique, quoi de plus précis que les observations par satellite? Les satellites, capables d'une précision submillimétrique en ce qui concerne le niveau de la mer, peuvent également mesurer les lentes évolutions d'altitude du relief désertique de glace de l'Antarctique. Le calcul permet ensuite d'évaluer les volumes de glace perdus par la fonte ou récupérés par l'accumulation de la neige pour effectuer ensuite un bilan massique pour l'ensemble du continent. Seulement, le résultat n'est pas conforme à la vulgate ambiante...

    Voici la traduction d'un article publiée par la NASA en 2014, écrit par Maria José Viñas de la NASA's Earth Science News Team. Il est curieux de constater que les "experts" du GIEC n'on pas prit la peine d'annoncer cette importante nouvelle qui remet fortement en question une de ses annonces concernant l'évolution du niveau de la mer. Un oubli, sans doute?

    Remarquons le ton très libre de l'auteur qui n'hésite pas à bousculer les dogmes en vigueur du temps de l'ancien directeur de cet organisme, James Hansen. A l'époque de celui-ci, il aurait été inconcevable qu'un tel article vit le jour. J'ai mis mes remarques dans cette couleur.

    Antarctic Peninsula

    Une nouvelle étude de la NASA montre que l'Antarctique accumule globalement de la glace. Cependant, certaines régions du continent, comme la Péninsule Antarctique photographiées ci-dessus ont vu leurs pertes en masse s'accroitre.

    Credits: NASA's Operation IceBridge

    Map showing the rates of mass changes from ICESat 2003-2008 over Antarctica.

    Carte montrant la vitesse de changement de masse d'après la mission ICESat sur l'Antarctique: Antarctique est (EA, 2-17) ; intérieur de l'Antarctique ouest (WA2, 1, 18, 19 et 23) ; côte de l'Antarctique ouest (WA1, 20-21) ; ; et Péninsule Antarctique (24-27). Une gigatonne (Gt) correspond à 1 milliard de tonnes.

    Credits: Jay Zwally/ Journal of Glaciology

    "Dans une récente (2015) étude, la NASA explique que l'accumulation de neige en Antarctique commencée il y a 10 000 ans ajoute assez de glace au continent pour compenser largement l'augmentation des pertes provenant de l'amincissement des glaciers.

    Cette recherche contredit les conclusions d'autres études, dont le dernier rapport du GIEC qui prétend que l'Antarctique perd de sa glace continentale.

    D'après cette nouvelle analyse par satellite, la couche de glace de l'Antarctique montre un gain net de 112 milliards de tonnes par an de 1992 à 2001. Ce gain net est ensuite descendu à 82 milliards de tonnes par an entre 2003 et 2008. (La source des données pour la première période n'est pas la même que pour la deuxième.(Voir plus loin dans le texte). Ce fait pourrait bien explique les différences observées entre les deux périodes).

    Nous sommes essentiellement en accord avec d'autres études qui montrent un accroissement de la perte en glace pour la péninsule Antarctique ainsi que pour la région des glaciers Thwaites et Pine dans l'Antarctique ouest" déclare Jay Swally, glaciologue au NASA Goddard Space Flight Center à Greenbelt (Maryland) et auteur principal de cette étude qui a été publiée le 30 octobre dans le Journal of glaciology. "Notre désaccord porte sur l'Antarctique est et sur l'intérieur de l'Antarctique ouest. Là, nous observons un gain de glace qui dépasse les pertes dans les autres régions". Zwally ajoute que son équipe a mesuré "à la fois des petits changements de hauteur sur des grandes surfaces et des grands changements sur des petites surfaces".

    Nos scientifiques ont calculé la croissance ou la décroissance de l'épaisseur de la couche de glace à partir des changement de hauteur qui sont mesurés par les altimètres des satellites. Aux endroits où la quantité de neige qui s'accumule sur la glace n'est pas égale à la quantité de glace qui disparaît dans l'océan, les hauteurs changent, et l'épaisseur de la couche de glace s'accroit ou décroit. Mais la croissance observée de l'épaisseur de la couche de glace de l'Antarctique pourrait s'inverser en quelques décennies d'après Zwally. "Si les pertes de la Péninsule Antarctique et d'une partie de l'Antarctique ouest continuent à augmenter au rythme de ces deux dernières décennies, les pertes compenseront le gain de long terme en Antarctique est en 20 ou 30 ans - je ne pense pas que l'augmentation des précipitations neigeuses arriveront à compenser les pertes".

    (Ici, on voit que l'auteur pratique le rétropédalage classique permettant de se mettre à l'abri des critiques futures éventuelles si les choses ne se passaient pas comme prévu, et montrant qu'il fait bien allégeance à la cause réchauffiste).

    L'étude analyse les changements d'altitude de la surface de la couche de glace antarctique mesurés par les altimètres radar de deux satellites de télédétection de l'Agence Européenne de l'Espace (ERS) pour la période 1992 - 2001 et par l'altimètre laser du satellite de la NASA glace, nuages et altitudes (ICESat) pour la période 2003 - 2008. Zwally pense qu'alors que certains scientifiques ont estimé que les gains en altitude observés dans l'Antarctique est sont dus à l'augmentation récente de l'accumulation neigeuse, son équipe, en utilisant des archives météorologiques commençant en 1979, a montré que les chutes de neige dans l'Antarctique est ont en réalité diminué de 11 milliards de tonnes par an pendant les deux périodes ERS et ICESat. Ils ont aussi utilisé les données concernant l'accumulation de la neige  depuis des milliers d'années reconstituées par d'autres chercheurs à partir des carottes glaciaires, pour finalement conclure que la couche de glace de l'Antarctique est  s'épaissit depuis très longtemps. (Je respecte la règle qui consiste à ne pas mettre de majuscule à "est" et "ouest" lorsqu'ils sont employés comme adjectifs, mais je me rends compte à quel point ça rend le texte illisible...)

    Zwally: "A la fin du dernier âge glaciaire, l'air était devenu plus chaud et transportait plus d'humidité à travers le continent ce qui a doublé la quantité de neige sur la couche de glace".

    Cette surabondance de neige qui a commencé il y a 10 000 ans s'est accumulée lentement sur la couche de glace en se compactant pendant des millénaires et en augmentant l'épaisseur de celle-ci dans l'Antarctique est et dans l'intérieur de l'Antarctique ouest à raison de 0,7 pouce (1,7 centimètre) par an. Cette modeste augmentation d'épaisseur qui s'est poursuivie pendant des milliers d'années et s'est étendue largement sur ces secteurs de l'Antarctique correspond à un gain très important de glace - assez pour l'emporter sur les pertes provenant des glaciers à écoulement rapide (tout est relatif...) dans les autres parties du continent et pour réduire l'élévation globale du niveau de la mer.

    L'équipe de Zwally a calculé que le gain en masse provenant de l'augmentation d'épaisseur de la couche de glace en Antarctique est est resté constant de 1992 à 2008 à 200 milliards de tonnes par an, tandis que la perte de glace des régions côtières de l'Antarctique ouest et de la Péninsule Antarctique s'est accrue de 65 milliards de tonnes par an.

    "La bonne nouvelle est que l'Antarctique ne contribue pas actuellement à l'augmentation du niveau de la mer, mais au contraire le réduit de 0,23 millimètres par an" d'après Zwally.

    Mais il y a aussi une mauvaise nouvelle: si les 0,27 millimètres (ici, j'ai un problème: si je suis la règle qui veut qu'en français la forme plurielle commence à deux, je dois écrire "les 0,27 millimètre"???) d'augmentation du niveau de la mer attribué par le GIEC à l'Antarctique ne provient pas réellement de l'Antarctique, il doit y avoir une autre contribution à l'augmentation du niveau de la mer qui n'est pas comptée. (Alarmisme caractéristique du réchauffisme: on pourrait aussi dire, avec certainement moins de chances de se tromper, que cette augmentation a très probablement une cause (1) peut-être indépendante du réchauffement climatique, qui n'a pas plus de raisons de s'aggraver que de s'affaiblir).

    "Cette nouvelle étude montre les difficultés qui existent pour mesurer les petits changements de hauteur de la glace dans l'Antarctique est " commente Ben Smith, glaciologue à l'Université de l'Etat de Washington à Seattle, non impliqué dans l'étude de Zwally (et ce commentaire montre l'opposition de l'universitaire envers un autre fonctionnaire... Ben Smith met le doigt (mais avec un gant)  sur ce qui pourrait être une faiblesse de l'étude).

    "Faire de l'altimétrie avec précision sur des surfaces très grandes est extraordinairement difficile, et il y a des mesures d'accumulation de neige qui doivent être faites par ailleurs pour comprendre ce qui est arrivé dans ces surfaces" dit encore Smith. (Ici, c'est vraiment une attaque frontale: en effet, Smith connaît très bien les difficultés énormes qu'il y aurait à faire des carottages sur toutes ces zones qui sont très étendues et dont le climat est particulièrement rude...)

    Pour améliorer les mesures des petits changements en Antarctique, la NASA est en train de développer le successeur de la mission ICESat, ICESat-2, qui doit être lancé en 2018. "ICESat-2 mesurera les changements d'épaisseur de la glace avec la précision d'une mine de crayon N°2" dit Tom Neumann, glaciologue à Goddard, chef du projet ICESat-2. Il contribuera à résoudre le problème du budget massique en Antarctique en fournissant des données à long terme sur les variations d'altitudes. "

    La vision générale classique de l'Antarctique est biaisée: la raison en est que l'accès à certaines régions est extrêmement difficile. Ces régions sont des déserts absolus. Elles ne peuvent être analysées que par des méthodes de survols systématisés que seuls les satellites sont en mesure d'exécuter. En conséquence, jusqu'à très récemment, la vision générale de l'Antarctique était fondée sur celle de la région "habitée" du continent, la Péninsule Antarctique.

    Or, cette région a vu un réchauffement important au cours des années écoulées, ce qui s'est traduit par une fonte accélérée des glaciers. L'observation de ces phénomènes a conduit certains scientifiques à extrapoler la situation à tout le continent, ce qui s'avère très faux, l'étude de la NASA ci-dessus le prouve. Le GIEC, qui se repose beaucoup sur des "études"  apportées par des organisations comme Greenpeace dont le coté engagé n'est plus à démontrer, annonce à la page 4 du Résumé à l'attention des décideurs: "Entre 1992 et 2011, la masse des nappes glaciaires du Groenland et de l’Antarctique a diminué (degré de confiance élevé), la perte ayant probablement augmenté au cours de la période 2002−2011", à la page 44: "Au cours des deux dernières décennies, la masse des nappes glaciaires du Groenland et de l’Antarctique a diminué (degré de confiance élevé)", ce qui est en contradiction directe avec les observations rapportées dans l'étude de la NASA ci-dessus. Le problème, c'est que l'augmentation catastrophique du niveau de la mer prévue dans le même résumé pour la fin du siècle est fondée sur une importante contribution de la perte de glace de l'Antarctique.

    Comme les observations réelles montrent au contraire qu'actuellement l'Antarctique contribue plutôt à une légère diminution de ce niveau, cette augmentation doit être plutôt vue comme une opinion plutôt que comme une prévision fiable. En aviez-vous entendu parler par ailleurs? Non, bien sûr, et pour cause: elle a été soigneusement  mise sous un chapeau...

    Notes du 10 juillet 2017

    Lorsqu'un scientifique fait une mesure au moyen de deux systèmes de mesure analogues et qu'il ne trouve pas le même résultat, il considère qu'il ne peut pas comparer les deux résultats car les deux systèmes forment ensemble une indétermination. On ne peut conserver et considérer comme valables que les résultats qui sont observés à la fois dans les deux systèmes: par exemple le sens (positif ou négatif). C'est le cas ici, où les mesures ERS et ICESat ont été effectuées par deux satellites différents. Le seul résultat cohérent dans les deux systèmes est que le bilan massique des glaces est positif, (la glace s'épaissit) mais on ne sait pas de combien. Un autre exemple classique est celui des mesures du niveau de la mer. Celles-ci ont été réalisées par deux systèmes différents: les marégraphes jusqu'en 1992 puis les satellites (TOPEX puis JASON) à partir de 1993. Les marégraphes ont donné une augmentation moyenne de ce niveau de 1,4 mm/an de 1930 à 1992, alors que les satellites ont donné 3,3 mm/an à partir de 1993. Les systèmes de mesure ayant complètement changé, il aurait été normal de considérer que la véritable valeur n'était pas donnée par les satellites. Or, la valeur donnée par ces derniers (par hasard la plus élevée) est la seule prise en compte par Jim Hansen et le GIEC. Cette attitude n'est pas scientifique.

    (2) En réalité, le diamètre d'une mine de crayon numéro 2 (USA) n'est pas défini, car ce chiffre indique la dureté de la mine et pas son diamètre. #2 est l'équivalent de la dureté "HB".

    Graphiques et cartes ici:

    https://climatdeterreur.info/climat/une-etude-de-la-nasa-contredit-les-previsions-alarmantes-du-giec

     

     

  • Dossier Trump/Russie : ce sur quoi le procureur spécial et le grand jury enquêtent va vous souffler

    Robert Mueller, le procureur spécial nommé grâce aux fuites d’information illégales de l’ex-directeur du FBI, vient de donner un coup d’accélérateur à son enquête dans la possible implication de la Russie dans l’élection américaine de 2016 qui a donné la victoire à Donald Trump.

    Dans un premier temps, Robert Mueller a recruté 16 avocats, experts et spécialistes du renseignement pour enquêter,

    Et il y a quelques semaines, il a convoqué un grand jury, lequel a le pouvoir d’interroger les membres du gouvernement sous serment et les déférer devant la justice.

    Vous n’avez pas idée de que cette énorme machine aux moyens financiers, au pouvoir judiciaire, et au champ d’action illimités recherche.

    • Mueller a enquêté pour savoir s’il existait une collusion entre la Russie et la campagne de Donald Trump, il n’a rien trouvé.
    • S’il y a eu conspiration pour commettre une fraude, il n’a rien trouvé.
    • Si les lois sur l’élection ont été violées, il n’a rien trouvé.
    • Mueller a enquêté sur la rencontre entre Trump Jr et un avocat russe, il n’a rien trouvé.
    • S’il y a eu obstruction de la justice, il n’a rien trouvé.
    • S’il y a eu collaboration entre Donald Trump ou son équipe de campagne et des Russes pour le piratage et la publication des emails compromettants du Comité national Démocrate, et il n’a rien trouvé…

    Mueller cherche, cherche, et cherche encore. Mais que cherche-t-il puisqu’aucune infraction à la loi n’a été commise?

    Aussi irréel que cela puisse paraître, il cherche un crime! Mueller cherche si un crime a été commis!

    Ce n’est pas comme le Watergate, souvent comparé aux délits dont est accusé Donald Trump, où un crime avait été découvert par deux journalistes d’investigation. Dans l’affaire du Watergate, un crime certain a été commis : Richard Nixon a fait mettre sur écoute le camp adverse durant une campagne électorale. Et l’enquête judiciaire était destinée à découvrir les auteurs du scandale, les coupables.

    Dans " l’affaire " Trump avec la Russie, aucun crime n’a été commis, il n’y a que des soupçons sortis des médias, personne n’a jamais rien trouvé.

    Des accusations sans preuve ont fusé de toutes parts dans les médias hostiles à Trump pendant des mois, elles continuent. Des commissions du Congrès se sont succédé, le FBI a enquêté, des dizaines d’auditions ont eu lieu: aucun crime, aucune infraction, aucun délit n’ont été découverts.

    Vous lisez bien. Le scandale, infiniment plus profond que tout ce que vous avez pu lire, est que les forces engagées pour détruire Trump ne cherchent pas qui sont les coupables des crimes. Ils cherchent encore et encore si un crime a été commis!

    J’en appelle à mes lecteurs juges et avocats pour qu’ils me le confirment, de mes souvenirs en fac de droit, je crois que c’est du jamais vu dans les annales: chercher si un crime a été commis suite aux accusations infondées basées sur des sources anonymes par des journalistes du New York Times et du Washington Post – sachant que jusqu’à présent, toutes les accusations se sont avérées Fake News, inventées, et dénoncées par les personnes impliquées.

    Deux exemples:

    • Le Washington Post publie que selon des sources anonymes, le Président Trump a donné l’ordre à James Comey, le directeur du FBI, d’arrêter son enquête, puis, lorsque ce dernier a refusé, Trump a entravé l’enquête sur la collusion avec la Russie en le limogeant. Ce sont des accusations très graves. Elles pourraient constituer selon les médias une entrave à la justice qui pourrait déclencher un impeachment. Des accusations si graves qu’une commission du Congrès est créée. Elle convoque James Comey et le questionne, sous serment. Ce dernier -qui vient d’être limogé et ne porte pas Trump dans son cœur – affirme sous serment que Trump ne lui a jamais donné l’ordre d’arrêter son enquête, et que le fait de le limoger ne pouvait pas arrêter l’enquête car il n’est pas directement impliqué dans celle-ci, elle est confiée à des agents du FBI qui font leur travail avec ou sans James Comey. L’accusation a fait pschitt, mais de nombreuses personnes peu informées continueront à penser jusqu’à la fin de son mandat que Trump a fait obstruction à la justice en limogeant le directeur du FBI, parce qu’ils l’ont inlassablement entendu à la télé.
    • Le Washington Post publie que Rod Rosenstein, le numéro deux du ministère de la Justice, a été contraint par Trump d’envoyer la lettre de mémo qui licencie le directeur du FBI, et que selon plusieurs sources – toujours anonymes – il va démissionner car le Président l’a forcé à limoger Comey. Quelques jours plus tard, Rod Rosenstein déclare à un journaliste en riant qu’il n’a jamais envisagé de démissionner (il est au ministère de la Justice depuis plus de 30 ans), qu’il n’a pas été contraint de licencier le directeur du FBI, mais que c’est son comportement lors de l’enquête sur le scandale des emails de Clinton qui l’a poussé à le faire. Suite à cela, une commission d’enquête du Sénat est nommée, et sous serment, Rod Rosenstein détaille point par point les fautes commises et les entorses aux règles qui l’ont conduit à licencier James Comey.

    Les fausses rumeurs, les accusations se sont-elles arrêtées pour autant? Pas le moins du monde. Il en arrive presque une par jour. Tout aussi fausses, tout aussi mensongères, toutes démenties. Et celles qui ne sont pas fausses se révèlent anodines ou ridicules comme celle-ci: "Donald Trump a appelé son fil Donald Jr. pour évoquer l’affaire de sa rencontre avec l’avocate russe!"

    Heu… un père qui communique avec son fils est un crime parce qu’ils s’appellent Trump?

    Conclusion

    James Comey a enquêté pendant un an sur le scandale des emails de Clinton. La fraude et les nombreux délits sont avérés, James Comey lui-même les a détaillés lors de sa conférence, en plein milieu de la campagne électorale : destruction de preuve, circulation d’emails top secret sur des serveurs privés non protégés et non autorisés, en contravention avec la réglementation du département des Affaires étrangères. Entrave à la justice par la destruction à coups de marteau de smartphones réquisitionnés pour l’enquête, mensonge sous serment, mise en danger de la sécurité nationale. Et James Comey n’a pas jugé que les charges justifiaient la convocation d’un grand jury.

    Robert Mueller a enquêté pendant 2 mois sur des accusations de collusion avec la Russie pour lesquelles il n’a découvert aucune preuve, aucune faute, aucun délit commis. Et il vient de convoquer un grand jury.

    Reproduction autorisée avec la mention suivante: © Jean-Patrick Grumberg pour Dreuz.info.

  • PROJET: DÉTRUIRE L'EUROPE

    Entre radicalisme humanitaire et sponsors généreux, les ONG "talibans de l’immigration sans frontières" sont les nouveaux pirates de l’accueil illimité des clandestins pour la destruction de l’Europe.

    Dépassé par le flux ininterrompu de migrants économiques, charitablement débarqués par diverses ONG sur les côtes italiennes, le gouvernement a rédigé un code de conduite à l’intention de ces ONG qui favorisent l’immigration illégale en offrant un service de navette gratuit entre les eaux territoriales libyennes et l’Italie, en collaboration avec les trafiquants d’êtres humains: la première fois que des humanitaires collaborent avec les pires inhumains.

    Les règles de conduite refusées par MSF et cinq autres ONG concernent:

    • l’interdiction de pénétrer dans les eaux territoriales libyennes,
    • l’interdiction d’éteindre les transpondeurs à bord des navires (pratique utilisée par les ONG pour masquer la position de leurs opérations de " secours "),
    • l’interdiction de transférer les immigrants illégaux sur d’autres navires (ce qui obligerait chaque navire utilisé par les ONG au large de la Libye à faire lui-même chaque aller-retour jusqu’en Italie),
    • l’obligation de divulguer les sources de financement et
    • accepter à bord des policiers armés.

    Sur les neuf organisations "humanitaires", six ont refusé ce mardi de signer le texte qui leur était présenté par le Ministère de l’Intérieur italien. Les ONG "Save the Children"  et  "MOAS" ont signé et  "Proactiva open arms" a déclaré qu’elle signerait aussi. Cinq ONG n’ont, en revanche, même pas daigné répondre à l’invitation du Ministre de l’Intérieur, tandis que l’ONG "Médecins sans frontières" a signifié son refus des règles du code de conduite, préférant s’allier aux trafiquants d’êtres humains.

    Les médecins n’ont pas de frontière, les Etats oui, et leur devoir est de les contrôler, voire de les protéger.

    Ces ONG ont ainsi montré leur véritable visage de talibans de l’immigration sans frontières au détriment et pour détruire les citoyens italiens et autres européens.

    Médecins sans Frontières (MSF)

    Financée par 319.496 donateurs privés, MSF a reçu 56.8 millions d’Euros en 2016. L’ONG a investi un million et demi d’Euros dans la récupération de migrants en Méditerranée. 6% des donations proviennent de sociétés et de fondations diverses, mais MSF est aussi financé par les loteries, le gouvernement américain, l’UE et l’ONU.

    Le Parquet de Trapani a séquestré le navire de l’ONG allemande pour "aide à l’immigration clandestine". Depuis le début de l’intervention en Méditerranée, la Jugend Rettet se déchaîne contre la "Forteresse Europe", qui éloigne les migrants par l’érection de "nouveaux murs" et limite la mobilité des migrants.

    Le 9 mai dernier, devant la Commission de défense du Sénat, la vice-présidente de l’organisation "humanitaire", Lena Waldhoff, déclarait en toute impunité: "La collaboration avec la garde-côte italienne n’implique pas l’identification des passeurs“.

    Une autre ONG allemande, qui débarque les migrants en Italie, tout en critiquant le pays avec virulence, annonce sur son site qu’elle a besoin de 500.000 Euros pour continuer ses " opérations de sauvetage ". Dans une lettre adressée aux donateurs, elle critique violemment Rome pour avoir présenté un projet de formation et de renforcement des garde-côtes libyens:

    "Coopérer et appuyer une telle organisation de criminels et de mercenaires est tout simplement inacceptable".

    Pour l’ONG, l’important est de faire arriver tous les migrants en Italie, conformément à la Convention de Hambourg, qui ne fait aucune distinction entre réfugiés et migrants économiques.

    La troisième ONG allemande, qui n’a même pas daigné participer à la réunion du Ministère de l’Intérieur italien, a déclaré qu’elle n’accepterait pas à bord la présence d’un officier de la police judiciaire. Et d’ajouter: "en tant qu’organisation non gouvernementale, nous sommes neutres, tandis que la police ne l’est pas".

    Selon L. Kircheis du bureau berlinois de l’ONG, dans les polémiques sur les migrants on ne peut qu’opposer le radicalisme de l’extrême-droite au "radicalisme" humanitaire.

    Sur le site de Sea Watch, le " non " au code de conduite a été justifié par Violeta Moreno-Lax, chargée de cours dans une université londonienne. Elle qualifie le règlement du gouvernement italien de "redondant ou simplement d’illégal".

    Proactive Open Arms

    L’ONG espagnole a promis de signer le code de conduite, mais n’a pas spécifié de date. Cette ONG a dépensé 1,4 million d’Euros pour ses navires, mais a récolté plus de 2,,1 millions d’euros.

    Oscar Camps, directeur de Proactive Open Arms a révélé que parmi les donateurs, il y a l’équipe de foot de Manchester City et l’acteur Richard Gere. Par le passé, l’ONG avait utilisé le vaisseau de luxe Astral du millionnaire italien Livio Lo Monaco.

    Life boat

    Parmi ses partenaires, il y a l’ONG " sœur " SOS Méditerranée et le Fc St.Pauli, un club sportif de Hambourg, devenu célèbre non pour ses mérites footballistiques, mais pour son activisme en faveur des talibans de l’immigration. Parmi d’autres sponsors, il y a une université, le "Secours en Mer allemand", mais également des portails spécialisés comme "Yacht on line".

    SOS Méditerranée

    En 2016, cette ONG avait déclaré des frais pour 4 millions d’Euros, affirmant dépenser 11 000 Euros par jour pour faire naviguer Aquarius en face des côtes libyennes. Parmi les sponsors de l’ONG allemande, une ONLUS italienne a reçu 46 000 Euros de l’Open Society, l’association philanthropique de G. Soros.

    Dans une lettre adressée au Ministère de l’Intérieur italien, l’ONG a réaffirmé que les policiers italiens ne doivent pas se trouver à titre permanent à bord du navire et porter des armes, car cela est contraire aux principes humanitaires de neutralité et d’indépendance.

    Dans cet exode en provenance d’Afrique, l’armée française est également pointée du doigt par les autorités italiennes.

    Le "corridor" qui mène du Niger à la Libye est contrôlé par l’armée française. Cette dernière ne bouge pas un doigt et laisse passer les migrants. Selon l’Organisation mondiale pour les migrations, rien qu’en 2016, 291.000 clandestins ont transité par ce "corridor" pour rejoindre l’Italie.

    L’exode des migrants économiques, qui de toute l’Afrique se dirigent vers la Libye afin de rejoindre l’Eldorado italien, passe par le Niger, où sont stationnés les militaires français.

    Le Niger est le dernier avant-poste avant la Libye. Les migrants économiques, qui rêvent de s’embarquer pour l’Italie, passent par le carrefour d’Agadez, pour ensuite rejoindre Séguédine. Ils se déplacent en longues colonnes de camions et de pick-up, surchargés de personnes et de marchandises. Il est difficile de ne pas les remarquer dans l’immensité du Sahara, surtout pour le contingent français qui déploie des mirages de reconnaissance, des drones de surveillance et des hélicoptères.

    Dans le fortin de Madama, au nord du Niger, il y a au moins 250 militaires, ce nombre est doublé lors d’opérations importantes. Si on ajoute les soldats de l’opération Barkhane, on arrive à plus de mille militaires.

    (Le fortin de Madama fut construit en 1930-1931 par les Français. Sa mission était de bloquer l’expansion italienne … au départ de la Libye. Ironique retournement de l’histoire !)

    Mais, peut-on lire sur la Repubblica.it, la garnison française ne se soucie guère de cette multitude en mouvement à travers le désert. Il y a des photos montrant l’équipage de blindés français saluant amicalement les migrants, entassés dans les camions, ces mêmes migrants qui seront ensuite secourus par les navires des ONG près des côtes libyennes et débarqués en Italie. Il y a aussi des photos de voitures tout-terrain, surchargées de migrants, qui avancent péniblement près des bimoteurs Transall, parqués sur l’aéroport militaire.

    Aujourd’hui, au nom d’un angélisme "compassionnel", l’UE ouvre ses portes aux envahisseurs présentés comme les sauveurs de la vieille Europe et garants d’un avenir radieux. Incohérences, mensonges, illusions d’une Europe qui n’apprend rien de son passé et disparaît suicidée dans la noyade.

    Sources:

    " Il libro nero delle Ong ribelli ​all’assalto della fortezza Europa " Il Giornale.it

    " L’esodo dei migranti dal Niger all’Italia. E i militari francesi fanno finta di nulla " La Repubblica.it

    Des "Volontaires" d’une ONG allemande reçoivent 10.000 euros/mois pour transporter des clandestins!!!

    Ils se disent " volontaires ", les opérateurs IUVENTA (…) mais ils oublient de mentionner que certains d’entre eux ont des salaires en or pour jouer les chauffeurs de taxi de la mer: jusqu’à 10.000 euros (…)La photographie concerne l’enquête qui a conduit à la saisie du navire utilisé par Iugend Allemands Rettet pour transporter les migrants de la Libye vers l’Italie. Les volontaires au sourire à 32 dents allaient prendre les migrants dans les eaux libyennes, à un mile de la côte, sans que les bateaux soient en danger réel (…)

    Source: http://www.ilpopulista.it/news/5-Agosto-2017/17153/iuventa-volontari-si-ma-a-diecimila-euro-al-mese.html

    – https://civilwarineurope.com/2017/08/03/litalie-bloque-une-premiere-ong-passeuse-de-clandestins/

     

    Et, pendant ce temps là, en France on nous les brise menu en nous racontant que présitante et madame genoux calleux n'ont pas dit où ils prenaient leurs vacances.... Ils vont peut-être jouer les sémaphores sur les plages libyennes pour aiguiller les clandés dans la bonne direction?

     

  • Ils sont passés clandestinement en Espagne: bientôt chez nous en France!

     

    https://youtu.be/pf7tAhw8jTc

     

     

  • La Baule: des Français protègent les femmes aux seins nus agressées par des musulmans

    Après le burkini, voici l’apparition des premiers éléments de la police de la poitrine sur les plages françaises.

    Ainsi, à La Baule,  "un peu avant le quatorze juillet, deux femmes qui bronzaient seins nus sur la plage se sont fait agresser par d’autres femmes, d’origine maghrébine " qui  " vinrent les voir pour leur intimer de couvrir leur poitrine, prétextant que " cela ne se faisait pas ".

    Devant la détermination des femmes à ne pas se laisser faire, les musulmanes de revenir à l’assaut avec leurs barbus… Qui a dit que l’islam était  une religion de violence et de tolérance?

    Ouf ! La mobilisation des non musulmans autour des femmes aux seins nus a été déterminante, ils se sont groupés autour des femmes agressées, ont protesté, ont appelé la police qui a embarqué les agresseurs.

    Bravo aux Français qui osent, encore, dire non à l’innommable, à l’insupportable.

    Continuez, amis Résistants, c’est ainsi que nous gagnerons et qu’ils ne pourront pas obliger nos filles à porter burkini et voile, pour qu’ils ne fassent pas de notre pays le 58ème pays musulman, même s’ils l’ont décidé depuis exactement 28 ans.

    La Baule (44). Cachez ce sein que je ne saurais voir ! Tensions communautaires sur la plage

    03/08/2017 – 06h50 La Baule (Breizh-Info.com) –  Bronzer les seins à l’air sur la plage de La Baule, en 2017, peut s’avérer risqué.  C’est la mésaventure qui est arrivée le mois dernier à deux femmes, agressées par des puritain(e)s venus d’ailleurs.

    La première quinzaine de juillet a été chaude à La Baule, notamment sur la plage. Ainsi, un peu avant le quatorze juillet, deux femmes, des " Gauloises " qui bronzaient seins nus sur la plage – une pratique courante dans nos pays encore libres – se sont fait agresser par d’autres femmes, d’origine maghrébine.

    Ces dernières, qui ne portaient pourtant par ailleurs aucun signe distinctif pouvant laisser penser à une appartenance à un islam rigoriste, vinrent ainsi les voir pour leur intimer de couvrir leur poitrine, prétextant que " cela ne se faisait pas ". Manque de chance, elles tombèrent pour le coup sur des femmes de caractère, qui les ont purement et simplement envoyées paître.

    Insupportable pour ces ayatollahs du puritanisme, qui revinrent quelques instants plus tard avec leurs compagnons respectifs. Cette fois-ci, les menaces deviennent plus pressantes… mais c’était sans compter sur la solidarité communautaire qui s’est alors déclenchée autour des deux femmes agressées.

    Plusieurs personnes assistant à la scène intimèrent alors aux agresseurs de partir, tandis que d’autres appelèrent les forces de l’ordre. Arrivées sur les lieux, celles-ci embarquèrent illico ces représentant(e)s de la police de la poitrine. " On est chez nous ! " rappellera à ces femmes et à leur compagnon un badaud sur la plage.

    A Sisco comme à La Baule, les revendications communautaires extra-européennes ne semblent pas être les bienvenues…

    [cc] Breizh-info.com, 2017, dépêches libres de copie et de diffusion sous réserve de mention et de lien vers la source d’origine

    http://www.breizh-info.com/2017/08/03/74864/baule-44-cachez-sein-ne-saurai-voir-tensions-communautaires-plage

    Post-Scriptum

    Il paraît que La Baule deviendrait peu à peu un lieu de "villégiature" pour voilées et racailles. Il paraît même que certaines associations parisiennes fort dévouées organisent des séjours à la Baule pour racailles patentées et capuchées qui fichent la pagaille sur la plage le soir…

     

  • Migrants et maladies infectieuses : le lien est fait mais il ne faut pas le dire

    Les bien-pensants éludent la question plutôt que photographier le moment historique avec honnêteté intellectuelle et dénoncer les dégâts de la politique scélérate de l’immigration.

    DE LORENZA FORMICOLA.

    En Allemagne la peur est revenue au sujet de toutes ces maladies qui étaient éradiquées ou rarissimes en Occident. Depuis le cas du demandeur d’asile yéménite logé dans une église à BUNSDORF pour lui éviter l’expulsion et qui aurait contaminé  cinquante bambins avec la tuberculose, cette maladie est remontée dans la classification des maladies les plus contagieuses. Mais elle n’est certes pas la seule à remonter.

    Dans l’Allemagne de Merkel la situation est visiblement critique et dangereuse. Nonobstant ce que les journaleux donnent en pâture aux lecteurs ignares. Le Robert Koch Institut  ( R.K.I. ) responsable pour le contrôle et la prévention des maladies infectieuses qui fait partie du Ministère Fédéral de la Santé Allemand, publie des rapports toujours plus funestes d’année en année et confirme l’augmentation globale, surtout depuis 2.015 – l’année où Merkel – a  " ouvert les portes  " à un nombre sans précédent de migrants.

    La dernière publication datée du 12 juillet 2.017 fournit les données sur l’état de plus de 50 – cinquante – maladies infectieuses en Allemagne en 2.016.

    Du botulisme à l’échinococcose, de la syphilis  à la tuberculose, le tableau est clair et pourtant sombre:

    Hépatite B : + 300 % les trois dernières années.

    Rougeole : 2.014 et 2.015 : + 450 %

    En 2.015, les migrants ont contribué à 40 % de nouveaux cas de sida.

    Tuberculose : 2.014 : 4.488 cas

                           2.015 : 5.915 cas.

    Un médecin interrogé par FOCUS a mis en évidence le fait que les autorités allemandes ont perdu la trace de CENTAINES DE MILLIERS de migrants qui peuvent être infectés. Et surtout il a voulu souligner les 40 % des agents pathogènes de la tuberculose qui se répand et qui résistent aux thérapies. Chose commune à toute l’Europe, Italie comprise, la bactérie s’est transformée et ne réagit plus aux antibiotiques qui l’avaient vaincue depuis 50 ans.

    Entre 2013 et 2016, la gale a augmenté de près de 3.000 %.  ( trois mille pour cent ) rien qu’en Rhénanie Septentrionale – Vestfalie . Sans parler de la rougeole diffuse dans tous les 16 Etats Fédéraux Allemands, sauf un : Mecklenburg Vorpommen,l’état avec le pourcentage d’immigrés le plus bas.

    Les données fournies par le RKI représentent seulement la pointe de l’iceberg et pour certains ne couvrent qu’une partie des dangers diffus.

    Beaucoup de médecins disent que les cas de tuberculose, par exemple,sont beaucoup plus élevés et accusent le RKI de minimiser la menace pour contrôler les sentiments anti immigration.

    Si les choses sont ainsi en Allemagne, en Italie la symphonie est pareille.

    La différence c’est qu’une petite partie des immigrés reste, la péninsule est une zône de transit et la comparaison n’est pas possible, le politiquement correct frappe aussi le Bel Paese.

    Les réunions et autres cocktail party organisés par les fondations philanthropiques se tiennent à bonne distance pour ne pas dénoncer le danger. Pas de données, pas de statistiques, en somme le binôme immigrés- maladies n’existe pas et ne doit pas exister. Surtout qu’en un moment historique où le coup de fouet du susdit binôme n’est pas vraiment prévu.

    Ce qui rend un rien paradoxal le contexte est le fait que la multiplication des séminaires en milieux hospitaliers pour essayer de monitorer la situation car:   "les migrants posent la question de santé publique inéluctable".  ( Francesco BLASI , président de la Société Italienne de Pneumologie)

    De temps en temps, quelques chiffres sortent : comme les plus de 2.000 cas de gale et les 38 cas de tuberculose qui entrent dans la balance 2.016 des Centres d’Accueil de Milan. Pour le reste, il manque une méthodologie systématique pour la récolte de données. Où elles sont disponibles, elles datent de trop longtemps.

    La question de la diffusion des maladies liées à l’immigration est maintenant liquidée par la version offerte par diverses chaires ampoulées, et qui consiste avec l’unique sentence : Ils partent sains et si c’est vrai qu’ils tombent malades c’est la faute du climat insalubre italien

    et plus généralement du climat occidental et des conditions de vie qu’ils trouvent en arrivant ici.

    Le Président de l’Institut Supérieur de Santé Walter RICCIARDI a carrément déclaré que les imigrants qui arrivent dans notre pays sont en général  "en bonne santé " et sont  "plus vaccinés que les italiens  "car dans beaucoup de pays,  les vaccinations sont plus élevées" , soit parce que  "nous les vaccinons à l’arrivée" . Si c’est vrai, pourquoi partent ils? Et pourquoi chaque migrant logé dans les camps est vacciné contre la diphtérie-tétanos-polio , vaccin pour la vie, comme ils nous racontent, ces maladies sont pratiquement éteintes depuis longtemps?

    En fait, ils ne sont pas vaccinés contre l’hépatite B. alors que la plupart des pays d’où ils viennent ces migrants, l’hépatite B est endémique.

    Il y a ensuite les journaleux made in Italy, qui racontent l’autre fable qui dit que les migrants ne sont pas malades, mais sont traumatisés. Et en avant toutes sur la xénophobie, le racisme et les données qui sont juste allarmistes. Et rien de plus.

    C’est plus facile avec la bien-pensance d’éluder la question plutôt que photographier le moment historique avec honnêteté intellectuelle et dénoncer les dégâts d’une politique scélérate de l’immigration.

    Traduction pour Résistance républicaine de Valkyrie

    http://www.imolaoggi.it/2017/07/30/migranti-e-malattie-infettive-il-legame-ce-eccome-ma-non-si-puo-dire/