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Education - Page 47

  • Ceci explique cela

    Montpellier: les étudiants d’extrême-gauche qui occupaient la fac délogés par un groupe d’individus cagoulés (le doyen humilié avec des tampax usagés)

    C’est un document: dans une vidéo tournée en fin de semaine dernière dans le hall de la faculté de droit, à Montpellier, on voit des jeunes femmes débarquer avec des tampons -tampax- maculés de sang -ou de ketchup?-, s’avancer en direction du doyen Philippe Pétel et l’humilier longuement.

    Le doyen a répondu à la provocation par quelques notes d’humour et, visiblement a tenté de calmer les excitées, dont on ignore s’il s’agissait d’étudiantes de la faculté de lettres Paul Valéry ou de militantes d’un collectif d’anars, ceux de l’ex-cinéma du Royal qui squattent des bâtiments publics et privés, à Montpellier, comme des témoins l’assurent…

    Selon des témoignages, ces jeunes femmes ont fait part de leur colère, d’abord à deux agents de sécurité sur place, puis au doyen, à cause de la condamnation des accès aux toilettes. Or, les toilettes de la faculté de droit sont systématiquement fermées en début de soirée.

    Cette scène était antérieure de quelques heures avant l’intrusion musclée d’un commando d’inconnus encagoulés et armés -taser et bâtons- dans un ampli de la faculté de droit. Le lendemain de cette attaque, le doyen Philippe Pétel démissionnait.

     

  • Violences à la fac de Montpellier

    Qui sont les vrais coupables ?

    FIGAROVOX/TRIBUNE - François-Xavier Lucas fait le point sur les violences survenues à la faculté de droit de Montpellier. Il distribue les mauvais points : aux occupants qui ont utilisé des méthodes de soviets, aux violents étudiants qui les ont délogés, mais surtout aux responsables qui n'ont pas su faire respecter l'autorité de l'État.

    Il y a du rififi à la fac de droit de Montpellier… où les grévistes occupant nuitamment un amphi en ont été délogés manu militari par quelques séides cagoulés revendiquant bruyamment la liberté de suivre les cours. Une telle violence, inacceptable, particulièrement au sein du sanctuaire que devrait être l'université, rend difficile toute analyse à chaud alors que la part prise par chacun n'est pas encore clairement établie et que l'on reste abasourdi par la brutalité des images qui circulent. Si l'on parvient à dépasser le stade de l'émotion (légitime mais qui n'aide guère à la réflexion) suscitée par lesdites images, on peut s'interroger sur la responsabilité des parties prenantes, au-delà de celle - évidente - des barbouzes, mais aussi ramener cette affaire à de justes proportions.

    Étonnamment, ce fait divers suscite un intérêt inversement proportionnel à son importance. Car de quoi s'agit-il sinon d'empoignades entre grévistes et non-grévistes se disputant un amphi? À l'heure où l'on s'apprête à célébrer mai 68 et les glorieux étudiants ayant échangé force horions, on ne peut que s'étonner que les héritiers des grands anciens viennent réclamer vengeance devant les caméras pour s'être fait déloger d'un amphi qu'ils occupaient illégalement. À la grande époque de la chanson de geste soixante-huitarde, ces évacuations musclées étaient monnaie courante pour les diverses factions se disputant l'espace universitaire, les uns et les autres reprenant un amphi comme d'autres reprenaient jadis une tranchée.

    La décence ne trouvait guère son compte dans ces manifestations violentes mais la réprobation restait limitée, les étudiants pouvant compter sur l'indulgence d'un public acquis aux carabins et à tous leurs excès y compris les moins défendables. Visiblement cette bienveillance n'a plus cours, si l'on en croit l'unanime réprobation que suscite l'empoignade ayant eu pour cadre la faculté de droit de Montpellier. Les journaux consacrent à l'événement des articles indignés, n'ayant pas de mot assez durs pour dénoncer les violences et en rendre comptable le doyen. Quant aux étudiants navrés d'avoir perdu la bagarre, ils ne rêvent que de plaintes et de piloris et en appellent à la police et au juge pour satisfaire leur furie vengeresse. Autre temps, autres mœurs…

    Évidemment, la manifestation d'étudiants, inquiets d'une réforme de l'université dont il est aujourd'hui difficile d'apprécier la portée, est aussi légitime qu'est odieuse la violence exercée à leur endroit. Sur un sujet d'une telle importance pour leur avenir et pour celui de la nation tout entière, leur liberté d'expression doit être totale et nul ne peut la leur contester. Cela dit, c'est à cet égard que l'affaire montpelliéraine n'apparaît pas traitée de façon satisfaisante car n'y est nullement en cause la liberté de manifester mais la légitimité des moyens de se faire entendre. Si l'on veut introduire un peu de contradiction dans le traitement biaisé de ce fait divers, il est essentiel de le signaler et de rappeler ce qu'est une occupation d'amphi, telle celle qui a servi de décor à ce drame méridional.

    Manifestations violentes et iniques, les occupations d'amphi et autres blocages de fac devraient valoir à leurs auteurs réprobation et condamnation mais elles sont traitées avec la plus grande bienveillance - et lâcheté - par des autorités - doyens, présidents d'université, préfets - qui n'ont qu'un seul souci, celui d'éviter l'incident. Surtout, pas de vague… On se couche devant la violence de ces réquisitions en faisant en sorte de regarder ailleurs.

    Le scénario est à chaque fois le même. Une brochette de squatteurs, étrangers pour la plupart à la fac qu'ils investissent, chasse un professeur au milieu de son cours, s'approprie la chaire et monopolise le micro pendant des heures avant d'installer ses pénates au milieu des pupitres pour y passer la nuit.

    Contrairement à ce que répètent à longueur d'antenne ou d'article des journalistes enamourés, ces actions n'ont rien de pacifique. À les croire, l'heure serait à la discussion, aux stimulants débats, si ce n'est à la franche camaraderie de barricades, mousse et pampre, comme dirait l'autre. Rien n'est plus étranger à la réalité de ces voies de fait dont on ne dénoncera jamais assez la brutalité. Toute personne qui souhaiterait exprimer une opinion dissidente est empêchée de le faire quand ce n'est pas, physiquement, menacée par les gros bras interlopes qui sévissent dans l'amphi, que les étudiants doivent abandonner, privés du droit d'étudier au motif qu'un soviet brutal a réquisitionné leur salle de cours.

     Que penser dès lors de l'action vigoureuse qui, à la fac de droit de Montpellier, a permis, pour la première fois depuis bien longtemps, de chasser les occupants sans titre qui prétendaient empêcher les cours de se tenir? La navrante violence qui a été utilisée à cette fin doit être condamnée mais cette déploration est vide de sens si elle ne s'accompagne pas d'une recherche de responsabilité des différents acteurs. Il faut le marteler, cette responsabilité est d'abord celle des factieux ayant réquisitionné un amphi, qui n'ont à s'en prendre qu'à eux-mêmes de la bagarre entre grévistes et non-grévistes qu'ils ont provoquée.

    Les ahuris qui s'étonnent de s'être fait molester devraient méditer sur la rude condition du piquet de grève et comprendre que, quand on prétend tenir Fort Chabrol, il faut être prêt à en assumer les conséquences. Responsabilité ensuite des nervis imbéciles qui, par leur usage immodéré de la force, ont évidemment desservi la juste cause qu'ils prétendaient défendre (rendre l'amphi aux étudiants désireux d'étudier) en faisant à leurs adversaires le cadeau d'une posture victimaire dont ils se délectent aujourd'hui.

    Mais responsabilité aussi, et on est tenté de dire surtout, de ceux qui, incarnant l'autorité de l'état, négligent de l'exercer. Que le doyen de la faculté de droit de Montpellier ait été abandonné à son sort et qu'il ait dû gérer seul ces militants qui prétendaient passer la nuit dans sa fac, au risque que s'y produise la mise à sac qu'il est hélas courant de constater dans de telles occasions, là réside le vrai objet de scandale et c'est sur ce point que l'enquête administrative qu'on nous annonce devra porter. À partir du moment où on laisse de prétendus grévistes (rappelons que faire grève consiste à cesser soi-même le travail, pas à empêcher les autres de travailler) imposer leur loi sans garantir la légalité et sans que l'État n'exerce la violence alors légitime dont il s'est réservé le monopole, on incite les mécontents à se faire justice eux-mêmes et on laisse s'installer des réflexes d'autodéfense particulièrement dangereux.

    S'il apparaît que le Président de l'université de Montpellier et le Préfet de l'Hérault appartiennent à cette catégorie de piteux commis que la trouille tétanise, et s'il est établi qu'ils n'ont pas permis que la police intervienne pour faire évacuer l'amphi illégalement réquisitionné, c'est à eux qu'il faudra demander des comptes.

    Lire l'article sur le Figaro: http://po.st/IZkPVE

     

     

  • Violons en rond, ça fera de la musique!

    OU: comment ils considèrent leurs femmes… donc, pas étonnant que les attaques contre les femmes, partout en Europe, augmentent considérablement

    Pakistan: un violeur est absous de son crime parce qu’il propose en guise de réparation que sa sœur se fasse violer par le frère de la victime

    Un cas choquant de "viol de revanche" impliquant 12 membres de deux familles a été découvert par la police dans la province du Punjab, au Pakistan.

    Un homme a été accusé d’avoir violé une femme à Pir Mahal dans le district de Toba Tek Singh le 20 mars.

    Les informations locales indiquent que la famille du suspect s’est adressée à la famille de la victime pour une "réconciliation".

    La famille de la victime a accepté de gracier le violeur, à condition que "le frère de la victime commette le même acte sur la sœur du suspect", rapporte dawn.com.

    Une douzaine de personnes participant à une réunion entre les deux familles ont accepté les conditions, et le frère a ensuite violé la sœur du suspect le 21 mars.

    Daily Mail

     

  • Je dis NON à la suppression du quotient familial !

    NON à la suppression du quotient familial !

    Signez la pétition !

    Un rapport sorti en catimini, élaboré sous la houlette du député En Marche Guillaume Chiche, évoque en substance la suppression pur et simple du quotient familial. Non content de s'en être déjà pris au portefeuille de la grande majorité des retraités en revoyant la CSG à la hausse, après avoir dit le contraire lorsqu'il n'était que candidat à l'élection présidentielle, Emmanuel Macron et son gouvernement souhaitent maintenant s'attaquer aux classes moyennes en supprimant purement et simplement le quotient familial !

    Lubbie de la gauche, la suppression du quotient familial revient au devant de la scène

    Le quotient familial indique le nombre de parts dont bénéficie un contribuable pour le calcul du montant de son impôt sur le revenu. C'est un indicateur du niveau de vie d'un foyer fiscal. Il est évalué chaque année par l'administration fiscale, en fonction des ressources mentionnées dans la déclaration de revenus annuelle. Il sert également de seuil pour déterminer l'éligibilité des familles à certaines aides sociales et prestations des organismes sociaux (CAF, APL, ...). Aujourd'hui, ce plafond de réduction d'impôt lié au quotient familial est de 1527 € par demi-part supplémentaire. On est loin du postulat définissant "les riches", mais bien plus proche de la grande majorité des français qui travaillent, à savoir les classes moyennes. Jean-Marc Ayrault, Premier ministre de François Hollande s'était d'ailleurs attaqué au quotient familial en 2013. Mais le socialiste n'avait pas osé parler de suppression...

    C'est pourquoi nous nous étonnons de cette posture radicale de la part du gouvernement actuel et d'Emmanuel Macron.

    Nous exigeons le maintien du quotient familial en l'état.

    JE SIGNE!

     

  • Arroseur, arrosé!

    Robert Ménard jugé pour "provocation à la haine" relaxé en appel

    Le maire de #Béziers était poursuivi pour "provocation à la haine" pour ses propos sur l'#immigration. La cour d'appel de Paris vient de le relaxer : la réaction de @RobertMenardFR ⬇ pic.twitter.com/y8LmxlxSk9

         — Ville de Béziers (@VilleDeBeziers) 14 mars 2018

     14/03/18

    La cour d’appel de Paris a relaxé ce mercredi le maire de Béziers Robert Ménard, proche du Front national, condamné l’an dernier pour avoir déclaré qu’il y avait trop d’enfants musulmans dans les écoles de sa ville.

    Pas "d’exhortation implicite" à la haine

    La cour a infirmé un jugement du tribunal correctionnel de Paris qui, le 25 avril 2017, avait condamné Robert Ménard à 2.000 euros d’amende pour "provocation à la haine et la discrimination".

    Les juges d’appel ont justifié ce revirement par un changement de la jurisprudence de la Cour de cassation, qui exige désormais que les propos incriminés contiennent "une exhortation éventuellement implicite" à la haine ou à la discrimination pour que le délit de "provocation" soit constitué, ce qui n’est ici, selon eux, pas le cas.

    "91% d’enfants musulmans, évidemment c’est un problème"

    L’élu était poursuivi pour avoir publié sur Twitter le 1er septembre 2016 le message suivant: " #rentréedesclasses: la preuve la plus éclatante du #GrandRemplacement en cours. Il suffit de regarder d’anciennes photos de classe".

    Il était également jugé pour avoir déclaré sur LCI le 5 septembre 2016: "Dans une classe de centre-ville de chez moi, 91% d’enfants musulmans. Évidemment que c’est un problème".

    Les sept associations antiracistes qui s’étaient constituées partie civile, dont la Licra, le Mrap, la Ligue des droits de l’Homme, SOS racisme et la Maison des potes, ont donc été déboutées. En première instance, entre un euro symbolique et mille euros de dommages et intérêts leur avaient été alloués.  (…)

    www.bfmtv.com

     

     

  • Définition de la Tradition

     

    Gustav Mahler:

    "La tradition n’est pas la vénération des cendres mais la transmission du feu"