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Opinions

  • Bientôt Noël, depuis 2000 ans…

    Comme chaque année à l’approche de Noël, la même polémique refait surface, portée par les déconstructeurs, les laïcards forcenés et intolérants, les effaceurs de mémoire et autres négationnistes anti-chrétiens.

    Comme chaque année, il est donc nécessaire de rappeler quelques évidences quant à nos traditions millénaires et à notre héritage civilisationnel.

    Si le fait religieux relève du domaine privé, Noël est de ces fêtes qui transcendent les clivages habituels et font partie du patrimoine culturel collectif.

    Que l’on soit croyant ou non, que l’on soit pratiquant ou non, nul ne peut, sauf à dessein malveillant, ignorer l’importance de l’influence de la chrétienté sur le développement de nos sociétés européennes.

    À ceux qui voudraient faire enlever nos sapins et nos crèches, à ceux qui s’offusquent des marques encore visibles de nos racines, je propose d’aller voir ailleurs si l’herbe est plus verte. À l’argumentaire pervers de la laïcité faite loi, j’oppose 1500 ans de traditions et de civilisation.

    Alain Peyrefitte en citant l’allocution du général De Gaulle du 5 mars 1959 nous renvoie à certaines notions fondamentales aujourd’hui passées sous silence: " Nous sommes quand même avant tout un peuple européen de race blanche, de culture grecque et latine et de religion chrétienne. Qu’on ne se raconte pas d’histoire! ".

    En cette période de grande déculturation et de destruction des repères traditionnels, il est devenu plus que jamais nécessaire de rappeler aux enfants que nous célébrons le 25 décembre la naissance du Christ, fils de Dieu, et non pas quelque dieu païen de la consommation de produits festifs ou de l’enrichissement de fabricants de jeux vidéos asiatiques.

    Noël est un appel au partage, à l’amour et à la fraternité, loin des notions mercantiles et matérialistes qui font notre bonheur immédiat et notre malheur à venir.

    Nous sommes des femmes et des hommes, avec nos cultures et nos traditions, nos croyances et nos valeurs avant d’être des consommateurs serviles, interchangeables et sans identité.

    À ceux qui nous ont déjà rejoints, nous adressons nos remerciements pour leur confiance et les assurons de notre amitié et de notre indéfectible volonté. À ceux qui sont encore observateurs et commentateurs, nous lançons l’appel à franchir le pas à l’occasion de cette nouvelle année qui s’annonce, à rejoindre Place d’Armes et à s’engager avec nous à œuvrer pour que la France retrouve les chemins de la grandeur, de la souveraineté et de la liberté.

    Joyeux Noël à toutes et à tous.

     

    Gérard HARDY

    Président de Place d’Armes

  • Questions

    Pour être juste et ne pas se laisser berner...

    Tuerie de Sydney: et si l’Ahmed n’est pas vraiment le héros qu’on croit

    Le ressortissant syrien Ahmed al Ahmad, musulman chiite de 43 ans, naturalisé australien il y a 3 ans, a été élevé au rang de héros national et international après son intervention contre l’un des deux terroristes qui tiraient sur des juifs réunis pour la fête de la Hanoukka, le 14 décembre sur une plage de Sydney.

    Pourtant, des questionnements s’imposent.

    Ahmed (ou Ahmad) serait resté un inconnu si quelqu’un n’avait pas filmé son intervention puis l’avait postée sur les réseaux sociaux.

    Ahmad ne savait pas qu’il était filmé. Il aurait certainement eu un autre comportement s’il avait su qu’il l’était.

    Le monde entier a donc vu un bonhomme, chemise blanche, grosse corpulence, surgir entre deux voitures, se précipiter sur un individu qui tirait sur la foule, lui enlever son arme et le mettre en joue.

    Dans une telle situation, l’assaillant aurait pu mettre un coup de crosse au tireur pour évacuer le stress de l’intervention. Coup de crosse accompagné de langage fleuri.

    Il mettait le terroriste en joue alors qu’il savait que le fusil était déchargé.

    L’Ahmad, dit-on, "était à quelques mètres de l’un des tireurs qui lui tournait le dos. Il aurait pu rester là en espérant que le terroriste ne le remarque pas. Mais voilà que le terroriste s’arrête de tirer. Et Ahmed de penser qu’il avait vidé son premier chargeur, et que le temps qu’il recharge la bécane, il avait le temps de fondre sur l’homme et le neutraliser".

    Donc, le fusil était déchargé. Le terroriste le savait. Le mettre en joue avec une arme déchargée est ridicule.

    1E QUESTION: QUE SE SONT-ILS DIT?

    Le terroriste aurait-il dit: "Je tire sur des Juifs?".

    On voit l’assaillant se ramollir et laisser partir le terroriste, alors qu’il pouvait le livrer à la police. L’Ahmad n’était pas seul. Celui qui l’accompagnait (apparemment un cousin) aurait pu appeler la police.

    2E QUESTION: POURQUOI L’A-T-IL LAISSE PARTIR?

    Le terroriste "est parti tranquillement rejoindre son complice et est revenu sur place quelques minutes après continuer son travail avec une nouvelle arme".

    L’Ahmed a soustrait un criminel à la justice.

    3E QUESTION: AHMAD HEROS OU COMPLICE?

    L’Ahmad n’a pas arrêté la tuerie alors qu’il le pouvait. Il a laissé le terroriste aller prendre une autre arme et continuer à tirer. Le "héros" présumé peut donc être considéré comme complice de la tuerie.

    On apprend tout d’un coup que le "héros de Bondi Beach" a été hospitalisé puis opéré, qu’il se trouve dans un état stable, mais doit subir de nouvelles opérations. Des opérations pour un bras touché.

    4E QUESTION: A QUEL MOMENT A-T-IL ETE BLESSE?

    On le voit sur un lit d’hôpital avec des pansements au bras gauche et à la main droite. L’" espace " entre les deux membres est intact. Qui lui a tiré dessus? Quand ? Le tireur qu’il a laissé partir? Pourquoi la personne qui filmait ne filme-t-elle plus ou pourquoi ne voit-on pas la suite des événements?

    On apprend que les parents de l’Ahmad étaient à ses côtés.

     "Très âgés, les parents ont expliqué ne pas pouvoir aider leur fils lors de sa convalescence", dit-on". Ils ont donc lancé un appel au Premier ministre australien pour faire venir les deux frères d’Ahmed, de nationalités allemande et russe".

    Une convalescence pour une blessure au bras?

    Une minuscule blessure qui requiert l’arrivée des frères d’Allemagne et de Russie?

    Ça sent le roussi. Un bon roussi.

    UNE DERNIÈRE QUESTION: quand est-ce que, dans l’histoire de l’humanité, un musulman est venu au secours de Juifs?

     

    Messin’Issa

  • Lyon: ce que révèle l’agression gauchiste contre la fête des Lumières

    Il y a quelque chose de pourri qui flotte au-dessus de la fête des Lumières cette année, un parfum de lâcheté politique, de renoncement, de petite fronde idéologique, et derrière ça, toujours les mêmes, ceux qui confondent l’espace public avec un terrain d’occupation permanente.

    On a vu apparaître sur les façades du musée des Beaux-Arts et sur l’Hôtel de Ville des slogans sortis tout droit du bruit de fond gauchiste, des projections sauvages, pas du tout prévues, pas du tout légales, mais parfaitement tolérées pendant les précieuses secondes où le message se glissait dans le décor lumineux.

    "La police blesse et tue", "non à l’État policier", "Sainte-Soline ni oubli ni pardon", "on dégage le RN", tout le kit du militantisme automatique, recyclé d’une manif à l’autre, balancé comme un crachat sur les murs d’une ville déjà étouffée par les prêches pseudo-progressistes.

    Le pire, ce n’est même pas l’agissement en lui-même, c’est l’absence totale de réaction réelle. On condamne du bout des lèvres, la préfecture dit que c’est un message de haine, le maire fait semblant d’être outré pendant qu’il serre la main de ceux qui passent l’année à cracher sur les forces de l’ordre.

    On connaît la musique. Tout le monde joue sa partition pour sauver la face, mais personne ne veut poser la question qui dérange: comment se fait-il que des groupes puissent s’introduire dans l’événement le plus encadré de l’année pour transformer la ville en tribune politique improvisée?

    Et surtout, où étaient ceux qui sont censés garantir un minimum de respect pour les murs, les gens, les symboles, les forces de l’ordre? Parce que pendant que ces projections défilaient, pendant que les badauds prenaient des photos sans même se rendre compte que ce n’était pas du programme officiel, les mêmes forces de l’ordre qu’on accuse de tout et n’importe quoi étaient en train de ramasser les interpellations, gérer les vols à l’arraché, les drones illégaux, et contenir le lot habituel de casse-pieds qui prennent chaque événement public pour une occasion de provoquer. Mais ça, personne ne projette de message dessus.

    Personne ne salue l’endurance des policiers qui se retrouvent au milieu des foules compactes, insultés par des ombres, surveillés par des téléphones, menacés par des slogans, et qui doivent quand même faire leur boulot.

    On demande à la police d’être partout, de tout absorber, de tout encaisser, mais le moindre incident devient une opportunité pour la petite gauche de se fabriquer un martyr imaginaire. Il aurait suffi qu’un agent glisse, qu’un abruti lui tombe dessus, qu’une rixe éclate, et on aurait déjà vu tourner des vidéos coupées, des accusations fabriquées, des larmes en carton.

    On connaît la mécanique. Qu’on le veuille ou non, cette affaire raconte quelque chose du climat dans ce pays. Une part de la gauche radicale a compris que l’État ne leur dira jamais vraiment non, que les institutions s’excusent avant même de punir, que la presse glissera toujours un petit selon certains militants pour leur offrir une couverture morale. Alors ils testent les limites, ils grappillent, ils avancent, et les villes comme Lyon deviennent des laboratoires où l’on peut impunément balancer des messages anti-police en pleine fête populaire.

    Tout ça sous les lampions, dans l’indifférence des familles qui se prennent en selfie devant une façade occupée par un graffiti numérique. C’est ça, la France moderne: une ville qui célèbre la lumière tandis que la gauche radicalisée projette son obscurité. Une foule pacifique qui déambule pendant qu’une poignée de militants joue à la guérilla symbolique.

    Un pouvoir qui se contente de hausser les épaules. Et au milieu, comme toujours, les policiers, qu’on appelle seulement quand tout dégénère mais qu’on crucifie dès que quelque chose ne plaît pas. On nous répète qu’il faut aplanir les tensions, qu’il faut faire société, qu’il faut calmer le jeu.

    Peut-être faudrait-il commencer par remettre un peu d’ordre, un peu d’autorité, un peu de fierté, et rappeler que l’espace public appartient aux citoyens, pas aux groupuscules qui s’affichent en pirates lumineux.

    La fête des Lumières méritait mieux que cette intrusion politique de bas étage. Mais à force de céder du terrain, la lumière s’éteint et les ombres prennent la place.

    Jérôme Viguès

  • L’influence de la French-American Foundation

    sur l’administration française

    Chaque année, les États-Unis repèrent et invitent les futures élites françaises à Washington pour une opération de charme. Mais ce n’est qu’une facette d’une stratégie d’influence plus globale. La plupart des grands cabinets d’avocats et des banques d’affaires de Paris sont aujourd’hui américains. Peu à peu, ils imposent leur langue, leurs normes et leur idéologie.

    Le "soft power", ou diplomatie douce, a été théorisé par les États-Unis pour influencer leurs partenaires en s’appuyant sur la conviction ou la séduction. Concrètement, depuis les années 1940, l’ambassade des États-Unis à Paris repère chaque année ceux qui deviendront les futures élites françaises. Elle mise sur eux et les invite outre-Atlantique pour participer à un programme d’échanges avec les futures élites américaines.

    1. Une infiltration systématique des cabinets ministériels et de la haute fonction publique

    La French-American Foundation (FAF), via son programme Young Leaders, a placé depuis des décennies des dizaines de ses alumni (anciens élèves) à des postes clés de l’administration française. Ces derniers occupent des fonctions stratégiques dans les ministères, les cabinets ministériels, les agences publiques et même à l’Élysée.

    1.1. Des alumni à des postes clés

    Sur les 600 alumni que compte la France (on ne dispose pas de la répartition exacte par secteurs d’activité), on peut citer, dans le monde politique:

        Emmanuel Macron (promotion 2012): président de la République, ancien ministre de l’Économie.

        Édouard Philippe (2011): Premier ministre, maire du Havre.

        Gabriel Attal (2019): Premier ministre, ancien ministre de l’Éducation nationale.

        Christophe Castaner (2010): ancien ministre de l’Intérieur, député.

        Nathalie Loiseau (2006): ancienne ministre des Affaires européennes, députée européenne.

        Aquilino Morelle (1998): ancien conseiller politique de François Hollande, haut fonctionnaire.

        Pascal Confavreux (2025): porte-parole et directeur adjoint de la communication du ministère de l’Europe et des Affaires étrangères.

        François Hollande (1996): ancien président de la République.

        Laurent Wauquiez (2006): président de la région Auvergne-Rhône-Alpes.

        Pierre Moscovici (1996): ancien ministre de l’Économie, commissaire européen, président de la Cour des comptes.

        Najat Vallaud-Belkacem (2026): ancienne ministre de l’Éducation nationale.

        Alain Juppé: ancien Premier ministre et ministre des Affaires étrangères.

    Ces personnalités ne sont pas des cas isolés: elles illustrent une stratégie de long terme visant à influencer les orientations de l’État français.

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  • Vol d’oiseaux noirs au-dessus de Noël

    Des sapins dans les vitrines, les halls d’immeubles, les maisons, des guirlandes de toutes les couleurs qui clignotent, les yeux des mômes qui brillent, une ambiance étrange, comme s’il allait se passer quelque chose. Mais non! Pas question, il y en a qui ne veulent pas.

    Qui cela dérange-t-il, la magie (hélas pâlissante) de Noël? Des gens qui ne veulent pas voir les enfants heureux? Qui interdisent aux grandes personnes de rêver par instants que leur vie est encore à ses débuts, quand tout était nouveau et magique?

    Qui veut empêcher les parents de s’attendrir devant la joie des petits? Et pourquoi faudrait ôter aux gens qui ont la foi le bonheur de se recueillir dans une église en pensant à la naissance d’un bébé sauveur du monde?

    A vrai dire, bien que Noël soit évidemment une fête religieuse, il ne touche ou ne ravit pas que les croyants. Beaucoup le ressentent comme une parenthèse d’enchantement, un répit, une trêve dans la bataille de la vie, avec ses rivalités d’ambition et d’argent, avec ses menaces de violences.

    Les gens qui n’ont pas la foi ont aussi des rêves un peu fous et des espoirs déraisonnables. Ce ne sont pas les projets réalistes qui nous font vivre, tous autant que nous sommes. Ce n’est pas l’achat d’une bagnole ou d’un lave-linge qui nous donne envie de vivre et nous maintient dans cet espoir fou qui est l’exact contraire du désespoir.

    Alors, qui sont ces sombres crétins qui veulent en finir avec Noël, qui veulent nous l’interdire? Quels abrutis que la vue d’une crèche offusque, eux qui chaque jour affrontent, comme tout le monde, des spectacles scandaleux plein les rues et les écrans? Qu’est-ce qui les gêne, les tracasse, les empêche de dormir, sans doute? La lueur merveilleuse dans le regard des gosses, le réconfort des vieux dont on se rappelle soudain l’existence? Les échanges de cadeaux, pas toujours heureux, mais qui valent mieux que des coups de poing dans la gueu?

    Qu’est-ce que ça leur retire, à ces oiseaux noirs, s’ils ne croient en rien, s’ils n’aiment rien ni personne, en quoi cela peut-il leur nuire? Ou alors, c’est le bonheur de gâcher le plaisir des autres, la malveillance peut-être… Sans compter, évidemment, ces musulmans qui ne tolèrent pas d’autres manifestations religieuses que les leurs, mais à qui il est facile de rappeler qu’ils ont trouvé refuge dans un pays chrétien, ou au moins de culture chrétienne, et qu’il ne manque pas de pays musulmans qui sans doute n’attentent qu’eux, comme cette immense Arabie Saoudite qui n’a pas besoin d’argent mais de bras pour fertiliser les immenses étendues de terre semi-aride, avec des techniques désormais connues et maîtrisées.

    Toutes ces "polémiques" grotesques à propos de Noël et des crèches de la Nativité illustrent de manière brutale le pourrissement du débat politique et social dans notre pays. C’est la gauche, souvent associée désormais avec les islamistes, qui a introduit dans le débat les insultes, la grossièreté, les imprécations, les menaces, le mépris.

    Tous ceux qui ne sont pas d’accord, ou émettent seulement des objections, sont des fachos, des nazis, des nauséabonds, ou même des idiots. On l’a vu récemment avec un footballeur belge se risquant à critiquer la crèche affreuse et insultante qu’on a osé installer à Bruxelles. Il a eu droit à des milliers d’insultes d’une grande bassesse – cette bassesse qui semble se répandre partout et avilir les hommes.

    Et bien sûr, ce n’est pas tout. Tous ces organismes soi-disant de gauche qui portent plainte pour un oui ou pour un non, dans le but non dissimulé de ruiner par des condamnations ceux qui ont la honteuse impudence de ne pas penser comme eux et donc comme il faut. Pour ces gens-là, il n’y plus d’adversaires mais des ennemis.  Eh bien! ils sont donc nos ennemis, en effet.

    Alors, amis et même adversaires, n’ayez pas peur de fêter Noël, quelles que soient vos croyances et incroyances. Réjouissez-vous devant les guirlandes lumineuses et devant le bonheur, si réconfortant, des enfants heureux.

    C’est en voyant les bambini, si pleins de vie et d’audace, complétement eux-mêmes encore, spontanés, nature, c’est en regardant ces petits mouflets de moins de trois ou quatre ans qu’on sait que le monde ne peut pas être entièrement mauvais.

    Avec un peu d’avance: Joyeux Noël! (Et n’ayez plus peur de dire joyeux Noël, et non pas cet insipide "joyeuses fêtes".

    Didier Blonay   

  • Le cauchemar français ne fait que commencer

    image générée par I.A.

    Le cauchemar que je crains risque d’arriver bientôt en France où j’ai cru trouver la tranquillité face à la violence islamique lorsque j’ai décidé de m’y installer.

    Et à mon grand regret, j’ai découvert que la France des Lumières, que je croyais à l’abri de la cavalerie d’Allah, est désormais sur le point de basculer dans l’inconnu.

    La terreur islamique que j’avais quittée la peur au ventre, je viens de la retrouver au pays du blasphème.

    Il est fort probable que la nuit de l’islam " des Lumières "  sera effective en France, la fille de l’Église, dans une décennie ou deux. Son étendard s’étirera alors de Dunkerque à Marseille.

    Ce jour-là, on n’entendra sur les grands boulevards parisiens que des salems-salems et oksimou biallah (je jure par Allah). Au loin, tels des fantômes, on apercevra des femmes enveloppées dans un linceul noir qui arpentent dans un silence mortifère les ruelles, loin des regards des mâles dominants. Ces images seront comparables à celles que renvoient actuellement les villes de Kaboul ou de Médine. D’ailleurs, cette situation est déjà visible dans de nombreux quartiers de France et de Navarre livrés à l’ivresse et à la violence islamiques (vols à l’arraché, cambriolages, meurtres et viols des femmes de 10 ans à 99 ans).

    "Pas de quartier pour les mécréantes, c’est Allah qui l’exige", doit-on dire.

    Ce cauchemar ne saurait tarder face au nombre et la démographie galopante. Aucune force politique actuelle ne songe à ce fascisme noir rampant qui, tel une coulée de lave d’un volcan en éruption, est en train d’étouffer les verdoyantes plaines et les sommets enneigés de la douce France.

    Le crépuscule islamique déploie son étendard en ville comme en campagne. Le peuple de France semble hypnotisé par les prêches mielleux enrobés dans la sauce de la taqîya.  Et peu à peu, ce cauchemar deviendra réalité. Il sera la norme bientôt.

    Un jour, inchallah, viendra où les lumières de la démocratie s’éteindront et l’agora de la liberté ne sera qu’un lointain souvenir. Ce jour-là, la caste ne trouvera aucun endroit pour se réfugier, car les nations éveillées auront barricadé leurs frontières pour ne pas subir la nuit islamique.

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