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Opinions - Page 4

  • A bas la société de privilèges

    Photo: exécution de Marie-Antoinette

     

    On vous ment: la société de privilèges n’a pas disparu en 1789.

    Elle est même si confortablement installée sur les rentes du Tiers-état (les travailleurs-contribuables) que l’on pourrait croire que la redistribution des richesses, dans notre fameux "modèle social", se fait du bas vers le haut.

    Au sommet de la pyramide de Ponzi française, les bénéficiaires sont toujours plus nombreux que les cotisants à la base, si bien qu’elle tend à s’inverser. Ce sont les cohortes de fonctionnaires administrants, payés à vie avec moult avantages pour compliquer la vie des honnêtes gens.

    Ce sont aussi les cheminots, accrochés comme des moules à leur rocher des « acquis », ceux du temps des locomotives au charbon, et qui se paient le luxe de bloquer le pays dès qu’on ose questionner leur situation.

    Ce sont encore les élites, qui, leur carrière politique terminée, ne consentent jamais à retrouver le peuple, et trouvent refuge parmi les mille fromages de la généreuse République.

    Jack Lang, par exemple fortuit, reste vissé, pour 9250 € par mois, à la tête de l’Institut du monde Arabe, véritable gouffre à deniers publics, comme le rappelle la Cour des Comptes cette semaine. La pointe émergée à 12,3 millions d’euros l’an, de l’iceberg des agences souvent inutiles de l’État, qui pèse lui 81 milliards. Les créditeurs de cette chaîne à la Madoff sont enfin, et surtout, les retraités, tels Jack Lang, qui, cumule ses pensions d’ancien ministre avec des fonctions superflues.

    Rassurons tout de suite les boomers, qui saisissent déjà leurs pancartes et leur bulletin de vote centriste. Il ne s’agit pas d’incriminer une génération pour un système (le régime par répartition), mis en place avant elle, et qu’elle s’acharne curieusement à défendre pour un héritage de Philippe Pétain. Ni à remettre en cause la légitimité d’un butin (l’épargne, le patrimoine et les pensions), accumulé souvent au prix d’une vie de labeur. Mais c’est un fait: les retraites engloutissent chaque année 321 milliards d’euros, puisés directement dans la poche d’actifs pressés comme des citrons.

    La revalorisation prochaine de 2,2% des rentes de leurs aînés leur coûtera 6,5 milliards de plus. Bonus de l’année écoulée compris, la note grimpe à 22 milliards!

    A l’heure où l’on racle les fonds de tiroir pour payer misérablement les policiers, infirmiers et professeurs, dont l’engagement et le niveau dégringolent, voilà que l’on saigne encore plus ceux qui portent l’économie à bout de bras pour abonder le niveau de vie supérieur des boomers.

    Pour le dire autrement: appauvrir les pauvres, pour enrichir les riches. Allez expliquer cela à la gauche… Notre classe politique si vertueuse a bien des "ignes rouges": ne surtout pas demande d'efforts à ceux qui votent massivement.

    C’est ainsi que Marine Le Pen a baissé le pouce car Michel Barnier souhaitait simplement décaler l'indexation des pensions sur l’inflation.

    "Concrètement, le gouvernement est tombé pour garantir à la moitié des retraités les plus riches une augmentation de leur pension de 400 à 500 euros par an" résume l’économiste Antoine Lévy.

    La "révolution" promise par Emmanuel Macron, là aussi, reste introuvable.

    Foutu nouveau monde!

    Valeurs Actuelles

     

  • Danger: nouvelle maladie

    La République démocratique du Congo est en "alerte maximale": plusieurs dizaines de décès liés à une maladie probablement d’origine infectieuse de cause inconnue sont signalés dans le pays

    Le gouvernement de la République démocratique du Congo est en "alerte maximale" face à une mystérieuse maladie infectieuse responsable de plusieurs dizaine de décès. Le blog Flutrackers suit la situation depuis le 1 décembre.

    Fin novembre, le gouvernement de ce pays a été averti que de nombreuses personnes souffraient de symptômes ressemblant à un syndrome grippal sévère (forte fièvre, maux de tête, nez qui coule, anémie, etc.) dans la zone de santé de Panzi (commune de Kingwangala), dans la province du Kwango, au Sud-ouest du pays. Cette région compte "71% d'enfants souffrant de malnutrition, l'un des taux les plus élevés du pays", a déclaré le ministre de la santé.

    Les autorités congolaises ont jusqu'à présent confirmé 71 décès (à condition qu’ils soient tous liés à la maladie), dont 27 personnes décédées à l'hôpital et 44 au sein de la communauté dans la province, a déclaré le ministre de la santé, Roger Kamba.

    D’après des données publiées par les Centres africains de contrôle et de prévention des maladies (Africa CDC) cette maladie touche préférentiellement les enfants (59% des cas ont moins de 10 ans) et le taux de létalité de cette maladie est de 10%* (27/382).

    Un médecin, trois épidémiologistes, un responsable de laboratoire et plusieurs experts ont été dépêchés sur place dès l'alerte reçue fin novembre, a indiqué le ministre de la Santé de RDC.

    L'Organisation mondiale de la santé a indiqué qu'elle avait envoyé une équipe sur place " pour collecter des échantillons en vue d'analyses en laboratoire". Interrogée sur la date à laquelle les résultats pourraient être disponibles, l'agence n'a pas été en mesure de répondre.

    Le gouvernement de la RDC attend des résultats pour la fin de la semaine.

    Une source des CDC a déclaré au DailyMail.com qu'elle était " au courant " de l'épidémie et qu'elle était en contact avec les responsables de la santé sur place " et qu'elle se tenait prête à apporter un soutien supplémentaire si nécessaire".

    Hong Kong est devenu aujourd'hui le premier pays à instaurer des contrôles sanitaires pour les arrivants de RDC et d'Afrique, en écho aux mesures prises pour limiter la propagation.

    Source: Flutrackers

     

    *soit le taux de "mortalité" de la "grippe espagnole" qui a fait environ 30 à 50 millions de morts dans le monde entre 1915 et 1919

  • Incendie de Notre-Dame: la piste criminelle vraiment improbable?

    Voilà quatre ans que s’embrasait le monument le plus prestigieux de l’histoire de France. C’était le lundi saint, premier jour de la Semaine Sainte, le 15 avril 2019.

    Retour sur 2010: un petit groupe de visiteurs franchit la porte dérobée, à l’intérieur de la cathédrale, pour prendre l’escalier qui mène au sommet des tours ainsi qu’au chemin de ronde. Surprise: le guide qui les accueille n’a rien d’un catho: un look afghan, avec un accoutrement interrogateur. Il ne manquait que les kalachnikovs!

    Toujours est-il que le barbu semblait connaître parfaitement la géographie des lieux. D’où la question: comment se retrouvait-il dans cette fonction? Qui l’avait recruté? L’archiprêtre Monseigneur Chauvet ou bien l’une de ces nombreuses associations qui font visiter les monuments historiques avec l’accord du diocèse? Si tel est le cas, il doit bien y avoir une trace quelque part de ces personnes habilitées à monter dans les tours avec du public! Et l’on ne peut s’empêcher de se poser la question suivante: les autorités de Notre-Dame auraient-elles été infiltrées à leur insu?

    Cette hypothèse n’est pas si farfelue: non loin de Notre-Dame, la préfecture de police avait été infiltrée par un islamiste qui, de surcroît, travaillait dans un service chargé du renseignement: Mickaël Harpon. La tuerie a eu lieu à peine six mois après l’incendie de Notre-Dame!

     

    https://www.francetvinfo.fr/faits-divers/police/attaque-a-la-prefecture-de-police-de-paris/

     

    Après deux ans d’enquête, la brigade criminelle de la police judiciaire de Paris a conclu que l’incendie de Notre-Dame de Paris n’était pas d’origine criminelle, corroborant l’hypothèse avancée dès le lendemain du drame, le 16 avril 2019, par Rémy Heitz, procureur de la République de Paris: "rien ne va dans le sens d’un acte volontaire" avait-il déclaré.

    Quatre ans après l’incendie, l’enquête devrait se solder par un non-lieu. En effet, le 17 août 2022, Le Canard Enchaîné rapporte les propos d’un magistrat du parquet: "Le dossier va être classé car il nous est impossible de savoir si c’est la piste du mégot ou celle du court-circuit électrique qui est la bonne (…) S’il y avait eu des victimes, la situation serait différente, il y aurait des mises en examen. Mais, là, que voulez-vous, il n’y a que des dommages matériels".

    Cela arrangera bien tout le monde et surtout l’État propriétaire des cathédrales de France et qui est aussi son propre assureur. Aussi, certains voient-ils, dans cet empressement à clore l’enquête, un véritable scandale d’État!

     

    https://lechiffon.fr/incendie-de-notre-dame-enquete-sur-un-mensonge-detat/

     

    Mais ce n’est pas parce que les indices sont difficiles à trouver que la piste criminelle doit être écartée. Il est bien connu dans les affaires criminelles, dont les séries télévisées nous abreuvent, que le feu permet de faire disparaître les indices! Mais est-ce pour autant une raison pour capituler?

    EN EFFET, TROIS ELEMENTS QUESTIONNENT:

    La recrudescence des attaques contre les lieux de culte chrétiens: l’Observatoire continental rapporte qu’en 2018, 1063 attaques contre des églises ont été recensées.

    http://www.observateurcontinental.fr

    On se souvient du départ de feu visant les portes de l’église Saint-Sulpice, moins d’un mois avant le drame de Notre-Dame de Paris, le 18 mars 2019. L’on se souvient encore de l’attaque incendiaire de la cathédrale de Nantes du 18 juillet 2020.

    Un projet d’attentat a visé Notre-Dame de Paris, le 4 septembre 2016: une Peugeot était retrouvée par des policiers à proximité de la cathédrale Notre-Dame à Paris, avec six bonbonnes de gaz à l’intérieur. Le drame avait alors été évité de justesse.

    L’IRRUPTION DE VISITEURS IMPROBABLES DANS LA CATHÉDRALE

    Certes, à raison d’une moyenne de 30 000 visiteurs par jour, il est difficile d’assurer une sécurité sans faille, malgré la mise en place, peu avant l’incendie, d’un vaste système de vidéosurveillance autour de la cathédrale.

    Notons cependant que:

    – le 2 janvier 2016, neuf Femen viennent profaner le lieu de culte pour " fêter " le départ de Benoit XVI!

    – en 2018, des adolescents sont montés par les échafaudages pour se filmer en train d’escalader, en toute impunité, le toit de la cathédrale.

    https://www.dhnet.be/actu/monde/2019/04/17

    https://youtu.be/VOW3ShO_DJQ

    On peut les voir escalader des grilles et atteindre, très facilement, des lieux normalement inaccessibles au public. "Sans jamais être inquiétés l’espace d’un instant, ils y passent même la nuit pour attendre le lever du soleil".

    Sans parler de guides venus de nulle part, comme celui qui avait étonné le groupe de touristes de 2010!

    LES INCOHÉRENCES DE LA PISTE DE L’ACCIDENT

    En l’absence d’indices matériels sérieux, on limite le débat à deux hypothèses: celle du mégot mal éteint et la défaillance de l’installation électrique. Inutile de dire que la première hypothèse relève du grotesque: un mégot ne peut suffire à enflammer des poutres en chêne vieilles de 850 ans!

    Si une défaillance électrique est possible, si l’alerte a tardé à faire intervenir les secours, la rapidité de la propagation de l’incendie interroge. C’est là que les choses se compliquent! Une entreprise était passée pour passer un produit insecticide sur les poutres. Sauf qu’il s’avère que ce produit était hautement inflammable. Certains pensent qu’on lui a substitué un produit pyrotechnique, à base de poudre d’oxyde de fer et d’aluminium. Ce qui expliquerait la coloration des flammes, le brusque échauffement et la rapidité de l’embrasement.

    Cette potion magique, qui libère une très grande quantité de chaleur, est d’ailleurs utilisée pour souder les rails de chemin de  fer. La suite, on la connaît: la forte température a eu pour conséquence de percer la toiture et de faire fondre les plaques de plomb qui la recouvraient. Or, il est de notoriété publique que les pompiers se sont interrogés sur la nature de l’incendie qu’ils avaient à combattre.

    Comment un produit insecticide a-t-il pu être remplacé par un produit pyrotechnique?

    Est-ce de manière accidentelle ou intentionnelle?

    Qui avait passé cette commande et pourquoi?

    Voilà une nouvelle question qui risque bien d’être au cœur des nouvelles investigations et qui, indirectement, réactive l’hypothèse d’un attentat, à défaut d’une erreur humaine.

    Il va de soi que la piste criminelle dérange: si elle se révélait fondée, elle mettrait à mal les services du renseignement qui auraient été incapables d’anticiper l’événement. Elle risquerait aussi de réactiver les tensions inter-ethniques qui divisent de plus en plus la France.

    En 2019, le souvenir des attentats du Bataclan n’est pas très vieux! Il faudrait alors relancer une opération de com’ du genre "vous n’aurez pas ma haine"… au risque cette fois-ci d’un flop général! Tous les moyens sont donc bons pour écarter cette piste. L’absence de preuves matérielles tombe à pic. Rien n’est plus simple, pour faire taire les mécontents, que de lancer une campagne de diabolisation: c’est exactement ce qui s’est passé, avec la complicité des médias aux ordres. Ceux-ci ne se sont pas privés, dès 2019, de crier au complotisme, au conspirationnisme, au racisme d’extrême drouate et aux fake news.

    Nicolas Dupont-Aignan est accusé de conspirationnisme par Libération (16 avril 2020). Jean-Marie Le Pen est accusé de verser dans la théorie du complot (RTL 1er mai 2019). André Bercoff, Jean Messiha et Fdesouche sont pointés du doigt par le journal Le Monde (2 novembre 2019).

    Faisant fi de toute déontologie, Libération accuse même Russia Today d’y voir un affrontement entre chrétienté et islam. Pourtant, à l’époque, d’après un sondage de l’IFOP pour la fondation Jean Jaurès et Conspiracy Watch, 46% des personnes interrogées doutaient de l’origine accidentelle de l’incendie.

    https://www.liberation.fr/politiques/2020/04/16/dupont-aignan-et-notre-dame-un-quasi-modele-de-complotisme_1785408/

    Est-il abusif d’exiger des enquêteurs qu’ils poursuivent leurs investigations sans négliger aucune piste, qu’ils questionnent les responsables ecclésiastiques sur les autorisations qu’ils ont accordées à leurs partenaires dans la gestion des visites, qu’ils vérifient les marchés passés avec les entreprises intervenantes?

    Tout un travail qui semble avoir été minimisé, voire ignoré, tant par les enquêteurs institutionnels que par les journalistes d’investigation. Notons au passage que le contenu de la plupart des enquêtes n’a jamais été divulgué au public. Secret défense ou raison d’État?

     

    Hector Poupon

  • La voiture électrique? non merci!

    Avis à ceux qui sont climato-sceptiques nous serions presque 15 millions. Ouf, je me sens moins seul !

    Mon point de vue sur le sujet n’a rien de scientifique car, je l’ai écrit moult fois, je ne suis pas scientifique. Je suis même d’une nullité crasse sur ces sujets, mais j’ai encore un peu de bon sens et je lis énormément. De plus, je ne suis plus un gamin et je sais que tout ce qu’on nous annonçait lorsque j’avais 20 ans ne s’est pas réalisé: les savants, les économistes, les prévisionnistes que j’ai entendu caqueter sur les plateaux-télé depuis un demi-siècle nous ont raconté des carabistouilles, des sornettes ou… des mensonges destinés à nous conditionner, voire à nous culpabiliser.

    L’homme a-t-il une influence sur le climat? Sans doute, mais pas forcément pour les raisons qu’on évoque généralement. Le problème vient de la démographie, du nombre, de la surpopulation de notre vieille planète.

    En 1949, l’année de ma naissance, la population mondiale était estimée à 2,6 milliards de personnes. Elle a atteint 8,2 milliards d’individus en 2024. Elle a plus que triplée en trois quarts de siècle. Notons cependant que l’explosion démographique la plus importante provient de l’Afrique et de l’Inde alors que les plus gros pollueurs sont les USA et la Chine.

    L’homme a aussi une influence sur le climat quand il se mêle volontairement de le changer. Nous savons que la NASA lance des sondes à des hautes altitudes qui sont équipées de bonbonnes de différents composés chimiques, dont du "Tri-methyl aluminum" (TMA), qui seraient parait-il, "absolument inoffensifs pour l’environnement ou la vie sur terre" (2).

    Composés chimiques grâce auxquels on fabrique de faux nuages à des altitudes comprises entre 80 et 400 kilomètres. On est très loin des cumulonimbus et cirrostratus classiques, qui ne montent pas aussi haut. Mais on sait aussi fabriquer de faux nuages "pour la bonne cause", par exemple pour faire pleuvoir sur des régions trop sèches. Des mauvaises langues prétendent que les inondations au Sénégal en septembre, ou celles du Sahara en octobre 2024, seraient dues à la main de l’homme. Je m’étonne qu’on n’aborde jamais ce sujet dans nos médias.

    Compte tenu de ce qui précède, on pourrait croire que, finalement, je ne suis pas climato-sceptique, d’autant plus que je ne nie pas que le climat change. En revanche, je conteste plusieurs choses à commencer par les moyens qu’on voudrait nous imposer pour parvenir à faire baisser le CO2 présent dans l’atmosphère.

    Depuis que les "Khmers verts" ont conquis quelques grandes villes, l’automobiliste et le motard sont invités à y rouler à… 30 km/heure, soit en gros la vitesse de pointe d’un vélo électrique. On en voit d’ailleurs de plus en plus, chevauchés par des "bobos", car cette engeance imbécile adhère, sans aucun esprit de rébellion, à la moindre ineptie, à condition que ce soit "bon pour la planète".

    Le panurgisme – la servilité moutonnière – est un des nombreux maux de notre époque. Les écolos sont obsédés par l’idée de faire disparaître le moteur à explosion. Ils avancent même une date proche: 2035 et même avant, si possible. Mais par quoi le remplacer? Par le moteur électrique: CQFD, c’est une évidence (3) ! Et il est très mal vu d’en douter!

    On nous serine que la voiture électrique, c’est la solution d’avenir et la seule voie pour sauver la planète. Et la France s’est engouffrée tête baissée dans le tout électrique sans discernement.

    Nos dirigeants ont enjoint les constructeurs de tout miser sur l’électrique. Bruxelles leur interdit de faire de la publicité pour les voitures qui ne sont pas électriques ou hybrides, alors même que nous étions devenus leaders en matière de moteurs thermiques. La suppression des motorisations essence ou diesel va tuer 50 à 100 000 emplois nets en France dans les années à venir. Accessoirement, on va encore détruire un secteur industriel sur notre sol. UN DE PLUS!!!

    Comme nous ne voulions pas laisser le marché des batteries à la Chine, nous avons misé sur "Northvolt". Or, l’année 2024 marquera un tournant dans l’histoire de cette entreprise promise à un destin de "champion européen des batteries".

    Ce géant suédois est en train de mourir à petit feu. Après une première restructuration et la suppression de 1600 postes il y a quelques semaines, "Northvolt " est à cours de trésorerie. La firme vient de se mettre sous la protection de la loi américaine sur les faillites. Aujourd’hui, sa dette culmine à 5,84 milliards de dollars (soit environ 5,58 milliards d’euros).

    En se mettant officiellement en redressement judiciaire, "Northvolt" espère se relancer en mettant la main sur 245 millions de dollars. Malgré cette situation délicate, le géant suédois assure que "les opérations continueront de se dérouler comme d’habitude, de la même manière que d’autres entreprises internationales qui ont utilisé le processus du Chapitre 11 pour réorganiser leurs obligations financières".

    "Northvolt" promet que les salaires des employés seront versés. L’entreprise ajoute qu’il ne "s’agit pas d’une procédure de faillite". Pour faire simple, c’est la dernière étape avant un éventuel sauvetage ou la fermeture définitive. Le gouvernement suédois a exclu d’apporter de nouveaux financements. L’avenir de la batterie européenne s’assombrit…

    Pour corser les choses, alors que les ventes de véhicules électriques augmentent, un autre problème vient ternir le tableau (4): l’assurance. De plus en plus d’assureurs tirent la sonnette d’alarme face aux coûts exorbitants des réparations, menaçant même de refuser certains modèles. Ils font face à un véritable casse-tête avec les voitures électriques.

    Les coûts de réparation atteignent des sommets en raison de deux facteurs: la complexité des batteries: leur remplacement peut coûter plusieurs dizaines de milliers d’euros, et les carrosseries en aluminium, plus légères mais aussi plus chères (voire impossibles) à réparer.

    À cela s’ajoute le manque de pièces détachées. Chez certains constructeurs, il n’est pas rare d’attendre trois mois pour une simple portière, ce qui rallonge la durée d’immobilisation du véhicule, et génère des frais supplémentaires. Face à cette situation, les assureurs n’hésitent plus à augmenter drastiquement leurs tarifs. Ils pointent du doigt la responsabilité des constructeurs. Leur politique de remplacement systématique de certaines pièces est particulièrement critiquée. Cette crise de l’assurance des voitures électriques est un rappel brutal: la transition vers une mobilité dite "plus verte" ne se fera pas sans heurts.

    En fait, qu’est-ce que les  "Khmers verts" et Bruxelles reprochent au bon vieux moteur à explosion? Ses émissions polluantes.

    Rappelons que la pollution résultant des hydrocarbures est à 98% le fait du chauffage, des camions, des avions de ligne et des navires marchands: cargos, méthaniers, paquebots de croisière, etc.

    Rappelons aussi que nous, Français, nous pesons 1% de la population mondiale et 0,8% des émissions de gaz à effet de serre. Autant dire RIEN, nada, que dalle!

    Ce qui explique, avant de conclure, mon climato-scepticisme qui ne concerne que MON pays.

    Arrêtons de culpabiliser et de taper au porte-monnaie du "Franchouillard". Notre éventuelle incidence sur les changements climatiques est équivalente de zéro. Si nous arrêtons de rouler au diesel, de nous chauffer au bois, de manger de la viande, etc. ça ne changera RIEN.

    Les industriels, comparses des écolos, invoquent la pénurie de pétrole à court terme. Or c’est un mensonge, un énorme bobard, que j’ai dénoncé dans des dizaines d’articles. Et puis, si nos dirigeants n’étaient pas incultes, ils sauraient que " l’opération Barbarossa " (5) visait à s’emparer des gisements de pétrole soviétiques pour alimenter la force mécanique du 3ème Reich. Les Allemands ont capitulé à Stalingrad le 2 février 1943. Durant la Seconde Guerre mondiale, leurs divisions de panzers, leurs escadrilles, bref toute leur énorme machine de guerre a utilisé du carburant… de synthèse.

    La solution n’est pas de l’éliminer le moteur thermique car il n’a cessé d’évoluer au fil des années. Il est parfaitement au point, solide, économique et, de surcroît, aisément recyclable. Grâce, par exemple, aux filtres à particules pour les diesel, aux huiles plus fluides, aux cylindres réduits pour les modèles à essence, les nouveaux moteurs ont un bon rendement énergétique, et ils demandent peu d’entretien. De plus, la France – que nos dirigeants se sont ingéniés à désindustrialiser depuis un demi-siècle – est encore leader sur le marché du moteur à explosion.

    Alors, pourquoi tuer une industrie dans laquelle la France a largement fait ses preuves?

    Sinon, on l’aura compris, pour obéir servilement au Nouvel Ordre Mondial ?

    Pour ma part, je n’ai ni les moyens ni l’envie de rouler en véhicule électrique. Je viens de remplacer ma vieille moto par une Moto-Guzzi 900 cc.

    J’aime le bruit et les vibrations des gros "V-Twin" qui me donnent l’impression d’avoir encore un peu de liberté ! Et puis, j’en ai marre qu’on me dise ce qui est bien et ce qui est mal. Messieurs les " maîtres-censeurs " (6), je vous emmerde !

    Éric de Verdelhan

    1)- Site "Compte CO2"

    2)- Les composés de baryum, de lithium et d’aluminium, sont utilisés pour colorer les feux d’artifice.

    3)- La première voiture électrique date de… la fin du 19e  siècle. La "Jamais Contente", véhicule électrique, conservée au Musée de la Voiture de Compiègne, est la première voiture à dépasser les 100 km/h en 1899!

    Si c’était la panacée, pourquoi l’avoir délaissée pendant plus d’un siècle?

    4)- Problème que je prédisais déjà en… 2009, comme quelques cadres de l’assurance qu’on traitait – déjà! – de pessimistes ou de passéistes.

    5)- L’invasion de l’URSS par l’Allemagne en juin 1941.

    6)- Référence à l’excellent livre d’Élisabeth Levy publié il y a 20 ans déjà!

  • Honneur aux Français de 14-18

    Le clairon sonne au loin, forçant les fatigues.

    Des regards morts sur des visages meurtris

    Se lèvent, affirmant le doute, l’incompris.

    Des larmes s’écoulent rompant l’immense digue.

     C’est un soleil et non le temps d’une boucherie

    Qui, ce jour, se lève. Des ombres s’avancent,

    Le long des tranchées de la désespérance.

    De la terre, s’ouvrent des bouches noires de carie.

    Le clairon balaye les frontières de mort.

    Des cris et des rires venant de l’ennemi,

    Se mêlent aux joies de tous nos soldats amis.

    Oubliée la haine, le désespoir et les torts.

    Des tranchées sortent des hommes vivant sous terre,

    L’uniformes invisibles, ils regardent le ciel.

    Le clairon sonne la fin des combats. Si fier.

    Redonnant la vie, face au monde fou et cruel !

    Les hommes titubent. L’officier devient le frère.

    Les larmes écoulant le trop plein de haine

    Les rancunes, les frères morts laissés en terre

    La guerre est finie. La paix entre en scène.

    Ils reviendront dans leurs foyers ces gueules cassées

    Ces soldats d’une guerre civile. La Grande Guerre !

    Guerre ou l’Europe entière s’est suicidée

    Apportant un siècle de lutte et de misère.

    Le clairon sonne la fin des combats, la paix !

    L’avenir porte un nom. L’espoir d’une autre vie!

    Une vie qui retrouve un prix. Souvent oublié !

    Ce jour à un autre goût. La guerre est finie.

  • CHAQUE ANNÉE, le Conseil Départemental de Haute-Garonne

    accorde:

        100.000€ chaque année à SOS MEDITERRANEE, association qui aide des migrants illégaux à passer en Europe;

        10.000€ chaque année à la LIGUE DES DROITS DE L'HOMME, association immigrationniste qui agit en justice contre l’Etat dans le domaine des frontières et qui se comporte en censeur politique;

        10.000€ en moyenne chaque année à FRANCE SOLIDARITÉ, une association qui aide les migrants illégaux à réclamer des droits en France et à y faire venir leur famille;

        10.000€ en moyenne chaque année à AVOCATS SANS FRONTIÈRES, une association qui aide les migrants illégaux à réclamer des droits en Europe;

        25.000€ chaque année à FRANCE NATURE ENVIRONNEMENT, une fédération d’associations anti-nucléaire, anti-bassines, pro-éoliennes, qui se place aux cotés des écolo-terroristes en particulier chez nous sur le chantier de l’A69;

        Ainsi que des dizaines d’autres milliers d’euros chaque année à des associations pro-migrants, wokistes ou anti-démocratiques, petites et grandes.

    Généreux avec nos et vos sous??? et cela, pendant qu'on nous demande à serrer notre ceinture!

    Oui, c'est pareil dans votre département…. Cherchez et vous trouverez les délibérations ou bien, demandez –et exigez- à votre conseiller…