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Humain? - Page 209

  • Macrouille et merdias ont encore frappé!

    Comme le colonel Beltrame, Mireille Knoll a été égorgée! Macron et les merdias l’ont caché

    http://www.liguedefensejuive.com/mireille-knoll-a-ete-egorgee-2018-04-06.html

    Les salauds, les ordures.

    Politiques et journaleux complices jusqu’au bout pour protéger leurs petits chéris musulmans, pour protéger l’islam.

    Qu’est-ce que ça change, me direz-vous, chacun sait que les assassins sont musulmans…

    Certes.

    Sauf que l’égorgement, plus que la kalasch, plus que la voiture tueuse… renvoie automatiquement et obligatoirement à une pratique barbare qui décuple instinctivement le sentiment d’horreur et concourt donc à montrer l’islam sous son vrai jour. Complètement.

    Et fait encore mieux comprendre le conflit de civilisation, le danger lié à la barbarie mahométane, inhérente à l’islam grâce aux versets coraniques « frappez-les au cou », grâce au beau modèle de Mahomet qui a fait décapiter plusieurs centaines de juifs dans une seule journée…

    Egorgement de l’aïd.

    Egorgements du mouton.

    Egorgements de l’EI.

    L’égorgement, c’est l’islam. L’Aïd c’est la fête de l’égorgement.

    Et de plus en plus de Français commencent à être au courant,  à se poser des questions.

    La malheureuse Mireille Knoll a donc été décapitée et il a fallu une semaine pour l’apprendre, grâce à son fils.

    Imaginez son fils qui a vu les restes de sa mère décapitée…

    Lui, il sait, il a vu, il sait que la montée de l'antisémitisme en France est lié à l’islam c’est pourquoi il conseille aux Juifs de quitter la France.

    Voilà où on en est sous Macron l’ordure, ami de l’islam, fossoyeur de la France.

     

  • Comment on nous berne.... la terreur, les terroristes en liberté en France

    écoutez tout! ça fait peur!

    HONTE A HOLLANDE ET MACRON!

    Faites des provisions de bougies, de nounours, de kleenex, retournez vous agenouiller dans les églises, révisez les paroles de votre Marseillaise!

     

    https://www.tvlibertes.com/2018/03/31/22371/lhebdo-politique-edition-speciale-terrorisme-xavier-raufer-finir-lachete

     

     

  • TOULOUSE-RANGUEIL: La vie des patients y est "mise en danger"

    Une enquête révèle les graves dysfonctionnements du CHU de Toulouse

    Le site d'investigation Médiacités a eu accès à plus de 26.000 fiches d'incident enregistrées par le personnel du CHU de Toulouse de septembre 2013 à mars 2017, révélant de graves dysfonctionnements. Bâtiments inadaptés, incidents techniques, pannes de matériel... les soignants se plaignent de "mettre en danger la vie des patients".

    Pour l'hôpital toulousain, c'est une fuite accablante. Bâtiments inadaptés, incidents techniques, pannes de matériel... Les incidents relatés par le site Médiacités à partir du contenu de 26.173 fiches d'incident internes rédigées et enregistrées par le personnel du CHU entre septembre 2013 et mars 2017 dressent le portrait d'un établissement à la dérive, allant jusqu'à mettre en danger la vie de ses patients. Des documents constitués de témoignages de soignants dénonçant certains dysfonctionnements au quotidien. De l'incident logistique bénin aux anomalies plus graves et inquiétantes.

    Plus d'une dizaine de ces écrits pointent des dysfonctionnements techniques graves. Par exemple, en juillet 2016, au service de chirurgie faciale de l'établissement: la "pièce à main du moteur" aurait "craché un liquide noir dans la bouche du patient", lors d'une intervention chirurgicale. Le patient a été brûlé aux lèvres et à la joue gauche. L'hôpital se défend en soulignant qu'un "audit" a été réalisé suite à cet incident. Cette même année, des défaillances ont également été observées autour des défibrillateurs. Un cardiologue signale dans une fiche qu'en pleine urgence vitale, un appareil n'a pas reconnu le "signal au moment de choquer le patient". Dans sa note, il précise que le personnel est "fatigué de ce manque de moyens qui met en danger la vie des patients".

    L'état des bâtiments, inadaptés ou vétustes, revient aussi régulièrement dans les doléances des soignants. En janvier 2017, une fiche mentionne un "écart trop important" entre le palier et l'ascenseur provoquant des chutes de patients transportés en brancard. Au service de traumatologie, la porte d'entrée d'un service d'accueil et de soins d'urgence est désignée le 2 mars 2016 comme "défaillante". Conséquence : en hiver, la température ne dépasserait pas 15 degrés. "Les patients sont allongés dans ce hall, sans même une couverture, confie un agent de service au site d'investigation. Un rideau cache-misère a été installé. Avec la force du vent qui s’engouffre dans le hall, il se soulève, allant même jusqu’à recouvrir le premier patient installé. Nous travaillons dans des conditions inacceptables, les patients sont reçus dans des conditions inacceptables pour un hôpital qui se prévaut être le deuxième de France."

    Des pannes d'électricité sont aussi présentées comme "quotidiennes". Le 13 juin 2016, un chirurgien fait état d'un "arrêt des appareils alors que des procédures étaient en cours". Il a ensuite fallu "7 à 8 minutes pour rallumer les machines", faisant courir un "risque vital réel pour les patients", écrit-il. L'hôpital, de son côté, assure qu'un "programme d’investissement technique important a été engagé par le CHU pour améliorer les équipements et sécuriser les installations" depuis ces faits.

    Taux d'activité en hausse, effectifs en baisse

    Le manque de personnel est aussi dénoncé. De très nombreuses notes relèvent des "surcharges de travail" pour un trop petit nombre d'infirmières. "Équipe en sous-effectif ce soir. Nombre de patients dépendants important, mise en danger des patients importante. Ils doivent attendre pendant de longues minutes", alertent des soignants le 12 mars 2016. "Une équipe épuisée physiquement (même pas 5 minutes de pause entre 13h30 et 23h) et moralement (sentiment de travail mal fait et de mettre en danger la vie des patients)", témoigne une autre infirmière du service gynécologie.

    Les retards de "brancardage" ne sont également pas rares. L'un des formulaires évoque notamment le cas d'une patiente nécessitant un scanner en urgence, qui a dû patienter neuf heures avant de pouvoir être prise en charge par un brancardier, faute de personnel disponible.

    Une situation qu'explique la CGT par un taux d'activité du CHU est pleine progression (+4,5% en 2016, +2% en 2017) alors que les effectifs sont en constante diminution. En deux ans, 150 postes auraient été supprimés.

     

    Des conditions difficiles qui ne semblent pas être propres à l'hôpital toulousain. Depuis le mois de janvier, les soignants font entendre leur colère sur les réseaux sociaux par le hashtag #BalanceTonHosto, répertoriant les situations au mieux cocasses, au pire dramatiques, dues au manque de moyens. Dernièrement, certains syndicats ont également voulu attirer l'attention sur la situation des services d'urgences "débordés" de patients, obligeant les soignants à faire dormir certains patients sur des brancards, en plein couloir, faute de lits disponibles.

     

  • Les Chances pour la France....

    Paris: des dizaines de mineurs marocains agressent et sèment la pagaille à Barbès, des femmes disent "ne plus pouvoir se promener librement dans le quartier"

    Pétitions d’habitants et réunion publique: les dizaines de mineurs marocains en errance dans les rues de la Goutte-d’Or depuis plus d’un an semblent hors de contrôle.

    Mais également sur l’insécurité, liée, disent-ils, à la présence depuis des mois, de groupes d’enfants des rues, une soixantaine de mineurs marocains âgés de 14 à 17 ans, toxicomanes pour la plupart, auxquels se sont jointes récemment de très jeunes filles. Les textes ont été remis mardi soir au maire (PS) du XVIIIe, Eric Lejoindre".Il y a trois semaines, deux personnes ont été physiquement agressées, rue Affre, en plein après-midi. Des plaintes ont été déposées. Ce décompte est loin d’être exhaustif, écrivent les habitants. Et nous notons une nette dégradation, marquée par l’apparition de problèmes bien plus graves: Violence cambriolages, prostitution et augmentation du trafic de drogue".

    Quitter la Goutte d’Or dans le 18e arrondissement de Paris, Mireille* n’y aurait jamais songé. Mais après deux agressions en un mois, sur elle et sur sa fille de quinze ans, elle y réfléchit: "la première fois c’était un dimanche soir, j’ai vu trois de ces jeunes sur le trottoir et j’ai senti une menace alors nous avons fait demi-tour, mais juste après l’un d’eux a sauté à la gorge de ma fille, peut-être pour lui prendre son collier; Elle s’est dégagée, s’est mise à pleurer, nous sommes parties en courant. Le lendemain nous avons déposé plainte, mais désormais je ne suis plus tranquille dans la rue, et elle non plus. Elle trouve très injuste de ne plus pouvoir se promener librement dans son quartier".

    Le Parisien / France Bleu

     

  • Où l'on voit bien que le mental des amerloques...

    … n'est pas le même que le notre! Ils doivent être bien surpris de voir combien les salariés et/ou employés en France sont chéris par notre droit du travail!!!

    Amiens: au lieu d'une augmentation, Whirlpool propose à ses salariés... un sèche-linge

    Par  Journaliste Figaro Guillaume Poingt 

    Selon Le Courrier Picard, cette proposition a été faite mercredi lors de la réunion de négociations annuelles obligatoires. Les salariés sont outrés et envisagent des actions. Délocalisée en Pologne, l'usine Whirlpool d'Amiens fermera le 31 mai prochain.

    Pour les salariés, c'est la goutte d'eau qui fait déborder le vase. Alors que l'usine Whirlpool d'Amiens - qui fabrique des sèche-linge - fermera définitivement le 31 mai prochain suite à une délocalisation en Pologne, un bien étrange "cadeau" leur a été proposé en guise d'adieu: un sèche-linge!

    Selon nos confrères du Courrier Picard , cette proposition a été faite par la direction le mercredi 28 mars lors de la réunion de négociations annuelles obligatoires (NAO) au sein de l'usine Whirlpool d'Amiens. Alors que les syndicats demandaient une forte augmentation pour les derniers mois d'activité, la direction du site amiénois a proposé un sèche-linge afin d'augmenter le pouvoir d'achat des salariés.

    "On se fout des gens jusqu'au bout"

    Un représentant de la CGT

    Cette attitude a outré les salariés et les représentants syndicaux, dont certains ont été interrogés par Le Courrier Picard. "Ils ont pété des records au niveau des dividendes des actions cette année et on nous propose un sèche-linge", déplore ainsi Frédéric Chantrelle, délégué CFDT du site amiénois Whirlpool. Avant de poursuivre: "C'est du foutage de gueule, après des années de bénéfices record. C'est indécent". Le syndicaliste détaille: "Nous demandons 700 euros mensuels avant que l'usine ne ferme. L'an dernier, on avait obtenu 4%. Pour le collège des ouvriers, cela représente 80 euros pour un salaire de 2000 euros brut". Même son de cloche pour un représentant de la CGT: "On demandait 10% d'augmentation avec rétroactivité à partir de janvier, avant que le site ne ferme. On se fout des gens jusqu'au bout".

    Selon Le Courrier Picard, une colère froide monte actuellement dans l'usine et une action du personnel serait envisagée dans les prochains jours. "Si la direction ne revient pas vers nous, nous envisageons des actions. On réfléchit à une action en début de semaine prochaine, le temps que l'on s'organise et que l'on fasse le tour des salariés", prévient ainsi Frédéric Chantrelle. Pour les salariés, il s'agirait de se manifester une dernière fois pour faire de la mauvaise publicité au géant américain Whirlpool, dont on avait beaucoup parlé durant la campagne présidentielle lorsque Marine Le Pen et Emmanuel Macron s'étaient rendus sur le site d'Amiens.

    Former les remplaçants polonais

    Il faut croire que Whirlpool n'a pas vraiment retenu la leçon. Interrogé par Le Courrier Picard, le représentant de la CFDT Frédéric Chantrelle rappelle une situation comparable au début des années 2000, lorsque le groupe a abandonné la production de machines à laver dans l'usine d'Amiens. "C'était en 2002, au moment de l'arrêt de la production des machines à laver, la direction en avait offert une aux salariés", se remémore-t-il.

    Le groupe américain n'est pas le seul à s'être montré indélicat envers ses salariés licenciés. Au début du mois, le groupe Kingfisher (maison mère de Castorama et Brico Dépôt) - qui avait annoncé le 13 février la suppression de 446 emplois en France liée à la délocalisation de services administratifs en Pologne - avait ainsi incité les salariés licenciés à former leurs remplaçants polonais.... Face au tollé suscité, le groupe avait finalement plaidé une "maladresse de formulation". Derrière ces polémiques se pose la question cruciale des délocalisations d'activités implantées en France vers des pays à bas coûts, comme la Pologne, où le travail est "bon marché".

     

     

  • Chrétiens…. Insurgez-vous contre la bêtise!

    et le laxisme des juges de la gauchiasse!

    Verdun: relaxés après avoir exhorté des religieuses à se convertir à l’islam

    Certaines des six carmélites présentes ce jour-là, portant toutes lunettes, voile noir et robe marron, ont raconté avoir été effrayées par leur attitude, en soulignant le contexte terroriste actuel.

    Deux hommes, âgés de 26 ans et 28 ans, s’étaient introduits dans un carmel en novembre pour demander aux sœurs catholiques de se convertir, sans quoi elles iraient en enfer.

    Le tribunal correctionnel de Verdun (Meuse) a relaxé mercredi deux hommes qui avaient exhorté les sœurs d’un carmel à se convertir à l’islam lors d’un office.

    "Aucun lien ne peut être fait entre vos agissements et un acte terroriste. Les termes et expressions employés, s’ils ont pu perturber les religieuses, ne sont pas spécifiques à un discours radical, provocateur ou voulant faire peur à autrui", a exposé la présidente du tribunal.

    La magistrate a relevé l’altération du discernement au moment des faits des prévenus, souffrant de troubles psychiatriques.

    Trop facile, non? encore une gauchiasse décérébrée!

    Le procureur avait requis dix mois de prison avec sursis à l’encontre des deux hommes, âgés de 26 ans et 28 ans, pour "les violences psychologiques" infligées aux carmélites.

    De leur côté, les avocats de la défense avaient plaidé la relaxe, soulignant que leurs clients n’avaient pas eu l’intention de porter préjudice aux religieuses.

    Des avocats, ça? il faut de tout pour faire un monde….

    "Une insistance répétitive"

    Le 10 novembre 2017, ils avaient sonné à la porte d’un carmel à Verdun pour "échanger sur la religion", ont-ils raconté. L’un deux avait expliqué à Sœur Marie-Josèphe que "la religion musulmane pouvait corriger ce que la religion chrétienne avait de faussé, selon lui", a-t-elle témoigné.

    "Il m’a dit deux fois que si je ne changeais pas, j’irais en enfer […] sans agressivité, mais avec une insistance répétitive", a-t-elle poursuivi. La religieuse aux cheveux blancs, qui a salué avec un grand sourire les prévenus à l’ouverture de l’audience, a affirmé ne pas avoir été impressionnée. " Ma foi chrétienne me dit qu’on ne va pas en enfer comme ça! ", s’est-elle exclamée.

    Les deux hommes avaient ensuite assisté aux vêpres dans la chapelle, déchaussés "par respect des lieux", ont-ils précisé. Ils avaient prié à voix haute, perturbant l’office.

    Certaines des six carmélites présentes ce jour-là, portant toutes lunettes, voile noir et robe marron, ont raconté avoir été effrayées par leur attitude, en soulignant le contexte terroriste actuel.

    Les carmélites sont des sœurs qui étaient -autrefois- cloitrées et tenues au silence… même si elles sont plus "ouvertes" au monde, les anciennes ne doivent pas trop sortir… par habitude.

    J'avais visité un carmel du temps où elles étaient totalement cloîtrées: enveloppées dans de longs voiles noirs de veuves.... cela m'avait terriblement impressionnée....

    Un médecin avait constaté chez elles des " impacts psychologiques perceptibles (ou) marqués" et avait délivré des incapacités allant de deux jours à huit jours.

    À la fin de l’office, "je me suis approché de Sœur Marie-Thérèse et je lui ai susurré à l’oreille: ’Si vous ne vous convertissez pas, vous irez en enfer’", a relaté le plus âgé.

    Un murmure, vraiment? de qui se moque-t-on?

    Après avoir écrit sur le livre d’or des exhortations à la conversion, ils étaient partis en remerciant les carmélites. Ils ont affirmé n’avoir compris leur avoir fait peur qu’au moment de leur interpellation. "On s’y est mal pris", a reconnu le plus jeune, converti à l’islam depuis huit mois.

    Ben voyons! abruti, va!