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  • l’assassin de Mélanie s’appelle Gallois ou Ghenouchi? À quand sa photo?

    Il paraît qu’il y aurait des lois qui interdisent de donner le nom des mineurs délinquants et de publier leur photo. Tout comme, selon d’autres, publier les photos des djihadistes de Daech en train d’assassiner des infidèles serait de l’incitation au terrorisme. Tout comme d’autres interdisent les statistiques ethniques. Toutes ces lois sont stupides et ne servent qu’à une chose: protéger les délinquants, pour qu’on ne connaisse pas leurs origines et leur religion, afin de continuer à mentir aux Français. Et il en est de même pour les victimes, puisque dans les médias, on appelle Mélanie, la victime de Quentin, avec seulement la première lettre de son nom, un G.

    Pour revenir sur l’insupportable assassinat de Mélanie, on a constaté que les médias, cette fois, sur ordre des autorités, ont balancé le prénom de l’assassin en une demi-heure, pour leur laisser entendre que cela n’étaient pas toujours des Mohamed qui assassinent les Français. Darmanin nous avait fait le coup des Kevin et Mattéo, pour dissimuler la réalité des émeutes ethniques ayant suivi la mort de Nahel Merzouk.

    Jean Messiha a donc relayé une information qui aurait été explosive, nous apprenant que le vrai nom de l’assassin serait Ghenouchi, et qu’il serait tunisien. Pendant ce temps, sur les réseaux sociaux, d’autres affirment qu’il s’appelle Gallois. Dans le doute, après plusieurs contacts, Jean a retiré son tweet. Mais le doute demeure. Des médias comme RTL, parlant de la famille de l’assassin Quentin, parlaient de " famille bien intégrée " dont les deux parents travaillent. Donc peut-être des " Ghenouchi".

    Sur la toile, d’autres rumeurs circulent, qui expliquent que Quentin n’aurait pas la couleur de peau d’un Gallois…

    D’autres encore ont même affirmé que ses trois premiers prénoms seraient musulmans, que le premier serait Ali, et que Quentin serait le quatrième.

    La seule solution est de mettre fin à ces lois sur les mineurs qui protègent les assassins, et de traiter ceux qui tuent comme des adultes et pour ce qu’ils sont: des criminels qu’il convient de traiter comme tels, quel que soit leur âge, et de publier leur photo et leur nom…

    Lucette Jeanpierre

  • L'EMPLUME  DICTATEUR

    Notre-Dame de Paris: malgré la polémique et l’opposition de la Commission du patrimoine… des vitraux de Viollet-le-Duc, épargnés par l’incendie, vont bien être remplacés par des “contemporains”, conformément à la volonté d’Emmanuel Macron

    La commission nationale du patrimoine et de l’architecture (CNPA), opposée au projet de vitraux contemporains pour la cathédrale Notre-Dame de Paris, a “pris acte” de la volonté de l’exécutif de poursuivre le projet mais ne l’a pas “validé”, a clarifié le ministère de la Culture auprès de l’AFP samedi. (…)

    BFMTV

  • Bleuet de France, portons-le fièremet

    défend Patricia Mirallès, ministre déléguée chargée de la Mémoire et des Anciens combattants

    ENTRETIEN. Le Bleuet fête son centenaire et continue d'incarner la solidarité envers les soldats blessés, mais aussi les victimes du terrorisme. Pour Patricia Mirallès, ministre déléguée auprès du ministre des Armées, chargée de la Mémoire et des Anciens combattants, plus qu'un symbole, il doit être “un levier de mobilisation”.

    Par Marie de Greef-Madelin, Maxime Coupeau – Valeurs Actuelles

    En 1925, deux infirmières, Charlotte Malleterre, fille et femme de général, et Suzanne Leenhardt, veuve d’un capitaine d’infanterie, créent le Bleuet de France pour venir en aide aux blessés de guerre et aux gueules cassées dont elles s’occupent à l’hôpital militaire des Invalides. Elles organisent des ateliers de confection de Bleuets en tissu et papier journal dont les recettes vont au profit des mutilés de la Grande Guerre. Depuis le 14 juillet 2023, les Français sont invités à arborer un Bleuet du 1er au 8 mai, le 14 juillet, du 1er au 11 novembre, ainsi que le 11 mars en mémoire des victimes du terrorisme.

    Valeurs actuelles. Que représente pour vous ce Bleuet de France?

    Patricia Mirallès. Ce n’est pas juste une fleur accrochée à un revers de veste. C’est un engagement, une promesse: celle de ne jamais oublier ceux qui ont souffert pour la France. Le bleuet est né dans les tranchées, mais il a su évoluer avec l’histoire. Il incarne la solidarité envers nos soldats blessés, les familles endeuillées et toutes les victimes de la violence barbare. À l’approche du 11 mars, Journée internationale du souvenir en hommage aux victimes du terrorisme, mon message est clair: souvenons- nous, mais surtout, ne restons pas spectateurs. Chaque attentat brise des vies, laisse des blessures invisibles. Derrière chaque nom, il y a une histoire, un combat pour se reconstruire. Des centaines de victimes du terrorisme bénéficient d’un accompagnement psychologique, financier et humain complémentaire. Le Bleuet finance des soins, soutient les familles, aide à retrouver un équilibre après l’horreur.

    ​Cette année, le Bleuet de France fête ses 100 ans. Que lui souhaitez-vous?

    Ce centenaire, c’est un siècle d’entraide et de mémoire. Mais nous ne voulons pas qu’il fane. Car tant qu’il y aura des guerres, tant qu’il y aura des attentats, il faudra être là pour ceux qui restent debout. Dans cent ans, nous voulons que le Bleuet soit toujours là, d’un éclat toujours aussi vif. Alors, portons-le fièrement et faisons-le grandir. Parce qu’aider, c’est agir. Parce que se souvenir, c’est aussi construire l’avenir. Ce centenaire est aussi l’opportunité de redonner un nouveau souffle au Bleuet de France. Car, même après un siècle d’existence, le Bleuet de France n’a rien perdu de son importance. Aujourd’hui, il doit devenir davantage qu’un simple symbole: il doit se transformer en un véritable levier de mobilisation sociale et politique.

    ​Comment transmettre les valeurs que ce Bleuet incarne?

    Nous nous devons d’investir pleinement dans cette ambition, de faire de cette petite fleur bleue un point d’ancrage dans notre société, un point de convergence autour des valeurs de la République. Mais aussi le signe vivant de nos capacités de résilience. Il est, et restera, une fleur essentielle à notre pacte républicain. Nous semons aujourd’hui les graines qui fleuriront le siècle à venir.

    LE BLEUET DE FRANCE: RÉPARER LES VIVANTS

    Autrefois dédié aux seuls poilus mutilés, le Bleuet de France vient en aide depuis un siècle aux blessés de guerre, aux veuves des soldats et aux pupilles de la nation. Depuis les années 1990, les victimes des attentats terroristes entrent dans son champ d'action.

    ​Cette institution, aujourd’hui fonds de dotation privé, est née au lendemain de la Grande Guerre  Elle a, depuis un siècle, la vocation de venir en aide aux blessés de guerre, aux veuves des soldats morts au combat et aux pupilles de la nation, ces enfants à qui la furie de la guerre a enlevé ou mutilé un parent. Agrafé à la boutonnière, le bleuet rappelle à la nation le sacrifice de ses soldats pour sa liberté et son devoir de solidarité envers ceux qui restent. Mais alors que le poppy (coquelicot) fleurit outre-Manche tout le mois de novembre au revers de la veste des sujets britanniques, le bleuet flétrit sur celle de nos anciens combattants.

    ​"LE BLEUET DOIT DEVENIR NOTRE EMBLÈME NATIONAL!"

    "La disparition des derniers poilus et des vétérans de la Seconde Guerre mondiale bouleverse la transmission de la mémoire. C’est aussi le rôle du Bleuet de perpétuer, auprès de la jeunesse, le souvenir du sacrifice de ces Français tombés pour notre liberté", souligne Pierre-Emmanuel de Laforcade, directeur exécutif du fonds de dotation.

    Reste que le Royaume-Uni récolte quelque 35 millions d’euros chaque année, quand nos quatre collectes annuelles sur les places publiques (11 mars, 8 mai, 14 juillet et 11 novembre) ont rapporté, l’an passé, à peine un million d’euros…

    "Le Bleuet doit devenir notre emblème national!", ambitionne la secrétaire d’État chargée des Anciens Combattants et de la Mémoire. Pour lui donner un nouveau souffle, Patricia Mirallès a publié une circulaire, cet été, invitant les représentants de l’État et les autorités militaires à porter la fleur nationale à la boutonnière les premières semaines de mai et de novembre.

    Depuis les années 1990 et la montée du terrorisme sur notre territoire, les victimes des attentats sont, elles aussi, entrées dans le champ d’action du Bleuet. Sur les 25 000 personnes bénéficiant de l’aide du fonds de dotation, 5000 SONT DES VICTIMES DU TERRORISME.

    Et les enfants de ces nouvelles “gueules cassées de notre époque, des pupilles de la nation.

    ​Sur ce terreau, comme autrefois celui des tranchées, pousse depuis un siècle le Bleuet. Pour réparer ceux qui restent.

    https://boutique.bleuetdefrance.fr

  • "Par le sang versé"

    "Qui sait si l’inconnu qui dort sous l’arche immense,

    Mêlant sa gloire épique aux orgueils du passé,

    N’est pas cet étranger devenu fils de France,

    Non par le sang reçu mais par le sang versé". (Capitaine Pascal Bonetti, 1920)

    La bataille de Camerone, le 30 avril 1863, se fête avec Légionnaires, à Nîmes, Aubagne, Orange ou… La Rochelle.

    Camerone, c’est ce combat épique qui opposa une soixantaine de Légionnaires, assiégés dans l’hacienda de Camarón de Tejeda, à une armée de 2000 fantassins et cavaliers mexicains. Après onze heures de combat, par une chaleur torride, les six survivants encore debout, mais à court de munitions, chargèrent baïonnette au canon. Un officier mexicain – d’origine française – somme alors les survivants de se rendre.

     

    Le caporal Maine lui répond:

    "Nous nous rendrons si vous nous faites la promesse la plus formelle de relever et de soigner notre sous-lieutenant et nos camarades atteints, comme lui, de blessures ; si vous nous promettez de nous laisser notre fourniment et nos armes. Enfin, nous nous rendrons, si vous vous engagez à dire… que, jusqu’au bout, nous avons fait notre devoi ".

    L’officier mexicain lui répond: "On ne refuse rien à des hommes comme vous". Les rescapés sont présentés au colonel Milan, qui s’écrie:

    "¡Pero estos no son hombres, son demonios!" (" Mais ce ne sont pas des hommes, ce sont des démons").

    Plus tard, on construisit, au Mexique, un monument sur lequel sont gravés les mots suivants: "Ils furent ici moins de soixante opposés à toute une armée. Sa masse les écrasa. La vie plutôt que le courage abandonna ces soldats français".

     

    Depuis, chaque fois qu’un détachement militaire mexicain passe devant le monument de Camarón de Tejeda, il présente les armes.

    Camerone, une défaite contre un ennemi mieux armé, à un contre trente, est entrée dans l’histoire – comme Bazeilles pour les "Marsouins" ou Diên-Biên-Phu pour les paras et (encore!) la Légion – parce qu’elle symbolise l’acte gratuit, le courage, la volonté, l’honneur et la fidélité à la parole donnée.

  • Je m’appelle France

    Sur les sillons de mon destin, de grands hommes, des héros, fidèles gardiens de ma mémoire, ont gagné des combats, périssant de leur âme pour sauvegarder l’honneur et la dignité de mon identité, faisant de moi une belle et grande nation.

    Mon étendard tricolore debout, noble témoin sacré de tous ces braves tombés par leur sang versé, pour que moi, France, ne tombe jamais.

    Je me suis élevée par la force, le courage et l’amour de mon peuple.

    Les rênes de mon existence à la solde d’un pouvoir.

    Locataires intérimaires de mon État, de ma Constitution, de mes valeurs.

    Ils parlent, agissent en mon NOM !!

    Leur devoir assuré avec pérennité, la prospérité de toutes les richesses que je porte, veiller sur mon peuple, qu’il ne connaisse jamais la faim, la misère, en le protégeant de tout ennemi, lui assurant la liberté, l’égalité, la fraternité.

    Oui, j’affirme, mon peuple et non le leur, ils décident en mon NOM !! Sur mon territoire, mais je ne leur appartiens pas !!

    Mon parcours ne fut pas sans larmes et pourtant combien de gloire en mon honneur ? Chaque grain de poussière sur mes terres est gravé par tant de pleurs et de sacrifices.

    Que font-ils de moi, où est ma place ?

    Dans une Europe clamant l’union ! Bâillonnée, à la merci de grands penseurs imbus de leurs propres lois se proclamant les maîtres de nos destins, ne donnant aucune parole, aucun choix à la liberté de mon peuple.

    Je n’ai pas besoin d’être la soumise ni l’esclave de qui que ce soit, entraînant ma patrie à l’agonie…

    Mes couleurs sont huées, piétinées, brûlées, devant mes forces de sécurité maltraitées et muselées.

    Sur la place publique de ma dite République, on ose s’aplatir d’excuses et de repentances sur la mémoire de mon histoire, me dilapidant vulgairement sur les trottoirs de la honte et du déshonneur.

    Des hommes venus d’autres nations, sans aucune distinction de race ou de couleur, ont combattu en donnant leur sang, leur vie, reposant sur le lit de ma patrie. Ils méritent dignement le respect aux côtés de mes valeureux soldats de France.

    Terre d’accueil bienveillante envers ceux qui me respectent et on me traite de vieille ringarde égoïste et raciste.

    Je préserve ma culture, ma religion, mes traditions, je ne tolère pas que l’on vienne renier, anéantir mes racines, mon berceau, la chrétienté. Je suis ouverte dans le respect et dans l’égalité, mais pas polygame.

    Mon hospitalité est complaisante, sans discrimination, mais quand ma bonne grâce devient une orgie opulente, sans foi, irrespectueuse de mes lois, là oui, je me rends égoïste, car on ne profite pas de moi au détriment de tous les miens.

    S’en prendre à tous mes citoyens, me défier, me piller sur mon propre sol en faisant couler le sang de la haine ignoblement, là, je n’ai aucune pitié. Vous ne récolterez que ma colère… On ne touche pas à mon peuple !

    Mon étendard vacillant, mon identité menacée, mon Histoire en péril, au temps jadis, j’ai traversé l’époque des sans-culottes, si vous croyez que je baisserai la mienne, n’y comptez jamais !

    N’oubliez pas que je m’appelle France !! Digne héritière de la Gaule…

    Pauline Saint-James

  • Scandale d'Etat!

    Mort de Thomas à Crépol: un PV relance la thèse d’un meurtre à caractère raciste

    Dans "Une nuit en France", à paraître le 19 mars, le grand reporter Jean-Michel Décugis, Pauline Guéna et Marc Leplongeon reviennent sur la mort de Thomas, 16 ans, tué lors d’une bagarre à Crépol (Drôme) dans la nuit du 18 au 19 novembre 2023. Un drame qui avait bouleversé la France et ému une grande partie de la classe politique française.

    Dans un entretien accordé au Nouvel Obs, Jean-Michel Décugis révèle l’existence d’un procès-verbal (PV) sensible, rédigé cinq jours après les faits, dans lequel des témoins affirment avoir entendu "des insultes racistes" au cours de la rixe. Ce document, pourtant crucial pour l’enquête, a été " classé dans les notifications de garde à vue, des documents qu’on ne consulte jamais, comme si on avait voulu le cacher", déclare le journaliste.

    Pour Jean-Michel Décugis, "l’existence de ce PV de gendarmerie est très embarrassante", car il remet en cause la version officielle, selon laquelle la mort de Thomas ne serait pas un crime raciste. À l’époque, le climat était extrêmement tendu et les pouvoirs publics n’auraient "certainement pas eu envie de jeter de l’huile sur le feu", alors que la situation était déjà particulièrement explosive.

    Un PV volontairement dissimulé ou mal classé par erreur? Impossible à dire, mais pour l’auteur, "d’un côté comme de l’autre, l’idéologie a empoisonné l’ensemble de cette enquête".

    Un élément clé qui risque de relancer la polémique autour de ce drame qui a déchiré la France.

    Valeurs actuelles