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actualité - Page 10

  • NOEL!, NOEL!  GRANDE  ESPERANCE!

    … et mer… aux laïcards!!!
    Au fait, déboulonneurs compulsifs et décadents de statues: du fait que Chéri-Bibi a fêté Hanouka, la fête juive des lumières, (contraire à la laïcité, selon la loi républicaine: vous devriez dire selon vos directives mentales de malades débiles et islamo-collabos)

    JE VOUS ORDONNE DE DEBOULONNER  L'ELYSEE!!!!!
    Pas deux poids, deux mesures! C'est la loi de 1905!

    Ceci dit, je n'ai absolument rien contre la religion juive ni Israël… si je n'avais été enrôlée, par ma mère, dans la catholique, si j'avais eu le choix, j'aurais préféré la religion juive, cela est sûr et certain… mais, bon, c'est trop tard maintenant. Je garde tout de même le sens du sacré, de la beauté des cathédrales et du travail de nos ancêtres qui ont mis toute leur âme dans la construction de ces magnifiques et extraordinaires vaisseaux de pierre en l'honneur du petit enfant de la crèche. Josyane JOYCE

    Si la France peut revendiquer 2000 ans d’histoire depuis Vercingétorix luttant contre l’envahisseur romain, elle peut aussi s’enorgueillir de ses 1500 ans de chrétienté depuis Clovis, premier roi barbare baptisé chrétien autour de l’an 498.

    Une chrétienté naturelle qui ne posait aucun problème à la Fille aînée de l’Église jusqu’à ce qu’une immigration musulmane de masse ne vienne contester nos racines chrétiennes au nom de la laïcité.

    “Interdire aux cloches de sonner, détruire ensuite les églises, briser les calvaires, cacher les statues, travailler le dimanche, et à Noël, et Pâques, et ne plus prononcer le nom de ces fêtes, ne plus dire "battre sa coulpe" ni "avoir voix au chapitre"… Débaptiser villes et villages portant un nom de saint…, c’est le rêve de nos laïcards intégristes.

    Notre héritage chrétien appartient au patrimoine culturel et à l’histoire de France. Ceux qui veulent effacer nos racines chrétiennes au nom de la laïcité, sont en réalité les fossoyeurs de notre civilisation millénaire.

    A tous et toutes, JOYEUX NOËL!

  • La chasse au Depardieu ou haro sur le Mammouth

    Il est question de censurer ses films. L’audio-visuel “public” français, ce nœud de vipères, joue sa partition conformiste comme prévu. Ni plus, ni moins.

    Censurer Depardieu, interdire qu’on le voie sur un écran, revient à priver les gens d’un bon cinquième de la production cinématographique française de qualité depuis trente ou quarante ans, sans compter l’internationale.

    Gommer Depardieu comme on le fit de Trotski sur une photo, c’est également jeter à la trappe, en sa compagnie, Truffaut et Blier, Audiard et Giovanni, Duras, Sautet, Ferreri, Handke, Comencini et Godart, Rappeneau, Cassavetes, Scola, Jewison… On en veut encore? Ils sont cinquante, cent, sur la liste, du même calibre que ceux-là. Interdis de circuler dans les salles, eux aussi, puisque complices du monstre?

    Interdire que l’on voie Depardieu sur un écran, c’est effacer de la mémoire des gens, dans des rôles d’exception, Catherine Deneuve et Fanny Ardant, Nathalie Baye et Isabelle Adjani, Andie Mac Dowell et Jeanne Moreau, Uma Thurman, Monica Bellucci, Sigourney Weawer. On en désire encore? Elles sont nombreuses à avoir fait jeu égal, à avoir été mises en valeur, sublimées par cet acteur sincère et professionnellement altruiste, comme Anne Brochet, dans le plus enthousiasmant Cyrano réalisé depuis celui de Daniel Sorano (TV noir-et-blanc, années soixante).

    C’est ce géant qu’à cette heure l’on condamne, sur témoignages certes forts et troublants, mais sans jugement, que l’on balance du haut de la falaise sous le regard haineux d’une coterie dont la soumission à la pensée conforme n’a sans doute d’équivalent, dans notre histoire nationale, que celle de l’écrasante majorité du “corps artistique” à la schlague bien dosée, intelligente et plutôt subtile, de l’occupant allemand.

    N’ayons pas peur des mots. L’épuration de 1944-45 fut, concernant les artistes, écrivains, etc., coupables ou suspectés de collaboration, bien tendre par rapport à celle que nous avons désormais commencé à subir.

    Une image, simple, résumera tout cela. Prenez les juges d’aujourd’hui, la meute jalouse, déchaînée, qui se rue sur l’imposante carcasse de Gérard Depardieu. Posez-là derrière la table d’un Tribunal, donnez-lui le droit de vie et de mort. Apportez ou non les preuves.

    Ce sont dix, vingt, cinquante condamnés qui accompagneront le seul Brasillach au poteau d’exécution.

    LES CENSEURS, JUSTEMENT

    Les débilités d’Abdul-Malak sur Depardieu et sa Légion d’honneur continuent. Finie la présomption d’innocence. Et nouvelle étape, ces abrutis viennent de retirer sa statue de cire au musée Grevin. Anecdote: la cuisinière dans laquelle Landru cramait ses conquêtes est la propriété de Laurent Ruquier, passionné par le personnage. https://www.causeur.fr/gerard-depardieu-abdul-malak-pulverise-la-presomption-dinnocence-271856?

    https://www.bfmtv.com/people/la-statue-de-cire-de-gerard-depardieu-retiree-du-musee-grevin_VN-202312180582.html

    “Depardieu? Un amateur, un potache. A côté de nos pignoufs d'hommes politiques

    Danielle Moulins et Jean Sobieski

  • En France, on peut mourir à 26 ans aux urgences

    dans un couloir, sans soins

    Lucas est mort après dix heures passées aux urgences d’Hyères, dans le Var, au mois d’octobre. Un poète a chanté que la misère est plus belle au soleil. Hyères est éblouissante dans ses palmiers au bord de la mer. Mais on y meurt comme ailleurs, et bien plus mal qu’ailleurs, quand on est lamentablement abandonné aux urgences.

    Lucas a commencé à se sentir mal le vendredi soir. Alors qu’il devait partir pour la soirée à Marseille, il décide de faire demi-tour et rentrer chez lui avec sa compagne parce qu’il se sent trop mal. Après une nuit mal en point, il décide d’appeler SOS Médecins le matin. Finalement, en début d’après-midi le samedi, comme SOS Médecins n’est toujours pas venu chez lui, il compose le 15. Il respire difficilement. Il a mal aux côtes, vomit, a des diarrhées.

    On l’envoie à l’hôpital d’Hyères. Il y arrive à 15 h 50. Il est installé sur un brancard, dans le couloir. Et puis ? Et puis, rien. Le rapport des pompiers n’a même pas bien été transmis.

    Il souffre. À 18 h 30, on lui administre un anti-vomitif. Vers 20 h un médecin l’ausculte rapidement. Et puis, toujours rien.

    On lui demande s’il fume de l’herbe. Eh bien non. C’est vrai que ses dreadlocks pouvaient le laisser penser. Donc comme on croit qu’il se drogue, on ne lui fait rien. On croit que ça va passer.

    C’est comme un autre jeune, soigné à Vierzon par une interne voilée qui lui avait dit : " Ah, comme tu es chrétien, tu as trop mangé à Pâques. " Comme si les chrétiens après le carême s’empiffraient comme les musulmans les soirs de ramadan. Ben voyons.

    Lucas souffre terriblement, gémit, se retourne sur son brancard. On lui donne du spasfon. La seule personne qui compatit c’est son voisin, un autre jeune homme, horrifié.

    Ses parents sont sur le parking de l’hôpital mais on leur interdit d’entrer. Ils suivent par SMS l’état de leur fils. Ils ne le reverront qu’intubé et dans le coma : trop tard.

    Vers 21 h 30, Lucas fait un malaise dit vagal. Un médecin lui prend sa tension et trouve 5,3. Mais comme Lucas parle, il n’y croit pas.

    Lucas multiplie les arrêts cardiaques. On le met enfin en réanimation. On lui fait un massage cardiaque pendant 45 minutes. Mais c’est trop tard et surtout le diagnostic n’est pas fait.

    Son voisin de couloir témoigne: "Un infirmier sort de la salle de déchoc en hurlant parce qu’il n’y avait pas d’adrénaline. Tout le monde court dans tous les sens pour en chercher dans l’hôpital. Rien ! C’est finalement dans l’ambulance du Smur qu’un infirmier en a trouvé, revenant avec quatre petits flacons!".

    C’est la grande pauvreté de l’hôpital. En 2023.

    Lucas meurt à deux heures du matin, d’une infection à méningocoque. Il a une bactérie dans l’abdomen. Son agonie aura duré dix heures, abandonné dans un couloir, sur un brancard.

    Sa famille a décidé de porter plainte pour homicide involontaire. Elle estime qu’il y a eu des négligences et veut que cela ne se reproduise plus.

    Cela souligne les failles du système hospitalier. Malgré ses symptômes alarmants, son admission aux urgences a été marquée par un manque de suivi médical et des retards dans les soins. Les résultats d’analyses, révélant une grave infection bactérienne, n’ont pas été traités avec l’urgence requise. Sa mère dénonce un manquement aux obligations de prudence et de sécurité, ayant contribué à la mort de son fils.

    Mais cela se reproduit tous les jours. Dans un autre hôpital une de mes amies a failli mourir il y a quinze jours de la même chose. On ne lui a pas diagnostiqué une infection. Grâce à l’insistance de sa sœur, qui a donné l’alarme et cogné aux portes, et l’a elle-même transportée aux urgences, on a pu guérir sa septicémie. De justesse.

    Comment est-ce que cela pourrait ne pas se reproduire ? Après quarante ans de numerus clausus abscons, on manque de médecins. On a fait des économies de bouts de chandelles. On manque d’infirmiers. On manque de tout.

    Macron et ses prédécesseurs se sont fait une gloire, pendant le covid, d’avoir fermé des lits d’hôpitaux. J’avais un vieil oncle qui, lui, médecin chef dans un hôpital, se faisait une gloire d’ouvrir des lits. À cette époque quand on le voyait, il nous disait bonjour puis tout de suite après il nous disait : "j’ai fait rouvrir trois lits, six lits". Il en était très fier. Mais c’était avant. Avant le grand malaise de la médecine. Nous avions une des meilleures médecines du monde. De nos jours elle est dans un état comateux. Et les Français avec elle.

    Forcément on ne peut pas accueillir et soigner toute la misère du monde. À un moment, ça craque.

    L’Aide médicale d’État (AME) doit être supprimée de toute urgence. Il est inadmissible qu’on dépense chaque année plus d’un milliard d’euros pour soigner des gens qui sont en France par effraction, alors que les Français sont abandonnés. Le Sénat a essayé de le faire, le 7 novembre. Mais elle a tout de suite été rétablie. Sa suppression ne suffirait sans doute pas pour remonter notre système. Mais ce serait toujours cela de pris. Et l’assurance pour les Français d’être soignés les premiers, dans leur pays.

    Une tribune du Monde a déclaré : "La remise en cause de l’AME ferait courir un risque majeur de désorganisation du système de santé, d’aggravation des conditions de travail des soignants et de surcoûts financiers importants". Quelles sornettes. Ce serait tout le contraire.

    L’appel d’air serait supprimé. Est-ce qu’il y a beaucoup de Français qui vont exprès se faire soigner à l’étranger ? Aux USA par exemple on ne soigne que ceux qui sont assurés. Avant d’opérer, on s’assure qu’ils pourront payer. Point.

    En attendant, en plus de risquer à tout instant le coup de couteau de l’égorgeur, le viol du frustré sexuel qui n’a pas nos codes, le cambriolage des déplacés qui croient que la France est à eux, les Français courent aussi le risque de mourir faute de soins, misérablement abandonnés dans un couloir d’hôpital.

    Sophie Durand

  • Mauvaises nouvelles pour les automobilistes

    L’Europe prépare une suspension automatique du permis tous les 15 ans pour tout le monde

    Le Conseil européen des ministres des Transports a décidé, à une courte majorité (22 voix contre 21), la suspension du permis de conduire tous les quinze ans, à revalider par des formalités médicales. Il doit y avoir maintenant un vote au Parlement avant que cette mesure ne rentre en vigueur. Alexandra Legendre, porte-parole de la Ligue de défense des conducteurs, réagit après ce vote.

    De plus, les automobilistes pourraient être contraints de passer une visite médicale tous les 15 ans pour revalider leur permis de conduire. Tous les 15 ans, avec éventuellement un raccourcissement des délais au fur et à mesure que l’âge avancera, plus les conducteurs seront âgés, plus les conditions seront compliquées à remplir. Des contraintes aussi humiliantes qu’inutiles et coûteuses. Par ailleurs, rien ne dit que certains critères que l’on ne connaît pas encore dans les détails, ne se révèlent pas discriminants alors que les conditions de sécurité sont pourtant assurées.

    Prenons un exemple. En cas d’une petite baisse d’audition ne vous empêchant pas d’entendre, les critères pourraient être fixés de manière suffisamment stricte pour que vous ne récupériez pas votre permis. Bruxelles ne mesure pas à quel point cette mesure constitue un facteur d’angoisse pour les seniors. Là, on parle aujourd’hui de 65 ans, mais ce n’est pas parce que l’on a 85 ans qu’on a moins besoin de bouger, en particulier au fin fond de la campagne. Le problème, c’est qu’une fois encore, Bruxelles ne met pas en place d’alternative satisfaisante en amont d’une mesure qui, potentiellement, concernera des millions d’automobilistes

    Il faut des alternatives de transports qui permettent aux plus âgés de continuer à pouvoir aller consulter leur médecin ou visiter leurs petits-enfants dans la ville située à 20 kilomètres de chez eux.

    En d’autres termes, des alternatives qui contribuent à ne pas se laisser enfermer chez soi. Malgré tout, on a beau être vieux, on continue à avoir une vie sociale et la majorité des gens qui ne vivent pas dans Paris intra-muros sont contraints d’utiliser leur automobile.

    Voir les bilans de la sécurité routière. Si on rapporte les conducteurs de 75 ans et plus à la population, ils causent deux fois moins d’accidents que les 18-24 ans ou même que les 25-34 ans. En gros, cette mesure, en elle-même et du point de vue de sécurité routière, ne s’impose pas.

    Parce qu’évidemment, ce sujet sera lié aux cotisations d’assurance. Un conducteur a reçu un courrier de son assureur qui lui a annoncé ne plus le couvrir parce qu’il avait plus de 75 ans. L’anti-âgisme existe déjà aujourd’hui. Cette mesure européenne ne va pas aider.

     

  • Les ARN utilisés comme vaccins ou traitements

    ... doivent encore être améliorés

    Il faut avoir fait de sacrées études pour comprendre cette note mais bon, on voit qu'il y a des effets secondaires reconnus et documentés

    L’utilisation d’ARN a été un progrès spectaculaire qui a permis, dans des délais très courts, la mise au point de vaccins efficaces contre la covid-19. A la suite de recherches menées depuis des années, dont celles des deux prix Nobel de médecine 2023, Katalin Karikó et Drew Weissman, qui ont démontré le potentiel de cette approche et permis de lever plusieurs obstacles, les laboratoires Moderna et Pfizer-BioNTech ont pu produire des vaccins dont l’antigène (en l’occurrence, la protéine S du virus de la covid-19) est remplacé par une chaine d’ARN capable de diriger la synthèse de la protéine dans les cellules des personnes vaccinées.

    Pour atteindre leur cible, les ARN sont encapsulés dans des nanoparticules lipidiques qui fusionnent avec la membrane cellulaire. La méthode a plusieurs avantages, qui ont été exposés dans une actualité du 22 novembre 2020. Elle permet en particulier de s’adapter rapidement à des antigènes modifiés ou nouveaux, puisqu’il suffit de modifier la séquence codante de l’ARN en utilisant toujours la même plateforme de synthèse.

    L’ARN utilisé dans les vaccins n’a pas tout à fait la même composition que les ARN produits naturellement dans les cellules des êtres vivants. En effet, bien que l’ARN ne soit pas normalement considéré comme antigène par notre système immunitaire, certains ARN peuvent être reconnus comme étrangers par des mécanismes de défense innés (système des récepteurs Toll-like).

    Ils déclenchent alors des mécanismes qui aboutissent à leur dégradation et à l’activation de processus inflammatoires, ce qui contribue à la protection contre certaines infections. Comme les ARN introduits dans les vaccins ont des séquences d’origine virale, il a fallu inventer un moyen de limiter les effets indésirables en relation avec des réactions de défense et d’éviter la dégradation des molécules pour leur laisser le temps de diriger la synthèse des protéines antigéniques.

    On s’est appuyé pour cela sur les travaux des deux prix Nobel, qui ont montré que le remplacement de l’une des quatre bases qui composent l’ARN, l’uridine, par une forme modifiée, la N1-méthylpseudouridine, améliorait la tolérance et la durée de vie des ARN artificiels. Les vaccins développés contre la covid-19 ont utilisé cette modification, ils ont été administrés à des centaines de millions de personnes, souvent plusieurs fois, et se sont montrés efficaces et très généralement bien tolérés.

    A côté des cas de myocardite-péricardite apparus surtout dans certains groupes de population (préférentiellement des hommes jeunes), restés rares (et moins fréquents après vaccination qu’après infection) et d’évolution généralement favorable, les effets indésirables ont été ceux habituellement rencontrés avec les vaccins, quelle que soit leur nature.

    L’étude qui vient de paraître dans Nature indique toutefois que des améliorations des ARN utilisés comme vaccins ou médicaments chez l’Homme pourraient être nécessaires et sont possibles (1). Les travaux publiés, commencés il y a plus d’un an, montrent que la modification de l’ARN utilisée dans les vaccins anti-covid peut être à l’origine d’altérations de la traduction, l’étape durant laquelle la machinerie cellulaire "lit" l’ARN pour synthétiser la protéine antigénique.

    Les résidus de méthylpseudouridine entrainent des décalages de lecture ("frameshifting") qui aboutissent soit à des interruptions de la synthèse, soit à la synthèse de protéines dont une extrémité est "aléatoire", en tout cas différente de celle qui était programmée. Bien que le phénomène soit minoritaire, inconstant et limité dans le temps, puisque tous les ARN finissent par être dégradés, il peut faire apparaître des protéines non attendues en quantité suffisante pour provoquer, elles aussi, une réponse immunitaire. Les auteurs de l’étude ont d’ailleurs mis en évidence, de manière inconstante, une réponse immunitaire de type cellulaire contre ces protéines issues du décalage de lecture, à côté de celle correctement dirigée contre la protéine S du virus, chez des individus ayant reçu le vaccin covid-19 de Pfizer.

    Malgré un recul important sur l’utilisation des vaccins à ARN et une surveillance soutenue, aucun effet indésirable n’a jusqu’ici pu être imputé au mécanisme mis en évidence. Toutefois, on peut penser que des conséquences pourraient se manifester en cas d’utilisation d’ARN modifiés en grande quantité, de façon prolongée ou répétée, comme cela pourrait être le cas dans d’autres applications que les vaccins. Des pistes sont déjà évoquées pour corriger le problème constaté, comme l’introduction de codons "stop" dans tous les cadres de lecture pouvant résulter d’un "frameshifting".

    Référence

    T.E. Mulroney, T. Pöyry et coll. N1-methylpseudouridylation of mRNA causes +1 ribosomal frameshifting

  • INCROYABLE!

    De bonne foi, j'ai installé un post sur l'onglet "Communauté" de mon compte Youtube

    https://www.youtube.com

    un post lu dans un site où j'indiquais qu'un membre de la C.E. avait reconnu que les vaccins anti-covid étaient toxiques.

    Je ne suis pas contre les vaccins puisque j'ai été vaccinée contre cette maladie et que je me fait vacciner chaque hiver contre la grippe et mieux encore, j'ai fait, cette année, le vaccin contre les maladies pneumo que je fais tous les 5 ans, comme préconisé (car cet hiver, la grippe atteindra plus les poumons que d'habitude et risque d'être très dangereuse)

    ET FIGUREZ-VOUS QUE YOUTUBE

    M'a non seulement causé un avertissement et supprimé ce post mais m'INTERDIT DE POSTER DES VIDÉOS!

    La mise en ligne de vidéos n'a rien à voir avec la mise en ligne de posts!

    Je fais cette note pour que les personnes qui me suivent régulièrement sur youtube se rendent compte que je ne suis pas décédée de ma maladie mais que je reviendrai sur la chaîne quand cette plate-forme le décidera –c’est-à-dire vers le mois de mars 2024

    JE NE SUIS PAS ANTI-VACCIN, j'ai juste fait erreur de bonne foie

    MAIS,

    d'après les amerloques gauchistes, il n'y a qu'eux qui détiennent la vérité