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LA VERITE! - Page 348

  • La plus belle langue du monde!

    Quelle langue parlera-t-on à Bruxelles si ce n’est plus l’anglais ?

     Avec le brexit, la langue anglaise risque d’être beaucoup plus rare au sein des instances européennes. Qu’attend François Hollande pour sortir son clairon et aller y défendre la langue française?

    Par Yves Montenay.

    Hollande ira-t-il bouter l’anglais hors de Bruxelles?

    Comme le savent les personnes de ma génération, l’Europe, je veux dire le machin qui nous dirige de Bruxelles, ne parlait au début que français. Deux raisons à cela : trois pays sur six avaient le français comme langue officielle ou comme une de leurs langues officielles (France, Belgique, Luxembourg), et la plupart des personnalités, éduquées avant la vague américaine de l’après-guerre, parlaient français.

    Pompidou attendit la mort de de Gaulle pour accepter la Grande-Bretagne, et lui demanda de n’envoyer à Bruxelles que des Anglais bilingues (si, ça existe !). La promesse fut respectée pendant 10 ans. Mais ensuite l’époque avait changé, les générations suivantes avaient été élevées avec l’argent américain dès 1945 à l’ouest, et dès 1990 à l’est, avec un grand effort pour faire passer des élèves et les enseignants du russe à l’anglais. Bref, de nombreux responsables actuels d’Europe orientale nés dans les années 1970 ont appris l’anglais au lycée et fait des études supérieures en Amérique, tandis que leurs aînés ont été couverts de bourses pour s’y perfectionner.

    Ce cadeau à l’Angleterre

    La perfide Albion en a profité pour s’engouffrer dans la brèche pour le plus grand bénéfice de ses entreprises: dossiers d’appel d’offres en anglais, lobbying en anglais. J’ai vu de mes yeux arriver à la banque de Roumanie, alors encore largement francophone, un ordinateur apporté par l’ambassade d’Angleterre sur crédits européens avec des modes d’emploi et logiciel en anglais. J’ai bien sûr expliqué que la France avait payé une plus grande part de ce cadeau que l’Angleterre, mais le mal était fait. Les Marocains ou les Croates savent qu’ils n’ont aucune chance d’avoir une aide dans le cadre de "la politique de voisinage" s’ils ne déposent pas leur dossier en anglais. Il n’y a aucune raison juridique à cela, mais c’est ainsi.

    Le rapport Grin et les études qui ont suivi estiment à un gros paquet de milliards d’euros ce que cette colonisation linguistique a apporté à la très pratique Albion. Ça n’a pas empêché Madame Thatcher de réclamer un autre paquet de milliards (vous vous souvenez: "I want my money back"), puis David Cameron, ce printemps de réclamer encore de nouvelles concessions pour que les Anglais votent de rester.

    Je m’attends au pire concernant ce que réclameront des Anglais pour organiser la sortie. Il y aura deux ans de négociation paraît-il, et à ce petit jeu, les Anglais sont les meilleurs. Je le sais pour m’être souvent frotté à eux et avoir entendu : " notre proposition est effectivement moins intelligente que celle proposée par nos amis français, mais c’est la nôtre et nous bloquerons tout autre solution ".

    Et si l’Europe revenait au français?

    La plupart des dirigeants français du public ou du privé ne font pas attention à ces questions linguistiques, budgétaires ou réglementaires. Sauteront-ils sur l’occasion de revenir au français ? Il y a là une magnifique occasion de sauver notre langue en nous alliant avec les Allemands, qui souffrent linguistiquement, et donc commercialement, encore plus que nous. En effet, à Bruxelles, seule l’Irlande aura l’anglais comme langue officielle, la quasi-totalité des cadres anglophones vont partir et le petit personnel est francophone (j’en arrive: tout ce qui était intéressant était en anglais, seuls les panneaux destinés au personnel étaient en français).

    Il y a peut-être là un débouché pour François Hollande qui voit dépérir ses perspectives en France. Qu’il saute sur son cheval, mette le sabre au clair, crie " Montjoie et Saint Denis ! " et fonce sur Bruxelles! Ou qu’il se fasse parachuter avec un commando appuyé par ces soldats tchadiens qui se sont illustrés avec nous au Sahara… l’occasion de montrer à nos amis européens qu’ils auraient mieux faits de nous donner un coup de main en Afrique, là où nous nous battons pour eux, plutôt que de pérorer en mauvais anglais à Bruxelles.

    Contrepoint.org

     

    MOI, JE DIS

     

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  • Le scandale du financement syndical que personne ne dénonce

    Derrière les désaccords entre syndicats se cache une communion d’intérêts profonde portant sur le financement des syndicats. Un sujet à 30 milliards qui pèse sur l’économie française!

    Par Éric Verhaeghe.

    Derrière la manifestation l'ombre du financement des syndicats

    Officiellement, l’échec de la manifestation d’hier contre la loi Travail témoigne d’une division syndicale intense. Les uns sont réformistes et ne défilent pas, les autres sont contestataires et battent le pavé. Les uns ne veulent pas entendre parler d’inversion de la hiérarchie des normes, les autres la soutiennent. Mais derrière ces paravents de la discorde, se cache une entente plus profonde, une coalition d’intérêts où la division syndicale n’a plus sa place et qui tient en un mot: le financement des syndicats.

    Une intersyndicale en pleine division

    Il faut lire, dans les colonnes de la Tribune, la publication d’une lettre à Marisol Touraine signée par les cinq syndicats représentatifs au niveau interprofessionnel, pour comprendre quelle unité les organisations syndicales sont capables de trouver dès qu’il s’agit d’assurer leur financement. La lettre porte bien la signature de Philippe Martinez, de Laurent Berger, de Jean-Claude Mailly, de Philippe Louis et du tout nouvel élu de la CGC François Hommeril. On rêve? Non, c’est bien vrai! Alors que les centrales se déchirent sur la loi Travail, elles font, dans l’ombre, leur unité sur une question énigmatique pour le grand public: l’application de la loi du 11 février 1950 sur les pratiques conventionnelles en matière de protection sociale complémentaire.

    Qu’en termes élégants et pudiques ces choses-là sont dites!

    Un étrange amour pour les très petites entreprises

    Dans leur courrier, les organisations syndicales jouent un étrange rôle de composition: elles parlent au nom des très petites entreprises. C’est bien connu! les syndicats de salariés, en France, sont là pour défendre les patrons et les employeurs, rôle qui ne revient pas du tout aux organisations patronales.

    Donc, dans l’intérêt des très petites entreprises, ces petites choses en sucre qui ont besoin de la CGT et de la CFDT pour exprimer leurs revendications, la bande des 5 demande à la ministre de préserver les désignations en prévoyance, c’est-à-dire l’interdiction faite aux très petites entreprises de choisir elle-même l’assureur qui couvre les risques de leurs salariés. Dans l’intérêt des très petites entreprises, il faut que le choix de l’assureur revienne aux négociateurs de branche et non aux entrepreneurs eux-mêmes.

    La question du financement des syndicats

    Bien sûr, ce sujet, qui pèse 30 milliards environ dans l’économie française, est présenté dans l’intérêt des entreprises. Et, comme toujours quand on entend un syndicat de salariés parler au nom des entreprises, il cache une affaire de gros sous.

    Car les syndicats ne précisent pas que les accords de branche que leurs représentants négocient en prévoyance complémentaire profitent à peu près systématiquement à un cartel de groupes de protection sociale… gouvernés par les syndicats eux-mêmes et qui sont pour ceux-ci de superbes pompes à phynances. Autrement dit, les syndicats viennent de demander à Marisol Touraine de préserver un système (dénoncé par l’Autorité de la Concurrence comme attentatoire à la libre concurrence) censuré par le Conseil Constitutionnel parce que contraire à la liberté d’entreprendre, aux seules fins de garantir la continuité de leur financement.

    contrepoint.org

  • Regardez cette photo. Elle vous fait rire? non, tremblez plutôt!

    En ouvrant la porte des toilettes, le 16 juin dernier, Stacey Feely est tombée sur sa fille de 3 ans en train de mener un étrange bal: la petite était debout sur la lunette des toilettes, une main posée contre le mur pour ne pas tomber. Dans un premier temps, la mère de famille domiciliée dans le Michigan a trouvé cette scène plutôt rigolote et l'a immortalisée. Mais quand la blondinette a expliqué à sa maman les raisons d'un tel manège, son sourire a rapidement disparu. "Au moment où elle m'a dit ce qu'elle était en train de faire, j'ai craqué", explique l'Américaine à BuzzFeed.

    En fait, la petite fille était en train de répéter un exercice que l'on venait de lui enseigner à la garderie: comment réagir lorsqu'un tireur fait irruption dans l'école et comment se comporter si l'on est coincé dans les toilettes. Stacey raconte qu'elle a été horrifiée de constater que son enfant de 3 ans apprenait déjà ce genre de choses. "À ce moment-là, ma fille de 3 ans a perdu toute son innocence", déplore-t-elle. Bouleversée par cette prise de conscience, la mère de famille s'est connectée sur Facebook et a publié un texte poignant à l'intention des défenseurs des armes à feu aux États-Unis.

    De nombreuses réactions

    "Politiciens, regardez. Ceci est votre enfant, vos enfants, vos petits-enfants, vos arrière-petits-enfants et les futures générations à venir (...) Ils ont à peine 3 ans et se cacheront dans les WC en se tenant debout sur les toilettes. Qu'est-ce qui sera le plus dur pour eux? Essayer de rester silencieux pendant un long moment ou essayer de garder l'équilibre?", écrit Stacey. L'Américaine estime que sa photo devrait motiver les gens à lutter pour que la loi change et que leurs enfants ne grandissent pas en apprenant à avoir peur à l'école. "Personne ne pense que le contrôle des armes sera à 100% un contrôle des crimes. Mais peut-être que cela aidera dans 1%, 2%, 50% des cas? Qui le saura si on n'essaie pas?", se demande Stacey.

    La publication de la mère de famille a provoqué des réactions aussi nombreuses que contrastées. Beaucoup d'internautes ont été choqués d'apprendre que de si jeunes enfants apprenaient déjà comment se comporter en cas de fusillade, tandis que d'autres ont reproché à Stacey d'être à côté de la plaque:" C'est dommage que vous accusiez les armes au lieu des gens qui les utilisent. Dans la plupart des cas, les armes utilisées pour ces crimes horribles ont été obtenues de manière légale", a notamment écrit une certaine Jennifer. Stacey avoue qu'elle ne pensait pas que sa publication provoquerait un tel engouement. "Nous avons tous une voix, il faut l'utiliser. Si une photo peut aider à réveiller les gens (...) alors je continuerai à m'exprimer et à la partager", explique-t-elle.

     

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  • Nous sommes au bord d’une guerre civile

    Le diagnostic n’est pas établi par une poignée d’illuminés en mal de scénarios catastrophe mais par le patron de la Direction générale de la sécurité intérieure (DGSI), Patrick Calvar. "Nous sommes au bord d’une guerre civile", a-t-il déclaré récemment aux députés de la commission d’enquête parlementaire sur les attentats du 13 Novembre présidée par le député (LR) du Rhône Georges Fenech.

    L’homme à la tête des services secrets ne faisait qu’enfoncer le clou. Quelques semaines plus tôt, il avait déjà averti les députés de la commission de la défense [...]

    D’où viendrait l’étincelle qui mettrait le feu aux poudres, transformerait la France en territoire incontrôlé où des groupes prendraient les armes et se feraient justice eux-mêmes? Qui verrait une nation en décomposition où alterneraient violences et vengeances du camp d’en face. Où la spirale des affrontements ne s’arrêterait plus. Rien n’est à exclure dans un pays aussi éruptif que la France d’aujourd’hui. Beaucoup pensent d’abord à un nouvel épisode de terrorisme islamiste où, cette fois, sa confiance dans les services d’élite émoussée, la population verserait dans l’autodéfense. Mais l’élément déclencheur peut aussi surgir d’une manifestation débordée par les casseurs, tel le triste saccage de la façade de l’hôpital Necker, d’une razzia de hooligans, d’une expédition punitive dans les banlieues ou pour prendre un exemple plus lointain, d’un viol collectif comme celui commis par des immigrés maghrébins à Cologne lors du Nouvel An… Parmi toutes ces sources de dérapage, la plus redoutée reste l’attentat dirigé contre des enfants, la prise d’otages dans une école qui susciterait en retour un déferlement de violence. Le plus haut niveau sur l’échelle de l’insupportable… [...]

    Parmi les groupes extrémistes, le patron de la DGSI expliquait surveiller de très près "l’ultradroite". Cette mouvance aux multiples ramifications est très active sur les réseaux sociaux. "Ils ont la volonté de mettre le feu, c’est certain, mais passeront-ils à l’acte?", interroge l’avocat Nicolas Lerègle, spécialisé dans les domaines de la sécurité et de l’intelligence économique. Plus généralement, tous les éléments sont réunis pour qu’un foyer éclate " [...]

    Face aux menaces, la volonté de quadriller au mieux le terrain est toujours présente. Ainsi, au sein de la Défense, plusieurs voix plaident pour que les soldats de "Sentinelle" ne se contentent pas de patrouiller dans les rues mais exercent une mission de "contrôle de zone". En d’autres termes qu’ils fassent aussi du renseignement.

    http://www.lefigaro.fr/actualite-france/2016/06/21/01016-20160621ARTFIG00282-quand-le-patron-de-la-dgsi-evoque-un-risque-de-guerre-civile.php

     

     

  • Retour à la barbarie du bas/Moyen-âge*

    Comme il y a mille ans, notre continent est confronté au problème identitaire. Certains ont décidé de le nier. D’autres d’en faire le cheval de bataille de leur campagne.

    Dans son merveilleux Bilan de l’histoire, René Grousset avait défini le haut Moyen Âge comme une période liée au déclin de l’Empire romain d’Occident et marquée par la baisse de la démographie, d’importants phénomènes migratoires, avec notamment l’invasion du sud de l’Europe par l’islam et le morcellement des empires, se traduisant par un violent affrontement des identités. Curieusement, il y a quelques années, l’essayiste Alain Minc a produit un livre intitulé le Nouveau Moyen Âge. Ouvrage ô combien prémonitoire dans lequel il laissait envisager l’arrêt et le refus de la notion de progrès, et la fin de l’ordre. Aussi bien l’ordre du monde, résultant des traités de Westphalie, du congrès de Vienne et des accords de Yalta, que l’ordre propre au bon fonctionnement de chaque État-nation.

    Ces deux visions émanant de deux personnages très différents nous conduisent à la même conclusion : nous voici aujourd’hui à l’aube d’un nouveau Moyen Âge. Tous les ingrédients sont malheureusement réunis pour que nous renouions avec cette période sombre de notre histoire : la fin de l’Occident, la montée d’un islam conquérant, une démographie faible, des phénomènes migratoires incontrôlés et dangereux, la défiance généralisée envers le progrès, et une forme de désordre mondial, européen, national et sociétal.

    Tout cela peut paraître bien théorique. Mais l’actualité de ces derniers jours est un concentré de tous ces phénomènes. La montée en puissance de cet islam conquérant à travers l’épouvantable attentat qui a frappé Orlando, aux États-Unis, aussitôt revendiqué par les forces obscures de Dae’ch, et l’assassinat de deux policiers français par un djihadiste. L’afflux ininterrompu de migrants venant de l’autre côté de la Méditerranée. Selon les données communiquées par le Haut Commissariat pour les réfugiés : au cours des cinq premiers mois de l’année, 203 981 personnes ont déjà effectué la traversée. Près des trois quarts d’entre elles sont parties depuis la Turquie vers la Grèce avant la fin mars, et quelque 46 714 d’entre elles ont effectué la traversée vers l’Italie.

    Et puis cette installation du désordre à un point que nous n’avons jamais connu en France depuis des épisodes de guerre. Il y a toujours eu des manifestations syndicales. Mais désormais elles sont toutes infiltrées par des jeunes dont le seul but est de détruire et de casser. Et le spectacle donné par les hooligans et certains supporters de l’Euro de foot au cours du week-end dernier, ajouté à l’impéritie des pouvoirs publics, n’avait rien à envier aux hordes de brigands qui infestaient les forêts il y a mille ans. Jules Ferry disait que " l’ordre est la condition du progrès ". Ne nous étonnons donc pas si ce retour de la sauvagerie, de la violence gratuite et de comportements bestiaux s’accompagne chez nos concitoyens d’une méfiance accrue à l’égard de toute forme de progrès.

    Ce n’est pas non plus un hasard si l’explosion des empires — y compris peut-être bientôt de l’Union européenne avec le Brexit —, si l’arrivée incontrôlée de migrants ne voulant pas s’assimiler et si l’absence d’autorité à la tête de nos très molles démocraties davantage gouvernées par l’opinion que par les convictions posent la question principale du moment : celle de l’identité. Dans ces colonnes, Édouard Balladur avait annoncé il y a quelques semaines que la prochaine élection présidentielle se jouerait sur ce seul facteur et non sur les programmes économiques, qui se ressemblent tous. Le message a été bien reçu par François Fillon, qui ne cesse de rappeler les racines chrétiennes de la France, et par Nicolas Sarkozy, qui a largement pointé du doigt le malaise identitaire de nos compatriotes lors d’un important discours effectué il y a une semaine.

    Cette question identitaire n’est pas que française. On la voit surgir en Autriche, en Allemagne, en Grande-Bretagne, surtout depuis que le maire de Londres est musulman, en Espagne avec le problème catalan, en Belgique, en Italie, et même aux États-Unis où elle explique en partie le succès de Trump lors des primaires. Contrairement à ce qu’Alain Juppé — chantre de l’identité heureuse, curieux concept assez éloigné de ce que vivent nos concitoyens — avance, l’identité n’est pas un repli sur soi. C’est d’abord et avant tout la volonté de retrouver le destin de notre futur commun et de ne pas l’abandonner à des technocrates bruxellois, à des fédéralistes européens ou à des apôtres du “vivre-ensemble” avec un islam qui n’est pas compatible avec la République. Pour avoir sombré dans un vaste renoncement, l’Empire romain a plongé l’Europe dans l’obscurité d’un Moyen Âge tourmenté et violent. Le général de Gaulle, dont le père était professeur d’histoire, répétait que "les grands pays le sont pour l’avoir voulu". Mais le voulons-nous encore?

    Valeurs Actuelles

     

    *Bas Moyen-âge: après la Gaule romaine et les rois Fainéants (300) jusqu'à l'avènement de l'amour courtois (vers 1100 – 1200) et l'intronisation des Rois de France à la Basilique St Denis. N'oubliez pas le baptême de Clovis qui a pérennisé la chrétienté en France

    La Bas Moyen-âge est encore le temps des invasions Barbares qui ravagent, détruisent, pillent, massacrent tout et tous. L'âge de l'obscurantisme: celui qu'on veut nous forcer à adopter.

    NDLR: ci-dessus, ces quelques phrases sont un raccourci rapide de cette époque.  La France, deux fois millénaire: origines chrétiennes avérées.

    Notre beau pays possède une à deux églises (et plus) par commune, sans parler des calvaires à chaque carrefour où le voyageur s'arrêtait pour prier avant de poursuivre son chemin.

    Ce n'est pas parce que j'ai cessé de prier depuis l'âge de 12 ans que je méconnais l'âme de Ma France, mon Pays Éternel.

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    avertissement: FRANCE ÉTERNELLE VIVRA ÉTERNELLEMENT COMME ELLE L'A TOUJOURS FAIT, SANS PERDRE SON ÂME

    c'est écrit dans La Marseillaise:

    ... Contre nous de la tyrannie,

    l'étendard sanglant est levé

    entendez-vous dans nos campagnes,

    mugir ces féroces soldats,

    qui viennent jusque dans nos bras

    égorger nos fils et nos compagnes

    Aux armes citoyens!...

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  • SEPIANS: importante info biotine

     

     

     

     

    Attention

    Alors que les essais cliniques de MEDday ont utilisé des doses élevées de biotine , il est très important de savoir que MD1003 est toujours un médicament expérimental contenant une biotine de qualité pharmaceutique et d'autres composants qui assurent la délivrance d'une dose contrôlée de l'ingrédient actif.

    L'auto-prescription de doses élevées de biotine pure en vrac sans surveillance médicale n'est pas conseillé. MEDday recueille actuellement les données de sécurité de ses essais cliniques où des effets indésirables graves sont survenus. Les études chez l'animal ont montré une toxicité grave chez certaines espèces, ainsi que la tératogénicité (malformations du fœtus).

    L'apport de biotine en vrac à des doses élevées n'est pas sûr et peut être toxique.

    Si vous participez à un essai clinique MEDday et souhaitez contacter une personne en ce qui concerne le process, veuillez s'il vous plaît envoyer un courriel contact@medday-pharma.com .

    Si vous devez signaler un problème avec l'effet de médicament à l'étude s'il vous plaît communiquez avec votre médecin de l'étude le plus tôt possible.