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toulouse - Page 19

  • RENNES: LA VÉRITÉ

    Commune française située dans l'Ouest de la France. C'est le chef-lieu du département d’Ille-et-Vilaine et de la région Bretagne. Rennes compte 211 373 habitants intra-muros en 2013, ce qui fait d'elle la première ville de la région Bretagne, la deuxième ville du Grand Ouest et la onzième commune la plus peuplée de France en nombre d'habitants. L'unité urbaine est peuplée de 322 247 habitants en 2013 et son aire urbaine, qui comprend 700 675 habitants en 2013, est la dixième au niveau national. Rennes est le siège d'une métropole de 426 502 habitants (2013), faisant ainsi partie des 11 grandes métropoles françaises de droit commun (depuis janvier 2015).

    Bref et vous l'aurez compris, Rennes est une grande ville dans laquelle vivent des tas de gens, une ville dans laquelle, normalement, il doit faire bon vivre. Sauf que... Sauf que, comme Nantes, elle est infestée par quelques dizaines de morpions d'extrême-gauche, des antifas, des no borders, des zadistes en tournée nationale, des blacks blocs et autres parasites. En gros, 500 gusses qui prennent un malin plaisir, régulièrement, dès que l'occasion se présente de mettre le bronx, de casser tout ce qu'il est possible de casser et de semer la désolation autant qu'ils suscitent la consternation parmi les habitants.

    14 manifestations contre la loi travail cette année, autant d'opportunités pour ces excités d'affronter les forces de l'ordre, d'en découdre.

    Et des habitants qui n'en peuvent plus, et des finances publiques qui paient les dégâts, et des commerçants qui n'ont plus que les yeux pour pleurer en constatant les dégâts et en attendant la prochaine augmentation de leurs primes d'assurance, sans compter les pertes de chiffres d'affaires.

    Et un Préfet qui après avoir autorisé 13 manifestations qui ont toutes dégénérées interdit la quatorzième avec un mot d'ordre: Que les habitants restent chez eux cet après-midi !

    500 connards prennent en otage le centre-ville de la onzième commune de France en nombre d'habitants et le Préfet de demander aux habitants de rester chez eux ! Non, mais allo quoi? On marche sur la tête.

    La République ne serait donc pas capable d'assurer la sécurité de 322 000 habitants menacée par 500 connards? Euh... Y a comme un problème, là.

    Sauf à considérer que les autorités, délibérément ou pas, ne se donnent pas les moyens de maintenir l'ordre et la sécurité pour tous... Et bien voyez-vous, je crois dur comme fer qu'effectivement ils ne se donnent pas les moyens de protéger Rennes. Pourquoi?

    Vous verrez que ce soir les autorités se féliciteront du nombre record d'interpellation: 8? 12? 20?

    Vous verrez qu'on nous annoncera, allez, 10 ou 20 gardes à vue, 3 à 4 comparutions immédiates et que d'ici un mois ou deux, on aura oublié et qu'aucun journaliste ne sera capable de nous dire si oui ou crotte un seul de ces connards a été condamné à de la prison ferme, encore moins si incarcération il y a eu.

    Ce matin, François Hollande déclarait: "Aucune violence ne doit être acceptée". Violence, il y a eu. Son Préfet a déclaré: "On ne les laissera pas manifester, cette manifestation n'aura pas lieu. On fera respecter la loi, on fera respecter l'état de droit". Manifestation, il y a eu, les casseurs ont manifesté et loi et état de droit n'ont pas été respectés.

    Le même a martelé: "La ville de Rennes n'a pas vocation à devenir un champ de bataille de casseurs violents" et la ville de Rennes, hier soir et cet après-midi a bien été un champ de bataille.

    500 à 700 casseurs qu'on assurait ne pas laisser manifester ont affronté 7 compagnies de CRS (soit +/- 1000 pax), 4 canons à eau et deux hélicoptères, sans compter les voltigeurs en civils...

    A Rennes, aujourd'hui, l'Etat a encore failli. A Nantes et à Toulouse aussi.

    Et comme d'habitude, le Sinistre Cazeneuve ne devrait pas tarder à pointer son museau devant le micro et les caméras convoquées pour rendre hommage aux forces de l'ordre et nous assurer que tout sera fait pour que les coupables soient poursuivis et sévèrement condamnés.

    Addendum de 18h33: Itélé annonce 15 interpellations

     

    http://corto74

    Lisez les commentaires: édifiants

  • On se fou de notre gueule ou comment mordre la main qui est tendue...

    Toulouse: le proxénète tunisien remis en liberté, "je ne savais pas qu’en France c’était puni"

    Le tour de France du sexe s’est achevé mardi, à Toulouse, pour un Tunisien de 29 ans soupçonné d’être à la tête d’un réseau de prostitution via des sites internet. Poursuivi pour "proxénétisme aggravé", cet homme domicilié au Portugal a été interpellé mardi, à Toulouse, par les enquêteurs du groupe de voie publique, de la sûreté départementale et placé en garde à vue. [...]

    Soupçonné d’être à la tête d’un réseau de prostitution, mardi, un Tunisien domicilié au Portugal a été interpellé et placé en garde à vue à Toulouse.  Poursuivi pour "proxénétisme aggravé", cet homme âgé de 29 ans a été jugé hier après-midi devant le tribunal correctionnel de Toulouse.

    "Je sais que moralement c’est mal mais je ne savais pas qu’en France c’était puni", a-t-il déclaré dans son box. Et c’est sans difficultés que ce dernier a reconnu les faits face au parquet. Pour ce jeune homme, cette petite entreprise du sexe, qui n‘aura d’ailleurs duré que 20 jours, était presque normale.

    [...] Et l’homme a déclaré n’avoir touché qu’une petite partie des sommes récoltées par ces femmes, malgré des enveloppes aux montants assez conséquents, retrouvées dans les deux logements.

    Suite à ces déclarations, le prévenu a été condamné à une peine de 18 mois de prison assortie d’un sursis simple pendant 5 ans. Il est également invité à retourner en Espagne, son lieu de résidence avant les faits.

    La Dépêche

     

  • Toulouse: Elle agresse trois profs lors d’une heure d’apprentissage du «vivre ensemble»

    Après une nouvelle agression la semaine dernière, les enseignants du lycée Gallieni ont fait grève ce mardi pour réclamer notamment des moyens supplémentaires…

    C’est la goutte d’eau qui a fait déborder le vase. Il y a une semaine, une élève du lycée Gallieni a agressé trois enseignantes en cours et en présence d’autres professeurs lors d’une heure de vie de classe, où les élèves étaient censés apprendre à vivre ensemble.

    "Il y a une violence latente dans cet établissement, nous constatons régulièrement des dégradations à l’intérieur du site. Pas plus tard que vendredi soir, lors d’une rencontre parents-profs, un élève a roué sa mère de coups", relève Marie-Aude Auger, professeur et membre de la CGT Education.

    Reçus au rectorat

    Après avoir été reçus par l’Inspection d’Académie la semaine dernière, les membres du corps enseignant ont décidé de se mettre en grève ce mardi pour demander des moyens humains pour la vie scolaire, notamment un poste de conseiller principal d’éducation supplémentaire, mais aussi un dédoublement des classes. « Si nous allégeons les effectifs des classes grâce à la présence de professeurs supplémentaires, il y aura moins de tensions », plaide Marie-Aude Auger.

    (…) 20minutes.Fr

     

  • Immonde! espèce de protozoaire

    Solliès-Pont (83): Smain accusé d’avoir égorgé une octogénaire dans son fauteuil roulant

    De lundi à mercredi, les jurés varois seront confrontés à un crime crapuleux assez lamentable, qui s’est produit le 6 juillet 2013 à Solliès-Pont.

    Ce jour-là, en fin d’après-midi, les secours se sont déplacés dans un groupe d’immeubles résidentiels, où une octogénaire venait d’être découverte à son domicile, baignant dans son sang. Encore consciente, Simone, 82 ans, avait été égorgée dans son fauteuil roulant.

    Hospitalisée à Sainte-Anne, elle a confié aux gendarmes qu’elle avait été agressée par S. M., un jeune voisin qu’elle connaissait depuis l’enfance, pour lui voler le peu d’argent qu’elle avait chez elle, moins de 20 €.

    Dans ses premiers aveux, S. M., 21 ans alors, a confirmé qu’il s’était bien rendu chez la victime et qu’il lui avait porté un coup de couteau à la gorge, sans trop se souvenir pourquoi ni comment.

    Puis qu’il avait pris quelques euros dans le porte-monnaie de la vieille dame, avec lesquels il s’était payé un café et un paquet de cigarettes.

    (…) Var Matin

     

  • Toulouse, c'est ma ville... on n'y est plus en sécurité. La faute à qui?

    Toulouse (31): condamné pour viol, il sort et récidive un an plus tard

    "J’étais tellement terrifiée qu’aucun son ne pouvait sortir de ma bouche". Témoignage poignant d’une jeune victime de viol. Le procès de son agresseur (photo) a débuté hier devant la cour d’assises de Toulouse.

    Le 26 novembre 2013, à Cornebarieu, cette jeune femme alors âgée de 18 ans, est sortie tôt, très tôt, prendre son bus qui l’amène au lycée. Il était 6 h 20 lorsque, dans cette froide nuit d’automne, elle a été accostée par un homme. "À l’instinct, j’ai compris qu’il allait se passer quelque chose", explique la victime, assistée de Me David, à la barre.

    Son agresseur l’a alors saisie, puis l’emmenant dans une sombre impasse, lui a ordonné de se déshabiller. Il lui a ensuite imposé, un couteau à la main, une fellation, puis une pénétration, éjaculant au sol. Un indice précieux pour les enquêteurs. L’agresseur, déjà condamné pour un viol en 2001 et donc fiché au FIJAIS (fichier judiciaire automatisé des auteurs d’infractions sexuelles), a ainsi été rapidement identifié par les gendarmes.

    Dans le box, l’homme de 36 ans, défendu par Mes Valayer et Boucharinc, visage fermé et tatoué, survêtement bleu et lunette de soleil, paraît distant, comme absent de son propre procès. Il a reconnu le viol. "Une pulsion", a-t-il expliqué aux enquêteurs, ne pouvant donner plus de détail à ces questions: "Pourquoi cette victime ? Pourquoi ce jour-là ?" La personnalité de cet individu pose question. Sorti de détention en février 2012, il aura fallu seulement un an pour que cet homme, décrit comme "gentil et serviable" par une ancienne compagne, récidive. [...]

     

    http://www.fdesouche.com

     

     

  • Les jeunes de chez moi!

    À Toulouse, étudiants et professeurs inventent le "campus du futur"

    Le nouveau campus de l’université Toulouse 3 devrait voir le jour en 2019. Sa conception se fait selon le principe du coworking, associant enseignants, chercheurs et élèves autour d’un projet innovant et écologique.

    L’Université Toulouse 3 Paul-Sabatier (UPS) lance son opération "neOCampus", qui prévoit d’ériger onze nouveaux bâtiments entre 2017 et 2019. Le campus s’étendra sur 56.000 m², soit près de 8 terrains de football. De nombreuses structures seront rénovées, ce qui entraînera en parallèle la destruction de bâtiments vétustes.

    Basé sur le "coworking", le projet réunit enseignants, chercheurs et élèves pour penser ce "campus du futur", écologique, numérique et mieux adapté aux handicapés. Les chercheurs collaborent à cette innovation au sein de huit laboratoires et au travers des thèses. Quant aux élèves de licence et master, ils conçoivent et réalisent des bancs, tables et autres meubles à travers leurs projets de stage.

    Même les élèves de l’IUP d’arts appliqués de Toulouse 2 - Jean-Jaurès ont été mis à contribution: ils travaillent actuellement sur le design, les fonctionnalités et l’agencement des salles de cours. De leur côté, les doctorants réfléchissent au pan écologique du projet. Plusieurs idées ont été lancées: l’amélioration de l’éclairage grâce à un réseau électrique basse tension, ou encore des réseaux de capteurs permettant de suivre la consommation énergétique des bâtiments.

    Une innovation écologique

     "L’université a toujours été très présente sur le développement durable, au niveau de la recherche comme pour la formation, où nous avons été les premiers à enseigner l’énergétique dans l’habitat", explique Bertrand Monthubert, président de Toulouse 3. L’établissement a logiquement à cœur de mettre en pratique ses enseignements: les bâtiments seront construits dans des matériaux isolants et à faible empreinte carbone. Quant à la consommation d’électricité, elle sera réduite par une distribution de chaleur optimisée. L’objectif est de réduire la consommation énergétique de 10% par an sur dix ans. Pour Bertrand Monthubert, "l’université doit être le premier lieu où l’on met en place les bâtiments du futur, ils sont des outils de recherche à part entière".

    Un campus intelligent…

    Le nouveau campus sera également intelligent: des capteurs identifieront les personnes entrant dans les salles de cours, le chauffage et l’éclairage s’adapteront à l’affluence et des services seront proposés aux usagers présentant, par exemple, un handicap. L’université devra alors mettre en place un système juridique afin de ne pas porter atteinte à la vie privée des étudiants, puisque le "campus intelligent" enregistrera de nombreuses informations.

    Le confort des étudiants est aussi une priorité. Des dispositifs seront ainsi installés dans l’université pour observer leur mode de vie et adapter le nouveau campus en conséquence: information en temps réel des places d’étude disponibles dans les bibliothèques, itinéraires adaptés aux handicaps, etc.

    … et numérique

    L’innovation se fera aussi sur le plan numérique. Une application mobile est en cours de développement et sera disponible pour les étudiants dès juin 2015. Elle comprendra notamment une carte interactive du campus, puisque celui-ci s’étendra sur plusieurs kilomètres! Une déclinaison est déjà envisagée pour les personnes handicapées: le logiciel leur indiquera, en fonction de leur position, un cheminement optimal et accessible vers leur point de destination. Une fonctionnalité devrait aussi permettre aux étudiants de calculer le temps d’attente au resto U, bien pratique pour les étudiants affamés!

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