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Humain? - Page 210

  • Idiote totale!

    Encore une qui ne sait pas que les plantes émettent des ondes et que quand on coupe une salade, elle hurle de douleur!!!

    Attentats de l’Aude: une militante végan se réjouit de la mort du boucher du supermarché

    Après la mort du boucher du supermarché, tué par le terroriste, elle a publié un message se réjouissant de sa mort, sur Facebook.

    ”Ben quoi, ça vous choque un assassin qui se fait tuer par un terroriste? Pas moi, j’ai zéro compassion pour lui; il y a quand même une justice”.

    La phrase, écrite par une utilisatrice Facebook se présentant comme militante végane, n’est pas restée longtemps en ligne.

     Rapidement signalée par les utilisateurs du réseau social, choqués qu’elle se félicite de la mort du boucher du Super U de Trèbes dans l’attaque.

    Une enquête pour ”apologie du terrorisme” a été ouverte par le parquet de Foix après la publication de ce message. Sa publication, repérée par les services de l’Etat a été rapidement retirée, selon Karine Bouisset, procureur de la République de Foix, interrogée par la Dépêche du Midi.

    La Confédération française de la boucherie-charcuterie a condamné ces propos, tout en appelant à la retenue. Le mur de cette utilisatrice est rempli de messages injurieux depuis la publication de ce message.

    m6info.yahoo

  • Hallucinant!

    Jeannette Bougrab: "On nous casse les oreilles avec l’islam de France et on fait venir des imams d’Algérie!"

    Jeannette Bougrab, l’auteur de "Lettre d’exil. La barbarie" et nous (Éditions du Cerf, 2017) voit dans la décision de Gérard Collomb de faire venir cent imams d’Algérie pour diriger les prières du ramadan une trahison de la laïcité. L’ancienne secrétaire d’État chargée de la Jeunesse, de 2010 à 2012, est membre du Conseil d’État.

    Lors d’une rencontre avec son homologue Gérard Collomb, le ministre des Cultes algérien, Mohamed Aïssa, a annoncé l’envoi de cent imams algériens en France pour participer au ramadan. Quelle est votre réaction?

    Les bras m’en sont tombés. Comment, dans un État laïque, le ministre de l’Intérieur, certes ministre des Cultes, se préoccupe de faire venir des imams d’Algérie pour le ramadan? On nous casse les oreilles avec la création d’un islam de France, et on fait venir des imams d’Algérie! L’Algérie n’était pas islamiste. La radicalisation est venue par des prédicateurs du Moyen-Orient, issus pour la plupart des Frères musulmans, mouvement fondé par le grand-père de Tariq Ramadan. Sans que les Algériens s’en rendent vraiment compte, cet islamisme s’est répandu. Organiser la venue d’imams étrangers en France est une hérésie. […]

    Le Figaro

     

  • Ceci explique cela

    Montpellier: les étudiants d’extrême-gauche qui occupaient la fac délogés par un groupe d’individus cagoulés (le doyen humilié avec des tampax usagés)

    C’est un document: dans une vidéo tournée en fin de semaine dernière dans le hall de la faculté de droit, à Montpellier, on voit des jeunes femmes débarquer avec des tampons -tampax- maculés de sang -ou de ketchup?-, s’avancer en direction du doyen Philippe Pétel et l’humilier longuement.

    Le doyen a répondu à la provocation par quelques notes d’humour et, visiblement a tenté de calmer les excitées, dont on ignore s’il s’agissait d’étudiantes de la faculté de lettres Paul Valéry ou de militantes d’un collectif d’anars, ceux de l’ex-cinéma du Royal qui squattent des bâtiments publics et privés, à Montpellier, comme des témoins l’assurent…

    Selon des témoignages, ces jeunes femmes ont fait part de leur colère, d’abord à deux agents de sécurité sur place, puis au doyen, à cause de la condamnation des accès aux toilettes. Or, les toilettes de la faculté de droit sont systématiquement fermées en début de soirée.

    Cette scène était antérieure de quelques heures avant l’intrusion musclée d’un commando d’inconnus encagoulés et armés -taser et bâtons- dans un ampli de la faculté de droit. Le lendemain de cette attaque, le doyen Philippe Pétel démissionnait.

     

  • Violences à la fac de Montpellier

    Qui sont les vrais coupables ?

    FIGAROVOX/TRIBUNE - François-Xavier Lucas fait le point sur les violences survenues à la faculté de droit de Montpellier. Il distribue les mauvais points : aux occupants qui ont utilisé des méthodes de soviets, aux violents étudiants qui les ont délogés, mais surtout aux responsables qui n'ont pas su faire respecter l'autorité de l'État.

    Il y a du rififi à la fac de droit de Montpellier… où les grévistes occupant nuitamment un amphi en ont été délogés manu militari par quelques séides cagoulés revendiquant bruyamment la liberté de suivre les cours. Une telle violence, inacceptable, particulièrement au sein du sanctuaire que devrait être l'université, rend difficile toute analyse à chaud alors que la part prise par chacun n'est pas encore clairement établie et que l'on reste abasourdi par la brutalité des images qui circulent. Si l'on parvient à dépasser le stade de l'émotion (légitime mais qui n'aide guère à la réflexion) suscitée par lesdites images, on peut s'interroger sur la responsabilité des parties prenantes, au-delà de celle - évidente - des barbouzes, mais aussi ramener cette affaire à de justes proportions.

    Étonnamment, ce fait divers suscite un intérêt inversement proportionnel à son importance. Car de quoi s'agit-il sinon d'empoignades entre grévistes et non-grévistes se disputant un amphi? À l'heure où l'on s'apprête à célébrer mai 68 et les glorieux étudiants ayant échangé force horions, on ne peut que s'étonner que les héritiers des grands anciens viennent réclamer vengeance devant les caméras pour s'être fait déloger d'un amphi qu'ils occupaient illégalement. À la grande époque de la chanson de geste soixante-huitarde, ces évacuations musclées étaient monnaie courante pour les diverses factions se disputant l'espace universitaire, les uns et les autres reprenant un amphi comme d'autres reprenaient jadis une tranchée.

    La décence ne trouvait guère son compte dans ces manifestations violentes mais la réprobation restait limitée, les étudiants pouvant compter sur l'indulgence d'un public acquis aux carabins et à tous leurs excès y compris les moins défendables. Visiblement cette bienveillance n'a plus cours, si l'on en croit l'unanime réprobation que suscite l'empoignade ayant eu pour cadre la faculté de droit de Montpellier. Les journaux consacrent à l'événement des articles indignés, n'ayant pas de mot assez durs pour dénoncer les violences et en rendre comptable le doyen. Quant aux étudiants navrés d'avoir perdu la bagarre, ils ne rêvent que de plaintes et de piloris et en appellent à la police et au juge pour satisfaire leur furie vengeresse. Autre temps, autres mœurs…

    Évidemment, la manifestation d'étudiants, inquiets d'une réforme de l'université dont il est aujourd'hui difficile d'apprécier la portée, est aussi légitime qu'est odieuse la violence exercée à leur endroit. Sur un sujet d'une telle importance pour leur avenir et pour celui de la nation tout entière, leur liberté d'expression doit être totale et nul ne peut la leur contester. Cela dit, c'est à cet égard que l'affaire montpelliéraine n'apparaît pas traitée de façon satisfaisante car n'y est nullement en cause la liberté de manifester mais la légitimité des moyens de se faire entendre. Si l'on veut introduire un peu de contradiction dans le traitement biaisé de ce fait divers, il est essentiel de le signaler et de rappeler ce qu'est une occupation d'amphi, telle celle qui a servi de décor à ce drame méridional.

    Manifestations violentes et iniques, les occupations d'amphi et autres blocages de fac devraient valoir à leurs auteurs réprobation et condamnation mais elles sont traitées avec la plus grande bienveillance - et lâcheté - par des autorités - doyens, présidents d'université, préfets - qui n'ont qu'un seul souci, celui d'éviter l'incident. Surtout, pas de vague… On se couche devant la violence de ces réquisitions en faisant en sorte de regarder ailleurs.

    Le scénario est à chaque fois le même. Une brochette de squatteurs, étrangers pour la plupart à la fac qu'ils investissent, chasse un professeur au milieu de son cours, s'approprie la chaire et monopolise le micro pendant des heures avant d'installer ses pénates au milieu des pupitres pour y passer la nuit.

    Contrairement à ce que répètent à longueur d'antenne ou d'article des journalistes enamourés, ces actions n'ont rien de pacifique. À les croire, l'heure serait à la discussion, aux stimulants débats, si ce n'est à la franche camaraderie de barricades, mousse et pampre, comme dirait l'autre. Rien n'est plus étranger à la réalité de ces voies de fait dont on ne dénoncera jamais assez la brutalité. Toute personne qui souhaiterait exprimer une opinion dissidente est empêchée de le faire quand ce n'est pas, physiquement, menacée par les gros bras interlopes qui sévissent dans l'amphi, que les étudiants doivent abandonner, privés du droit d'étudier au motif qu'un soviet brutal a réquisitionné leur salle de cours.

     Que penser dès lors de l'action vigoureuse qui, à la fac de droit de Montpellier, a permis, pour la première fois depuis bien longtemps, de chasser les occupants sans titre qui prétendaient empêcher les cours de se tenir? La navrante violence qui a été utilisée à cette fin doit être condamnée mais cette déploration est vide de sens si elle ne s'accompagne pas d'une recherche de responsabilité des différents acteurs. Il faut le marteler, cette responsabilité est d'abord celle des factieux ayant réquisitionné un amphi, qui n'ont à s'en prendre qu'à eux-mêmes de la bagarre entre grévistes et non-grévistes qu'ils ont provoquée.

    Les ahuris qui s'étonnent de s'être fait molester devraient méditer sur la rude condition du piquet de grève et comprendre que, quand on prétend tenir Fort Chabrol, il faut être prêt à en assumer les conséquences. Responsabilité ensuite des nervis imbéciles qui, par leur usage immodéré de la force, ont évidemment desservi la juste cause qu'ils prétendaient défendre (rendre l'amphi aux étudiants désireux d'étudier) en faisant à leurs adversaires le cadeau d'une posture victimaire dont ils se délectent aujourd'hui.

    Mais responsabilité aussi, et on est tenté de dire surtout, de ceux qui, incarnant l'autorité de l'état, négligent de l'exercer. Que le doyen de la faculté de droit de Montpellier ait été abandonné à son sort et qu'il ait dû gérer seul ces militants qui prétendaient passer la nuit dans sa fac, au risque que s'y produise la mise à sac qu'il est hélas courant de constater dans de telles occasions, là réside le vrai objet de scandale et c'est sur ce point que l'enquête administrative qu'on nous annonce devra porter. À partir du moment où on laisse de prétendus grévistes (rappelons que faire grève consiste à cesser soi-même le travail, pas à empêcher les autres de travailler) imposer leur loi sans garantir la légalité et sans que l'État n'exerce la violence alors légitime dont il s'est réservé le monopole, on incite les mécontents à se faire justice eux-mêmes et on laisse s'installer des réflexes d'autodéfense particulièrement dangereux.

    S'il apparaît que le Président de l'université de Montpellier et le Préfet de l'Hérault appartiennent à cette catégorie de piteux commis que la trouille tétanise, et s'il est établi qu'ils n'ont pas permis que la police intervienne pour faire évacuer l'amphi illégalement réquisitionné, c'est à eux qu'il faudra demander des comptes.

    Lire l'article sur le Figaro: http://po.st/IZkPVE

     

     

  • Communique de résistance républicaine et riposte laïque

    Christine Tasin grossièrement menacée d’être mise en garde à vue!

    Le djihad judiciaire contre ceux qui refusent l’islamisation de notre pays se poursuit ! Ce lundi matin, à 9 heures, la présidente de Résistance républicaine, Christine Tasin, était convoquée par la police, pour un interrogatoire. Elle a été grossièrement menacée par l’OPJ, qui affirmait avoir des consignes strictes du Parquet, d’être mise en garde-à-vue si elle persistait à vouloir se domicilier chez son avocat. Rappelons qu’elle procède ainsi pour des raisons de sécurité, à cause de fréquentes menaces, que c’est légal, et a été admis par différentes juridictions.

    Devant sa détermination, et après de nombreux échanges téléphoniques avec le Parquet, constatant la vacuité des menaces et des intimidations, ils ont laissé repartir Christine Tasin, par ailleurs accusée " d’incitation  au crime en raison de l’appartenance religieuse ", rien de moins, après lui avoir pris ses empreintes et l’avoir photographie, comme si elle était une criminelle!

    Ce nouvel épisode, après la nouvelle tuerie de Carcassonne, confirme, s’il le fallait, l’ampleur du djihad judiciaire, qui touche nombre de Français, qui ont le tort, selon quelques juges et/ou procureurs, d’alerter nos compatriotes sur la réalité de l’islam.

    Rappelons que le fondateur de Riposte Laïque, Pierre Cassen, était au tribunal, ce mercredi 21 mars, et que de prétendus antiracistes, soutenus par le Parquet, ont réclamé 25.000 euros d’amende et de dommages et intérêts contre lui. Bien que n’étant plus responsable du site depuis 5 ans, il sera de nouveau jugé, ce vendredi 30 mars, suite à une nouvelle plainte, grotesque, mais instruite, de Caroline Fourest contre Riposte Laïque.

    Quant à Georges Bensoussan, historien de la Shoah, il passera, lui, devant la Cour d’Appel ce jeudi 29 mars, pour avoir évoqué l’antisémitisme des sociétés arabes.

    Pendant que les islamistes tuent, les juges relâchent dans la nature nombre de fichés S comme Redouane Lakdim.

    Pendant que les islamistes tuent, l’appareil d’Etat, sous les ordres de Macron et Collomb, multiplient les intimidations contre les patriotes, se livrant, avec la complicité de faux antiracistes d’Etat, à un véritable djihad judiciaire contre eux, pour le plus grand bonheur des islamistes.

    Incapables de protéger les Français, soumis aux disciples d’Allah, les dirigeants de notre pays en sont réduits à utiliser notre police et notre justice pour essayer de briser, par tous les moyens, les Résistants les plus déterminés.

    Nos avocats vont examiner les suites à donner à ce nouvel épisode, qui n’empêchera pas le fondateur de Riposte laïque et la Présidente de Résistance républicaine d’être présents, le mardi 3 avril, à 18 heures, devant l’Ecole Nationale de Magistrature de Bordeaux, pour défendre la liberté d’expression, face au harcèlement judiciaire.

    http://resistancerepublicaine.eu/2018/03/26/apres-carcassonne-christine-tasin-grossierement-menacee-detre-mise-en-garde-a-vue/

  • Violons en rond, ça fera de la musique!

    OU: comment ils considèrent leurs femmes… donc, pas étonnant que les attaques contre les femmes, partout en Europe, augmentent considérablement

    Pakistan: un violeur est absous de son crime parce qu’il propose en guise de réparation que sa sœur se fasse violer par le frère de la victime

    Un cas choquant de "viol de revanche" impliquant 12 membres de deux familles a été découvert par la police dans la province du Punjab, au Pakistan.

    Un homme a été accusé d’avoir violé une femme à Pir Mahal dans le district de Toba Tek Singh le 20 mars.

    Les informations locales indiquent que la famille du suspect s’est adressée à la famille de la victime pour une "réconciliation".

    La famille de la victime a accepté de gracier le violeur, à condition que "le frère de la victime commette le même acte sur la sœur du suspect", rapporte dawn.com.

    Une douzaine de personnes participant à une réunion entre les deux familles ont accepté les conditions, et le frère a ensuite violé la sœur du suspect le 21 mars.

    Daily Mail