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Opinions

  • Propagande autour de la sexualité dans l’Éducation nationale: le scandale

    L’extrême centre est une dystopie. Comme dans Le Meilleur des mondes d’Aldous Huxley, le ministre de l’Éducation nationale, Élisabeth Borne, veut commencer l’orientation dès le jardin d’enfants. C’est Parcoursup, dès mat’ sup, la maternelle supérieure!

    Comme dans 1984 d’Orwell, il faut endoctriner les enfants avec les dogmes du parti et donc enseigner la sexualité et la théorie du genre dès le plus jeune âge. Claude Meunier-Berthelot, contributrice régulière de Polémia et auteur de Cette révolution scolaire qui tue la France, décrypte ci-dessous la circulaire ministérielle du 4 février 2025 sur l’éducation sexuelle, nouvelle étape de la révolution scolaire qui éloigne chaque jour davantage l’école de sa mission première d’instruction et de transmission au profit d’un gloubi-boulga politiquement correct. Polémia.

    LA CHUTE CONTINUE

    Nous sommes en train de toucher le fond de la perversité éducative avec l’introduction de programmes d’éducation sexuelle à l’école, de la maternelle à l’université! Révolution qui touche aussi bien l’école publique que l’école privée sous contrat.

    Ceux qui sont censés nous gouverner continuent d’exercer leurs méfaits à la tête des institutions publiques malgré la levée de boucliers émanant notamment d’associations diverses dénonçant cette aberration éducative. Mais ne " baissons pas la garde " face à ce dévoiement organisé de l’Éducation nationale et de ses satellites, car l’avenir de nos enfants, l’avenir de la France en dépend.

    Quelques pépites glanées dans différents établissements scolaires et relevées par l’association SOS Éducation

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  • Nouvelle réglementation sur les armes blanches

    l’État désarme une fois de plus le peuple, pas les délinquants

    Alors que les agressions au couteau se multiplient en France, le gouvernement a choisi de durcir une fois de plus la législation… non pas contre les voyous, mais contre les citoyens ordinaires.

    Un décret du 5 septembre 2025 et un arrêté du 4 juillet 2025 viennent en effet modifier en profondeur la réglementation sur la détention, la vente et le port des armes blanches. Officiellement, il s’agit de "renforcer la sécurité publique". Dans les faits, cette réforme illustre une tendance lourde: restreindre toujours davantage les libertés individuelles, au nom d’une sécurité que l’État n’assure plus.

    Les couteaux “zombie”, les poings américains et les couteaux automatiques désormais interdits

    Depuis septembre 2025, plusieurs armes blanches autrefois en vente libre sont désormais classées en catégorie A1, c’est-à-dire au même niveau juridique que les armes de guerre. Cette classification concerne notamment:

        les couteaux “zombie”, ces lames massives, dentelées et décoratives;

        les poings américains, y compris ceux combinés à une lame ou un dispositif électrique;

        les couteaux papillon (ou balisongs) et couteaux automatiques à ouverture assistée;

        les armes de jet telles que les étoiles de ninja.

    Leur vente, acquisition et détention sont désormais interdites. Les particuliers et commerçants qui en possèdent doivent les remettre à la police ou à la gendarmerie avant le 7 décembre 2025. Passé ce délai, la sanction pourrait être lourde: jusqu’à 5 ans de prison et 75 000 euros d’amende (on imagine bien les tribunaux déjà engorgés, les policiers sans moyen, venir débarquer à 6 heures du matin pour arrêter un papie " terroriste " possédant chez lui un couteau papillon, puis le faire juger et condamner).

    DES COMMERÇANTS SOUS SURVEILLANCE PREFECTORALE

    Les magasins non spécialisés devront obtenir une autorisation préfectorale pour vendre certaines armes blanches encore tolérées (poignards, matraques, couteaux à cran d’arrêt).

    Ces armes, désormais classées en catégorie Da, ne pourront être commercialisées qu’après validation administrative, avant le 7 mars 2026. Les boutiques devront également afficher clairement l’interdiction de vente aux mineurs — y compris sur les sites internet — comme les armureries.

    EN CLAIR: même les coutelleries ou boutiques de loisirs devront se soumettre à la même bureaucratie que les vendeurs d’armes à feu.

    Une pénalisation croissante des usages ordinaires

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  • Hausse d’impôts et taxes en tout genre:

    ils vont jusque dans le local poubelle!

    Que dire d'une taxe qui aura augmenté de plus de 300% en dix ans?

    Ça y est, le débat parlementaire sur le budget de l’État pour 2026 (projet de loi de finances) a commencé.

    Comme le veut la règle, les députés vont d'abord examiner les recettes ("ressources et équilibre"), après viendra l’examen des dépenses ("crédits des missions"). Un projet de budget qui "ambitionne de redresser les comptes publics", nous explique le site officiel Vie publique.

    Cela, d’une part, à travers une baisse des dépenses de l’État, hors Défense nationale, ce qui représenterait, toujours selon Vie publique, "les deux tiers de l’effort budgétaire total" - sans, d'ailleurs, en indiquer le montant.

    D’autre part, par une hausse des recette fiscales, "en particulier par un effort supplémentaire des contribuables les plus aisés à hauteur de 6,5 milliards d'euros et par la poursuite de la rationalisation des niches fiscales (la France en compte actuellement 474 pour un coût total de 85,1 milliard d’euros)", souligne Vie publique, la hausse des impôts pour les "plus aisés" étant, en quelque sorte, l’arbre qui cache la forêt des hausse d’impôts et de taxes qui vont frapper en 2026 à tous les étages, et ce, même jusqu’au local poubelle!

    UNE TAXE QUI AUGMENTE DE 62% EN CINQ ANS!

    En effet, il est question d’une hausse, au total, de plus de 19 milliards d’euros, ce que le député RN Jean-Philippe Tanguy a qualifié de "boucherie fiscale". Il y a les hausses qui vont faire mal tout de suite, directement sur la feuille d’impôt, comme par exemple le gel du barème de l’impôt sur le revenu et la fin de l’abattement fiscal de 10% pour les retraités (la double peine n’est pas faite pour les chiens), et puis, il y a ces augmentations plus discrètes, plus insidieuses, auxquelles pas grand monde ne comprend grand-chose, celles qui se répercuteront à l’automne 2026, lorsque les propriétaires recevront leur avis d’imposition de taxe sur le foncier bâti ou que les locataires découvriront le nouveau montant de leurs charges répercuté par le propriétaire.

    Ainsi, par exemple, il est question, dans ce projet de loi de finances (PLF) 2026, d’une augmentation de la TGAP jusqu’en 2030 de près de 62% (61,53%, pour être précis), en passant de 65 à 105 euros la tonne traitée. Tant qu’à faire...

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  • Au Bout du Bout: la France trahie, la Nation anéantie!

    Nous y sommes. Le pays tout entier, meurtri, lassé, suspendu à la volonté d’un seul homme, contemple l’abîme. Ce blocage dont on nous parle n’a point surgi du néant: il est l’œuvre d’un esprit, le fruit d’un système, et la signature d’un homme. Ce nom, c’est celui d’Emmanuel Macron.

    Car il faut dire les choses simplement, mais avec cette gravité que commande l’amour de la patrie: le président de la République a trahi la France. Non par faiblesse seulement, mais par dérision. Il a tourné en dérision les institutions mêmes qui lui ont donné sa légitimité; il a usé du prestige de la Ve République pour s’en moquer, la plier à ses caprices, et la transformer en théâtre de son narcissisme politique.

    Depuis des années, la France se cherche: on lui répond par des artifices. Elle espère un cap: on lui donne des discours. Elle réclame une voix claire: on lui offre des postures. Sous ce règne d’apparences, la nation a perdu jusqu’au sens du bien commun. La France, ce grand corps historique, se trouve livrée aux convulsions d’un homme sans racines, sans continuité, sans fidélité autre qu’à lui-même.

    Qu’on fasse donc l’inventaire des maux qu’il a infligés à notre pays:

    Il a brisé le lien de confiance entre le peuple et son État;

    Il a dissous le prestige de la parole publique dans le bavardage médiatique;

    Il a sacrifié l’autorité à la communication, la compétence à l’image, la France réelle à la France virtuelle;

    Il a réduit l’idée même de patrie à un slogan de campagne;

    Il a foulé du pied la souveraineté nationale en livrant nos choix économiques, industriels et diplomatiques aux vents étrangers;

    Il a divisé les Français, dressé les uns contre les autres, en prétendant incarner l’unité.

     

    https://youtu.be/o8nHwjKqY2E

     

    Et voici que maintenant, paralysé par ses propres contradictions, il prétend encore régner. Mais l’heure n’est plus aux faux-semblants. L’impasse où il nous conduit n’est pas institutionnelle: elle est morale. Car si la Constitution ne l’oblige pas à partir, la conscience nationale, elle, le lui commande.

    Il y a dans le devoir du chef de l’État quelque chose qui dépasse les textes: l’honneur. De Gaulle, en 1969, en eut le courage. Il comprit qu’on ne gouverne pas un peuple sans sa confiance, qu’on ne triche pas avec la légitimité populaire. Macron, lui, n’est pas De Gaulle. Il ignore ce qu’est la fidélité à la France. Il confond la grandeur du pays avec la mise en scène de sa personne.

    Ainsi tout dépend aujourd’hui de son sursaut – que nul ne peut attendre. C’est pourquoi l’heure est grave. Grave, non parce qu’une crise institutionnelle menace, mais parce que la France se trouve suspendue à la vanité d’un homme.

    Et puisque tout semble bloqué, il ne reste qu’une issue – claire, simple, conforme à la morale républicaine et à la décence nationale: le départ du président de la République. Il n’en a pas l’obligation juridique, mais il en porte la nécessité morale. Qu’il s’en aille donc, et qu’en partant il emporte avec lui le fracas de son propre vide. Alors, peut-être, la France pourra recommencer à respirer.

     

    Jean-Jacques Fifre

  • Il n’y a pas de dette de la France, il n’y a qu’une dette de nos politiciens

    Le 29 août 2025 j’affirmais que la dette du pays n’est pas la dette des Français mais la dette exclusive de la Caste dont au premier chef la classe politique:

    "Il n’y a pas de dette de la France, il n’y a qu’une dette de nos politiciens. Ce sont eux qui ont créé cette dette depuis 1974, c’est à eux de la payer".

    L’actualité me conforte dans cette vue d’un débiteur qui ne peut être que ladite classe politique.

    En creux si on décode bien, Éric Lombard ne dit pas autre chose:

    "Dissolution de l’Assemblée Nationale: un coup économique considérable selon Éric Lombard mais à quel point? ../…

    Le coût économique dont parle Éric Lombard est plus diffus: perte de confiance, gel des investissements, ralentissement des embauches. Autant de signaux qui, selon lui, pèseraient davantage que la facture électorale elle-même — celle d’une démocratie en suspens".

     

    https://actu.orange.fr/france/dissolution-de-l-assemblee-nationale-un-cout-economique-considerable-selon-eric-lombard-mais-a-quel-point-magic-CNT000002lcbUZ.html

     

    Le sieur citoyen Lombard est d’accord avec moi, c’est bien la classe politique qui coûte au pays, et non le Peuple Premier qui dans l’ensemble travaille, étudie et tente d’évoluer dans ses différents emplois au cours de sa carrière professionnelle.

    Si on prend le sieur Aghion qui se dit économiste mais qui a conseillé François Hollande et Macron, on en éprouve tous les jours le résultat, il faudrait mettre en veilleuse la réforme des retraites pour laisser passer le temps des élections présidentielles 2027 pour mieux la reprendre ensuite:

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  • Les seules réalités internationales, ce sont les nations!

    Alain Peyrefitte, dans le tome 1 de C’était de Gaulle (page 296), cite ce propos du Général: "Les seules réalités internationales, ce sont les nations!". La séquence politique désastreuse que nous vivons actuellement devrait nous inciter à méditer ces propos. Depuis trop longtemps, et particulièrement depuis 2017, les présidents de la République et leurs gouvernements n’ont eu, comme politique européenne, que celle qui consiste à transférer par pans entiers les attributs de la souveraineté nationale vers une entité supranationale que personne ne peut réellement définir.

    Certains parlent d’une sorte d’État "fédéral" qui coifferait tous les États de l’Union européenne, et qui pourrait s’apparenter à une sorte " d’États-Unis d’Europe ".

    Il se trouve que le peuple français a refusé en 2005 de s’engager dans cette voie. Les dirigeants n’ont pas voulu prendre ce refus en compte et ils ont continué à avancer comme si de rien n’était.

    Aujourd’hui, le résultat de ce fossé qui, année après année, s’est creusé entre le peuple et ce qu’il est convenu d’appeler l’élite dirigeante est que le pays ne veut plus être gouverné contre son peuple. Certains, refusant d’aller au fond des choses, préfèrent dire que " la France est devenue ingouvernable! ", comme si une sorte de fatalité s’était abattue sur elle.

    La réalité est bien différente.

    LA SOUVERAINETÉ POPULAIRE, CLÉ DE VOUTE DE NOTRE CONSTITUTION

    La clé de voûte de notre Constitution est la souveraineté populaire. Celle-ci ne peut se partager et encore moins se transmettre à une autre entité que le peuple français et c’est lui qui confère cette souveraineté à la nation. Or, nos dirigeants ont pratiquement tous été biberonnés au mondialisme. Ils ne veulent plus des nations, ni des peuples, et encore moins de la souveraineté populaire. Ils préfèrent maintenir l’idée d’un clivage droite-gauche qui, depuis une vingtaine d’années, a cédé la place à celui transpartisan de " mondialiste-souverainiste ".

    Il existe du reste dans le pays une sorte de code de bonne conduite des médias dits mainstream qui consiste à ne jamais mettre en lumière ce nouvel aspect des choses, ce qui fait qu’aucun souverainiste ne peut bénéficier d’une large diffusion de ses propos qui serait contraire à l’ordre établi non-écrit.

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