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societé - Page 349

  • Je ne savais pas que j'étais aussi célèbre!!!!! (2)

    Je ne sais pas où ils ont trouvé mon adresse mail ou qui leur a parlé de moi!

    Je gage cependant qu'ils n'envoient pas cela à tout les indépendants de France car, en 33 années de travail en indépendant, je n'avais jamais été contactée officiellement pour ce genre de choses.

     

    Appel à candidature pour vous faire élire juge au Tribunal de Commerce

    www.la-cndi.fr  rubrique "TC" Tribunal de Commerce

    Bonjour,

    Début septembre, dans votre circonscription, il y aura  des candidats  de La CNDI pour être élus magistrat-juges au Tribunal de Commerce.

    Rejoignez cette liste.

    Pour savoir si vous pouvez être candidat- éligible, visitez le site Internet : www.la-cndi.fr  puis la rubrique « TC» -Tribunaux de Commerce.

    Vous y trouverez les conditions d’éligibilité  au Tribunal de Commerce et toutes les démarches à accomplir pour être candidat.

    Toutes les candidatures seront examinées  par La CNDI.

    Les "petits entrepreneurs" ont besoin de développer leur représentation dans les TC. La CNDI vous aidera à vous faire élire.

    Après avoir visité le site Internet, n’hésitez pas à nous contacter ou à nous téléphoner pour plus d’informations.

    La CNDI a déjà de BONS juges aux TC. Rejoignez-les.

    Les BONS JUGES font les BONS TRIBUNAUX.

    Tous les "petits entrepreneurs" comptent  sur vous.

    Cordialement,

    Olivier  B.

    Président de La CNDI.

    01 43 20

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  • Pauvre France!

    hallucinant, non?

    moi, ca me fait peur

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    http://corto74.blogspot.fr/2016/05/et-le-massacre-continue.html#comment-form

     

    ET DANS LE MÊME BLOG

    Hollande, un demeuré lymphatique au Panthéon des nuls

    Par Eloïse Lenesley, journaliste:

    "Une indescriptible pagaille s'est abattue sur l'Hexagone depuis l'émergence de la mouvance Nuit debout et le passage au forceps de la loi El Khomri. Huit raffineries se retrouvent bloquées, un tiers des stations-essence accusent une pénurie ; les cheminots débrayent les mercredis et jeudis, la CGT envisage un appel à la grève reconductible à la SNCF chaque jour dès le 31 mai, tandis que la RATP pourrait connaître le même sort à compter du 2 juin. Sur les ports et les docks, un arrêt du travail est prévu les 26 et 27 mai. Pour le secteur aérien, ce sera du 3 au 5 juin. Des barrages filtrants sévissent dans plusieurs régions, ainsi que de nouveaux blocages sur le pont de Normandie. Cerise sur le gâteau, les centrales nucléaires pourraient se joindre à la fête, occasionnant des perturbations de la production électrique, voire l'immobilisation de deux réacteurs à Nogent sur Seine. Mais tout cela n'est que menu fretin comparé à l'événement essentiel de ces derniers jours, dont l'impact dépasse allègrement nos modestes frontières: François Hollande est "entré dans l'Histoire". Oui madame. L'Histoire, la vraie, celle avec un grand H, le même qu'il a dû fumer pour qu'une telle idée lui effleure les deux neurones d'intelligence que lui a prêtés Nicolas Sarkozy pour cinq ans. Reconductibles, comme les grèves. François Hollande est donc "entré dans l'Histoire" en scooter avec sa petite boîte à outils, sous la pluie, la cravate espiègle, le costume froissé, l'exemplarité rapiécée de tous les côtés, la courbe du chômage en bandoulière. Et il est content, l'animal, parce que "ça va mieux". Tellement mieux que l'attractivité de la France patauge en queue de peloton alors que celle des 42 pays d'Europe s'envole, avec un record de 5089 implantations internationales, d'après l'enquête mondiale EY. En cause, la fiscalité et la rigidité du Code du travail. Nul doute que le joyeux foutoir cégétiste pastoral ne va pas arranger nos petites affaires. L'indice PMI manufacturier, lui, se contracte en mai à 48,3 points. La dette publique caracole à 96,2% du PIB. Le chômage, qui dénombre 6,5 millions d'inscrits, ne désenfle qu'au compte-goutte grâce aux manipulations statistiques, aux radiations intempestives, aux contrats subventionnés, aux emplois précaires et à l'essor de l'intérim (+10% sur un an). Les entreprises retrouvent certes un peu d'oxygène, du fait de la baisse de leur facture énergétique. Cette même facture qui a dopé la consommation des ménages, et par ricochet la croissance, au premier trimestre - les températures hivernales les incitant à se chauffer davantage. Huit millions de Français se noient sous le seuil de pauvreté. Selon une étude en date du 24 mai, 43% des citoyens renoncent à se soigner, faute d'argent, ou découragés par des délais d'attente toujours plus longs.

    François Hollande est "entré dans l'Histoire" avec pertes et fracas. Mécano de la grève générale, fossoyeur de la cohésion sociale. Instigateur d'un mariage gay qui, quoi qu'on en pense, a clivé la population et monopolisé le débat parlementaire durant des mois, au détriment de sujets plus urgents. Initiateur d'un laxisme débraillé, laissant les racailles saccager le Trocadéro et les Champs-Élysées en 2013 après un match du PSG (on se gausse à l'avance des réjouissances "en marge" qui émailleront l'Euro), fermant les yeux devant les scènes de guérillas urbaines du 14-Juillet ou du Nouvel an, observant mollement l'enracinement sur le pavé des activistes ultraviolents d'extrême gauche adeptes du "poulet rôti". Rouleau compresseur de notre mémoire et de nos racines, méprisant les "Français de souche" lors d'un dîner du Crif ; piétinant les cadavres de Verdun d'un racolage multiculturaliste musical ; demeurant lymphatique face à la déferlante migratoire ; s'agenouillant devant les desiderata européens et américains ; anéantissant l'enseignement scolaire: l'Histoire, notre Histoire. François Hollande est bel et bien entré dedans, par effraction, expurgeant ses manuels d'un passé pas assez bobo-compatible, falsifiant le récit national. Enfumeur de l'opinion, s'emparant à bras raccourcis d'une émotion post-attentats susceptible de réanimer son baromètre de popularité en hypothermie, tentant de faire oublier qu'il a favorisé le communautarisme, qu'il n'a pas su prendre les mesures qui s'imposaient après la tragédie de Charlie, qu'il a fait mine d'ignorer pendant la première partie de son mandat la prolifération du djihadisme dans les banlieues, qu'il a orchestré un laborieux cafouillage démocratique avec le stérile projet de déchéance de nationalité et qu'il a instauré le seul état d'urgence au monde où des agitateurs anarchistes peuvent tout démolir sur leur passage et où des syndicalistes peuvent paralyser le pays.

    François Hollande est "entré dans l'Histoire" et il le fait savoir. Entré dans l'Histoire comme le pire président de la Ve, celui qui aura semé le désordre, la discorde, les anaphores, la paupérisation, la déculturation, la honte d'être Français. Entré dans l'Histoire par une porte de service qu'il ne nous a pas rendu. Une porte qui claque à la figure de tous les laissés-pour-compte. La France, elle, attend son issue de secours. Hollande, l'anti de Gaulle. "

    Paru dans le Figaro Vox sous le titre: Je suis dans l'Histoire : Hollande bientôt au Panthéon des nuls?

  • Absolument tous les fous sont dans la nature

    Transfolie : 11 Etats poursuivent le gouvernement Obama

    Le Texas et dix autres Etats américains poursuivent en justice le gouvernement de Barack Obama pour ses mesures contre la discrimination des personnes transgenres. Ces poursuites visent une circulaire envoyée le 13 mai par le gouvernement de Barack Obama à tout le système public de l'enseignement, affirmant notamment que l'accès aux toilettes et aux vestiaires devait se faire selon le sexe auquel un élève s'identifie, et non selon son sexe de naissance. Les plaignants accusent les autorités fédérales de chercher à

        "transformer les lieux de travail et d'enseignement en des laboratoires de gigantesque expérimentation sociale, en contournant la voie démocratique et au mépris des mesures de bon sens protégeant les enfants et les droits fondamentaux".

    Au Texas se joignent les Etats de l'Alabama, du Wisconsin, de la Virginie occidentale, du Tennessee, de l'Oklahoma, de la Louisiane, de l'Utah et de la Géorgie, plus les autorités éducatives de l'Arizona et le gouverneur du Maine. L'administration fédérale a publié ces directives en réponse à une loi de la Caroline du Nord qui impose aux personnes transgenres d'utiliser au contraire les toilettes en fonction de leur sexe quand elles sont nées.

    Comme l'explique Lifesitenews, la disposition la plus dangereuse et largement passée inaperçue de l'orientation trans-genre de Barack Obama n'a rien à voir avec les toilettes. La disposition la plus scandaleuse ne concerne même pas les vestiaires, où les adolescents du sexe opposé vont se changer et prendre leur douche ensemble. La partie la plus offensive de la nouvelle politique est que, sous la direction fédérale de l'administration Obama:

    Les districts scolaires devront permettre aux garçons et aux jeunes filles de passer la nuit dans la même chambre d'hôtel au cours des sorties d'école;

    Les collèges devront laisser les hommes qui disent être trans-genres être colocataires avec une ou plusieurs femmes;

    Les responsables scolaires ne pourront même pas dire à ces jeunes femmes ou à leurs parents à l'avance que leur nouveau colocataire sera un homme, sans risquer un procès fédéral.  ( je veux bien que ce jeune homme qui se sent femme, ne soit pas discriminé et tout cela... mais la jeune femme qui avait envie d'avoir des colocataires femmes, n'a t elle pas, elle aussi des droits de base...? surtout si son colloc redevient tout d'un coup homme.....)

    La directive indique clairement que, en ce qui concerne le ministère de la Justice et le ministère de l'Éducation, un étudiant devient un membre du sexe opposé au moment où il se sent l'être. Au moment où il informe les autorités scolaires au sujet de sa décision, ils doivent le traiter immédiatement en conséquence:

    “Quand un élève ou le parent ou le tuteur de l'étudiant, le cas échéant, informe l'administration de l'école que l'élève affirme une identité de genre différente des représentations ou d'enregistrements précédents, l'école devra commencer à traiter l'étudiant en accord avec l'identité de genre de l'étudiant".

    L'étudiant n'a pas à répondre à toutes les autres conditions pour changer son sexe : pas de diagnostic ou de traitement médical auquel les élèves devraient répondre comme condition préalable pour être traités conformément à leur identité de genre. Il n'y a pas de seuil minimum requis pour se qualifier comme trans-genre, il n'y a pas de limite maximale au nombre de fois qu'un élève peut changer de sexe.

    http://www2.ed.gov/about/offices/list/ocr/letters/colleague-201605-title-ix-transgender.pdf

     

  • Le coup de massue sur les smicards....

    C’est l’OCDE qui le révèle dans son étude intitulée “Les impôts sur les salaires 2016”, publiée le 11 mai dernier: la France ferait peser une charge fiscale et sociale de 67,2% sur les salaires des travailleurs gagnant moins de 2000 euros bruts par mois. Une proportion qui irait en diminuant à mesure qu’augmente la rémunération de base, et qui concernerait également les familles de classe moyenne.

    En 1907, un certain Joseph Caillaux, petit homme de gauche portant monocle, et accessoirement ministre des Finances de Georges Clemenceau, lâcha une phrase que Coluche ou Desproges n’auraient pas reniée: " Faites payer les pauvres ! Bien sûr, les riches ont la capacité de supporter des impôts bien plus lourds, mais les pauvres sont tellement plus nombreux ! ".

    Cible numéro un de l’État: le smicard célibataire

    Visiblement l’idée a fait son chemin car, si l’on en croit le dernier rapport de l’OCDE sur les salaires publié le 11 mai 2016, la France taxerait plus lourdement les salariés les moins bien payés. Ainsi, en tenant compte des impôts et des cotisations de sécurité sociale payés par les travailleurs et leurs employeurs, déduction faite des éventuelles prestations familiales qu’ils pourraient percevoir, on constate que plus des 2/3 de la rémunération des salariés les plus fragiles finissent dans les caisses de l’État. Et encore, ne sont pas comptabilisées les recettes fiscales liées à la TVA des biens et services consommés par ces mêmes contribuables.

    Plus exactement, l’étude a distingué 8 profils types de foyers fiscaux, selon qu’ils étaient constitués de célibataires ou de couples, avec ou sans enfants, et disposant de revenus appréciés en fonction du salaire brut moyen annuel. Et contrairement à ce qu’on pourrait s’attendre à trouver pour un pays dirigé depuis 4 ans par un gouvernement socialiste, ce ne sont pas les plus aisés qui subissent la plus lourde imposition globale.

    Par exemple, à la page 270 du rapport de l’OCDE, on développe le cas d’un célibataire gagnant les 2/3 du salaire moyen brut français, soit un peu moins de 2000 € brut par mois. Ce salarié verra non seulement la rémunération de son travail amputée d’un montant substantiel correspondant aux cotisations sociales et patronales, mais également d’un impôt sur le revenu de 11,7% portant à plus de 67% le total de la charge sociale et fiscale pesant sur son salaire de base. Plus intéressant encore, si ce salarié était subitement augmenté de 50% (ce qui n’arrive jamais dans la vraie vie, on est bien d’accord !) pour atteindre le niveau de rémunération considéré comme étant le salaire brut moyen des Français (2875 €), sa charge totale d’impôts et de cotisations sociales ne serait plus “que” de 59,3%. Enfin, s’il devait gagner 167% du salaire brut moyen, soit aux alentours de 4800 € par mois, il serait à peine plus ponctionné avec un total d’imposition fiscale et sociale de 59.8%. Seule solution pour s’en sortir, avoir au moins deux enfants à charge, ce qui lui permettrait de réduire son taux à 57.5%… en grande partie grâce aux prestations sociales.

    Cible numéro deux de l’État: les ménages de classe moyenne avec deux enfants

    Pour les ménages, la situation est tout à fait différente. Et si on comprend aisément qu’un couple élevant deux enfants avec l’équivalent de deux SMIC (un par parent) supporte une charge fiscale et sociale ne dépassant pas 35,5%, compte tenu du niveau de dépenses minimum qu’une telle famille doit déjà engager au quotidien pour simplement se loger et se nourrir, on a en revanche beaucoup de mal à comprendre pourquoi ce même couple, dès lors que chaque parent commence à gagner l’équivalent de 2000 € brut par mois (soit 1500 € net ou 67% seulement du salaire moyen en France), voit son niveau d’imposition global exploser brutalement pour atteindre 61,8% !

    Peut-on aujourd’hui considérer qu’une famille de quatre personnes vivant avec 3000 euros net par mois est riche ? À l’abri de la famine, certainement. Susceptible d’assumer quotidiennement (mais modestement) son rôle d’acteur social et économique de consommateur, probablement aussi. Mais riche au point de voir brusquement doubler le poids de ses prélèvements obligatoires ? Certainement pas.

    Et pourtant, ce sont bien ces familles de classe moyenne (et même très moyennes) qui constituent, avec les travailleurs célibataires payés entre une fois et une fois et demi le SMIC, le gros de la troupe des vaches à lait de la République exemplaire de Monsieur Hollande.

    http://www.24hgold.com/francais/actualite

  • RAPPEL

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