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toulouse - Page 14

  • Bien fait!!!! et, encore, encore, encore

    Une femme veut défier l’aéroport, mais c’est elle qui sera la perdante …

    Pour des raisons de sécurité, lors d’un passage à l’aéroport international de Rome, il a été demandé à Mme Adzkia d’ôter son foulard [islamique]. Pour cela, on lui a proposé une pièce privative discrète si elle le souhaitait. En prétextant être stigmatisée injustement, elle a refusé. Plus tard, via un réseau social, elle postera ce commentaire: "c’est une question de dignité et de droits humains".

    Comme d’habitude, les media gauchistes font de l’aéroport un lieu islamophobe et de Mme Adzkia, une victime.

    Un monsieur :

    Montrez- moi la loi.

    La policière italienne s’exprimant dans un anglais approximatif:

    Pourquoi? Ce n’est pas une loi. C’est juste une lettre (un règlement, une directive?)

    La femme:

    Montrez-moi d’abord la lettre.

    La policière:

    (Assurément [je vous montre la lettre]?) mais elle est en italien … Non ! Ne me touchez pas !

    La femme:

    Pourquoi? Parce que je représente une menace?

    La policière:

    Oui, vous représentez une menace.

    La femme:

    Pourquoi?

    La policière (pointant du doigt l’arrière de sa tête):

    Parce que vous pourriez cacher quelque chose sous votre chevelure. Si vous n’enlevez pas votre foulard, [on ne peut pas vérifier] si il y a quelque chose à l’intérieur. Vous comprenez? Donc, pour nous, vous représentez une menace.

    Commentaire

    Elle dira plus tard: "Pour quel motif me demandait-on d’enlever mon foulard?"

    Peut-être que Mme Adzkia ne regarde pas les informations? Peut-être n’a-t-elle pas remarqué les tueries perpétrées mondialement au nom de l’islam?

    On devrait lui demander — vous faites toute une affaire quant à "votre dignité et vos droits humains", mais qu’en est-il de la "dignité et des droits humains" de toutes les victimes [du terrorisme islamique]? Les gens décapités, pulvérisés par explosifs, violés, abattus par balle?

    Les officiels de l’aéroport ont déclaré plus tard — " Mme Adzkia ayant refusé d’enlever son voile, le Programme pour la Sécurité National, rapidement traduit en anglais par le personnel, lui a été soumis. Devant son refus obstiné [d’enlever son foulard], notre personnel a été contraint de la refouler hors de la zone réservée au contrôle des passagers".

    Mais Mme Adzkia est retourné dans la zone de contrôle (et elle en profité pour produire cette vidéo) puis elle a quitté l’aéroport de Ciampino.

    Elle a finalement pris un vol au départ de l’aéroport de Fiumicino, passant les contrôles de sécurité sans problème, tête nue cette fois.

    Dans son post sur les réseaux sociaux, Mme Adzkia dit avoir aperçu deux religieuses qui n’ont pas été inquiétées.

    Ça alors, deux nonnes à Rome, voilà qui est bizarre! [NdT : attention à la fourberie des islamistes qui pourraient très bien déguiser des terroristes en nonnes. Donc, elles auraient aussi dû être contrôlées. Il y a une faille flagrante dans la sécurité là.].

    Mme Adzkia, indonésienne, vit et étudie à Londres. Une officielle de l’ambassade d’Indonésie à Rome a déclaré: "À Rome, Mme Adzkia aurait dû se plier aux demandes des officiers de sécurité. Selon l’officielle "nombre de fois où j’ai pris l’avion à Rome, et portant moi-même le hijab, j’ai aussi été soumise aux contrôles de sécurité, ce que je comprends tout à fait eu égard à ce qui se passe dans le monde".

    Traduit de l’anglais par Denis.

    Source : https://youtu.be/BKjoamvuBf4

     

    actualité, société, France, Occitanie, politique, Toulouse,

     

     

     

     

     

  • Avant, on le croyait de gauche.....

    .... mais, ça, c'était avant! maintenant, on voudrait savoir où il habite....

     

  • Violences à la fac de Montpellier

    Qui sont les vrais coupables ?

    FIGAROVOX/TRIBUNE - François-Xavier Lucas fait le point sur les violences survenues à la faculté de droit de Montpellier. Il distribue les mauvais points : aux occupants qui ont utilisé des méthodes de soviets, aux violents étudiants qui les ont délogés, mais surtout aux responsables qui n'ont pas su faire respecter l'autorité de l'État.

    Il y a du rififi à la fac de droit de Montpellier… où les grévistes occupant nuitamment un amphi en ont été délogés manu militari par quelques séides cagoulés revendiquant bruyamment la liberté de suivre les cours. Une telle violence, inacceptable, particulièrement au sein du sanctuaire que devrait être l'université, rend difficile toute analyse à chaud alors que la part prise par chacun n'est pas encore clairement établie et que l'on reste abasourdi par la brutalité des images qui circulent. Si l'on parvient à dépasser le stade de l'émotion (légitime mais qui n'aide guère à la réflexion) suscitée par lesdites images, on peut s'interroger sur la responsabilité des parties prenantes, au-delà de celle - évidente - des barbouzes, mais aussi ramener cette affaire à de justes proportions.

    Étonnamment, ce fait divers suscite un intérêt inversement proportionnel à son importance. Car de quoi s'agit-il sinon d'empoignades entre grévistes et non-grévistes se disputant un amphi? À l'heure où l'on s'apprête à célébrer mai 68 et les glorieux étudiants ayant échangé force horions, on ne peut que s'étonner que les héritiers des grands anciens viennent réclamer vengeance devant les caméras pour s'être fait déloger d'un amphi qu'ils occupaient illégalement. À la grande époque de la chanson de geste soixante-huitarde, ces évacuations musclées étaient monnaie courante pour les diverses factions se disputant l'espace universitaire, les uns et les autres reprenant un amphi comme d'autres reprenaient jadis une tranchée.

    La décence ne trouvait guère son compte dans ces manifestations violentes mais la réprobation restait limitée, les étudiants pouvant compter sur l'indulgence d'un public acquis aux carabins et à tous leurs excès y compris les moins défendables. Visiblement cette bienveillance n'a plus cours, si l'on en croit l'unanime réprobation que suscite l'empoignade ayant eu pour cadre la faculté de droit de Montpellier. Les journaux consacrent à l'événement des articles indignés, n'ayant pas de mot assez durs pour dénoncer les violences et en rendre comptable le doyen. Quant aux étudiants navrés d'avoir perdu la bagarre, ils ne rêvent que de plaintes et de piloris et en appellent à la police et au juge pour satisfaire leur furie vengeresse. Autre temps, autres mœurs…

    Évidemment, la manifestation d'étudiants, inquiets d'une réforme de l'université dont il est aujourd'hui difficile d'apprécier la portée, est aussi légitime qu'est odieuse la violence exercée à leur endroit. Sur un sujet d'une telle importance pour leur avenir et pour celui de la nation tout entière, leur liberté d'expression doit être totale et nul ne peut la leur contester. Cela dit, c'est à cet égard que l'affaire montpelliéraine n'apparaît pas traitée de façon satisfaisante car n'y est nullement en cause la liberté de manifester mais la légitimité des moyens de se faire entendre. Si l'on veut introduire un peu de contradiction dans le traitement biaisé de ce fait divers, il est essentiel de le signaler et de rappeler ce qu'est une occupation d'amphi, telle celle qui a servi de décor à ce drame méridional.

    Manifestations violentes et iniques, les occupations d'amphi et autres blocages de fac devraient valoir à leurs auteurs réprobation et condamnation mais elles sont traitées avec la plus grande bienveillance - et lâcheté - par des autorités - doyens, présidents d'université, préfets - qui n'ont qu'un seul souci, celui d'éviter l'incident. Surtout, pas de vague… On se couche devant la violence de ces réquisitions en faisant en sorte de regarder ailleurs.

    Le scénario est à chaque fois le même. Une brochette de squatteurs, étrangers pour la plupart à la fac qu'ils investissent, chasse un professeur au milieu de son cours, s'approprie la chaire et monopolise le micro pendant des heures avant d'installer ses pénates au milieu des pupitres pour y passer la nuit.

    Contrairement à ce que répètent à longueur d'antenne ou d'article des journalistes enamourés, ces actions n'ont rien de pacifique. À les croire, l'heure serait à la discussion, aux stimulants débats, si ce n'est à la franche camaraderie de barricades, mousse et pampre, comme dirait l'autre. Rien n'est plus étranger à la réalité de ces voies de fait dont on ne dénoncera jamais assez la brutalité. Toute personne qui souhaiterait exprimer une opinion dissidente est empêchée de le faire quand ce n'est pas, physiquement, menacée par les gros bras interlopes qui sévissent dans l'amphi, que les étudiants doivent abandonner, privés du droit d'étudier au motif qu'un soviet brutal a réquisitionné leur salle de cours.

     Que penser dès lors de l'action vigoureuse qui, à la fac de droit de Montpellier, a permis, pour la première fois depuis bien longtemps, de chasser les occupants sans titre qui prétendaient empêcher les cours de se tenir? La navrante violence qui a été utilisée à cette fin doit être condamnée mais cette déploration est vide de sens si elle ne s'accompagne pas d'une recherche de responsabilité des différents acteurs. Il faut le marteler, cette responsabilité est d'abord celle des factieux ayant réquisitionné un amphi, qui n'ont à s'en prendre qu'à eux-mêmes de la bagarre entre grévistes et non-grévistes qu'ils ont provoquée.

    Les ahuris qui s'étonnent de s'être fait molester devraient méditer sur la rude condition du piquet de grève et comprendre que, quand on prétend tenir Fort Chabrol, il faut être prêt à en assumer les conséquences. Responsabilité ensuite des nervis imbéciles qui, par leur usage immodéré de la force, ont évidemment desservi la juste cause qu'ils prétendaient défendre (rendre l'amphi aux étudiants désireux d'étudier) en faisant à leurs adversaires le cadeau d'une posture victimaire dont ils se délectent aujourd'hui.

    Mais responsabilité aussi, et on est tenté de dire surtout, de ceux qui, incarnant l'autorité de l'état, négligent de l'exercer. Que le doyen de la faculté de droit de Montpellier ait été abandonné à son sort et qu'il ait dû gérer seul ces militants qui prétendaient passer la nuit dans sa fac, au risque que s'y produise la mise à sac qu'il est hélas courant de constater dans de telles occasions, là réside le vrai objet de scandale et c'est sur ce point que l'enquête administrative qu'on nous annonce devra porter. À partir du moment où on laisse de prétendus grévistes (rappelons que faire grève consiste à cesser soi-même le travail, pas à empêcher les autres de travailler) imposer leur loi sans garantir la légalité et sans que l'État n'exerce la violence alors légitime dont il s'est réservé le monopole, on incite les mécontents à se faire justice eux-mêmes et on laisse s'installer des réflexes d'autodéfense particulièrement dangereux.

    S'il apparaît que le Président de l'université de Montpellier et le Préfet de l'Hérault appartiennent à cette catégorie de piteux commis que la trouille tétanise, et s'il est établi qu'ils n'ont pas permis que la police intervienne pour faire évacuer l'amphi illégalement réquisitionné, c'est à eux qu'il faudra demander des comptes.

    Lire l'article sur le Figaro: http://po.st/IZkPVE

     

     

  • Alerte officielle sur le "reiki" et la "kinésiologie"

    A Fenouillet, commune du Nord toulousain, une “centre de médecines alternatives“ s'est ouvert. J'ai adressé un courriel au maire pour l'inviter à être vigilant (avec les coordonnées sur site Miviludes)… aucune réponse à ce jour! Pour un maire qui doit être soucieux de la sécurité de ses concitoyens, je trouve sa gestion de ce dossier un peu légère et même irresponsable!

    FAITES PASSER CE MESSAGE... MERCI!

    La Mission interministérielle de vigilance et de lutte contre les dérives sectaires (Miviludes) met en lumière d’étranges pratiques soignantes dans un rapport remis jeudi 22 mars à Matignon. Plus généralement cet organisme dresse un état des lieux des différents courants sectaires, qui incluent certaines mouvances religieuses, une frange de promoteurs de thérapies alternatives fantaisistes, ainsi que des médiums.

    Dans l’introduction du rapport, Serge Blisko, président de la Miviludes insiste sur "la nécessaire défense de la pensée rationnelle" et ce face, notamment, aux " dérives sectaires dans le domaine de la santé où les pseudothérapeutes déviants sont toujours plus nombreux et imaginatifs". Les signalements liés au domaine de la santé ressortent en effet fortement, selon les chiffres communiqués par la Miviludes. En 2016, "plus de 40 % concernent le développement d’offres trompeuses dans le domaine de la santé et du bien-être ainsi que d’abus par des psychothérapeutes déviants".

    " La France a connu au cours des dix dernières années, à l’instar d’autres pays européens, une déferlante de techniques et de méthodes de soins qui sous couvert de bien-être ont envahi le champ de la santé. Comme le rappelle le ministère de la Santé sur son site Internet, "dans la très grande majorité des cas, ces pratiques de soins non conventionnelles (PSNC) n’ont pas fait l’objet d’études scientifiques ou cliniques montrant leurs modalités d’action, leurs effets, leur efficacité, ainsi que leur non dangerosité.  "

    Les médecines "complémentaires et alternatives" (609 cas sur la période 2015-2016), la " psychothérapie " et le " développement personnel " (359 cas) arrivent nettement en tête des signalements – avec la mouvance évangélique (407 cas). Mais le rapport met surtout en lumière deux méthodes de soins qui semblent " particulièrement inquiétantes ": le reiki, technique japonaise de " guérison " par imposition des mains, et la kinésiologie, discipline " psychocorporelle " inspirée par la médecine chinoise. Ces techniques " connaissent un développement sans précédent en France, alors qu’elles sont porteuses de risques et non éprouvées ". Extraits du rapport:

    Le reiki.

    " Méthode thérapeutique promue et développée par le japonais Mikao Usui (1865-1926) à la suite d’une révélation mystique qui l’aurait conduit à la fin du XIXème siècle à recevoir les "clefs de la guérison", cette technique de guérison par imposition des mains fait du praticien initié à la technique un simple médium permettant au patient de rétablir la force vitale garante de sa bonne santé. Pour en résumer brièvement le principe: cette technique, nécessairement précédée d’une phase initiatique, entraînerait un mouvement énergétique intérieur. La détente des muscles accélèrerait la guérison et ouvrirait la conscience aux causes de la maladie ou de la douleur. Elle accroîtrait également les capacités d’auto-guérison physique et psychoaffective, en cas de blocages, dépression, anxiété, échecs“.

    La kinésiologie.

    "Fondée dans les années 1960 par un chiropracteur américain, la kiné- siologie est une méthode de thérapie holistique inspirée par la médecine chinoise. Cette technique psycho corporelle recourt à un test musculaire de communication au plan physique et émotionnel. Proposée à tous les âges de la vie et à tous les publics elle permettrait d’optimiser le capital de " ressources personnelles" avec l’accompagnement d’un thérapeute, et de parvenir à l’auto-guérison des difficultés existentielles et des maladies. Mouvance née dans le sillage du New Age, ses adeptes et sympathisants prônent de manière plus ou moins radicale la rupture avec des habitudes de vie jugées néfastes, au profit de choix naturels et authentiques comme l’alimentation biologique, les médecines douces, les thérapies non médicamenteuses ou encore l’écologie. Il existe de nombreuses déclinaisons de cette méthode. La radicalisation de certains adeptes de cette mouvance a conduit à des dérives de caractère sectaire dans laquelle la dimension hygiéniste portée au rang de dogme a constitué un facteur déterminant.

    "Une affaire jugée en juin 2005 par la Cour d’assises de Quimper, illustre ce constat. Des parents, au nom de conceptions idéologiques inhérentes à la pratique de la kinésiologie avaient adopté pour eux-mêmes et leurs enfants le régime végétalien dans leur quête d’une alimentation purifiée. Cette alimentation carencée en protéines animales et en vitamines et leur extrême défiance à l’égard d’un monde médical jugé a priori dangereux allaient causer la mort de leur bébé allaité depuis sa naissance, en état de malnutrition majeure, ancienne et chronique, de l’avis de l’expert médical auprès du tribunal. "

    La kinésiologie a fait l’objet d’un avis sévère du Conseil national de l’Ordre des masseurs-kinésithérapeutes. Il en ressort que " la kinésiologie est une méthode de soin non conventionnelle et que son utilisation constitue une dérive thérapeutique. Pour sa part l’INSERM qui a évalué cette méthode conclut que "ni la kinésiologie appliquée professionnelle, ni la kinésiologie énergétique n’ont fait à ce jour la preuve de leur efficacité". N’importe qui peut, aujourd’hui en France, se déclarer "kinésiologue" ou "maître reiki " – et enseigner ces techniques. 

    On pourrait ici s’étonner et demander ce que font les Ordres et le ministère de la Santé – sans parler de la police.

    https://jeanyvesnau.com

    http://www.derives-sectes.gouv.fr

     

    rapport_miviludes_2017_web_v2_0.pdf

     

     

  • Je dis NON à la suppression du quotient familial !

    NON à la suppression du quotient familial !

    Signez la pétition !

    Un rapport sorti en catimini, élaboré sous la houlette du député En Marche Guillaume Chiche, évoque en substance la suppression pur et simple du quotient familial. Non content de s'en être déjà pris au portefeuille de la grande majorité des retraités en revoyant la CSG à la hausse, après avoir dit le contraire lorsqu'il n'était que candidat à l'élection présidentielle, Emmanuel Macron et son gouvernement souhaitent maintenant s'attaquer aux classes moyennes en supprimant purement et simplement le quotient familial !

    Lubbie de la gauche, la suppression du quotient familial revient au devant de la scène

    Le quotient familial indique le nombre de parts dont bénéficie un contribuable pour le calcul du montant de son impôt sur le revenu. C'est un indicateur du niveau de vie d'un foyer fiscal. Il est évalué chaque année par l'administration fiscale, en fonction des ressources mentionnées dans la déclaration de revenus annuelle. Il sert également de seuil pour déterminer l'éligibilité des familles à certaines aides sociales et prestations des organismes sociaux (CAF, APL, ...). Aujourd'hui, ce plafond de réduction d'impôt lié au quotient familial est de 1527 € par demi-part supplémentaire. On est loin du postulat définissant "les riches", mais bien plus proche de la grande majorité des français qui travaillent, à savoir les classes moyennes. Jean-Marc Ayrault, Premier ministre de François Hollande s'était d'ailleurs attaqué au quotient familial en 2013. Mais le socialiste n'avait pas osé parler de suppression...

    C'est pourquoi nous nous étonnons de cette posture radicale de la part du gouvernement actuel et d'Emmanuel Macron.

    Nous exigeons le maintien du quotient familial en l'état.

    JE SIGNE!

     

  • Un peu de beauté dans ce monde de brutes!

    Amazing Grace dans la Sagrada Familia à Barcelone