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société - Page 300

  • La gauchiasse n'a que ce mec à nous proposer? IL EST TOTALEMENT FOU!

    Benoît Hamon

    “Quand je suis rentré à Brest, j’ai trouvé la ville très blanche. Pour être très honnête, j’ai même trouvé qu’il y avait trop de blancs puisque Brest est une ville sans immigration. Cette attirance pour les autres cultures a certainement favorisé mon engagement politique“.

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    C’est devenu une habitude de la fachosphère : renommer un candidat à la présidentielle dans le but de dénoncer sa proximité présumée avec l’islam radical. Après Alain Juppé, devenu Ali Juppé sur le clavier ce certains internautes, c’est au tour de Benoît Hamon d’en faire les frais. Mercredi soir après le débat qui l’a opposé à Manuel Valls, le candidat est revenu face à ses sympathisants sur cette polémique avec légèreté : " Je tiens à dire à ceux qui ont la haine dans le bide et dans la tête que Bilal est un très beau prénom ", a-t-il déclaré. L’ancien ministre de l’Éducation a ensuite évoqué l’histoire de Bilal, " le premier muezzin du prophète " Mahomet, suscitant les applaudissements de ses sympathisants.

    " Benoît Hamon est en résonance avec une frange islamo-gauchiste et fait un appel du pied électoral. C’est une stratégie d’attrape-tout. Pour obtenir un vote, tout est valable. C’est le pire des discours possibles, un discours de faiblesse. Autour de lui, il y a un certain nombre de gens, comme Pascal Cherki [porte-parole de Benoît Hamon], qui vont encore plus loin et ont soutenu par exemple une réunion qui était interdite aux blancs ", ajoutait à 20 minutes Malek Boutih, soutien de Manuel Valls. " C’est une injure ", a simplement réagi jeudi Benoît Hamon, assurant que ces " paroles blessantes " étaient " parfaitement injustifiées ".

    Le JDD

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    Face à l'islamisme et au communautarisme, enquête à Trappes sur le vrai Benoît Hamon

    Le candidat à la primaire de la gauche utilise son fief électoral des Yvelines comme un laboratoire politique. Ses adversaires l'accusent de mollesse à l'endroit de l'islam intégriste. Il s'en défend. Enquête.

    http://www.marianne.net

     

  • Double vie à l’Ehpad :

     Je voulais attirer votre attention sur un phénomène que j’ai observé dans une maison de retraite mais qui est valable partout, c’est que le personnel le plus jeune a une double vie. Je ne veux pas dire qu’une fois qu’il a fini son travail il va prendre des cours de théâtre, je ne veux pas dire que c’est une double casquette, non il mène une double vie parallèle à l’autre, en même temps que l’autre, grâce à son téléphone portable, son smartphone.

    C’est particulièrement spectaculaire dans une maison de retraite parce que les pensionnaires, les vieilles dames, les vieux messieurs sont souvent à l’affût d’une attention personnelle de la part des jeunes filles qui s’occupent d’eux.

    Mais les jeunes filles en question pianotent du pouce pratiquement en faisant le ménage, et répondent en souriant à de mystérieux correspondants, et quand elles reviennent à leur décor habituel on  lit sur leur visage un truc du genre “laissez tomber vous pouvez pas comprendre”.

    http://www.tvlibertes.com/2017/01/07/13122/combaz-france-campagnol-2-6-janvier-2017

    Jeunesse: j'ai été ce que vous êtes, vous serez ce que je suis.... inutile de détourner la tête!

  • Encore une folle de gauchiasse!

    Bientôt des seringues en prison pour permette aux détenus de se droguer… en toute sécurité, au nom de la lutte contre le sida!

    C’est la dernière folie laxiste de Marisol Touraine, du ministère de la Santé, qui de santé s’occupe de tuer, et du ministère de la Justice, qui contrevient à la loi, la consommation de drogue étant normalement interdite!

    Seringues propres, stupéfiants autorisés et surveillance des médecins pour permettre aux toxicomanes emprisonnés de se droguer en toute impunité sont au menu de la réforme socialiste de la Santé.

    L’article 26 du projet de loi stipule par ailleurs la possibilité pour certains détenus, dans certaines conditions, d’utiliser les seringues fournies en détention dans leur propre cellule. “Une menace de plus“, estiment les surveillants, car ces seringues peuvent constituer des armes redoutables. D’autant plus si elles sont contaminées par le virus du Sida!

    Décidément l’engeance socialiste au pouvoir s’adonne à la culture de mort à haute dose! Vivement son euthanasie par piqûre électorale…

  • Maroc : interdiction de fabriquer et de vendre la burqa

    La Burqa bannit du Maroc. Une circulaire du ministère de l’intérieur interdit la confection et la commercialisation, à compter de cette semaine, de ce voile intégral afghan qui couvre les yeux. Selon des médias marocains, une campagne de sensibilisation auprès des commerçants a été menée à Casablanca. Si le port de la burqa reste un phénomène marginal dans le royaume, son interdiction pose désormais la question de celle du niqab, plus répandue dans les régions plus conservatrices.

    Cette décision, rapportée par la presse, serait motivée par des raisons sécuritaires, "des malfrats ayant à maintes reprises utilisé ce vêtement pour perpétrer leurs crimes".

     (…) L’Orient – Le Jour

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    Et pendant ce temps-là, en France, une connas…

    Dijon (21) : déjà condamnée pour port du voile intégral, elle refuse de se plier à la loi

    Déjà condamnée pour avoir porté publiquement le voile intégral, la contrevenante de 29 ans est à nouveau devant la justice pour les mêmes faits. Par choix de vie, elle refuse de se plier à la loi.

    Revêtue du voile intégral, elle marchait, place Jean-Bouhey, à Dijon, lorsque les policiers l’ont interpellée et verbalisée, le 6 octobre dernier, jour de son vingt-neuvième anniversaire. (…)

     

  • Déradicalisation: où sont passés les 900.000 euros que Cazeneuve a donnés à Bouzar?

    Missionnée par Bernard Cazeneuve, l’auto-proclamée "spécialiste" de la déradicalisation Dounia Bouzar, officiellement anthropologue et essayiste, a bénéficié de larges subventions, à hauteur de 900.000 euros, qu’elle affirme avoir mis à profit pour suivre un peu plus de 1000 " jeunes " avec des résultats invérifiables.

    Dounia Bozar a depuis affirmé " vivre dans la peur " et a obtenu une protection policière (toujours de la part de Bernard Cazeneuve), qui a vite exaspéré les officiers de sécurité concernés, qui ont fait savoir que l’intéressée les employait comme des hommes à tout faire, ayant à leur égard une attitude particulièrement méprisante.

    Par ailleurs, les mêmes officiers faisaient savoir qu’un certain " malaise " (fort compréhensible) était né du fait du rapprochement de Dounia Bouzar avec le nommé Farid Benyettou, qui n’est autre que l’ancien maître à penser des frères Kouachi et l’une des figures de la filière des Buttes Chaumont, un groupuscule djihadiste démantelé en 2005.

    Dounia Bouzar n’a pas hésité à salarier le nommé Farid Benyettou (avec quel argent ?) depuis octobre 2016, et a collaboré avec l’intéressé à l’écriture d’un ouvrage intitulé " Mon djihad, itinéraire d’un repenti " dont la promotion est assurée sur nombre de plateaux de télévision.

    Cette entreprise de réhabilitation a suscité un vif émoi dans l’opinion, en particulier au sein des associations de victimes du terrorisme islamiste, dont l’AfVT, qui s’est fendue d’un communiqué dénonçant les faits.

    En période de commémoration des attentats de Charlie Hebdo, la présence médiatique de l’un des responsables (même indirect) de cet acte de terrorisme qui a ébranlé la France a en effet de quoi susciter l’indignation.

    Alerté en temps et en heure par les services de police, par la voie hiérarchique, Bernard Cazeneuve devenu entre temps Premier ministre brille par son silence, alors qu’il est directement impliqué et par conséquent responsable de l’attribution des sommes colossales octroyées à ces individus à des fins supposées de déradicalisation, alors que rien ne permet d’établir qu’elles sont avérées.

    C’est d’ailleurs sur la base de cette incertitude, pour employer un euphémisme, que certains parlementaires, dont la sénatrice Nathalie Goulet (Centre), ont demandé une enquête parlementaire sur l’efficacité de la méthode Dounia Bouzar à travers son association loi 1901 : le Centre de Prévention contre les Dérives Sectaires liées à l’Islam (CPDSI).

    Prétendant avoir " repris son indépendance " depuis 2016 (c’est fort pratique), le CPDSI présidé par Lydia Bouzar (la propre fille de Dounia Bouzar), devra donc probablement se justifier de l’emploi des subventions versées, et Bernard Cazeneuve de sa décision d’avoir officiellement mandaté cette structure comme " équipe mobile d’intervention " au sein des préfectures.

    A l’évidence, il s’agit là d’un nouveau scandale qui devrait connaitre de nombreux rebondissements et dont il convient d’affirmer qu’il mériterait pour le moins, au delà d’une enquête parlementaire, une enquête pénale.

    Sébastien JALLAMION rispostelaïque

     

    et aussi:

    Lyon : une subvention de 2 millions d’euros pour l’Institut de la Civilisation Musulmane.

    Demander à une musulmane de déradicaliser un musulman c’est donner au chat la garde du pot de crème

    Pourquoi déradicaliser les apprentis-terroristes islamiques et perdre son temps à dépenser tant d’argent? alors qu’il faut simplement les dénationaliser et les foutre dehors, pour ne pas dire autre chose!

    Mais on sait qui a fait les Lois du droit du sol, de la double nationalité et a fait de la déchéance de nationalité le Grand Tabou de France … ont-ils été un jour Français ceux qui veulent prendre les armes contre les Français et ceux qui sont dans l’Antifrance

    En gestuelle, une personne qui porte un bandeau autour de son visage, est une personne qui veut attirer l’attention sur son visage en le cadrant. Logique. En conséquence, cela identifie une personne narcissique.

    Des lunettes sur la tête? Idem.

     

  • La mémoire collective, l’identité sociale et individuelle, le sacré, la communauté: c'est l'humanité comme elle est, n'en déplaise aux assassins radicalisés.

    Pourquoi les vieilles pierres nous fascinent-elles à ce point?

    Stéphane Stapinsky

    A l’ère du tourisme mondialisé, de nombreuses enquêtes nous apprennent que les destinations les plus prisées, année après année, sont encore et toujours les vieux pays, comme la France et l’Italie, dont les visiteurs apprécient particulièrement le patrimoine architectural et artistique. Apportant avec eux leur quincaillerie électronique dernier cri, les voyageurs d’aujourd’hui aspirent néanmoins à faire un retour vers le passé lorsqu’ils cherchent à se dépayser. Même les personnes qui ignorent l’histoire, ou qui n’en n’ont cure, paraissent sensibles à ce charme. Elles sentent intuitivement qu’il y a là une profondeur bien réelle. La mode et le conformisme ne sont donc pas la seule explication de l’attrait des gens pour des villes comme Paris, Athènes ou Rome.

    D’autres études ont par ailleurs montré que, s’ils en avaient la possibilité, bien des gens préféreraient vivre dans d’authentiques bâtiments anciens, qui laissent voir la patine du temps, plutôt que dans des édifices modernes, ou dans du simili-vieux.

    Et, dans un tout autre ordre d’idée, faut-il rappeler le sentiment d’horreur et de révolte, qu’inspirent, de manière universelle, les destructions de sites antiques par l’État islamique, des sites que la plupart d’entre nous n’ont jamais visités, et sur lesquels nous connaissons bien peu de choses. N’empêche. C’est comme si, en accomplissant ces actes barbares, on profanait quelque chose de sacré, la couche la plus enfouie de notre humanité.

    Pourquoi donc les vieilles pierres nous fascinent-elles à ce point? C’est d’autant plus surprenant que nous vivons à une époque qui a le culte de la technologie et de la nouveauté perpétuelle. Pourquoi, donc, cette fascination?

    C’est la question à laquelle cherche à répondre une livraison récente, de belle facture et au contenu original, du Forum Journal, publication périodique du National Trust for Historic Preservation, organisme américain établi à Washington et voué à la conservation du patrimoine historique bâti.

    J’ai recensé, il y a quelques mois, un ouvrage collectif sur l’importance du " lieu " pour l’identité sociale et collective. Le présent numéro de la revue (" Why Do Old Places Matter? " -- printemps 2015, vol. 29, no 3), qu’on peut télécharger gratuitement en ligne, aborde un aspect particulier de la problématique générale du lieu, à savoir les lieux chargés d’histoire.

    L’origine de ce numéro de revue est une réflexion initiée sur le blogue du National Trust for Historic Preservation par Tom Mayes, conseiller de l’organisme et lauréat, en 2013, du Prix de Rome dans le domaine de la conservation, décerné par l’Académie américaine de Rome. Celui-ci s’explique : " Je suis allé à Rome pendant six mois afin de réfléchir plus à fond sur des questions qui m’habitent depuis plus d’une décennie : Pourquoi les lieux chargés d’histoire sont-ils importants? Quelle différence y a-t-il, pour les gens, entre le fait de sauver, de recycler ou de simplement continuer à utiliser de la même façon les bâtiments historiques (ou de ne pas faire toutes ces choses)? Est-ce que la présence de lieux historiques améliore la vie des gens? Si oui, de quelle manière?" (1)

    On peut lire en ligne les textes des plus stimulants que Mayes a écrits sur les lieux historiques et les rapports qu’ils entretiennent avec des thèmes comme la mémoire collective, l’identité sociale et individuelle, le sacré, la communauté, l’économie, le développement durable, l’économie, la créativité, etc.

    Un autre thème abordé de manière intéressante par Mayes est celui de la beauté, que l’Agora a retenu comme élément fédérateur des réflexions de ses collaborateurs pour 2016-2017. La beauté d’un bâtiment ancien, d’un quartier ou d’une ville historique, est souvent la raison principale qui motive les efforts faits en vue de leur conservation. Certes, la notion de beauté demeure sujette à discussion, et l’histoire de la philosophie le démontre bien.

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