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Education - Page 57

  • La maladie n'est pas un vilain défaut: juste la faute à "pas de chance!".

    Une journée de merde.

    Alors voilà:

    1/ recevoir une patiente en surpoids,

    2/ échouer à prendre sa tension avec un brassard standard,

    3/ prendre un brassard adapté qu’on vient d’acheter,

    4/la voir pleurer,

    5/se sentir gêné,

    6/entendre "c’est pas vous, c’est ce qui y a écrit sur votre brassard".

    Comment j’explique à ma patiente pourquoi même un stupide brassard lui exprime ENCORE ce que TOUTE la société lui matraque DÉJÀ depuis l’enfance?

    Des crachats en maternelle au type qui la montre du doigt dans la rue à ses potes en se marrant (et tout le reste, brimades, et injures, et hontes, et railleries, et vexations terribles, que nous n’imaginons pas, que nous ne POUVONS pas imaginer pour la simple et bonne raison que nous ne sommes pas ELLE et ne le serons jamais), tu as été la goutte d’eau qui fait déborder le vase, petit brassard.

    Alors MERCI Spengler, mais ma patiente SAIT qu’elle est obèse, mais moi, à cause de toi, j’ai humilié une patiente pour rien.

    Voilà.

    PS: anticipons les grincheux qui vont me rentrer dedans immanquablement, voulez-vous? OUI, je sais que l’obésité est dans certains cas une maladie, et OUI, je sais qu’il ne faut pas cacher la maladie à un malade. Ici, je pointe l’inadéquation entre un objet aussi " inoffensif " qu’un brassard tensionnel et le renvoi -inattendu pour cette patiente- à une représentation douloureuse de sa maladie (le renvoi de ma malade à sa maladie, pour simplifier).

    Elle SAIT qu’elle est malade. Elle le sait déjà TROP.

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    Une bonne journée.

    Publié le 12 décembre 2016 par Baptiste Beaulieu.

    Samedi, je publiais ça sur mon blog:

    UNE JOURNÉE DE MERDE

     (En bref, je racontais que comment la mention "obèse" sur un brassard de la marque Spengler avait fait pleurer une patiente).

    Je viens de recevoir le message suivant de Spengler:

    << En réponse votre post en date du 10/12/16 à propos des brassards Spengler marqués "obèse"

    Comme certains l’ont déjà dit dans les commentaires, effectivement le mot " obèse " est un terme médical que l’on retrouve dans les enseignements en études de médecine.

    Et lorsque les médecins passent commande, ils utilisent ce terme également.

    Nous comprenons que depuis un grand nombre d’années, ce terme est sorti du contexte médical et a été utilisé de manière très vulgarisée et peut légitimement être vécu comme une insulte.

    Nous sommes fabricants français de tensiomètres depuis 1907. Nous fournissons de nombreuses institutions comme les pompiers, les hôpitaux, Médecins du monde… qui utilisent nos produits comme le docteur Beaulieu lui-même car tous en reconnaissent la qualité historique.

    Ayant pris connaissance ce matin de ce post, nous venons de stopper la chaîne de fabrication du brassard portant cette mention.

    Nous sommes dans l’obligation de vérifier auprès des instances réglementaires qui veillent à la qualité de nos produits et aux normes la possibilité de faire disparaître cette mention reconnue dans le monde médical.

    Nous ne manquerons pas de vous tenir informés sous ce post ainsi que sur notre page facebook. >>

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    Je pense que je n’aurais JAMAIS écrit ce billet de blog sans vos différents témoignages que je reçois depuis quatre ans maintenant, notamment sur la grossophobie. Alors MERCI.

    Enfin, je précise que je ne suis pas ici pour recevoir des cookies, faire du bad-buzz ou jeter l’opprobre sur une entreprise qui fournit du matériel de qualité et du boulot à des gens. Je ne suis pas un moralisateur et je ne porte pas les SJW dans mon cœur (je vous laisse découvrir ce terme sur Google).

     Je suis juste un type qui n’aime pas voir pleurer sa patiente pour rien (elle SAIT qu’elle est obèse: vous, moi, la société, le cinéma, l’humour, l’Univers lui disent et lui répètent depuis l’enfance.)

    La marque Spengler est connue de tous les médecins pour la qualité et la durabilité de leurs produits.

    Je les remercie de leur réactivité.

    Baptiste.

    Nota: nous faisons tous des erreurs. Il faut apprendre à vivre avec et les aimer.

    http://www.alorsvoila.com/une-bonne-journee

     

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  • La connerie de la gauchiasse mondialisée

    Les cons volent en escadrille un peu partout dans le monde!

    L'affaire Jordan Peterson, ou le combat courageux d'un professeur contre la rectitude politique

    Il y a quelque chose de pourri au royaume des universités occidentales. Depuis deux ou trois ans, on y constate en effet, surtout dans le monde anglo-saxon, une nouvelle bouffée délirante de rectitude politique. Si, à une certaine époque, les institutions universitaires ont pu être des lieux de discussion et de critique ouverts à tous les débats, aujourd’hui, elles tendent de plus en plus aujourd’hui à être des garderies pour adultes (des crèches, diraient nos amis Français), où il est plus important de protéger les jeunes étudiants contre les traumatismes éventuels résultant de la confrontation avec la pensée d’autrui, que de leur ouvrir l’esprit…

    Dans cet univers qui mélange de plus en plus Kafka et Orwell, les nouveaux mots en usage sont désormais espace protégé (safe space), avertissement préventif (trigger warning), microagressions (microagressions) et appropriation culturelle (cultural appropriation). Aujourd’hui, des choses aussi banales en apparence qu’une fête costumée ou un cours de yoga peuvent poser problème aux activistes de tout poil. Régulièrement, on interdit à des conférenciers non orthodoxes de prendre la parole sur les campus. Appuyant leurs revendications sur des grilles d’analyse tirées des études post-coloniales, du féminisme queer et de la "théorie" du genre, les nouveaux gardes aux couleurs arc-en-ciel font régner la terreur idéologique sur les campus.

    L’affaire Peterson

    Si cette vague de rectitude politique a surtout touché les universités américaines et britanniques, elle a maintenant atteint les rives du lac Ontario. Un cas fait la manchette des médias de la Ville-Reine et du Canada anglais depuis la dernière rentrée universitaire. C’est celui du professeur Jordan Peterson, qui enseigne la psychologie (ses spécialités sont l’étude de la personnalité et la psychologie de la religion) à l’Université de Toronto depuis 1998. Avant d’y être embauché, il avait été professeur à Harvard.

    Ce qu’on lui reproche (et par "on", j’entends des militants LGBTQ+ et sa propre université), c’est de refuser d’utiliser publiquement des pronoms personnels neutres en présence de, ou lorsqu’il entre en relation avec des personnes transgenres.

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  • Niveau des élèves; une enseignante témoigne

    Le témoignage édifiant d’un professeur de français; si vous pensiez que vos enfants allaient à l’école pour apprendre à lire et à écrire, vous vous trompiez!

    Par ODE. Sur Contrepoints.org

    Après des années d’illusion durant lesquelles je me faisais une haute idée de mon métier (professeur de lettres), j’ai enfin compris – et ce fut rude, très rude – que je me trompais du tout au tout. Et cette évidence m’a sauté aux yeux; ni pour les parents, ni pour les "personnels" qui peuplent les rectorats et autres diocèses, l’école n’est un lieu de transmission d’un savoir. J’ai compris enfin cela et il faut le dire clairement: “n’attendez pas de l’école qu’elle transmette à vos enfants ni un savoir ni une culture“.

    En interrogeant des parents j’ai pu constater que pour beaucoup, la "sociabilité" apportée par l’école était beaucoup, beaucoup plus importante que les savoirs.

    Après avoir subi de nombreuses désillusions (par exemple lorsque je me suis fait sévèrement reprendre pour avoir proposé de réintroduire l’étude de la grammaire au primaire, ou quand on m’a obligée à retirer des notes du carnet pour complaire à des parents d’élèves fainéants), j’ai pris du recul et j’ai analysé les discours de mon directeur. Je parle d’un très gros établissement de province, qui draine des milliers d’élèves.

    J’ai pu constater que les mots "savoir", "culture", " transmettre" n’étaient jamais prononcés par lui. En revanche on a droit à beaucoup de "vivre ensemble". Il faut dire que c’est un ancien prof d’EPS; je n’ai rien contre ça mais quand je commence à lui parler littérature, il perd totalement pied. Du coup il s’énerve et campe sur ses petites positions.

    L’école forme un "citoyen du monde"

    Alors l’école n’est pas, n’est plus du tout un lieu de transmission des savoirs. C’est un lieu où on fait des "citoyens", selon la mode ambiante (qui est aujourd’hui un "citoyen du monde", tolérant, sympa et anti-fasciste).

    Ainsi, au primaire, on consacre beaucoup de temps à la question de la gestion des déchets et de l’économie d’énergie. On a fait faire à ma fille un mini film dans lequel les enfants se moquaient de ceux qui consommaient trop d’eau ou qui oubliaient d’éteindre la lumière en sortant d’une pièce. En CE1 et CE2, mon fils n’a fait en tout et pour tout qu’une dizaine de leçons de français (toutes matières confondues, grammaire, orthographe – je ne parle pas de l’analyse, il n’y en a plus). Mais on a passé du temps à évoquer la pollution et le tri des ordures.

    Cela montre clairement quelles sont les priorités de l’école. Il ne faut donc pas que les parents en attendent autre chose qu’un formatage éco-citoyen. Est-ce que ce sont des préoccupations de Najat Vallaud-Belkacem que les élèves français sachent parler français? Je peux en témoigner et vous dire que leur niveau dans leur propre langue est une vraie catastrophe.

    Quant à la culture, n’en parlons pas. Sans compter les établissements catholiques qui craignent d’être rétrogrades s’ils parlent de Dieu, ça nous fait des élèves de seconde totalement idiots. Je ne rigole pas, c’est vrai. Des grands dadais totalement débiles. Ils ne savent pas écrire trois mots sans faute, ont de grandes difficultés à s’exprimer, connaissent peut-être trois noms de grands écrivains parce qu’ils ont recopié Wikipedia pour faire un exposé dessus (allez, Zola, Maupassant, La Fontaine).

    Donc il s’agit bien d’en faire non pas des hommes et des femmes éduqués et intelligents mais des gentils citoyens tolérants et anti-racistes, homophiles et tout le toutim.

    Violence à l’école sous toutes ses formes

    Ce qu’on constate de l’intérieur c’est qu’il règne entre les enfants une grande violence; partage d’images pornographiques dégueulasses dès le CM2, discussions à tout-va sur les règles et le sexe entre filles en 6e (il faut dire qu’elles passent par les cours d’éducation "affective" où on leur apprend à se mettre un tampon). Vous pensiez qu’on leur apprenait à parler français? Naïfs que vous êtes!

    Les insultes type "putain" ou "fils de p…" à l’âge de 4 ans sont courantes. Mais on m’a expliqué que si un copain avait traité mon fils de "fils de p*" je ne devais pas aller gifler le gosse, c’était une expression! Au collège, c’est tripotages dans les toilettes, insultes dégradantes des gars envers les filles et inversement (mais la mixité c’est le summum du progrès). Ça permet à des filles de rabaisser des pauvres gars un peu moins avancés que les autres et à des gars de traiter de pauvres filles de baleines; merci, voilà qui aide à grandir et devenir adulte et intelligent. Sans parler des bagarres, des histoires qu’on m’a racontées, quand tel établissement a été littéralement pris d’assaut par une bande de jeunes cagoulés ultra-violents, etc.

    Voilà donc pour la "sociabilité" qui règne là. L’éducation des enfants et leur élévation n’est absolument pas la question. Ça n’intéresse personne. Tout le monde est "sympa" et tout le monde se satisfait de ce qu’il n’y ait pas de vagues.

    Je me souviens m’être beaucoup inquiétée pour un gamin de 4e totalement nul. Il ne savait même pas écrire. Ça me prenait aux tripes. Je me suis proposée pour lui donner des cours particuliers, même gratuitement, je me sentais très concernée. On s’est foutu de moi, gentiment; qu’est-ce que tu vas chercher là? Allez, sois cool. Le gamin est passé dans la classe supérieure, et puis encore la suivante. Toujours aussi nul, tout le monde continuait à le dire. À l’heure qu’il est il va probablement passer son bac de français.

    Ah le bac de français… Non je ne vous raconte pas, ça serait trop long. J’ai adoré être obligée de remplacer, hop! un 3 par un 10 dans l’ordinateur pour que le gamin ait son bac.

    Donc ne pas croire que l’école est faite pour transmettre des savoirs; ce n’est pas vrai.

    L’enseignement hors contrat; une bouffée d’oxygène!

    Forte de ce constat, je suis passée dans l’enseignement hors contrat. C’est le jour et la nuit. Mes enfants sont heureux, leur intelligence est sollicitée, ce qui les motive beaucoup (évidemment). On ne les prend pas pour des idiots en refusant de leur apprendre tout un tas de choses qu’ils sont en réalité parfaitement capables d’apprendre et qui les intéressent beaucoup. Comment fonctionne notre langue par exemple (avec les règles de grammaire et d’orthographe). Ou des poésies qu’ils se délectent à réciter. Ou les quatre opérations et les fractions dès le primaire. Ou en catéchisme des définitions claires, enfin, au lieu d’un bla-bla débile sur "Dieu est mon bien-être" ou "Dieu est super tolérant".

    Et l’histoire! À la maison cette année, le soir on écoute les enfants nous raconter l’histoire des descendants de Clovis. La géographie; on colorie au crayon des cartes de France au primaire, d’autres pays du monde au secondaire, on apprend les beaux noms des fleuves, des montagnes ou des climats. C’est tout un monde qui s’élève devant les yeux de notre intelligence et de notre imagination.

    Et il y a du théâtre, de la peinture (pas des dessins de BD comme ce qu’on fait actuellement en "arts plastiques"), de l’histoire de l’art (avec dessins de perspective, apprentissage de la différence entre l’art roman et l’art gothique, etc.), de la morale! Extraordinaires cours de morale où nous apprenons nous-mêmes des choses passionnantes, dont nous nous disons qu’elles feraient du bien à nos hommes politiques.

    Quelle différence! Tout le monde est heureux maintenant à la maison. Et financièrement c’est à peu près équivalent à ce que ça nous coûtait dans le privé (où ils allaient à la cantine tandis qu’actuellement je leur prépare leurs paniers repas).

    J’ai compris que des gens comme nous n’étaient plus les bienvenus dans ce qu’est devenue l’école. Tant pis.

     

    Il faut savoir que les professeurs sont, à l'heure actuelle, recrutés avec une moyenne de 4,5 sur 30.

    Ce n'est pas une plaisanterie, c'est une triste vérité!

     

  • Sales cons et socialaups!

    A Nancy, Valls parle handicap. Sa délégation occupe une place GIG-GIC

    Comment sourit le Premier ministre? Quel hommage rendra-t-il au président qui l’a nommé en mars 2014? Quelles allusions lâchera-t-il à propos de sa propre candidature? Ce vendredi 2 décembre, au lendemain du " renoncement " de François Hollande, Manuel Valls est sous les projecteurs, scruté de toutes parts, " observé à la loupe ", dit Le Monde. Ce jour-là, le locataire de Matignon est " en déplacement " comme on dit d’un responsable national quittant les quartiers cossus de la capitale pour visiter, au choix, un quartier populaire, une ferme expérimentale ou les rues d’une ville moyenne.

    Ce vendredi, c’est à Nancy que le Premier ministre s’est aventuré. Cela peut paraître accessoire au vu de l’importance phénoménale de la pré-campagne présidentielle en cours, mais le " déplacement " porte sur le sort des handicapés, un sujet toujours consensuel au moment de voter des lois et toujours oublié lorsqu’il s’agit de prendre des décisions concrètes. Le Premier ministre est venu à Nancy pour signer des contrats avec les collectivités locales et annoncer des mesures visant à " simplifier la vie quotidienne des personnes en situation de handicap ", comme on dit de nos jours.

    Les travaux se déroulent à la préfecture de Meurthe-et-Moselle, rue Lyautey, une rue assez étroite toute proche de la resplendissante place Stanislas. Le convoi est composé de nombreuses berlines grises ou noires ; pas moins de sept membres du gouvernement accompagnent en effet Manuel Valls, sans compter les présidents des différentes strates su millefeuille territorial. Devant la préfecture, trois voitures occupent des places réservées aux " GIG-GIC ". Ces invalides dont Manuel Valls, à l’intérieur du bâtiment, assure vouloir " simplifier la vie ".

    Paul Didier, étudiant en khâgne à Nancy, aperçoit la scène, prend une photo des véhicules et la diffuse sur Facebook et Twitter. Il interroge également un policier en faction devant le bâtiment. " J’ai été voir un flic pour lui demander si c’était normal. Il m’a répondu: ‘ah non mais oui. On leur a dit, mais c’est des cons’ ", relate l’étudiant sur sa page Facebook.

    Selon le magazine lorrain en ligne Loractu, les emplacements avaient bel et bien été réservés pour le convoi officiel. Pourtant, il s’agit de places destinées, en temps normal, aux personnes à mobilité réduite. Un panonceau gracieusement posé par le Lions club le souligne: " Si tu prends ma place, prends aussi mon handicap ".Didier avait lui aussi constaté la réservation de ces trois places pour la délégation du Premier ministre. Il le déplore. " Il n’y a pas un mec dans la chaîne qui s’est dit que quelque clochait? " s’interroge-t-il, avant de conclure: " ils sont hors-sol".

     

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     "J’en ai pour 5 minutes". Ainsi fonctionne la monarchie républicaine à la française. Sous prétexte que l’on est puissant, on peut s’affranchir des règles. Ce n’est évidemment pas la première fois que des responsables politiques (ou économiques, ou médiatiques), profitent de leur puissance ou de leur notoriété pour stationner en gênant tout le monde. Mais ce type de comportement laisse penser que l’importance supposée excuse tout, qu’un intérêt supérieur balaie toutes les règles, y compris celles de la bienséance. Après tout, si le Premier ministre le peut, pourquoi pas le maire, le président de la Chambre de commerce, et puis pourquoi pas moi. Après tout, j’en ai pour 5 minutes.

    Ceci conforte cette impression d’une société à deux vitesses et confirme, si besoin était, que le stationnement, la circulation, et plus généralement les déplacements, sont toujours considérés comme des sujets accessoires. Sans compter, bien entendu, l’image déplorable de l’action publique qui en résulte. Discourir, annoncer ou promettre a-t-il encore un sens lorsque, confronté à la réalité, on laisse passer un message exactement inverse à celui que l’on souhaiterait diffuser?

     

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    Ceux qui sont sur fauteuil roulant n'en ont pas pour 5 minutes!

    Eux, c'est toute leur vie!

    Bandes de dégueulasses!

  • C'est ça, c'est ça, la France....

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     des classes de Pontivy, rentrée 2016

     

  • il faut bien que ça soit la faute aux autres!

    TOUS SUR LE FILLON!

    j'espère qu'il a les reins solides! la chasse de la gauchiasse est ouverte!

     

    Haro sur l'idiote qui se défausse sur les autres....

     

    http://www.fdesouche.com/794791-najat-vallaud-belkacem-les-eleves-ont-un-mauvais-niveau-cause-du-gouvernement-fillon