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  • Je vous ai déjà parlé de cela

    1) une serveuse dans un bar, musulmane se fait insulter

    2) Deux jours plus tard, un abruti vient lui donner un coup de poing dans le visage alors qu'elle prend une pose devant la porte du bar (filmé par la vidéo)

    3) l'agresseur est retrouvé, lire ci-après: on tombe des nues!

     

    Ramadan à Nice: l’agresseur de la serveuse est un clandestin

    [...] Selon nos informations, l’agresseur est un habitué des lieux et consommait régulièrement de l’alcool dans ce bar quelques jours avant le début du Ramadan. Ce dernier a été identifié et est déjà connu des services de police pour des infractions à la législation sur les étrangers et pour port d’arme prohibé.

    Le Parisien

    1) Deux hommes attablés un peu plus loin se sont mis à insulter et menacer la serveuse avant de faire semblant de quitter le bar.

    2) L’un d’entre eux est ensuite revenu et a frappé la jeune femme à l’arcade sourcilière, lui causant un gros hématome. [...]

    Selon le patron de l’établissement, les deux individus avaient déjà essayé trois jours avant de le dissuader de servir de l’alcool durant tout le mois du ramadan.

    3) L’un des hommes serait un étranger en situation irrégulière bien connu dans le quartier. [...]

    La Dépêche

    Cet incident a suscité de multiples réactions politiques. Le propriétaire de l’établissement a confirmé une information de Nice-Matin. Cette serveuse, qui présente un hématome important à l’arcade sourcilière, a porté plainte pour agression, de même que le propriétaire de l’établissement, qui a également porté plainte pour menaces, les mêmes individus ayant déjà tenté, trois jours auparavant, de le dissuader de vendre des boissons alcoolisées pendant le mois de jeûne. Une enquête est en cours et a été confiée à la sûreté départementale des Alpes-Maritimes.

  • Dangers sur la rocade calaisienne

    Matelas en feu, bouteilles de gaz, les techniques des migrants pour arrêter les camions à Calais (VIDÉO) sur le site

    Une vidéo que nous nous sommes procurée montre des individus en train de poser un barrage enflammé sur la rocade portuaire de Calais. Prise il y a une dizaine de jours, elle témoigne des nouvelles techniques, particulièrement dangereuses, employées par les migrants qui tentent de prendre d’assaut les camions en partance pour l’Angleterre sur la rocade portuaire de Calais: ils enflamment leurs barrages, n’hésitant pas à faire exploser des bouteilles de gaz, obligeant les poids lourds à s’arrêter.

    La scène a été filmée il y a une dizaine de jours.

    La vidéo, qui dure 1’14’’, montre une partie de la rocade portuaire qui relie l’A16 au port de Calais. Elle est prise sur une partie sécurisée par une double rangée de clôtures, dont une surmontée de barbelés (l’autre partie de la rocade est en cours en cours de sécurisation ). Les grilles ont été découpées auparavant, permettant de se frayer un passage. Durant les premières secondes, on peut voir trois ou quatre individus: deux sont positionnés entre les deux rangées de grilles, les autres sont plus en retrait. Tous semblent faire le guet tandis que de l’autre côté de la barrière, le long de la glissière de sécurité de la rocade, on aperçoit un matelas blanc posé au sol.

    Les individus s’accroupissent. L’un d’eux, le plus à l’avant et qui semble diriger l’opération, franchit alors la grille pour mettre le feu au matelas. Deux autres individus le suivent, dont un qui porte une bouteille de gaz: ils saisissent le matelas enflammé et le jettent sur la chaussée, de l’autre côté de la glissière de sécurité. Puis tout s’enchaîne: les trois hommes balancent rapidement divers matériaux – ce qui semble être un chariot, de grosses branches d’arbres, ainsi que la bouteille de gaz qui roule vers le matelas – sur les voies. Tandis qu’une voiture passe sur la voie de gauche, en évitant le barrage, ils décalent le matelas pour qu’il bloque aussi cette voie. L’un des individus ressaisit cette bouteille pour la placer juste devant le barrage en feu, puis tous repassent les deux grilles pour se cacher dans les buissons, en retrait. La vidéo s’arrête là.

    Cette technique consistant à enflammer les barrages, en utilisant au besoin des bouteilles de gaz, est utilisée depuis début mai environ. Auparavant, les assauts sur la rocade se limitaient à la pose de barrages contenant divers matériaux (branchages, pneus, ballots de paille, caddies), que certains chauffeurs routiers n’hésitaient pas à percuter de plein fouet pour continuer leur route vers le port. D’après le député PS Yann Capet, qui a passé la nuit de mercredi à jeudi sur la rocade, une autre technique est désormais utilisée: elle consiste à poser de grosses pierres sur les voies, à proximité du port. Une zone qui, jusqu’ici, était préservée des barrages de migrants. Pour rappel, cette nuit a été marquée par de nombreux incidents sur la rocade: cinq migrants ont été blessés, ainsi qu’un CRS qui a reçu un projectile à la tête.

    http://www.lavoixdunord.fr/region/matelas-en-feu-bouteilles-de-gaz-les-techniques-des-ia33b48581n3561511

  • Animalité

    Assises de Nîmes : la maman soutient son mari accusé de viol sur son bébé

    Le verdict est attendu dans la journée.

    La petite victime était âgée de 11 mois en juillet 2013. La maman de l'enfant aurait dû être partie civile dans cette affaire sensible.

    Anna (le prénom a été modifié) n'était encore qu'un bébé âgé de 11 mois  Quelques heures avant son hospitalisation, elle jouait, riait. En fin de soirée, à Nîmes, ses parents inquiets ont emmené la petite fille aux urgences de l'hôpital Carémeau de Nîmes. Samir, son papa, a découvert des traces de sang dans les selles du bébé lorsqu'il a voulu changer ses couches. Affolé, il a alerté son épouse partie faire des courses.

    Lésions suspectes et gravissimes au niveau de l'anus

    À l'hôpital de Nîmes, le verdict des médecins est alarmant. Ils constatent des lésions suspectes et gravissimes au niveau de l'anus, des fissures évocatrices d'un abus sexuel. L'enfant est évacuée sur l'hôpital Lapeyronie pour y être opérée. Le parquet de Nîmes confie l'enquête aux policiers de la Sûreté départementale de Nîmes.

    "Je ne peux pas dire ce que je n'ai pas fait", déclare le père de famille, mis en examen pour viol sur mineur devant la cour d'assises du Gard. Kharfiya, la maman de l'enfant, aurait dû être partie civile dans cette affaire sensible. La veille du procès, la mère de famille s'est séparée de son avocat. Maladroitement, elle défend son mari qui conteste les faits reprochés et a été entendue jeudi soir comme témoin. "Quand j'ai emmené ma petite fille aux urgences, elle n'était pas comme ça, assure Kharfiya. C'est peut-être à cause de la Bétadine ?…"

    Il avoue puis se rétracte

    Oui, Samir, son mari, a avoué, lors de sa garde à vue, avant de se rétracter rapidement. C'était lors d'une confrontation avec son épouse. "On était les yeux dans les yeux. J'ai vu qu'il me disait: "Tu crois vraiment que j'ai fait ça à ma fille?" Je sais qu'il n'en est pas capable. Il est prêt à tout prendre sur le dos“.

    "Cela peut-être un coup de pied de mon fils (un enfant d'un an et demi, NDLR)", déclare Samir, défendu par Mes Khadija Aoudia et Rémy Nougier. Ou des lésions dues à des problèmes de constipation ou d'une maladie comme la mucoviscidose, se défendent les parents, qui doutent des experts, des médecins, des psychologues.

    "Mon frère est innocent, a déclaré un peu plus tôt, et en larmes, Issam, le frère de Samir. C'est impossible qu'il fasse une chose pareille. Il nous est arrivé beaucoup de drames dans la famille. On ne mérite pas tout ce qui nous arrive, madame, ajoute Issam en s'adressant à Geneviève Perrin, la présidente de la cour d'assises. On est des gens bien. C'est impossible. C'est un cauchemar. J'en suis sûr et certain."

    Lésions de cause externe

    Les constatations sont pourtant incontestables. Les experts médecins, qui excluent l'hypothèse médicale, ont relevé des lésions de cause externe et une tentative de pénétration anale. Ils n'ont pu déterminer s'il s'agissait d'un sexe ou d'un objet. "La douleur a-t-elle été violente", demande Me Laurence Bourgeon, l'avocate de l'enfant, ou encore l'avocate générale Bénédicte Bertrand. "Extrêmement violente", confirme le médecin expert venue témoigner à la barre.

    L'enquête menée par les policiers n'a pas relevé la présence de sperme. Mais du sang sur la table à langer, dans le lavabo ou sur une lampe torche. "Qu'est ce qui s'est passé ?", reprend Me Laurence Bourgeon s'adressant à la mère de famille. "La couche s'est peut-être déplacée", avance la maman. "Qu'est-ce qui a pu provoquer cela, insiste Me Khadija Aoudia, l'avocat de Samir. Lui, dit que ce n'est pas lui. C'est vous?"

    "Ah, non !", répond la maman. Les débats se poursuivent ce vendredi. Le verdict est attendu dans la journée.

    Drame dans la famille de Samir

    Le 1er  janvier 2010, une grande partie de la famille de Samir a été décimée dans un incendie qui a détruit deux appartements, à Valdegour. Le père de l’accusé, la grand-mère et trois enfants sont décédés. La mère de famille et deux autres enfants ont été grièvement blessés et placés dans le coma. Samir était absent cette nuit-là et a eu à gérer ce drame familial.

    http://www.midilibre.fr/2016/06/10/la-maman-soutient-son-mari-accuse-de-viol,1346824.php

  • Sur ce, je vais aller vérifier que mon cassoulet ne brûle pas!

    Nice : une serveuse agressée parce qu’elle sert de l’alcool pendant le ramadan

    Cet incident a suscité de multiples réactions politiques. Le propriétaire de l’établissement a confirmé une information de Nice-Matin. Cette serveuse, qui présente un hématome important à l’arcade sourcilière, a porté plainte pour agression, de même que le propriétaire de l’établissement, qui a également porté plainte pour menaces, les mêmes individus ayant déjà tenté, trois jours auparavant, de le dissuader de vendre des boissons alcoolisées pendant le mois de jeûne. Une enquête est en cours et a été confiée à la sûreté départementale des Alpes-Maritimes.

    “Tu devrais avoir honte de servir de l’alcool en période de ramadan. Si j’étais Dieu, je t’aurais pendu“.

    Les deux hommes ont fait semblant de partir puis l’un d’entre eux est revenu et a giflé violemment la jeune femme à l’intérieur du bar, qui s’est écroulée. La jeune femme se dit d’autant plus choquée qu’elle est elle-même musulmane et pratique le ramadan. “Ce n’est pas parce que je sers de l’alcool que je n’accomplis pas mon devoir. Si je le fais, c’est parce que je suis serveuse. En Tunisie, j’exerçais le même métier et je n’ai jamais eu le moindre problème. Je ne pensais pas qu’en France, pays de libertés, je puisse être agressée pour ça“ (…)

    Pour Philippe Vardon, conseiller régional FN, “cette situation est le résultat de la faiblesse des dirigeants politiques, Christian Estrosi et les siens en tête, s’étant empêtrés dans des compromis inacceptables et dangereux“.

    “La France glisse dans l’obscurantisme“, a pour sa part réagi le numéro 2 du FN Florian Philippot.

     

     

  • Trops bonnes les allocations qu'on leur donne, alors, facile de mordre la main qui les nourrit!

    L’agresseur raciste poignarde un Français par haine de la France

    L’agresseur au couteau dort à la maison d’arrêt de Fresnes (Val-de-Marne). Mardi 17 mai, vers midi, alors qu’il voyageait dans une rame de la ligne 4 du métro, un usager a tenté de faire cesser les agressions verbales d’un individu virulent qui tenait des propos anti-français envers un passager.

    Alors que celui-ci descendait de voiture à la station Etienne-Marcel (IIe), l’homme l’a frappé d’un coup de couteau au flanc gauche provoquant une plaie saignante, avant de prendre la fuite. Une interruption totale de travail (ITT) de sept jours a été délivrée à la victime.

    C’est en partie grâce à l’exploitation des images de vidéosurveillance que les policiers de la sûreté régionale des transports sont parvenus à identifier l’agresseur et l’interpeller à La Courneuve (Seine-Saint-Denis) samedi dernier.

    Entendu, il a reconnu avoir porté le coup de couteau et proféré des insultes racistes, les justifiant par une « haine de la France et des Français ». Au terme de sa garde à vue, il a été déféré au parquet de Paris et placé en détention provisoire dans l’attente de son jugement.

     

    Le Parisien