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science - Page 4

  • Boudu!!!

    Espoir pour lutter contre l'infertilité

    FIV : des Français réalisent la 1ère impression en 3D d'un embryon

    Pour la première fois, des chercheurs ont réussi à reconstituer et à imprimer un embryon humain en 3D. Un espoir pour les couples infertiles qui ont recours à la fécondation in vitro.

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    C'est une première mondiale et qui plus est française. Selon Europe1, les chercheurs du CHU de Montpellier ont réussi à reconstituer et à imprimer un embryon humain en 3D. Ce progrès scientifique constitue, à n'en pas douter, une lueur d'espoir pour les couples infertiles qui ont recours à la fécondation in vitro (FIV). Surtout qu'à l'heure actuelle, deux FIV sur trois se soldent encore par un échec.

    La 3D pour mieux voir les éventuelles anomalies de l'embryon

    Pour l'équipe de scientifiques, l’objectif  est ici de faciliter la sélection du " bon embryon " à implanter lors d’une  fécondation in vitro. Au moment d'une FIV, plusieurs embryons sont en effet créés et les médecins doivent ensuite choisir celui ou ceux qui auront le plus de chance de se solder par une grossesse.

    Mais pour faire ce choix, ils ne disposaient jusqu'à présent que de peu d’outils pour repérer les défauts de l’embryon et travaillaient à l’aide d’un microscope. Une histoire qui s'écrit peut-être au passé car cette technique d’impression 3D pourrait bien changer la donne.

    A l’aide de photos et d’un logiciel, les chercheurs ont donc réussi à agrandir et matérialiser un embryon, au stade préimplantatoire, et à en imprimer une réplique exacte en 3D pour mieux l’observer.

    Cette impression 3D qui aurait " la taille d'une pomme ", selon cette radio, permettrait donc d'en découvrir les éventuelles anomales, avant de choisir de procéder ou non à l’implantation.

    Pour l'équipe, cette avancée scientifique permettrait aux médecins " de mieux appréhender la phase implantatoire de la FIV, et ainsi d’améliorer les chances de réussite de l’implantation de l’embryon dans l’utérus. "

     

  • ATTENTION: TRES IMPORTANT

    Mon blog de cuisine toulousaine va devenir

    cuisine-toulousaine.com

     

    vérifiez: vous ne devez pas ajouter les 3 w devant!

  • Epilepsie : un bébé guéri grâce à une réplique 3D de son cerveau

    L’impression en 3D d’une réplique exacte du cerveau d’un enfant de 5 mois a permis de soigner son épilepsie. Des médecins de Boston, aux Etats-Unis, sont à l’origine de cette percée technologique.

    A 5 mois, Gabriel s’est vu retirer un hémisphère du cerveau. Grâce à l’impression 3D de celui-ci, ses chirurgiens n’ont connu aucune complication. L’émission " Detours " du site d’actualité technologique The Verge a rencontré les protagonistes de cette incroyable aventure.

    Une réplique parfaite du cerveau

    L'an dernier, Erin Mandeville se rend pour la première fois au Boston Children’s Hospital (Massachusetts, Etats-Unis) avec son fils de 5 mois. Elle s’inquiète de le voir souffrir de spasmes. En fait, ce n’est que la première d’une longue série de crises d’épilepsies, qui mettent son fils en danger. En retard sur son développement cognitif et moteur, l’enfant est dans une situation préoccupante. C’est alors que les médecins envisagent une solution radicale, mais extrêmement complexe : l’hémisphérectomie. Cette opération consiste à retirer ou désactiver un hémisphère dysfonctionnel du cerveau.

    Mais l’équipe médicale propose une approche encore jamais testée à la mère de Gabriel : grâce à une série de scanner et d’IRM et avec une imprimante 3D, ils sont capables de reproduire très exactement le cerveau de l’enfant,  Imprimée dans un plastique mou, d’une épaisseur de 16 microns par couche, cette réplique parfaite distingue en couleur les vaisseaux sanguins. Elle permet aux médecins de s’entraîner à " l’une des opérations les plus difficiles dans la chirurgie de l’épilepsie pédiatrique ", selon l’aveu du Dr Joseph Madsen, directeur du programme d’épilepsie au Boston Children’s Hospital.

    Un entraînement pré-opératoire

    Avant d’opérer le petit Gabriel, l’équipe médicale s’entraîne à de nombreuses reprises sur cette réplique du cerveau. " La préparation chirurgicale par la simulation permet aux chirurgiens d’atteindre leur but bien plus vite. Nous ne pouvons pas nous préparer à toutes les possibilités, mais nous pouvons écarter un bon nombre de complications ", précise le Dr Peter Weinstock, directeur du Simulator Program, développé par l’hôpital.

    Les chirurgiens montrent également aux parents de l’enfant comment l’opération se déroulerait. En salle d’opération, il ne leur a fallu que 10 heures pour soigner Gabriel.

    A présent âgé de 18 mois, il ne souffre plus de crises d’épilepsie. " Son cerveau s’est déjà rebranché ", confie sa mère. " Il commence à rattraper toutes les étapes clé qu’il a ratées - et il se lève tous les matins avec le sourire. "

    En un an d’existence, le projet " Simulator Program " a, quant à lui, permis de réaliser 100 impressions, dont 20 % ont donné des résultats en salle d’opération.

  • Barclays lance la reconnaissance par empreinte veineuse

    La banque a développé, en partenariat avec Hitachi Europe, un système de reconnaissance des individus par leurs réseaux veineux.

    Pour s'assurer une identification parfaite de ses clients, Barclays déploie les grands moyens. La banque a développé, en partenariat avec Hitachi Europe, un système de reconnaissance des individus par leurs réseaux veineux. Elle va envoyer, dès l'année prochaine, 30.000 lecteurs biométriques à ses grands comptes entreprises. Le panel sera élargi en cas de succès. Les personnes concernées pourront enregistrer leur empreinte veineuse, en scannant le bout de leur doigt. L'appareil enregistre alors les réseaux des veines, qui ne seront altérés ni par la vieillesse ni par la maladie.

    Lutter contre la fraude

    L'opération a des qualités. La première est de lutter contre la fraude, qui a fait perdre plus de 5 milliards de livres aux banques britanniques l'année dernière. Le système contentera aussi les clients pressés ou oublieux: inutile désormais de se rappeler des codes secrets fastidieux, le simple scan d'un doigt permettra d'accéder à ses comptes ou de passer une transaction. La technique devrait aussi décourager les malfrats de couper des doigts. "Contrairement aux empreintes digitales, le réseau veineux est très difficile à imiter et à répliquer. Le doigt scanné doit être attaché à un être humain vivant pour que les veines soient authentifiées", a en effet expliqué au Guardian un représentant de la banque.

    En Pologne, 2000 distributeurs automatiques qui promettent "du cash au bout de votre doigt" sont déjà équipés d'un tel système. L'introduction de ces lecteurs fera gagner du temps et de l'argent à Barclays. Elle réjouira certains de ses clients férus de technologie. Certains y opposeront peut-être des principes de protection de la vie privée. Quoique le consentement général à être fiché semble bien installé.

     

     

  • Pour la fin du mois, les foyers français recevront Nest

    Attendu sur le marché depuis déjà des mois de cela, on apprend que le thermostat connecté de Google présenté par Nest arrivera en France à la fin de ce mois de Septembre 2014. De belles économies sont promises par le Google Nest.

    Nest sera en France pour ce mois-ci

    Comme nous le savons, Nest a été créé par Tony Fadell et Matt Roger, deux anciens d’Apple. Depuis son rachat par Google pour la somme de 3,2 milliards de dollars en janvier 2014, cette entreprise fait trembler la communauté Geek. Nest a déjà fait un grand saut sur le marché français notamment en présentant son produit à IFA 2014. En effet, par l’intermédiaire de Google, Nest a présenté son thermostat intelligent Google Nest. Ce produit est annoncé aider les foyers à réduire largement leurs factures de chauffage. Lionel Paillet, directeur général Europe de Nest indique que le thermostat connecté pourra faire baisser la facture de chauffage entre 15% à 20%. Si c’est bel et bien le cas, on peut en conclure que cette économie n’est sans doute pas négligeable car la facture moyenne d’un foyer français est estimée à 1660 euros par an pour le chauffage.

    Google Nest et les questions de sécurité des données

    Selon les informations le thermostat intelligent Google Nest devrait être vendu autour de 200 et 250 euros mais il faudrait également penser au prix d’installation de 90 euros environs. En tout, le retour sur investissement semble encore très intéressant, toutefois des précautions sont à prendre en compte. Rappelez-vous que des spécialistes de la sécurité informatique ont annoncé lors de la dernière conférence Black Hat de Las Vegas que le Google Nest présente des failles de sécurité, il ouvre en effet la porte de votre réseau domestique aux hackers.

    Par ailleurs, notons que Nest dispose aussi une alarme connectée dans sa gamme de produits. Ce dernier pourrait bien vous servir afin de renforcer votre sécurité face aux problèmes de sécurité. A fin de ce mois de Septembre, préparez-vous donc à recevoir Nest dans votre foyer en achetant le thermostat Google Nest qui sera disponible dans plus de 400 boutiques se trouvant en Europe mais n’oubliez pas non plus qu’il sera vendu sur le Google Play Store.

  • Bientôt des drones au secours des agriculteurs !

     

    L’agriculteur, un véritable entrepreneur soucieux de réaliser des profits, n’a plus le temps d’aller inspecter ses champs. Des drones viendront-ils lui prêter main forte ?

    Par Jacques Henry.

    L’agriculture " raisonnée " est un concept qui signifie que la gestion des intrants est mieux contrôlée. Elle existe depuis un certain nombre d’années et a été promue auprès du monde agricole par les grandes sociétés impliquées dans la protection des cultures, en d’autres termes les chimistes produisant des pesticides variés et parfois aussi des engrais.

    Il s’agit d’optimiser les apports en engrais, en eau pour les cultures qui le nécessitent comme par exemple le maïs, et en pesticides pour lutter contre les ravageurs. Or, qui dit agriculture à haut rendement suppose une gestion optimale de ces intrants. L’agriculteur, un véritable entrepreneur soucieux de réaliser des profits, n’a plus le temps d’aller inspecter ses champs. Il possède un ordinateur avec lequel il consulte la météo, les cours des céréales ou des pommes de terre, le prix du lait et son tracteur est muni d’un localisateur GPS. Le producteur de céréales ne va plus préparer son champ avec une faux avant la moisson, ce temps-là est révolu depuis longtemps, il loue les services d’une entreprise spécialisée qui possède de grosses machines et ses moissons sont terminées avant même qu’il ne l’ait réalisé et il ne voit même pas le grain que ses champs ont produit.

    Puisqu’il n’a plus de temps à consacrer pour se rendre compte de l’état de santé de ses cultures, qu’à cela ne tienne, une entreprise canadienne commercialise un petit avion muni de caméras spécialisées dans la détection aérienne de tous les stress que peuvent subir les cultures. Il s’agit d’équipements réalisant des clichés en haute résolution à diverses longueurs d’onde et les signaux sont envoyés par wi-fi à la ferme. Depuis son ordinateur, l’exploitant agricole peut non seulement piloter le drone d’un mètre d’envergure bourré d’électronique sophistiquée et faire une analyse en temps réel des clichés transmis par celui-ci volant à une altitude de 120 mètres, mais aussi prendre immédiatement les décisions adéquates que lui aura indiqué un logiciel dédié pour ce type d’application.

    Parfaitement localisée sur l’ordinateur, l’évolution du drone détecte par exemple un déficit hydrique conséquent sur une légère proéminence d’un champ et au contraire le développement de rouille dans une zone en creux du même champ. L’analyse spectrale réalisée en temps réel à partir des données transmises par le drone permet de détecter l’état phytosanitaire des cultures, les carences en azote ou en potassium, la présence de ravageurs et bien d’autres paramètres que l’agriculteur pourra apprécier pour prendre ainsi une décision rapide d’intervention.

    La société Precision Hawks met donc à la disposition de l’agriculteur un outil d’observation d’une précision inestimable venant en soutien des prises de décision nécessaires pour permettre d’optimiser les rendements et la santé des cultures. Il est probable qu’un jour les interventions sur le terrain seront faites par des machines sans conducteur, des robots, et le monde agricole qui représentait encore 60 % de la population au début du XXème siècle et maintenant à peine 5 % sera remplacé par des machines.

    En ce qui concerne ces drones pacifiques d’un genre nouveau, reste à savoir si les autorisations de vol seront accordées par les autorités compétentes, sachant qu’un groupe d’adolescents de Nancy a été condamné pour avoir fait voler un drone au-dessus de la ville sans autorisation préalable il y a quelques mois. Peut-être que dans la Saône-et-Loire profonde du ministre du redressement agricole, il sera plus facile d’obtenir un permis de voler à une centaine de mètres d’altitude sans rendre les autorités civiles et militaires trop nerveuses !!!

    Source : http://precisionhawk.com/index.html

     

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