Ok

En poursuivant votre navigation sur ce site, vous acceptez l'utilisation de cookies. Ces derniers assurent le bon fonctionnement de nos services. En savoir plus.

Opinions - Page 5

  • La chasse au Depardieu ou haro sur le Mammouth

    Il est question de censurer ses films. L’audio-visuel “public” français, ce nœud de vipères, joue sa partition conformiste comme prévu. Ni plus, ni moins.

    Censurer Depardieu, interdire qu’on le voie sur un écran, revient à priver les gens d’un bon cinquième de la production cinématographique française de qualité depuis trente ou quarante ans, sans compter l’internationale.

    Gommer Depardieu comme on le fit de Trotski sur une photo, c’est également jeter à la trappe, en sa compagnie, Truffaut et Blier, Audiard et Giovanni, Duras, Sautet, Ferreri, Handke, Comencini et Godart, Rappeneau, Cassavetes, Scola, Jewison… On en veut encore? Ils sont cinquante, cent, sur la liste, du même calibre que ceux-là. Interdis de circuler dans les salles, eux aussi, puisque complices du monstre?

    Interdire que l’on voie Depardieu sur un écran, c’est effacer de la mémoire des gens, dans des rôles d’exception, Catherine Deneuve et Fanny Ardant, Nathalie Baye et Isabelle Adjani, Andie Mac Dowell et Jeanne Moreau, Uma Thurman, Monica Bellucci, Sigourney Weawer. On en désire encore? Elles sont nombreuses à avoir fait jeu égal, à avoir été mises en valeur, sublimées par cet acteur sincère et professionnellement altruiste, comme Anne Brochet, dans le plus enthousiasmant Cyrano réalisé depuis celui de Daniel Sorano (TV noir-et-blanc, années soixante).

    C’est ce géant qu’à cette heure l’on condamne, sur témoignages certes forts et troublants, mais sans jugement, que l’on balance du haut de la falaise sous le regard haineux d’une coterie dont la soumission à la pensée conforme n’a sans doute d’équivalent, dans notre histoire nationale, que celle de l’écrasante majorité du “corps artistique” à la schlague bien dosée, intelligente et plutôt subtile, de l’occupant allemand.

    N’ayons pas peur des mots. L’épuration de 1944-45 fut, concernant les artistes, écrivains, etc., coupables ou suspectés de collaboration, bien tendre par rapport à celle que nous avons désormais commencé à subir.

    Une image, simple, résumera tout cela. Prenez les juges d’aujourd’hui, la meute jalouse, déchaînée, qui se rue sur l’imposante carcasse de Gérard Depardieu. Posez-là derrière la table d’un Tribunal, donnez-lui le droit de vie et de mort. Apportez ou non les preuves.

    Ce sont dix, vingt, cinquante condamnés qui accompagneront le seul Brasillach au poteau d’exécution.

    LES CENSEURS, JUSTEMENT

    Les débilités d’Abdul-Malak sur Depardieu et sa Légion d’honneur continuent. Finie la présomption d’innocence. Et nouvelle étape, ces abrutis viennent de retirer sa statue de cire au musée Grevin. Anecdote: la cuisinière dans laquelle Landru cramait ses conquêtes est la propriété de Laurent Ruquier, passionné par le personnage. https://www.causeur.fr/gerard-depardieu-abdul-malak-pulverise-la-presomption-dinnocence-271856?

    https://www.bfmtv.com/people/la-statue-de-cire-de-gerard-depardieu-retiree-du-musee-grevin_VN-202312180582.html

    “Depardieu? Un amateur, un potache. A côté de nos pignoufs d'hommes politiques

    Danielle Moulins et Jean Sobieski

  • En France, on peut mourir à 26 ans aux urgences

    dans un couloir, sans soins

    Lucas est mort après dix heures passées aux urgences d’Hyères, dans le Var, au mois d’octobre. Un poète a chanté que la misère est plus belle au soleil. Hyères est éblouissante dans ses palmiers au bord de la mer. Mais on y meurt comme ailleurs, et bien plus mal qu’ailleurs, quand on est lamentablement abandonné aux urgences.

    Lucas a commencé à se sentir mal le vendredi soir. Alors qu’il devait partir pour la soirée à Marseille, il décide de faire demi-tour et rentrer chez lui avec sa compagne parce qu’il se sent trop mal. Après une nuit mal en point, il décide d’appeler SOS Médecins le matin. Finalement, en début d’après-midi le samedi, comme SOS Médecins n’est toujours pas venu chez lui, il compose le 15. Il respire difficilement. Il a mal aux côtes, vomit, a des diarrhées.

    On l’envoie à l’hôpital d’Hyères. Il y arrive à 15 h 50. Il est installé sur un brancard, dans le couloir. Et puis ? Et puis, rien. Le rapport des pompiers n’a même pas bien été transmis.

    Il souffre. À 18 h 30, on lui administre un anti-vomitif. Vers 20 h un médecin l’ausculte rapidement. Et puis, toujours rien.

    On lui demande s’il fume de l’herbe. Eh bien non. C’est vrai que ses dreadlocks pouvaient le laisser penser. Donc comme on croit qu’il se drogue, on ne lui fait rien. On croit que ça va passer.

    C’est comme un autre jeune, soigné à Vierzon par une interne voilée qui lui avait dit : " Ah, comme tu es chrétien, tu as trop mangé à Pâques. " Comme si les chrétiens après le carême s’empiffraient comme les musulmans les soirs de ramadan. Ben voyons.

    Lucas souffre terriblement, gémit, se retourne sur son brancard. On lui donne du spasfon. La seule personne qui compatit c’est son voisin, un autre jeune homme, horrifié.

    Ses parents sont sur le parking de l’hôpital mais on leur interdit d’entrer. Ils suivent par SMS l’état de leur fils. Ils ne le reverront qu’intubé et dans le coma : trop tard.

    Vers 21 h 30, Lucas fait un malaise dit vagal. Un médecin lui prend sa tension et trouve 5,3. Mais comme Lucas parle, il n’y croit pas.

    Lucas multiplie les arrêts cardiaques. On le met enfin en réanimation. On lui fait un massage cardiaque pendant 45 minutes. Mais c’est trop tard et surtout le diagnostic n’est pas fait.

    Son voisin de couloir témoigne: "Un infirmier sort de la salle de déchoc en hurlant parce qu’il n’y avait pas d’adrénaline. Tout le monde court dans tous les sens pour en chercher dans l’hôpital. Rien ! C’est finalement dans l’ambulance du Smur qu’un infirmier en a trouvé, revenant avec quatre petits flacons!".

    C’est la grande pauvreté de l’hôpital. En 2023.

    Lucas meurt à deux heures du matin, d’une infection à méningocoque. Il a une bactérie dans l’abdomen. Son agonie aura duré dix heures, abandonné dans un couloir, sur un brancard.

    Sa famille a décidé de porter plainte pour homicide involontaire. Elle estime qu’il y a eu des négligences et veut que cela ne se reproduise plus.

    Cela souligne les failles du système hospitalier. Malgré ses symptômes alarmants, son admission aux urgences a été marquée par un manque de suivi médical et des retards dans les soins. Les résultats d’analyses, révélant une grave infection bactérienne, n’ont pas été traités avec l’urgence requise. Sa mère dénonce un manquement aux obligations de prudence et de sécurité, ayant contribué à la mort de son fils.

    Mais cela se reproduit tous les jours. Dans un autre hôpital une de mes amies a failli mourir il y a quinze jours de la même chose. On ne lui a pas diagnostiqué une infection. Grâce à l’insistance de sa sœur, qui a donné l’alarme et cogné aux portes, et l’a elle-même transportée aux urgences, on a pu guérir sa septicémie. De justesse.

    Comment est-ce que cela pourrait ne pas se reproduire ? Après quarante ans de numerus clausus abscons, on manque de médecins. On a fait des économies de bouts de chandelles. On manque d’infirmiers. On manque de tout.

    Macron et ses prédécesseurs se sont fait une gloire, pendant le covid, d’avoir fermé des lits d’hôpitaux. J’avais un vieil oncle qui, lui, médecin chef dans un hôpital, se faisait une gloire d’ouvrir des lits. À cette époque quand on le voyait, il nous disait bonjour puis tout de suite après il nous disait : "j’ai fait rouvrir trois lits, six lits". Il en était très fier. Mais c’était avant. Avant le grand malaise de la médecine. Nous avions une des meilleures médecines du monde. De nos jours elle est dans un état comateux. Et les Français avec elle.

    Forcément on ne peut pas accueillir et soigner toute la misère du monde. À un moment, ça craque.

    L’Aide médicale d’État (AME) doit être supprimée de toute urgence. Il est inadmissible qu’on dépense chaque année plus d’un milliard d’euros pour soigner des gens qui sont en France par effraction, alors que les Français sont abandonnés. Le Sénat a essayé de le faire, le 7 novembre. Mais elle a tout de suite été rétablie. Sa suppression ne suffirait sans doute pas pour remonter notre système. Mais ce serait toujours cela de pris. Et l’assurance pour les Français d’être soignés les premiers, dans leur pays.

    Une tribune du Monde a déclaré : "La remise en cause de l’AME ferait courir un risque majeur de désorganisation du système de santé, d’aggravation des conditions de travail des soignants et de surcoûts financiers importants". Quelles sornettes. Ce serait tout le contraire.

    L’appel d’air serait supprimé. Est-ce qu’il y a beaucoup de Français qui vont exprès se faire soigner à l’étranger ? Aux USA par exemple on ne soigne que ceux qui sont assurés. Avant d’opérer, on s’assure qu’ils pourront payer. Point.

    En attendant, en plus de risquer à tout instant le coup de couteau de l’égorgeur, le viol du frustré sexuel qui n’a pas nos codes, le cambriolage des déplacés qui croient que la France est à eux, les Français courent aussi le risque de mourir faute de soins, misérablement abandonnés dans un couloir d’hôpital.

    Sophie Durand

  • Les noms des assassins de Thomas

    Bien entendu celui qui a communiqué la liste n’est pas Moussa, c’est Damien Rieu et force est de reconnaître que ce sont en effet d’excellents Français.

     

    Akabli Chaid, Zazane Ilyes, El Moujahid Yasir, Hemaizia Nassir, Maref Kouider, Boukmiri Canel Yanis, Ramdani Faycal, Chorfia Kais…

    https://twitter.com/DamienRieu/status/1728134165877649629

     

    El Moujahid, ça veut dire "combattant engagé dans une lutte armée".

    Est-ce qu’on donne ce prénom à son enfant? Y-A-T-IL UN SEUL  VRAI FRANÇAIS QUI S’APPELLE "COMBATTANT"?

     

    Moussa avait raison, les tueurs de Crépol sont de bons Français!

    Élisabeth Borne dit qu’évoquer "ce drame pour jouer sur les peurs, c’est manquer de dignité et de respect pour les victimes". Ben voyons.

    Donc selon elle on n’a pas le droit de parler de ce drame ni de dire la vérité: la cause de ce drame est l’irresponsabilité des politiques depuis 40 ans.

    "Jouer sur les peurs" sont des termes particulièrement équivoques. N’est-il pas normal d’avoir peur quand on sait que toutes les racailles ou presque ont un couteau dans leur poche? N’est-il pas normal d’avoir peur quand on sait qu’il y a au moins 120 coups de couteau par jour en France?

    N’est-il pas normal d’avoir peur quand on sait que, nous les femmes, nous risquons d’être violées par des racailles à chaque coin de rue, ou la nuit chez nous? Même en maison de retraite… même à l'hôpital…

    N’est-il pas normal d’avoir peur quand on apprend que des cas comme Crépol, il y en a très souvent mais qu’ils sont étouffés "car il ne faut pas jouer sur les peurs"?

    Qui sait qu’à Pont-l’Évêque une jeune mariée le jour de son mariage, en avril dernier, a eu la jugulaire tranchée avec un tesson de verre par une racaille algérienne ivre et en situation irrégulière?

    https://actu.fr/hauts-de-france/pont-l-eveque

     

    La jugulaire tranchée, bel euphémisme pour dire que l’agresseur sauvage a essayé de l’égorger. Pourquoi essayer de nous le cacher?

    La mariée en lieu et place d’une nuit d’amour avec son mari a été transportée par hélicoptère à l’hôpital d’Amiens pour y être opérée en toute urgence. Quelques jours plus tard, elle ne pouvait toujours pas être entendue par la police car elle ne pouvait pas parler.

    À Saint-Martin-le-Petit, un jeune de notre pays le 30 septembre avait organisé une fête. Un type venu d’ailleurs a débarqué et a proféré des menaces: "On va vous crever, on va revenir avec des flingues! ". Les jeunes n’y ont pas cru.

    Mais vingt minutes après trois voitures sont arrivées, équipées d’armes semi-automatiques, d’une scie et d’une machette, et "la scène a basculé en scène d’Orange Mécanique". L’un des envahisseurs a braqué un pistolet sur l’un des jeunes de Saint-Martin.

    https://actu.fr/nouvelle-aquitaine/saint-martin-peti

     

    Encore des chances pour la France, puisque l’une des voitures était conduite par une femme voilée. Les jeunes de Saint-Martin fuirent mais furent pris en chasse par les voitures des racailleux. Ils s’en tirent, avec une peur énorme, mais dit la Borne, on n’a pas le droit d’avoir peur…

    À Marcoussis en janvier dernier, un anniversaire a mal tourné, dans les mêmes conditions: refoulés, les petites frappes sont revenus en bande et ont attaqué les convives, en ont blessé quinze, les ont traînés au sol et frappés à coups de poings et de pieds:

    https://www.20minutes.fr/justice

    Et il y a quelques jours, toujours à Marcoussis, une bande a voulu s’introduire dans une fête. Refoulés, les individus ont déclaré "vous allez manger vos morts" et sont revenus armés de barres de fer:

    https://www.leparisien.fr/essonne-91

     

    Et, dit un témoin, c’est tous les week-ends comme cela. Vous ne le savez pas? On nous le cache. C‘est exprès. Car cela pourrait donner des idées aux électeurs. Et même à ceux qui en ont assez et pourraient faire comme à Dublin où les Irlandais sont descendus dans la rue pour défendre cinq d’entre eux attaqués au couteau par un migrant naturalisé: ils ont mis le feu à un immeuble habité par des migrants, etc.

    On pourrait continuer longtemps comme cela, bien que la plupart des agressions soient cachées et enterrées. Surtout pas de vagues, omerta compète, on ne doit pas savoir.

    N’est-il pas normal d’avoir peur quand on voit que la liste de nos jeunes Français innocents tués par la racaille est longue comme un jour sans pain?

    Laura, Mauranne, assassinées gare Saint-Charles parce qu’elles étaient jolies, Lola, même raison, Adrien assassiné à la sortie d’une discothèque, Mégane empalée par un pervers, Lorenzo resté paraplégique, Marin battu à coups de béquilles parce qu’il prenait la défense d’un couple qui osait s’embrasser (c’est haram), et handicapé à vie, Thomas… et on en oublie.

    Mais parler de ces crimes serait selon Borne une atteinte à la dignité des victimes ! Alors que leur dignité a été mise à mal par la racaille même qui les a blessées ou tuées sans respect ! Comme si on pouvait dans une agression tuer ou blesser avec respect !

    AU CONTRAIRE, PARLONS-EN, PARTOUT ET SANS RELACHE. Traquons les responsables à coups de paroles et jusque dans les chiottes (pour parler comme Poutine).

    Le respect et la dignité ici sont utilisés comme tous les mots en "phobe": pour faire taire les victimes et protéger les coupables islamo-racailleux. Cela suffit ! On en a assez, nous les sans-dents, d’être pris pour des imbéciles par la classe soi-disant gouvernante mais qui ne gouverne rien du tout et se prosterne devant nos envahisseurs barbares et grand-remplaçants !

    Quant à l’ineffable et incopiable Sardine Ruisseau, c’est la totale. Elle accuse Zemmour et le clan patriote de souffler sur les braises et d’être racistes, juste parce qu’ils disent la vérité.

    LA VÉRITÉ DOIT ÊTRE DITE.

    Elle est qu’on nous ment tous les jours. Mais dans cette bataille, il y a une bonne nouvelle: partout des gens se réveillent. Les Espagnols, les Hongrois, les Irlandais se réveillent. Les Français sont en chemin. Geert Wilders vient de remporter les élections aux Pays-Bas. Champagne.

    Les Borne, les Sardine Rousseau ont peur pour leur matricule et leur avenir politique, c’est la raison de leurs discours toxiques.

    Cela commence à sentir le roussi pour les collabos. Tant mieux.

    Sophie Durand

  • ON  VOUS  CACHE  LA  VERITE

    image générée par I.A.

    Prenez le temps de lire attentivement: gros scandale!

    Avec les voix des macronistes, le Parlement européen adopte un projet de révision des traités: création d’une armée

  • VIVE CHOCOLATINOU!

    Chocolatinou, la mascotte japonisante de la Coupe du Monde de rugby à Toulouse

    A quelques jours du début de la Coupe du Monde de rugby, alors que Toulouse se réjouit d’accueillir le Japon, deux designers se sont invités à cet événement. Alexis Sourouille de La Brocante Graphique et Adrien Leuci d’Adryen Design Studio, artistes spécialisés dans le graphisme japonisant, ont créé  Chocolatinou, une chocolatine à tête de chien style kawaï: "On souhaitait faire quelque chose pour marquer le coup et on a cherché quelque chose de typiquement local. On a rajouté “inou” qui veut dire chien en japonais et le projet est né".

    Pour ceux qui l’ignoreraient à Toulouse et dans tout le Sud-Ouest, le pain au chocolat s’appelle chocolatine.

    Au Japon, les mascottes régionales sont très répandues. Elles sont souvent offertes en cadeau à la famille et aux amis après un voyage. Comme le seront ces horribles Phryges choisies par le Cojo pour 2024….

    AU MOINS CHOCOLATINOU EST SYMPATHIQUE

     "Nous avons voulu créer quelque chose qui résonne avec la tradition japonaise des souvenirs locaux, tout en célébrant notre propre patrimoine",  "C’est notre façon de partager notre culture locale avec eux et de leur offrir un souvenir qu’ils peuvent emporter chez eux".

    Outre  Chocolatinou, ces artistes ont créé une série d’illustrations japonisantes représentant les lieux emblématiques de Toulouse. Ces œuvres célèbrant la rencontre entre le Japon et la Ville rose sont disponibles à la vente et en exposition dans le concept store japonais: Machiya de Toulouse.

    QUE CHOCOLATINOU REMPORTE LA COUPE DU MONDE DE LA PLUS JOLIE MASCOTTE SPORTIVE!

     

    ATTENTION: si vous venez dans une boulangerie toulousaine, demandez une chocolatine et surtout, surtout pas, un pain au chocolat… si vous ne voulez pas passer pour un plouc!

    Vive TOULOUSE et vive la chocolatine!

    0000TLSE.png

     

  • Vous allez aussi payer les fourrières pour les 5 000 véhicules incendiés!

    Outre les innombrables destructions diverses et onéreuses, le bilan des " émeutes” se compte aussi par milliers de véhicules incendiés… Bus, voitures, deux-roues, les dépanneurs sont débordés par les 5 000 carcasses à retirer au plus vite, pour faire oublier ces ravages.

    "Mes vêtements sont imprégnés de l’odeur de brûlé, je n’en peux plus. "Au milieu du labyrinthe des dizaines de carcasses brûlées, le responsable de la fourrière de Nanterre tente de guider le conducteur du chariot élévateur. Les deux fourches soulèvent une voiture dans un nuage de poussière et la déposent sur le toit d’un deuxième véhicule pour gagner de l’espace.

    Devant la fourrière, un camion en transporte une dizaine, en attente de trouver un lieu de stockage. "On doit en emporter sur un autre site, on est saturé là, ce n’est plus possible. On en a ramené 90 mais il en reste encore une trentaine dans Nanterre".

    Ce volume exceptionnel de véhicules brûlés, Jean-Claude Dugeny, le président de Mobilians Île-de-France, le confirme:  "En 40 ans de métier, je n’ai jamais vu ça, même pendant les émeutes de 2005 et 2007". Sur toute la France, 5 662 véhicules ont été incendiés. En 2005, c’était le double mais sur trois semaines d’émeutes au lieu d’une.

    "Les feux ont été tellement violents que tout a fondu, les plaques d’immatriculation, les numéros de série, explique Dimitri. Ça va être très compliqué pour les assurances".

    Se pose aussi le problème des bus dont l’opération de levage et de transport, par grue puis char, coûte très cher: "C’est entre 8 000 et 12 000 euros, indique Jean-Claude Dugeny. "Quand on le facture à l’administration, on nous répond que comme ce n’est pas identifiable, ce sont des déchets et donc on ne les paie pas. On demande donc aux dépanneurs d’assumer ce coût. Ce n’est pas normal" et ils ne le feront pas! À défaut, les fourrières vont laisser les véhicules où ils sont…

    Ces professionnels, très habitués aux feux de joie des petits anges pour célébrer leur grandes fêtes de fin d’année ou autres réjouissances imprévues… s’attendent à des fiestas plus importantes que d’ordinaire pour le 14 juillet, assorties de feux d’artifices extraordinaires, les petits chérubins  étant devenus des artificiers d’exception.

    Et Darmanin enverra sa police compter les fusées envoyées par les Kevin et les Mattéo… puis les pompiers compter les véhicules brûlés par les Mattéo et les Kevin… sans parler des surprises que ces petits facétieux peuvent réserver à cette France qu’ils aiment tant.

    Mitrophane Crapoussin

Blog d'une Française de FRANCE: vive la laïcité, vive la FRANCE et la République Française!