Il faut que le parquet anti-terroriste ait la primeur sur le parquet des juges rouges fous qui libèrent les fous d'Allah...
Remarquez, entre fous, ils se comprennent!
En poursuivant votre navigation sur ce site, vous acceptez l'utilisation de cookies. Ces derniers assurent le bon fonctionnement de nos services. En savoir plus.
Il faut que le parquet anti-terroriste ait la primeur sur le parquet des juges rouges fous qui libèrent les fous d'Allah...
Remarquez, entre fous, ils se comprennent!
Le régime de cotisations retraite des fonctionnaires est un gouffre financier pour l’ensemble des contribuables.
Quand les fonctionnaires de l’État payent un euro de cotisation pour leur retraite, l’État employeur en paye près de neuf. Dans le secteur privé, ce rapport est de 1 à 1,6, soit six fois moins. Or, ce sont les contribuables qui paient les cotisations de l’État, au profit de fonctionnaires dont les pensions de retraites sont bien plus élevées que dans le privé. La liberté d’assurance de chacun doit guider une réforme vers plus d’égalité entre tous les régimes de retraite.
Un taux de cotisations retraite des fonctionnaires très inférieur au privé
Par rapport au salaire brut, le taux de cotisation des agents de l’État est de 9,94% en 2016, avant de converger en 2020 vers le taux actuel moyen de 11,15% des salariés du secteur privé. En moyenne, la cotisation de retraite à la charge des employeurs du secteur privé est de 16%. Mais la cotisation versée par les employeurs de fonctionnaires civils de l’État est cette année fixée au taux de 74,28 % et de 126,07 % pour les militaires !
Par un tour de passe-passe, pour combler le gouffre que représente le régime de retraite de la fonction publique de l’État, il a été créé dans le budget de l’État un compte d’affectation spécial Pensions (programme 741), équilibré par l’ajustement des taux de contributions employeurs lors de chaque loi de finances, de façon à respecter apparemment l’exigence d’équilibre financier. Cette année, sur un total de ressources de leur régime de 52,785 Md€, les cotisations des agents publics représenteront seulement 5,660Md€ et la soi-disant cotisation employeur 46,300Md€. Si les cotisations employé et employeur étaient les mêmes dans le secteur public que dans le secteur privé, il manquerait 35,696Md€, soit plus de six fois le montant des cotisations des agents concernés.
Ainsi et par la fiction d’une cotisation employeur vertigineuse, l’équilibre est assuré par une ponction sur le contribuable pour abonder un régime encore très privilégié en termes de calcul des pensions, d’âge de départ à la retraite… Les bénéficiaires de ce régime disposent d’une pension moyenne de 2079€ par mois contre 1 306€ par mois en 2013 dans le privé. On comprend pourquoi les fonctionnaires ne veulent pas d’alignement sur le privé!
La réforme ne viendra pas de l’État et des ses fonctionnaires qui profitent du système. Mais la solution serait de donner progressivement à tous, fonctionnaires compris, leur salaire complet, charges comprises, et de laisser chacun s’assurer obligatoirement mais librement au près de la compagnie ou mutuelle de son choix.
contrepoints.org
Juvisy-sur-Orge (91):
A Juvisy-sur-Orge, une passante a été "insultée en pleine rue par un individu estimant que sa robe n’était pas suffisamment couvrante". Elle a déposé une main courante. L’auteur des insultes, s’est révélé être un intérimaire, employé par la municipalité.
Les faits se sont déroulés mercredi 20 juillet sur les coups de 14 heures, a rapporté le site Internet de l’hebdomadaire de l’Essonne. Accompagnée de son fils de 12 ans, cette jeune mère se trouvait alors dans le centre-ville de Juvisy-sur-Orge lorsqu’une personne s’en est pris à elle et à sa "robe toute simple. Une robe d’été parce qu’il faisait chaud", a précisé le cabinet du maire de la commune au Républicain. "Il a continué en la suivant alors même qu’elle lui disait de s’occuper de ce qui le regarde."
Robin Reda, le (jeune) maire LR de Juvisy-sur-Orge, s’est alors exprimé sur son compte Facebook pour dénoncer l’incident survenu dans sa commune. "J’ai demandé des sanctions fermes", a-t-il écrit dans un message publié ce jeudi 21 juillet, avant d’affirmer que le contrat de l’intérimaire avait pris fin et de conclure: "L’intransigeance avec les valeurs de la République commence sur le terrain, soyons intraitables."
Le Figaro
Sanctions fermes? A porte,…et même plus, jetez-le hors de France!
Et celle-là, elle est assez à poil pour t'emmer.....?
Akram Belkaïd: " Oui, il existe bien un sentiment anti-français chez nombre de Maghrébins de France "
Extrait d’un article du journaliste algérien Akram Belkaïd sur l’attentat de Nice et ses conséquences, publié dans Le Quotidien d’Oran.
Après le carnage de Nice, il convient donc d’être réaliste et de ne pas se leurrer: La France est bel et bien prise dans une séquence infernale dont on se demande avec angoisse quel sera le prochain épisode. [...]
Car, ce qui prime, c’est l’effet produit au sein de l’opinion publique française.
Au-delà de l’horreur et de la sidération (notons au passage l’usage intensif de ce dernier terme par les médias), il y a la colère et la certitude que tout cela a été accompli au nom de l’islam par un membre des communautés d’origine maghrébine.
Les discours qui entendent mettre en garde contre tout amalgame, les critiques légitimes formulées vis-à-vis de la politique française au Machrek et les rappels sur le fait qu’un tiers de victimes étaient de confession, ou de culture, musulmanes n’y changeront rien ou presque. Petit à petit, des digues de raison se fissurent et s’installe l’idée que ces communautés abritent en leur sein de dangereux criminels susceptibles de passer à l’action à n’importe quel moment et par n’importe quel moyen, y compris le plus inattendu. [...]
[...]
Plus de vingt ans après [la mort de Khaled Kelkal], nous en sommes à un moment charnière où des enfants nés au milieu des années 1990 rejoignent les rangs de Daech et n’ont aucune hésitation à frapper leur pays natal. Et si rien de sérieux n’est accompli dans l’immédiat, on peut se demander ce qu’il en sera en 2025…
Disons-le franchement, trop de gens font en sorte, ou acceptent, que leurs enfants se complaisent dans une sorte de défiance à l’égard de ce pays qui, quelles que soient ses insuffisances, les éduque, les soigne et leur donne les chances, aussi minimes soient-elles, qu’ils ne trouveront jamais dans la terre de leurs parents. [...]
Oui, il existe bien un sentiment anti-français chez nombre de Maghrébins de France. Il est plus ou moins assumé et l’on pourrait même le dire " structurel " sans pour autant le qualifier de " haine " ou de " racisme " comme on peut le lire ou l’entendre dans des productions de droite ou d’extrême-droite.
Bien sûr, cela ne signifie pas que ce sentiment va alimenter une vague d’attentats. Mais cela crée les conditions pour une atmosphère délétère où les condamnations ne sont pas aussi fermes qu’elles devraient l’être, où des excuses sont toujours émises pour relativiser les abjections commises par certains et où l’opinion publique attend en vain des manifestations, ou plutôt des expressions, de loyauté qui auraient l’avantage de rassurer (et de raisonner) nombre de gens pris par la panique. [...]
François Kersaudy: "Quand arrachera-t-on les racines du terrorisme en France?"
Les gouvernements de gauche et de droite ont eu leur lot d’attentats. Aucun n’a pris à temps les mesures adaptées à la situation, relève François Kersaudy, historien et chroniqueur au Point. Une situation de violence et de délinquance qui dure depuis 40 ans.
[...] Que ce soit sous des gouvernements de gauche ou de droite ne fait rien à l’affaire : tous ont eu leur lot d’attentats destinés à semer l’épouvante, et aucun n’a pu prendre à temps les mesures adaptées à la situation. [...]
Il reste pourtant que le gouvernement ne peut agir que dans le cadre des institutions, des structures, des lois et des contraintes existantes, et que c’est sous cet éclairage qu’il faut considérer les événements de Nice. Voici par exemple un citoyen tunisien bénéficiant d’un titre de séjour temporaire, défavorablement connu des services de police pour menaces, dégradations, vols, violences conjugales et agression ayant entraîné une condamnation judiciaire à six mois d’emprisonnement avec sursis.
Dans plus de 130 pays au monde, de tels exploits auraient justifié une incarcération plus ou moins longue, suivie d’une expulsion immédiate vers le pays d’origine.
En France, c’est impossible : le maquis des lois, la pusillanimité ou la compassion des juges, le formalisme et l’engorgement des tribunaux, le foisonnement d’associations de défense du délinquant étranger, la culpabilité post-coloniale, l’antiracisme agressif et sélectif, le droit-de-l’hommisme idéologique, l’absence de contrôles aux frontières, l’hostilité à l’égard des forces de l’ordre, la suppression de la double peine à l’initiative du président Sarkozy, les directives européennes hors-sol, l’omniprésence de médias obnubilés par la quête du sensationnel, le tabou de l’amalgame et le culte de la bien-pensance – autant d’éléments qui se conjuguent de longue date pour assurer la pérennité et la prospérité en France de la délinquance comme de la criminalité crapuleuse et pseudo-religieuse.
Cette délinquance et cette criminalité, ce n’est pas depuis quatre ans, mais bien depuis quarante ans qu’elles prospèrent et se multiplient dans quelque 700 zones de non-droit , laissées en marge de la République par l’angélisme, l’électoralisme, la démagogie, l’assistanat, l’immigration massive, les petites concessions, les grandes lâchetés, les petits trafics et les grandes émeutes. C’est également depuis quarante ans que des juges, des professeurs, des syndicalistes, des éducateurs et autres idéologues d’extrême gauche se sont crus habilités à contester et à affronter l’État, afin de promouvoir une société utopique à leur convenance. [...]
Le Point
Attentat de Nice: pour Valls, l’expulsion des étrangers condamnés pour violences "est la solution de facilité"
En pleine polémique sur la vidéosurveillance à Nice, Manuel Valls, invité de BFMTV et RMC lundi, réaffirme sa confiance en Bernard Cazeneuve, "un homme intègre, un homme d’Etat, un ministre de l’Intérieur formidable", selon le chef du gouvernement.
"Je n’ai aucun doute sur Bernard Cazeneuve", affirme encore Manuel Valls, pour qui cette "polémique politique vise à déstabiliser le gouvernement" .
Manuel Valls a été interrogé par ailleurs sur le fait que le Tunisien Mohamed Lahouaiej Bouhlel, l’auteur de l’attentat, avait été condamné pour violence volontaire mais demeurait toujours en France.
Appoline de Malherbe: "Est-ce qu’il faut que les étrangers condamnés pour violences restent".
Manuel Valls: "Ca veut dire qu’il faut expulser tous les étrangers condamnés pour violences. [...] C’est la solution de facilité. Et quand il s’agit d’un binational? Ou quand il s’agit d’un Français qui commettra des attentats ? Toute forme de violence doit être condamnée". [...] CQFD: attendez-vous a encore des centaines de morts!
"Un étranger condamné pour violences peut, dans certains cas, être expulsé. Je ne confonds pas une condamnation de six mois avec sursis avec le terrorisme. Le plus difficile à combattre est que nous ayons plusieurs centaines d’individus prêts à passer à l’acte“. Ferme ta gu. et travaille à nous protéger!