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sociéte - Page 267

  • Bon a savoir...

    Sclérose en plaques: imaginez-vous soulever une tasse de café de 2 kg et marcher avec des palmes sur un matelas pneumatique

    D'un air perplexe, la navetteuse observe la scène quelque peu insolite qui a été installée, ce mardi, dans le hall central de la gare du Midi à Bruxelles. Une paire de palmes, posée sur un tapis bleu marine, lui-même recouvrant un matelas pneumatique jonchant le sol devant un écran télé sur lequel défilent des images troubles avec, sur la gauche de ce décor fantasque, un petit fauteuil beige dont les pieds semblent avoir été coupés. Allant de l'un à l'autre objet, le regard interrogateur de la passante s'arrête alors sur l'affiche indiquant : "Vivre avec la SEP. Venez découvrir l'expérience de la vie quotidienne comme si vous viviez avec la sclérose en plaques". La voilà donc, l'explication de cette mise en scène inattendue.

    Comment, en effet, mieux comprendre les troubles de l'équilibre, un des multiples symptômes dont souffrent les patients atteints de SEP, sinon en chaussant ces palmes avant de s'essayer à faire quelques pas bien maladroits sur un matelas pneumatique?

    C'est un des exemples illustrant les difficultés auxquelles sont confrontées au quotidien les personnes vivant avec cette maladie dégénérative toujours incurable et dont les symptômes demeurent méconnus du grand public, bien qu'elle soit la maladie neurologique la plus fréquente chez le jeune adulte entre 20 et 40 ans.

    Une expérience à vivre pour mieux comprendre le quotidien des patients

    Clôturant la semaine nationale de la sclérose en plaques, la MS House Experience vise à sensibiliser et faire mieux comprendre au grand public la réalité de cette maladie. L'exposition, organisée mardi dans la gare bruxelloise, par la Ligue nationale de la SEP, avec le soutien du laboratoire pharmaceutique Merck, démontre combien cette maladie est invalidante. Pour s'en rendre compte, il suffit de se glisser, l'espace d'un instant, dans la peau de ces patients, en tentant les diverses expériences proposées.

    Cela commence au petit matin, à la cuisine, par la tasse de café qui pèse un bon kilo, sinon davantage en fonction de l'état de fatigue musculaire. Le plateau qui paraît déséquilibré, selon l'état de fatigue importante et changeante. Puis, à gauche de la table de cuisine, l'expérience se poursuit avec la lecture malaisée du livre de recettes. Histoire d'illustrer les troubles de mémoire et de concentration dont souffrent aussi ces patients. Ce qui ralentit forcément l'exécution d'une série de tâches aussi simples que préparer à manger. Plus loin, c'est un tableau noir qui est là pour rappeler les troubles cognitifs auxquels il faut faire face, compliquant eux aussi de nombreux gestes comme établir une liste de courses.

    De l'autre côté du mur, dans le salon, pour rendre compte des troubles de vision qui affectent également les malades, une télé demi-définition diffuse des images brouillées. Sur une table basse, deux colis bleus "mystérieux" et ce journal qui viennent encore souligner la diminution des capacités cognitives. Puis, il y a ce fauteuil trop bas dont on comprend aisément qu'il ne sera pas plus facile de s'y asseoir que de s'en sortir.

    Enfin, il reste ces palmes que l'on vous invite à enfiler avant de vous aventurer sur un matelas gonflable. Question de démontrer que la SEP affecte aussi de nombreuses parties du corps nécessaires à la coordination des mouvements et à l'équilibre.

    Equilibre que ces patients peuvent perdre à tout moment en raison de la perte de sensibilité au niveau des jambes ou des pieds. "Un peu comme s'ils marchaient avec des jambes en coton", explique-t-on à la Ligue où les patients se plaignent de "trébucher sur des poussières".

     

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  • Minute cynique…

    La presse compatissante commence à matraquer sur le « nettoyage ethnique » des malheureux Rohingyas, musulmans originaires du Bengale, ayant migré en Birmanie pendant la période coloniale. Ils furent supplétifs dans l’armée britannique et donc considérés comme des traîtres par les indépendantistes birmans, avant de soutenir de nouveau les Anglais, face aux Birmans, après-guerre. Du coup, en 1982, les voilà privés de la nationalité birmane et priés de déguerpir en direction de l’Indonésie, plus grand pays musulman du monde, lequel ne veut pas d’eux. Curieusement, les pays musulmans n’ont pas obligation comme nous, d’accueillir les migrants.

    Qu’ont il fait ces braves Rohingyas pour mériter tant de courroux ?

    Trois fois rien à la vérité. Bien que minoritaires, ils ont tenté d’imposer leurs pratiques musulmanes à l’ensemble de la population autochtone de la région, n’ont brûlé que quelques temples bouddhistes et saccagés deux ou trois villages, en tuant les villageois, rien de plus. Ils se sont également insurgés contre l’état Birman qui a eu l’audace, entre autres, de leur pondre une la loi imposant la monogamie. Ils ont alors réclamé plus de prérogatives pour leurs règles séculaires, en promettant le djihad en cas de refus : la routine quoi.

    Il faut dire que leur région est très pauvre et que ça donne le droit de prendre les armes. Un peu comme les paysans des très pauvres départements de la Lozère et de la Creuse qui se révoltent, armes à la main.

    En 2012, le viol sauvage d’une femme bouddhiste par un musulman, a déclenché de graves mesures de rétorsion envers cette communauté qualifiée par les Birmans, de prédatrice. Ben oui quoi, on ne peut même plus violer une mécréante tranquillement.

    Si, en France c’est possible. Dernièrement, le tribunal de Carpentras a reconnu à un Tunisien un genre d’alibi culturel, selon la bonne formule de l’avocate du prévenu pour agression sexuelle : « Il vient d’un village reculé de Tunisie, Il n’a jamais vécu au côté de jeunes filles vivant avec nos codes à nous ». Et malgré la condamnation à six mois de prison ferme, l’absence de mandat de dépôt a permis à l’homme de ressortir libre comme l’air.

    Elle est pénible, la Nobel de paix birmane, Aung San Suu Kyi, et elle n’y connaît rien, le viol, c’est une culture, allons, allons…

    https://lecolonel.net/la-minute-cynique-de-pierre-duriot-137/

  • Sushi, sachimi, chimie et mangez des saucisses de Toulouse, c'est mieux!

    Lu dans le blog d'un épidémiologiste

    Live Science rapporte que plusieurs restaurants aux États-Unis proposent un plat de poulet cru qu’on appelle du sashimi au poulet ou du tartare de poulet, selon Food & Wine Magazine. Bien que la "spécialité" n’ait pas beaucoup pris aux États-Unis, elle est très largement disponible au Japon. Manger du sashimi de poulet met une personne à un "risque assez élevé" d’avoir une infection causée par Campylobacter ou Salmonella, deux types de bactéries qui causent une intoxication alimentaire, a déclaré Ben Chapman, spécialiste de la sécurité des aliments et professeur agrégé à l’Université d’État de Caroline du Nord.

    Les infections à Campylobacter sont l’une des causes les plus fréquentes d’infections diarrhéiques aux États-Unis, selon le Centers for Disease Control and Prevention (CDC). Les bactéries causent des symptômes gastro-intestinaux, dont de la diarrhée, des crampes et des douleurs abdominales, et parfois elles peuvent causer des nausées et des vomissements, selon le CDC. Il y a environ 1,3 million de cas aux États-Unis chaque année et moins de 100 décès, en moyenne, chaque année de cette infection.

    Les infections à Salmonella causent également des symptômes tels que de la diarrhée, de la fièvre et des crampes abdominales, selon le CDC. Environ 1,2 million de personnes contractent Salmonella chaque année, et environ 450 personnes meurent de l’infection, selon le CDC.

    Chapman a noté que manger du poulet cru est différent de la consommation du poisson cru, qui se trouve dans des sushis. Avec les poissons crus, les germes les plus susceptibles de rendre les personnes malades sont des parasites et ces parasites peuvent être tués par la congélation du poisson, a-t-il dit. Salmonella, d’autre part, " ne va pas être affecté par la congélation ".

    Au Japon, où le plat est plus populaire, le ministère de la santé, du travail et du bien-être a conseillé aux restaurants en juin 2016 de "réévaluer les menus avec du poulet cru et semi-cru", selon The Asahi Shimbun, un journal japonais. Le ministère a exhorté les restaurants à cuire le poulet à une température interne de 75°C. La recommandation du ministère vient après que plus de 800 personnes ont déclaré qu’elles avaient rendues malades plusieurs mois plus tôt après avoir mangé des sashimis de poulet et des rouleaux de "sushis" de poulet, a rapporté The Asahi Shimbun.

    NB : Un blog informe Le sashimi de poulet, pourquoi c’est une très mauvaise idée.

    Cela étant, "En France, l’incidence des salmonelloses humaines est estimée à environ 307 cas/100 000 habitants par an", selon une information publiée du ministère de l’agriculture sur La salmonellose non typhique. Selon une récente étude, Salmonella est classé au premier rang comme cause de décès associée à une maladie d’origine alimentaire, suivi par Listeria monocytogenes et Campylobacter spp.

    Pour la campylobactériose, le ministère de l’agriculture nous dit qu’" En France, on estime l’incidence à environ 842 cas/100 000 habitants par an. " Cela étant, d’autres chiffres circulent …

    Mise à jour du 12 septembre 2017. "La Food Standards Agency conseille de ne pas manger de poulet cru", source communiqué de la FSA du 11 septembre 2017.

    À la suite d’un article paru dans The Mirror (9 septembre) qui suggère que certaines personnes croient que les plats de poulet crus sont sans danger, nous réitérons notre conseil de ne pas manger de poulet cru.

     

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  • Plus que 4 ans et 8 mois à tenir!!!

    "Président raté", "Ego démesuré", une tribune du New York Times assassine Macron

    Dans une tribune, le prestigieux quotidien américain attribue la chute de popularité du président français au "macronisme": cette manie du chef de l’Etat de concentrer sa politique autour de sa personne. Le New York Times met également en doute la pertinence de sa politique économique.

    Le 9 mai, au lendemain de la victoire d’Emmanuel Macron à la présidentielle, la presse internationale poussait un soupir de soulagement. (bande d'abrutis!) Marine Le Pen avait été battue, et pour beaucoup, l’élection d’Emmanuel Macron était de bonne augure.

    Aux Etats-Unis, le New York Times y voyait notamment " un nouvel espoir pour l’Europe". (bande d'abrutis!bis répétitas) Quatre mois plus tard, presque jour pour jour, le ton a bien changé. De ce côté de l’Atlantique, la popularité du chef de l’Etat s’effrite, forçant nos voisins à s’interroger sur les raisons de ce désamour. C’est ce que fait le New York Times. Dans une tribune publiée ce jeudi, Chris Bickerton, qui enseigne la politique européenne à l’université de Cambridge, assassine le président français et sa politique.

    "Son projet politique est trop centré sur sa personnalité"

    "Emmanuel Macron will be yet another failed french president", titre le quotidien américain, estimant qu’après tout, Emmanuel Macron sera lui aussi un " président français qui a échoué". Le Times rappelle tout d’abord qu’il bénéficie toujours d’une certaine aura à l’étranger, notamment parce qu’il a redonné un coup de jeune à la diplomatie française" oui, mais c'est tout! et encore, juste parce qu'on confond son âge et son efficacité, ici je veux dire... en tenant tête à Donald Trump et à Vladimir Poutine".

    "En France, c’est une toute autre histoire", relève le quotidien, citant les mauvais chiffres du Président dans les derniers sondages. Et il attribue sa chute de popularité au "macronisme".

    (…)

    "Son attitude arrogante à l’égard du pouvoir a détruit l’image anti-establishment qu’Emmanuel Macron a cultivé durant sa campagne", estime aussi l’auteur. Fallait être aussi intelligent qu'une betterave pour y croire! j'y ai jamais cru: il a la représentation "tête d'âne"!

    Ego démesuré et vide politique

    Avant la présidentielle, Emmanuel Macron et son projet avaient parfois été qualifiés de "bulle". Le quotidien américain ne fait pas un constat moins sévère quatre mois après l’élection et estime que le "vide de son projet politique" est en train de se découvrir. Pourtant, d'autres que moi n'ont pas voté pour lui ayant "vu" le vide sidéral entre ses deux oreilles!

    Chris Bickerton se montre en particulier sceptique sur la réforme du code du travail menée par l’exécutif et, de manière plus générale, par la politique économique du Président.

     (…)

    Pour Chris Bickerton, "la politique économique d’Emmanuel Macron favorise les employeurs par rapport aux salariés et ébrèche ce qu'il reste de l’Etat-providence français".

    BFM TV