Ok

En poursuivant votre navigation sur ce site, vous acceptez l'utilisation de cookies. Ces derniers assurent le bon fonctionnement de nos services. En savoir plus.

Education - Page 52

  • Comment se comportent les "chance pour la France"....

    L’athéisme, ce tabou du monde musulman: " Mon propre père a porté plainte contre moi " raconte un ex-musulman

    Bahous aimerait bien ne plus entendre parler de l’islam. Et même ne plus en parler du tout. Mais quoi qu’il fasse, quoi qu’il dise, cet homme de 33 ans, vendeur à Voiron (Isère), y est toujours ramené.

    Son athéisme intrigue, ou dérange, c’est selon. Lorsque l’on est issu, comme lui, d’une famille et d’une culture musulmane, le fait de ne pas croire en Dieu – et, surtout, de le dire – ouvre la voie à une vie d’incompréhensions, de renoncements, de ruptures.

    La discrétion s’impose encore davantage dans les pays à majorité musulmane, où ce renoncement, s’il est public, suscite des réactions beaucoup plus violentes: brimades, persécutions, agressions, voire assassinats. L’athéisme n’y est tout simplement pas concevable.

    Même s’il n’existe pas, en arabe, de mot spécifique pour dire l’athéisme (les termes utilisés – mulhid, murtad ou kafir – évoquent davantage l’hérésie ou l’apostasie et ont une connotation péjorative), l’athée est parfois vu comme plus dangereux, encore, que le terroriste islamiste.

    Selon le Rapport sur la liberté de conscience publié par l’Union internationale humaniste et éthique, une organisation fondée en 1952 à Amsterdam (Pays-Bas), l’athéisme, considéré comme un blasphème, une offense à la religion ou un trouble à l’ordre public, est pénalisé dans une trentaine de pays musulmans.

    Dans quatorze d’entre eux, comme l’Afghanistan, l’Iran, le Pakistan, le Qatar, l’Arabie saoudite ou encore le Yémen, la peine encourue est la mort, même si la plupart des pays ont renoncé à l’appliquer. Toutefois, la répression se poursuit. Un des cas les plus médiatisés a été celui du blogueur saoudien Raïf Badaoui, condamné en 2013 à mille coups de fouet et dix ans de prison. Malgré une mobilisation internationale demandant sa libération, il croupit toujours dans une cellule pour avoir osé critiquer l’islam. (…)

    La réaction des autorités, mais également des islamistes, ne s’est pas fait attendre. Certains prédicateurs n’hésitent pas à appeler à tuer les apostats. Au Bangladesh, ils ont été entendus: au moins six blogueurs et un éditeur ont été assassinés depuis 2015 en raison de leur athéisme. (…)

    Aucun pays à majorité musulmane n’est épargné par le phénomène. En Turquie, pays pourtant autrefois laïc, la situation s’est beaucoup dégradée depuis l’arrivée au pouvoir de Recep Tayyip Erdogan, et en particulier depuis la tentative de coup d’Etat du 15 juillet 2016: agressions contre des femmes à cause de leur tenue vestimentaire ou contre des personnes ne respectant pas le ramadan, remaniement des programmes scolaires pour y remplacer la théorie de l’évolution de Darwin ou les principes d’Atatürk par des cours de religion et le récit du putsch raté.

    Même la Tunisie, qui fait pourtant figure d’exception dans le monde musulman, est concernée. Des mouvements de "dé-jeûneurs", qui refusent ostensiblement de respecter le ramadan, s’y sont développés, ainsi qu’au Maroc et en Algérie. Mais toujours dans la peur. "On a quand même du mal à dire qu’on est athée en Tunisie aujourd’hui, regrette la réalisatrice Nadia El Fani. J’ai été considérée comme terroriste simplement parce que dans mon film, Ni Allah ni maître, je défendais la laïcité. " (…)

    Paroles d’ex-musulmans: " Mon propre père a porté plainte contre moi " #abos | par @angelinemontoya https://t.co/rRSVNPxX3I

    — Le Monde (@lemondefr) December 20, 2017

    Le Monde

  • Faut lui bloquer son salaire à cette chienne gauchiasse!!!

    Ferrette: l’institutrice enseigne aux migrants, les enfants du village sans école depuis 5 semaines

    Voilà une histoire inhabituelle. Ferrette est une commune du Sundgau (Sud de l’Alsace, à la frontière suisse) de 683 habitants. Le village avait fait la une il y a un an, car c’était un des premiers villages en Alsace à accueillir des migrants. Plus de 80 migrants, soit plus de 10% de la population du village, ont été accueillis. Aujourd’hui, loin de l’idylle décrit par les journalistes, les habitants en ont assez. En cause, l’absence d’école pour les enfants du village depuis 5 semaines.

    Acte I – L’institutrice du village part enseigner le français aux migrants

    Comme dans beaucoup de centres d’accueil, des cours sont dispensés par l’Éducation Nationale, afin de favoriser une meilleure intégration des nouveaux venus : la langue française est ainsi enseignée, car peu la maîtrisent vraiment. Une vingtaine d’enfants de 4 à 8 ans sont arrivés en début d’année dans ce centre. L’institutrice du village est ainsi affectée à leur instruction. Bien évidemment, une remplaçante vient faire cours aux élèves de Ferrette : pas question en effet d’abandonner ces enfants, leur instruction est obligatoire, rappelons-le. Tout à été prévu. (pourquoi on ne met pas une "remplaçante" directement pour faire les cours aux migrants? NDLR).

    Vraiment?

    Acte II – La remplaçante tombe malade

    Les aléas de la santé, la remplaçante tombe malade. Visiblement c’est assez grave, puisque voilà 5 semaines que celle-ci n’a pas pu donner des cours. Le problème est ici : rien n’a été prévu pour remplacer la remplaçante, et les enfants de Ferrette n’ont donc pas école depuis 5 semaines. Une situation difficilement acceptable pour les habitants, sachant que les migrants ont eux des cours assurés par l’ancienne institutrice.

    Acte III – Les habitants en colère

    Pour PELOTHEQUE Mercerie moderne <lapelotheque@gmail.com>les parents d’élèves, la pilule est difficile à avaler. Leurs enfants vont avoir des lacunes à cause de cette interruption longue de l’enseignement. Il faudra rattraper ce retard. Bien évidemment, une telle situation ne renforce guère la sympathie des autochtones pour les migrants. Le maire aurait ainsi fait détruire l’ancienne caserne de pompiers pour éviter qu’on y loge des migrants supplémentaires.

    L’Éducation Nationale, mise en cause, va devoir trouver rapidement une solution…

    Source : Alsace-actu.com

  • "L'école est testée par des groupes fondamentalistes"

    Au "Grand Jury RTL-Le Figaro-LCI", le ministre de l'Éducation Jean-Michel Blanquer a confirmé l'interdiction des téléphones portables en primaire et au collège à la rentrée 2018.

    "La République doit être sûre d'elle-même, sereine, mais regarder les choses en face." Lors du "Grand Jury RTL-Le Figaro-LCI", dimanche, le ministre de l'Éducation nationale, Jean-Michel Blanquer, a reconnu qu'il y avait "un certain nombre" de problèmes autour de la laïcité dans les établissements scolaires. S'il n'existe "pas de statistiques aujourd'hui" sur la pression de l'islam dans ces établissements, il a affirmé qu'il y en aurait "dans le futur". "Je sais toute une série de choses factuelles suffisamment développées, a-t-il toutefois précisé, pour que je prenne des mesures."

    Première de ces mesures, la création d'"unités laïcité" dans toutes les académies. Composées de professionnels chargés de faire de la "prévention", mais aussi d'intervenir ponctuellement dans un établissement, elles doivent être mises en place au cours du premier trimestre 2018. Parallèlement, le ministre va nommer "dans les prochains jours" un "conseil des sages de la laïcité". Pour Jean-Michel Blanquer, "il y a la loi de 1905" séparant les Églises et l'État: "C'est une excellente référence, il y a une jurisprudence, on doit évidemment la respecter, mais il y aura (aussi) ce conseil" des sages, "qui donnera la règle du jeu". Objectif? "Rompre avec la solitude" des enseignants confrontés à ce genre de problèmes, "qui parfois capitulent". "Un professeur qui se trouve dans cette situation doit pouvoir compter sur son établissement, martèle Jean-Michel Blanquer, et l'établissement doit compter sur le rectorat.""L'école, insiste-t-il, est la première pierre de l'édifice laïcité."

    Un "exemple problématique, c'est quand on ne fait pas respecter la loi de 2004" sur le voile à l'école, indique le ministre. Pour les accompagnatrices de sorties scolaires, il ne veut pas de voile non plus. "Mon approche personnelle, précise-t-il, c'est que toute personne qui accompagne les élèves est en situation d'être ce qu'on appelle un collaborateur bénévole du service public (…) qui doit se conformer à un certain nombre de devoirs." "Maintenant, je respecte le droit, bien entendu, et il y a un état de la jurisprudence qui doit être consacré", enchaîne-t-il, notant "des évolutions" jurisprudentielles à clarifier. En 2013, le Conseil d'État avait estimé que les parents accompagnant des sorties scolaires ne pouvaient être soumis à la neutralité religieuse imposée aux enseignants.

    "Le méchant, c'est l'ignorant"

    "Il est exact que nous sommes testés par des groupes fondamentalistes, reconnaît-il également. Il y a des gens qui essayent de voir si le système résiste." À la question: "Est-ce que vous avez des remontées sur des professeurs radicalisés ou en voie de radicalisation?", le ministre de l'Éducation répond: "Ce type de phénomène peut exister. C'est encore extrêmement marginal. Mais nous allons être très attentifs à ce phénomène." Jean-Michel Blanquer a ensuite été interrogé sur l'enseignement du fait religieux, souhaité par le président de la République. "Les enfants doivent apprendre le fait religieux, ne serait-ce que pour comprendre les religions des autres, assure-t-il, citant une phrase de Platon: "Le méchant, c'est l'ignorant."

    Autre mesure qui figurait dans le programme de campagne d'Emmanuel Macron: Jean-Michel Blanquer a confirmé l'interdiction à la rentrée 2018 du téléphone portable pour les élèves des écoles et collèges. "Nous sommes en train de travailler sur cette question pour les modalités", précise-t-il. En septembre, il avait évoqué pour ce faire "des casiers qui ferment". Le port de l'uniforme a été rapidement évoqué: "On doit permettre aux établissements qui le veulent de l'instaurer", répond-il.

    Enfin, peut-on imaginer un jour une école au nom de Johnny Hallyday, ou que le chanteur soit étudié dans les programmes scolaires? "II a rendu plus populaire en France Tennessee Williams…, acquiesce le ministre, présent samedi à l'église de la Madeleine. Si demain quelqu'un décide d'étudier Johnny Hallyday, ce sera d'abord surtout en musique! En tout cas, la musique, qu'elle soit classique ou contemporaine, fait partie des choses qui améliorent notre vie."

    La preuve? Lisez l'archive 8 bis de mon blog du site

    www.josyanejoyce.com

  • Pour faire chier les laïcards laïcistes et autres islamo-collabo!

    MIRACLE  ANCIEN MAIS DOCUMENTE

    En 1608, à Faverney le 25 mai, jour de la Pentecôte, le Saint Sacrement est exposé; pendant la nuit un incendie brûle la table -reposoir sur laquelle était posé l'ostensoir. Le lundi matin on découvre avec stupéfaction que l'ostensoir se trouve suspendu dans le vide au dessus des restes carbonisés. Pendant trente trois heures le miracle dure et des milliers de personnes en sont témoins.

     

    Faverney, à une vingtaine de kilomètres de Vesoul, était alors une abbaye de Bénédictins. Ils avaient demandé et obtenu d'organiser un triduum eucharistique avec exposition du Saint Sacrement à la Pentecôte 1608. Des indulgences étaient accordées à ceux qui se confesseraient et communieraient.

     

    Le miracle de Faverney se produisit dans la nuit du 25 au 26 mai 1608. Le dimanche de la Pentecôte avait commencé l'adoration et celle ci devait durer trois jours. On avait érigé un "reposoir" contre la grille qui dans les abbayes à l'époque séparait le chœur et la partie réservée aux moines de la nef ouverte aux fidèles. Ce reposoir consistait en une table de bois surmontée d'un gradin de bois et d'une étagère à quatre colonnes, également de bois, rehaussant la table de près d'un mètre.

     

    L'Ostensoir se trouvait donc en haut de cet ensemble. De nombreuses nappes et étoffes de soie recouvraient table et reposoir, avec au dessus, accroché à la grille, un dais festonné d'où descendaient des draperies. La table autel était garnie de fleurs et portait deux chandeliers de cuivre garnis de cierges, et deux chandeliers d'étain portant des lampes d'huile qui devaient brûler jour et nuit devant le saint Sacrement. Jean Garnier, le sacristain, ferma les portes de l'église à huit heures (heure solaire, dix heures du soir aujourd'hui) et revint ouvrir à trois heures (cinq heures pour nous).

     

    Il trouva alors l'église remplie de fumée et voit les décombres du reposoir incendié. Il s'évanouit puis se relève et appelle en craint: les moines accourent et se précipitent vers les débris fumants jonchant le sol. On n'y aperçoit rien qui reste de l'ostensoir. Cependant un novice s'écrie: il a découvert l'ostensoir suspendu en l'air, légèrement penché vers la grille. L'ostensoir n'est supporté ni retenu par rien; la grille elle branle chaque fois qu'on la touche tandis que l'ostensoir reste immobile.

     

    Pendant trente trois heures l'ostensoir va demeurer suspendu en l'air et des milliers de personnes arrivent de partout au bruit du miracle et en sont témoins elles aussi. Au bout de ces trente trois heures l'ostensoir descend doucement, comme porté par une main, et se pose sur le "corporal" (linge spécial de la liturgie sur lequel on pose le calice pendant la messe et le Saint sacrement dans les expositions) qui avait été disposé en dessous. C'était le moment où un prêtre à l'autel principal déposait l'hostie sur après l'élévation (pendant la messe "l'élévation" est le moment où le prêtre, après avoir consacré l'hostie, qui devient alors le corps du Christ, l'élève pour la montrer aux fidèles et la présenter à leur adoration).

     

    La Commission d'enquête ordonnée par l'archevêque de Besançon entendit dès le 30 mai recueillit les dépositions concordantes des témoins, elle s'arrêta au nombre de 54. Aussi Amédée Thierry, professeur à d'université de Besançon, qui a étudié ces faits avec la rigueur de la critique historique, conclut: " S'il est un fait matériellement prouvé, c'est incontestablement celui là.

     

    Il y avait deux hosties: l'une est conservée à Faverney jusqu'à aujourd'hui. Chaque année depuis 1608 l'hostie était portée en procession dans la petite ville de Faverney, avec le concours de processions venant des villages voisins. En 1725 et en 1753, lors d'incendies, on fit une bénédiction de la ville avec l'hostie miraculeuse et les incendies cessèrent de s'étendre. A la Révolution, l'abbaye de Faverney fut fermée, volée par l'état et déclarée "Bien National" elle fut vendue et bientôt découpée en nombreuses propriétés.

     

    Le Maire voulut faire brûler l'hostie. Mais sa propre femme eut le courage de s'en emparer et de la remettre à des personnes sûres. Grâce à elle, elle est toujours là: petit rond tout brun de 41 millimètres de diamètre. 300 ans après le miracle, en 1908, un Congrès Eucharistique réunit à Faverney 20.000 personnes dont une dizaine d'évêques et plusieurs centaines de prêtres. De nombreuses processions continuent d'avoir lieu à Faverney et à Dole. Le Lundi de la Pentecôte l'hostie sauvée miraculeusement des flammes est exposée.

     

    Transfert à Dole de la seconde hostie. La ville de Dole était alors la capitale de la Franche Comté; d'archiduc Albert, Gouverneur, soutint la demande de Dole, et cette seconde hostie fut transférée dans la capitale le 18 décembre 1608 en grande cérémonie, dont on nous a conservé la description. Cette hostie fut volée, probablement avec son reliquaire, pendant la Révolution.

     

    Cependant jusqu'à une époque récente, Dole fêtait le Saint Sacrement par une magnifique procession, avec l'hostie conservée à Faverney: après la seconde guerre mondiale l'une de ces processions fut présidée par Mgr Roncalli, Nonce en France, qui plus tard deviendra le Pape Jean XXIII.

     

    Les effets de ce miracle eucharistique furent sensibles dans cette région: il enraya les progrès du Protestantisme alors importants autour du pays de Montbéliard. Il suscita la fondation de Confréries du Saint Sacrement dans presque toutes les paroisses; favorisa ainsi l'assistance à la messe en semaine, la communion plus fréquente, l'Adoration perpétuelle

     

  • La Toussaint

    Photo: Sainte Jeanne d'Arc

    Lire la suite

  • Mai 68 : la déclaration scandaleuse de Macron

    Faire le rapprochement entre les barricades du Quartier Latin et le printemps de Prague montre qu’Emmanuel Macron ne comprend rien à l’histoire.

    Par Jacques Garello.

    Oser faire un amalgame entre la chienlit de mai 1968 et le printemps de Prague est une honte. Faire de mai 1968 d’origine d’un monde nouveau est une stupidité. Mais le Président Macron tenait trop à ne plus passer pour le Président des riches (qui sont bien sûr de droite), Il devait montrer son ancrage aux côtés des pauvres et de l’extrême gauche.

    Son excuse, en effet, est sa jeunesse : il n’a pas été concerné par mai 1968. Mais un chef d’Etat peut-il ignorer le passé somme toute récent de son pays?

    Faire le rapprochement entre les barricades du Quartier Latin et le printemps de Prague est une insulte pour Jan Palach, jeune étudiant qui s’est suicidé le 16 janvier 1969 place Wenceslas pour témoigner de la résistance des jeunes étudiants tchèques à l’occupation de leur pays par les chars soviétiques.

    Pendant quelques semaines du printemps 1968 le peuple tchèque a espéré une libéralisation du régime communiste, le secrétaire du Parti Communiste Alexandre Dubcek avait obtenu la promesse d’une certaine autonomie.

    La normalisation moscoutaire

    En Août 1968 les choses sont rentrées dans l’ordre:  la "normalisation" ramenait les Tchèques à la dictature de Moscou et les chars du " pacte de Varsovie " occupaient Prague et tiraient sur la foule, faisant des dizaines de morts et des centaines de blessés.

    Comment Emmanuel Macron peut-il assimiler la chienlit de mai 1968 et la résistance contre l’oppression? Comment réhabiliter ces émeutes organisées et exploitées d’abord par les trotstkistes et maoïstes puis par Mitterrand, les socialistes et les syndicats révolutionnaires?

    Comment faire de mai 1968 le point de départ d’un monde nouveau, alors qu’il s’agissait de porter au pouvoir la gauche la plus extrême, la plus proche de l’Union Soviétique ou de Mao Tsé Toung?

    Au stade Charléty, Mitterrand se voyait déjà en Président de la République : il devra attendre 13 ans: alors même que l’empire soviétique s’effondrait la France passait au communisme.

    Dany et Emmanuel

    On laisse entendre que l’organisateur d’éventuelles manifestations en mai 2018 serait Daniel Cohn Bendit, qui a soutenu Emmanuel Macron pendant la campagne, pour s’en démarquer ensuite. En mai 1968 son surnom était " Dany le rouge ". Certains commentateurs des propos de Macron ont parlé de " Macron le rouge ".

    En effet cette triste défiguration de l’histoire par le Président n’a pour but que de rougir sa réputation, parce que la gauche n’admet pas la " suppression " de l’ISF et hurle au " cadeau fait aux riches".

    Le Président veut signifier qu’il est du côté des " pauvres " comme le dit Castaner, porte-parole officiel du gouvernement. Macron a donc besoin de dire qu’il est avec la gauche, il ne l’a d’ailleurs jamais reniée. Il se rougit sans doute, mais au prix d’un risque majeur : rougir de honte.

    —https://www.contrepoints.org/2017/10/24/301661-mai-68-declaration-scandaleuse-de-macron

    Les cons osent tout, c'est même à cela qu'on les reconnaît!